mercredi 29 novembre 2023

Ce n’est pas DARMANIN ou autres politiciens de tous bords qui changera ce problème de cette loi d’immigration fantôme et ses migrants qui déferlent sur la France et l’Europe (dite unie !?) C’est la mentalité des Français et leur volonté qui le fera avant qu’il ne soit (hélas) déjà trop tard car ils ne savent toujours pas choisir ni voter pour leurs dirigeants et politiciens de tous bords et donc leurs gouvernements !?

 

Immigration : des lois mais pas de vision (mais lesquelles ?! )

TRIBUNE. La France n’a jamais cherché à développer une véritable politique nationale d’immigration. L’actuelle loi débattue à l’Assemblée ne déroge pas à la règle.

Smaïn Laacher*

Publié le 28/11/2023 à 15h27, mis à jour le 28/11/2023 à 17h01 Immigration : des lois mais pas de vision

TRIBUNE. La France n’a jamais cherché à développer une véritable politique nationale d’immigration. L’actuelle loi débattue à l’Assemblée ne déroge pas à la règle.

Smaïn Laacher*

Publié le 28/11/2023 à 15h27, mis à jour le 28/11/2023 à 17h01

PLUS BETE QUE LES FRANCAIS JE MEURT CAR LES PLUS MAUVAIS ELECTEURS DE LEURS DIRIGEANTS ET GOUVERNEMENTS DE TOUS BORDS DEPUIS + DE 40 ANS ET ETANT FRANÇAIS MOI-MEME J’AI HONTE NOTRE EGOISME ET VERSATILITE NOUS POUSSENT DANS LE FOND COMME LA FRANCE !?

Et revoilà l'immigration en débat à l'Assemblée nationale. On négocie, on marchande, on bombe le torse et on désigne les lignes rouges à ne pas dépasser. Sinon, on verra ce que l'on verra. On ne plaisante pas avec les rappels à l'ordre et les mises en garde, toujours énoncés sur un ton comminatoire que les politiques affectionnent particulièrement.

Est-ce que la nouvelle loi va modifier le statut des immigrés et les perceptions sur les phénomènes migratoires ? Est-ce qu'après le vote final, nous serons en présence d'une autre façon de traiter ce fait historique ? Il est permis d'en douter, sans pessimisme injustifié. Je me fonde simplement sur ce qu'apporte une connaissance de l'histoire de l'immigration. Bien entendu, il y aura quelques aménagements et transformations à la marge. C'est le moins que puisse produire le droit. Mais la configuration générale restera inchangée.

Immigration : quarante ans de lois pour rien ?

Au cours de cette longue temporalité, il n'y a eu ni politiques publiques dignes de ce nom ni évaluation des multiples actions de l'État et de ses institutions. L'immigration a toujours fait l'objet d'une « administration » en fonction de la conjoncture du moment, des circonstances politiques et des rapports de force électoraux. Lesquels se sont traduits soit œuvrant à une plus grande fermeté, soit une plus grande avancée en matière de droits. C'est là une constante historique, et c'est aussi une singularité française.

Gestion migratoire

Ce qui est frappant, c'est l'absence permanente d'une capacité à construire, à l'aide d'une stratégie à long terme, une politique nationale d'immigration. La raison est la suivante. Trois catégories ont structuré la vision du monde de l'État et de la société civile à l'égard de l'immigration depuis le début du XXe siècle : la conjoncture (socio-économique), le provisoire (la condition ontologique de l'immigré comme être de passage), et le droit des étrangers (comme dispositif d'encadrement et de limitations).

Entre 1945 et 1980, point de loi. La régulation des flux migratoires par le droit n'est pas une préoccupation du législateur ni de l'exécutif. C'est seulement vers la fin des années 1990 que l'État pense la gouvernementalité des populations immigrées par la loi et, surtout, par l'usage abondant d'ordonnances, d'arrêtés, de circulaires et de décrets. Ce qui engendre une véritable hyperactivité législative.

 Les polémiques de l'immigration : qui sont les personnes arrivant en France ?

La vision générale sur ces populations n'est pas bouleversée. L'immigration ne fait pas l'objet d'intention à long terme. Ainsi, ne parle-t-on pas de politique publique lorsqu'il s'agit d'immigration, mais exclusivement de « gestion » (de l'entrée, du séjour, de l'expulsion des étrangers en situation irrégulière). Le droit des étrangers réglemente, autorise et catégorise ; et, on l'oublie trop souvent, la partie liée à la notion de souveraineté de l'État-nation.

Plus encore, la construction de ce droit et ses évolutions sont profondément dépendantes de facteurs économiques, sociaux et politiques, tels que le besoin de main-d'œuvre, la protection des demandeurs d'asile, les relations avec les États anciennement colonisés ou encore la construction de l'Union européenne. Mais l'important, que l'on soit de droite ou de gauche, n'est-il pas de laisser son « empreinte » avant de quitter la Place Beauvau ?

L’immigration galopante qui touche les pays libres fortunés développés attirent les autres habitants qui fuient des pays totalitaires ou d’autres touchés par la misère pour simplement manger à leur faim ou se loger décemment ou fuir des guerres et par le manque de liberté de faire tout ce que l’ont veut ou tout dire car sans garde-fou et pas gouvernés dans des dictatures ou l’on peut être asservi et jeté en prison voire pire au nom de religions obscurantistes moyenâgeuses ou par des potentats extrémistes barbares qui règnent par la force ou la peur pour leur simple profit ou pouvoir absolu hérité depuis + de 2000 ans de nos anciens régimes monarchiques avec toujours plus de puissance pour eux et qui nous élisons et réélisons malgré notre révolution de 1789 et nos empires et républiques dans nos démocraties par nous naïfs en France qui ne pensons qu’à « notre chacun pour soi » individualiste et versatile et nos petits avantages étriqués semés par nos dirigeants de tous bords depuis + de 65 ans dans cette Veme république gaullienne usée pseudo monarchique ou nous avons mis en place une clique de bienpensant donneurs de leçons hypocrites que personne n’écoute dans ce monde entier malade !?

Pour les migrants c’est déjà trop tard ils sont déjà là depuis + de 60 ans avec la fin de la décolonisation de nos empires coloniaux et le flux ne cesse pas !?

Nos ressortissants ou migrants d’ailleurs manifestent quelque fois par manque de liberté mais qu’ils aillent voire ailleurs là ils verront ce qu’est le totalitarisme j’ai voyagé de par le monde (quand on le pouvait encore en pseudo sécurité !?)

Ou qu’ils acceptent les démocratures ou dictatures à la poutinienne ou autres qui perdurent dans le monde dans des pays connus car nos dirigeants depuis des décennies par ces problemes migratoires et ces lois « serpent de mer » sur cette immigration dont ils n’arrivent même pas à accoucher car ne sachant pas gouverner à cause de Français qui ne savent pas choisir et voter pour leurs élus !?

C’est cela la vérité mais il faut la regarder en face et agir !?

Mais moi étant âgé je n’y crois plus ( même après 2027 !?)

Jdeclef 29/11/2023 11H53LP

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