Immigration : des
lois mais pas de vision (mais lesquelles ?! )
TRIBUNE. La
France n’a jamais cherché à développer une véritable politique nationale
d’immigration. L’actuelle loi débattue à l’Assemblée ne déroge pas à la
règle.
Publié le 28/11/2023 à
15h27, mis à jour le 28/11/2023 à 17h01 Immigration : des lois mais
pas de vision
TRIBUNE. La
France n’a jamais cherché à développer une véritable politique nationale
d’immigration. L’actuelle loi débattue à l’Assemblée ne déroge pas à la
règle.
Publié le 28/11/2023 à
15h27, mis à jour le 28/11/2023 à 17h01
PLUS BETE QUE LES FRANCAIS JE MEURT CAR LES PLUS MAUVAIS ELECTEURS DE LEURS
DIRIGEANTS ET GOUVERNEMENTS DE TOUS BORDS DEPUIS + DE 40 ANS ET ETANT FRANÇAIS MOI-MEME
J’AI HONTE NOTRE EGOISME ET VERSATILITE NOUS POUSSENT DANS LE FOND COMME LA FRANCE !?
Et revoilà l'immigration en débat
à l'Assemblée nationale. On négocie, on marchande, on bombe le torse
et on désigne les lignes rouges à ne pas dépasser. Sinon, on verra ce que l'on
verra. On ne plaisante pas avec les rappels à l'ordre et les mises en garde,
toujours énoncés sur un ton comminatoire que les politiques affectionnent
particulièrement.
Est-ce que la nouvelle loi
va modifier le statut des immigrés et les perceptions sur les phénomènes
migratoires ? Est-ce qu'après le vote final, nous serons en présence d'une
autre façon de traiter ce fait historique ? Il est permis d'en douter,
sans pessimisme injustifié. Je me fonde simplement sur ce qu'apporte une
connaissance de l'histoire de l'immigration.
Bien entendu, il y aura quelques
aménagements et transformations à la marge. C'est le moins que
puisse produire le droit. Mais la configuration générale restera inchangée.
Immigration :
quarante ans de lois pour rien ?
Au cours de cette longue temporalité, il n'y a eu ni politiques publiques
dignes de ce nom ni évaluation des multiples actions de l'État et de ses
institutions. L'immigration a toujours fait l'objet d'une
« administration » en fonction de la conjoncture du moment, des
circonstances politiques et des rapports de force électoraux. Lesquels se sont
traduits soit œuvrant à une plus grande fermeté, soit une plus grande avancée
en matière de droits. C'est là une constante historique, et c'est aussi une
singularité française.
Gestion migratoire
Ce qui est frappant, c'est l'absence permanente d'une capacité à construire,
à l'aide d'une stratégie à long terme, une politique nationale d'immigration.
La raison est la suivante. Trois catégories ont structuré la vision du monde de
l'État et de la société civile à l'égard de l'immigration depuis le début du XXe siècle :
la conjoncture (socio-économique), le provisoire (la condition ontologique de
l'immigré comme être de passage), et le droit des étrangers (comme dispositif
d'encadrement et de limitations).
Entre 1945 et 1980, point de loi. La régulation des flux
migratoires par le droit n'est pas une préoccupation du législateur ni de
l'exécutif. C'est seulement vers la fin des années 1990 que l'État
pense la gouvernementalité des populations immigrées par la loi et, surtout,
par l'usage abondant d'ordonnances, d'arrêtés, de circulaires et de décrets. Ce
qui engendre une véritable hyperactivité législative.
Les
polémiques de l'immigration : qui sont les personnes arrivant en
France ?
La vision générale sur ces populations n'est pas bouleversée. L'immigration
ne fait pas l'objet d'intention à long terme. Ainsi, ne parle-t-on pas de
politique publique lorsqu'il s'agit d'immigration, mais exclusivement de
« gestion » (de l'entrée, du séjour, de l'expulsion des étrangers en
situation irrégulière). Le droit des étrangers réglemente, autorise et
catégorise ; et, on l'oublie trop souvent, la partie liée à la notion de souveraineté
de l'État-nation.
Plus encore, la construction de ce droit
et ses évolutions sont profondément dépendantes de facteurs économiques,
sociaux et politiques, tels que le besoin de main-d'œuvre, la protection des
demandeurs d'asile, les relations avec les États anciennement colonisés ou
encore la construction de l'Union européenne. Mais l'important, que l'on
soit de droite ou de gauche, n'est-il pas de laisser son
« empreinte » avant de quitter la Place Beauvau ?
L’immigration galopante qui touche
les pays libres fortunés développés attirent les autres habitants qui fuient des
pays totalitaires ou d’autres touchés par la misère pour simplement manger à leur
faim ou se loger décemment ou fuir des guerres et par le manque de liberté de faire
tout ce que l’ont veut ou tout dire car sans garde-fou et pas gouvernés dans des
dictatures ou l’on peut être asservi et jeté en prison voire pire au nom de religions
obscurantistes moyenâgeuses ou par des potentats extrémistes barbares qui règnent
par la force ou la peur pour leur simple profit ou pouvoir absolu hérité depuis
+ de 2000 ans de nos anciens régimes monarchiques avec toujours plus de puissance
pour eux et qui nous élisons et réélisons malgré notre révolution de 1789 et nos
empires et républiques dans nos démocraties par nous naïfs en France qui ne pensons
qu’à « notre chacun pour soi » individualiste et versatile et nos petits
avantages étriqués semés par nos dirigeants de tous bords depuis + de 65 ans dans
cette Veme république gaullienne usée pseudo monarchique ou nous avons mis en place
une clique de bienpensant donneurs de leçons hypocrites que personne n’écoute dans
ce monde entier malade !?
Pour les migrants c’est déjà
trop tard ils sont déjà là depuis + de 60 ans avec la fin de la décolonisation de
nos empires coloniaux et le flux ne cesse pas !?
Nos ressortissants ou migrants
d’ailleurs manifestent quelque fois par manque de liberté mais qu’ils aillent voire
ailleurs là ils verront ce qu’est le totalitarisme j’ai voyagé de par le monde (quand
on le pouvait encore en pseudo sécurité !?)
Ou qu’ils acceptent les démocratures
ou dictatures à la poutinienne ou autres qui perdurent dans le monde dans des pays
connus car nos dirigeants depuis des décennies par ces problemes migratoires et
ces lois « serpent de mer » sur cette immigration dont ils n’arrivent
même pas à accoucher car ne sachant pas gouverner à cause de Français qui ne savent
pas choisir et voter pour leurs élus !?
C’est cela la vérité mais il
faut la regarder en face et agir !?
Mais moi étant âgé je n’y crois
plus ( même après 2027 !?)
Jdeclef 29/11/2023 11H53LP
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