Nouvel
ordre mondial : la haine de l'Occident gagne du terrain !?
La guerre au
Proche-Orient galvanise des puissances aux intérêts divergents mais unies par
une même haine pour les pays occidentaux.
La question d’actualité de
par le fait de la mauvaise gouvernance incompréhensive de notre président est que
faire pour arrêter cette chute vers le fond de La France par l’erreur de Français
lambda qui l’on élu et réélu en lui donnant trop de pouvoir qu’il utilise mal ou
pas du tout ?!
le 31 octobre s'est tenue la toute première bataille de l'espace.
L'affaire a été peu remarquée. Elle représente pourtant un tournant dans
l'histoire de la guerre. Ce jour-là, pendant que le Dôme de fer israélien
interceptait son lot quotidien de roquettes tirées depuis la bande de Gaza, un
autre dispositif antimissile a été mis à contribution, le système Arrow. Il a
permis de détruire un projectile qui se trouvait, non dans le ciel israélien
mais dans l'espace, loin au-dessus de la mer Rouge. Selon des experts, le
missile a été intercepté au-delà de l'atmosphère terrestre, à plus de
100 kilomètres d'altitude. Qui, parmi les ennemis d'Israël disposant de la
technologie nécessaire, a lancé ce projectile ? De manière surprenante, le
coupable n'est pas une des puissances du Proche-Orient mais une milice méconnue
qui sévit au Yémen : les houthis. Ces miliciens zaïdites (le zaïdisme est
une branche du chiisme) réservent d'habitude leurs attaques aux forces
régulières yéménites et à leur principal soutien, l'Arabie saoudite. À
plusieurs reprises, ils sont parvenus à frapper des installations pétrolières
sur le territoire saoudien. Prouesse rendue possible par le fait qu'ils sont
financés, équipés et armés par l'Iran. À la faveur du début de rapprochement
entre Riyad et Téhéran, les houthis ont reçu d'autres objectifs, plus en phase
avec leur devise : « Mort à l'Amérique, mort à Israël, maudits soient
les Juifs, victoire à l'Islam ». Ils ont pris pour cible le territoire
israélien, situé à plus de 1 800 kilomètres de leur fief, Sanaa, et
sont parvenus à abattre un drone américain au-dessus de la mer Rouge. En
activant sa milice yéménite, le régime iranien est passé à la vitesse
supérieure et menace désormais les Occidentaux dans tout le Proche-Orient.
Le résistible déclin de
l'Occident
Fracture Nord-Sud. Côté chinois, Xi Jinping reste discret,
mais il orchestre la dénonciation par ses médias des velléités guerrières et de
l'hypocrisie de l'Occident. Pékin cherche à exploiter la guerre au
Proche-Orient pour amadouer les pays du Sud. À l'ONU,
l'Amérique et ses alliés paraissent plus isolés que jamais. La
fracture Nord-Sud, mise au jour lors de l'invasion russe de l'Ukraine en 2022,
s'est creusée, explique Jorge Heine, chercheur à l'université de Boston et
ancien ambassadeur du Chili à Pékin. « De plus en plus de pays du “Sud
global” remettent en question l'ordre mondial. Je ne dirais pas qu'ils sont
passés dans le camp de la Chine
et de la Russie, mais ils ont pris leur distance avec l'Occident. Je les
appelle “non-alignés actifs” », détaille l'ex-diplomate. Récemment,
le président brésilien, Lula, a qualifié la campagne militaire à Gaza de « génocide ».
L'Afrique du Sud a établi un parallèle entre la situation en Israël et
l'apartheid qui a été imposé à sa majorité noire jusqu'à son abolition, au
début des années 1990. Moscou et Pékin tirent avantage de la vague
d'indignation contre la riposte israélienne pour gonfler les effectifs de leurs
clubs antioccidentaux, les Brics et l'Organisation de coopération de Shanghai
(OCS). Des alliances baroques au sein desquelles les haines ancestrales ont été
mises en sommeil au nom de l'antiaméricanisme. En 2024, les Brics s'apprêtent à
accueillir six nouveaux membres, dont l'Iran et l'Arabie saoudite, les
porte-drapeaux des branches rivales de l'islam, le chiisme et le sunnisme. Bien
que dominées par des dictatures, ces organisations se présentent comme plus
vertueuses que les institutions héritées de la Seconde Guerre mondiale,
accusées d'être dominées par les États-Unis et leurs alliés. Elles dénoncent la
morale à géométrie variable des Occidentaux en s'appuyant sur des exemples
récents (Gaza) ou plus anciens (les conflits en Irak ou en Libye). Leurs
slogans sont repris jusqu'à Londres, New York, Berlin ou Paris lors des
manifestations pro-Palestine. Confrontées à cette bataille informationnelle,
les démocraties ont du mal à trouver la parade. « Contre le Hamas,
Israël va gagner la guerre militaire mais perdre celle de communication »,
se désole un ex-ambassadeur occidental au Proche-Orient. Partout dans le monde,
la haine de l'Occident gagne du terrain. Tour d'horizons de ses principaux
sponsors.
RUSSIE : POUTINE, EN GUERRE CONTRE LA DÉMOCRATIE
Dictateurs. Le Nord-Coréen Kim Jong-un
est reçu par Vladimir Poutine en Russie le 13 septembre.© Mikhail Metzel/SPUTNIK/SIPA
Vladimir Poutine trouve toujours les mots qui servent ses intérêts
stratégiques : « Quand on voit des enfants tachés de sang, des
enfants morts, la souffrance des femmes et des vieillards, on serre les poings
et on a les larmes aux yeux. » Lorsqu'il s'exprime ainsi à la télévision
russe, le chef du Kremlin n'évoque pas la population ukrainienne,
quotidiennement bombardée par ses troupes, mais les civils palestiniens qui
endurent les conséquences de l'assaut israélien contre le Hamas. Compassion
sincère ? Calcul cynique, plutôt. Car la riposte israélienne dans la bande
de Gaza lui offre une occasion inespérée : celle de détourner les yeux du
monde de la guerre en Ukraine et, surtout, celle de se poser en chef de file de
l'anti-Occident, prêt à défendre la voix des pays du Sud.
Sombres perspectives pour
l'Ukraine en guerre
Retournement. L'acte russe le plus symbolique a lieu le
26 octobre, soit dix-neuf jours après les massacres perpétrés par le
Hamas. Le vice-ministre des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, accueille
alors à Moscou Moussa Abou Marzouk, le numéro deux du bureau politique du
Hamas. Une visite qui révulse les autorités israéliennes. Qu'importe, Poutine
prend désormais ses distances avec Israël, associé à « l'échec des
États-Unis dans la région » et va jusqu'à comparer l'incursion de
Tsahal à Gaza au siège de Leningrad par les nazis pendant la Seconde Guerre
mondiale.
Jusqu'à récemment, pourtant, Moscou et Tel-Aviv affichaient leur entente
cordiale. L'État hébreu, fort d'une communauté d'un million de Russes (sur
9,3 millions d'habitants), se gardait bien d'armer l'Ukraine et de
s'associer aux sanctions occidentales contre la Russie. Depuis 2015, en Syrie,
les deux pays coordonnaient même leurs actions pour éviter tout incident. Les
Israéliens y ciblaient les bases du Hezbollah, soutenu par l'Iran, tandis que
les Russes s'employaient à sauver le dictateur syrien Bachar el-Assad.
Ce temps est révolu. La raison ? L'invasion russe en Ukraine. La
prolongation de la guerre exige de Moscou un effort considérable. Or l'Iran,
parrain du Hamas, fournit désormais des armes à la Russie en quantité
illimitée.
IRAN :LE PARRAIN DES ORGANISATIONS
TERRORISTES
Faux amis. Mohammed ben Salmane
(sunnite), prince héritier d’Arabie saoudite, reçoit Ebrahim Raïssi, président
iranien (chiite), le 11 novembre, à Riyad.©
UPI/Newscom/SIPA
Les attaques contre Israël fusent de toutes parts. Jeudi 9 novembre,
l'armée israélienne a utilisé pour la première fois son nouveau système
antimissile à très longue portée, Arrow 3, pour intercepter des missiles
balistiques tirés en direction d'Eilat par les rebelles yéménites houthis. Le
même jour, un drone lancé depuis la Syrie par un nouveau groupe appelé la
« Brigade de l'imam Hussein », s'est écrasé dans une école de la
station balnéaire du sud d'Israël, sans faire de victime. Le lendemain, c'est
le Hezbollah qui a tiré, depuis le Liban, un missile antichar qui a grièvement
blessé quatre soldats israéliens dans le nord d'Israël. Tous ces groupes ont en
commun d'être alliés à la République islamique d'Iran. Depuis le
7 octobre, ces membres de l'« axe de la résistance »
anti-israélienne multiplient les attaques contre l'État hébreu pour dénoncer
les bombardements israéliens qui continuent à s'abattre sur l'enclave
palestinienne, faisant, selon l'ONU, plus de 11 000 morts, essentiellement
des civils. « En raison de l'intensité croissante de la guerre sur les
habitants civils de Gaza, l'expansion du champ de la guerre est désormais
devenue inévitable », a souligné le chef de la diplomatie iranienne,
Hossein Amir Abdollahian.
Les armes du Hamas et l'ombre
de l'Iran
Les massacres perpétrés par le Hamas en Israël (1 200 morts, dont
une majorité de civils) ont permis à l'Iran, principal parrain du mouvement
islamiste, qu'il arme et finance, de réaffirmer son statut de premier défenseur
de la cause palestinienne dans le monde arabo-musulman, au détriment des
monarchies du Golfe en voie de normalisation avec Tel-Aviv. Mais, si elle se
plaît à souffler sur les braises du conflit, en accentuant la pression aux
quatre coins d'Israël par l'intermédiaire de ses alliés dans la région, la
République islamique ne semble pas prête, pour l'heure, à s'engager dans une
confrontation directe avec l'État hébreu. « L'Iran veut rester à
l'écart de tout cela, confie un haut responsable moyen-oriental sous
couvert d'anonymat. Les houthis ont déclaré la guerre à Israël, mais ils
n'ont pas beaucoup d'influence et sont trop loin. Ce qui compte, c'est le
Hezbollah, mais il ne peut pas exposer le Liban, déjà très affaibli. »
Le dernier discours de Hassan Nasrallah l'a encore confirmé. Toujours aussi
offensif, le chef du mouvement chiite libanais s'est bien gardé d'annoncer
l'ouverture d'un second front contre l'État hébreu.
TURQUIE : ERDOGAN, L'AGITATEUR EN CHEF
Antiaméricanisme. Manifestation
propalestinienne près d’une base de l’Otan à Incirlik (sud de la Turquie), le
5 novembre.© AFP or licensors
Néo-sultan. Recep Tayyip Erdogan
harangue la foule à Istanbul, le 28 octobre.©
Emrah Gurel/AP/SIPA
Recep Tayyip Erdogan venait de se réconcilier avec Benyamin Netanyahou, lors
de l'Assemblée générale de l'ONU. « J'ai serré la main de cet homme, nous
avions de bonnes intentions mais il nous a abusés », a-t-il pourtant lâché
devant ses députés, le 25 octobre. « Nos relations auraient pu être
différentes, cela n'arrivera plus. » Le massacre du 7 octobre a
éloigné les deux pays, traditionnellement alliés au Moyen-Orient. La Turquie
est l'un des principaux soutiens du Hamas. L'organisation islamiste palestinienne
est issue, comme l'AKP d'Erdogan, de la mouvance des Frères musulmans.
Les députés de l'AKP ont ovationné le leader turc lorsqu'il a fait l'éloge
du Hamas, « un mouvement patriotique qui défend son peuple et son
territoire », contre le « génocide » que
commettrait l'État hébreu. « Israël assassin. Allah akbar »,
ont entonné les élus du parti au pouvoir.
Gaza : la Turquie
durcit le ton contre Israël
Gaza est un prétexte. Dans chacune de ses diatribes,
Erdogan accuse « l'Occident », coupable de tous les maux et de toutes
les trahisons. Les États-Unis, « second pays sioniste »,
sont mis à l'index. Le 5 novembre, des dizaines de milliers de militants
pro-Hamas ont convergé de tout le pays vers la base aérienne de l'Otan utilisée
par l'aviation américaine à Incirlik (dans le Sud), et ils n'ont été empêchés
d'en forcer les portes qu'à la dernière minute. Le lendemain, lorsque le
secrétaire d'État, Antony Blinken, s'est arrêté à Ankara, Erdogan a refusé de
le recevoir, laissant cette tâche à son ministre des Affaires étrangères, Hakan
Fidan.
Comme en 2010, lorsqu'il avait lancé la « flottille de la
liberté » pour forcer le blocus israélien, Gaza lui sert de prétexte pour
remobiliser ses militants et tester ses alliances. Le 7 octobre lui donne
l'opportunité de mettre les pays occidentaux face à leurs contradictions. Mais
la position turque n'en manque pas non plus ! Membre de l'Otan, Erdogan
n'hésite pas à dire qu'il fait « autant confiance à la Russie qu'à
l'Occident ». Il dénonce la colonisation des territoires
palestiniens, alors que son armée et les milices islamistes qui lui sont
affiliées occupent et terrorisent le nord-ouest de la Syrie. Et, dans le
Caucase, il s'est tenu au côté de son allié, l'Azerbaïdjan, qui a assiégé et
affamé pendant dix mois les 100 000 habitants du Haut-Karabakh.
CHINE : LA STRATÉGIE DE LA (FAUSSE) NEUTRALITÉ
Alliés objectifs. Le Russe Poutine et
le Chinois Xi Jinping.© Sergey Savostyanov/AP/SIPA
Cet été, Xi Jinping a fait parvenir à Benyamin Netanyahou une chaleureuse
invitation à venir à Pékin… Le 7 octobre a eu raison de ce flirt estival.
Israël fait maintenant savoir sa « profonde déception » face
à la position « très troublante » de la Chine sur les
attaques du Hamas qui ont fait 1 200 morts. Comme sur l'Ukraine, le Parti communiste
chinois (PCC) joue la « neutralité », se disant « attristé
par les pertes civiles » et « ami à la fois d'Israël et de
la Palestine ». Pékin s'en tient donc à rappeler l'objectif d'une
solution à deux États, sans condamner ni soutenir le Hamas. « Les
Israéliens auraient souhaité une reconnaissance de la gravité des attaques du
Hamas », résume Jean-Loup Samaan, spécialiste des relations entre la
Chine et le Proche-Orient à l'Institut français des relations internationales.
« Saper l'hégémonie l'américaine ». La colère de
Tel-Aviv n'a fait que croître depuis. « Ce n'est pas de la neutralité
mais de l'indifférence à notre souffrance », dénonce Tuvia Gering,
spécialiste israélien de la Chine à l'Institute for National Security Studies
(INSS) de Tel-Aviv. Il pointe les signes d'un discret mais net virage
pro-palestinien. Dès le 14 octobre, le diplomate en chef Wang Yi estimait
que « les actions d'Israël ont dépassé le cadre de
l'autodéfense ». En outre, accusations de crimes de guerre israéliens
et diatribes antisémites se sont multipliées dans les médias d'État, les
universités et les réseaux sociaux chinois… Enfin, le 23 octobre, Wang Yi
est allé jusqu'à défendre le « droit au retour » des Palestiniens,
position radicale qui légitime pour certains les attaques du 7 octobre. « Pour
la Chine, ce n'est qu'une question de compétition stratégique mondiale »,
juge Tuvia Gering. L'objectif : exploiter la cause palestinienne pour
mettre du plomb dans l'aile de l'aigle américain. La rencontre entre Xi et
Biden ne lui donne que peu d'espoir de désescalade. « Plus les actions
d'Israël sont présentées comme barbares et maléfiques, et plus cela rejaillit
sur les États-Unis, décrypte le chercheur. L'occasion est trop bonne
de saper l'hégémonie américaine. »
« SUD GLOBAL » : UNE TROISIÈME VOIE ANTIOCCIDENTALE
L'invasion de l'Ukraine par la Russie
avait provoqué une fracture sur la scène mondiale. La résurgence du conflit au
Proche-Orient l'a encore creusée. En Afrique, en Asie, en Amérique latine, le
« Sud global » s'était montré réticent à soutenir Kiev et à condamner
Moscou, y compris dans les votes des résolutions des Nations unies. Depuis le
7 octobre, une bonne partie des pays émergents s'élève contre le soutien
« inconditionnel » affiché par les pays occidentaux envers Israël. C'est
particulièrement vrai en Amérique du Sud : le Venezuela, principal point
d'appui du Hezbollah et de l'Iran dans la région, a dénoncé un
« génocide » contre les Palestiniens, et le président colombien,
Gustavo Petro, a comparé Gaza à Auschwitz, provoquant un gel des exportations
d'armes israéliennes vers Bogota. Avec Israël, ce sont les États-Unis qui sont
ciblés. La gauche latino-américaine (Bolivie, Chili, Venezuela), par
anti-impérialisme, critique vertement le soutien américain à Israël. Le
continent africain, lui aussi, est divisé. Israël y a multiplié les initiatives
et a été accepté comme membre observateur de l'Union africaine (UA), avant
d'être banni deux ans plus tard. En février, la représentante de la diplomatie
israélienne pour l'Afrique avait été expulsée manu militari de l'assemblée
générale de l'UA, à Addis-Abeba. L'influence des puissances occidentales est en
recul, à l'image de la France, chassée du Sahel au profit de la milice russe
Wagner. « Nous vivons désormais une crise de transition liée à la fin
de la domination de l'Occident dans le monde », juge le Sénégalais
Alioune Tine, fondateur du think tank Afrikajom, à Dakar. Sur le continent, la
guerre au Proche-Orient renforce encore un sentiment de « deux poids, deux
mesures »
C’est logique de par l’histoire
du monde qui a évolué après les dernières guerres mondiales d’origines européennes
devenues mondiales et la fin des grands empires coloniaux anglais et français et
autres notamment par une décolonisation laborieuse pas totalement terminée depuis
+ de 60 ans et dans les faits malgré les indépendances des pays du Maghreb et de
l’Afrique francophone voire l’Indochine française pour la France et ses dirigeants
et gouvernements de tous bords politiques qui n’ont pas su gérer cela jusqu’à ce
jour (auquel il faut ajouter les USA devenu indépendant depuis le 4/7/1776 grâce
à la France qui l’a aidée militairement juste avant notre révolution de 1789) bien
que géographiquement pas sur le continent européen car né sur la migration des Anglo
saxon européens et autres avec des flux importants et servant de protecteurs (ou
gendarme du monde) comme on le disait à cette Europe vraiment OCCIDENTALE depuis
les après guerres mondiales de 1914 et 1939 !?
Car ces pays notamment moyens
orientaux ou d’ASIE que nous occidentaux grands donneurs de de leçons bienpensant
hypocrites quelquefois arrogants du fait peut être de nos anciennes monarchies millénaires
poussiéreuses voire empires divers obsolètes considèrent (encore qu’ils soient sous-développés)
alors que certains de plus en plus nombreux ne le sont plus et voir même aussi performants
techniquement voire plus (La CHINE par exemple et d’autres aussi !?)
Va faire comprendre çà aux Français
lambda et à nos nouvelles générations de jeunes de par nos dirigeants et gouvernements
médiocres avec notre éducation nationale politisée orientée aux pouvoirs en place
devenant de mauvaise qualité pour les élèves dans leurs établissements scolaires
reflète la régression de la France depuis + de 40 ans devenant mission impossible
!?
Il faudrait absolument
balayer devant notre porte en France car on glisse réellement vers le fond et
cela devient urgent ?!
Jdeclef 16/11/2023 10h19
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire