vendredi 3 novembre 2023

Concours de faux jeton de dirigeants qui ne s’entendent pas mais surtout par notre petit président qui fait fausse route, dégonflé comme une baudruche crevée par son hypocrisie maladive de procrastinateur incapable de dire non quand il le faut !?

 

Alger et Paris inconciliables sur la guerre Israël-Hamas ?!

LETTRE D’ALGER. Alger qui refuse de qualifier le Hamas de terroriste est dans une ligne radicalement opposée à Paris : la visite de Tebboune en France semble de plus en plus hypothéquée.

Par notre correspondant à Alger, Adlène Meddi

LA OU VOIT COMME ON EST MAL DIRIGE MEME AVEC LA MAUVAISE POLITIQUE ETRANGERE DE NOTRE PRESIDENT QUI EST LA RISEE DE TOUS LE MONDE (et que nous avons réélu en plus comme des niais incurables !?)

LA HONTE N’ETOUFFE PAS NOS DIRIGEANTS C’EST LAMENTABLE !?

 

l'occasion de la célébration du 69e anniversaire du déclenchement de la guerre d'indépendance le 1ernovembre 1954, le président Emmanuel Macron a adressé un « message de vœux » à son homologue Abdelmadjid Tebboune. Macron « lui a souhaité ainsi qu'à l'Algérie, davantage de prospérité », soulignant que « les deux pays partagent les mêmes ambitions dans le cadre d'une dynamique de rapprochement renforcée par la signature de la déclaration d'Alger », selon la présidence algérienne. Le président français a également insisté sur « la nécessité de poursuivre le travail dans le cadre de la commission conjointe mise en place par les deux présidents ». Cette commission mixte d'historiens algériens et français qui végète, depuis des mois, sans agenda ni travaux.

Algérie : Tebboune maintient sa visite en France

Stagnation du bilatéral

Mais ce n'est pas uniquement sur le plan mémoriel – ou l'ensemble des dossiers du bilatéral d'ailleurs comme le souligne le récent rapport du député des Français établis hors de France, Frédéric Petit – que la dynamique stagne. L'actualité au Moyen-Orient pèse de tout son poids sur la ligne du réchauffement Alger-Paris, tant les positions des deux États semblent si inconciliables, sinon totalement opposées.

Il semble donc, pour beaucoup d'observateurs, peu probable que se réalise la visite du président algérien à Paris, véritable serpent de mer depuis des mois et dont il n'est plus fait mention dans le dernier message d'Emmanuel Macron. D'autant que nos sources confient que, bien avant la séquence actuelle de guerre Israël-Hamas, la présidence algérienne ne semblait pas « satisfaite de l'agenda et du programme de visite » qu'aurait proposés la partie française.

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Le Hamas salue la position d'Alger

Dimanche dernier, lors d'une déclaration à Djelfa (sud d'Alger), le président algérien a affirmé que ce « qui se passait à Gaza est un crime de guerre ». « Les Palestiniens ne sont pas des terroristes, car ils défendent leur pays et leurs droits », rappelant que « les Algériens avaient également été qualifiés de terroristes lorsqu'ils défendaient leur terre contre la colonisation française » en citant la réplique de Larbi Ben M'hidi, un des six leaders déclencheurs de la guerre d'indépendance qui, en réponse aux militaires français qui accusaient le FLN de commettre des actes terroristes avec des bombes cachées dans les couffins contre des civils lors de la « bataille d'Alger » : « Donnez-nous vos avions et nous vous donnerons nos couffins. »

Mercredi, le Hamas a salué, sur sa chaîne Telegram la déclaration du président algérien (ainsi que celle de Recep Tayyip Erdogan qui a nié le caractère terroriste du mouvement palestinien), appelant les autres pays arabes et musulmans à adopter la même position.

Le Hamas avait également remercié Alger pour avoir refusé de participer au « sommet de la paix » rassemblant plusieurs pays arabes et occidentaux au Caire le 21 octobre. L'Algérie protestait ainsi, selon des sources diplomatiques arabes, contre la poursuite des bombardements sur Gaza. Par ailleurs, l'Algérie a émis des réserves écrites à la déclaration finale de la réunion d'urgence de la Ligue arabe le 12 octobre au Caire. La délégation algérienne avait exprimé des réserves sur la déclaration finale qui exigeait « une cessation immédiate de la guerre israélienne dans la bande de Gaza » et condamnait « les massacres de civils des deux côtés ». Pour la diplomatie algérienne, « l'Algérie se distancie de tout ce qui assimile le droit inaliénable du peuple palestinien à l'autodétermination pour établir un État souverain sur la base des frontières de 1967, aux pratiques de l'entité sioniste qui viole les chartes et les résolutions de la légitimité internationale », lit-on dans la note. Le ministre des Affaires étrangères Ahmed Attaf a également appelé dans son discours à dénoncer « les deux poids, deux mesures dans les relations de la communauté internationale avec la cause palestinienne ».

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Pour Alger, le Hezbollah et le Hamas ne sont pas terroristes

Il faut rappeler ici que l'Algérie ne considère ni le Hezbollah ni le Hamas comme des organisations terroristes.

Le Hamas est classé organisation terroriste par les États-Unis depuis 1997 et par l'Union européenne depuis 2001. La plupart des pays arabes et musulmans ne considèrent pas ce mouvement comme terroriste, à une exception, l'Égypte, depuis 2015 – contre l'avis de la Ligue arabe – qui avait accusé le Hamas de soutenir le terrorisme islamiste dans le Sinaï.

De son côté, le Hezbollah libanais, classé comme organisation terroriste par Washington, Bruxelles et plusieurs capitales occidentales, a été également classé comme tel par la Ligue arabe en 2016, sous pression saoudienne et sur fond de tensions entre Riyad et Téhéran.

À l'époque, Alger s'était opposé à cette démarche considérant, notamment, que « le Hezbollah est un mouvement politico-militaire qui fait partie du paysage social et politique du Liban et qui participe aux équilibres fragiles patiemment et laborieusement négociés dans ce pays, notamment en vertu des accords de Taëf [qui ont mis fin la guerre civile libanaise 1975-1990) auxquels il a été partie prenante », avait rappelé le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra.

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L'Algérie et la définition du terrorisme

« Les Saoudiens, dans leur guerre larvée contre la mouvance des Frères musulmans [le Hamas fait partie de cette matrice], ont également tenté de faire inscrire le Hamas comme organisation terroriste à la Ligue arabe, mais se sont heurtés à un veto catégorique de l'Algérie qui a imposé le terme de “mouvement de résistance” », rappelle un diplomate algérien. La définition consensuelle au niveau de l'ONU du terrorisme, par ailleurs, reste un des leitmotivs militants dans les forums internationaux de l'Algérie, victime elle-même du terrorisme islamiste des années 1990. Depuis la fin des années 1990, Alger était sur une ligne de crête délicate pour imposer une définition consensuelle et mondiale du terrorisme, « sans pour autant amalgamer des mouvements de libération comme en Palestine ou au Sahara occidental dont les classements sous le terme “terroristes” répondent plus à des rapports de force qu'à la légalité internationale », souligne un ancien diplomate algérien en poste à l'ONU dans les années 2000. « En fait, même en l'absence d'un instrument universel de lutte contre le terrorisme, faute d'un consensus au sein de la communauté internationale et dans l'ONU, les efforts de l'Algérie se sont quand même traduits par son adhésion aux différents mécanismes et instruments de lutte contre le terrorisme transnational tant au plan international et régional. Nous avons inspiré, je le rappelle, et non sans difficulté, la résolution 2133 en janvier 2014 par le Conseil de sécurité relative au payement de rançons, et qui fait référence au Mémorandum d'Alger sur les bonnes pratiques en matière de prévention des enlèvements contre rançons par des terroristes. Ce ne fut pas aisé face à certaines puissances occidentales qui continuent à payer, par des voies détournées (États tiers, grosses entreprises ou fondations), des rançons, et notamment au Sahel ! » poursuit le diplomate.

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Lignes de fractures

Récemment, l'Algérie a reporté sine die une réunion parlementaire mixte avec l'Union européenne, qui était prévue le 9 novembre à Bruxelles, pour protester contre une résolution, datant du 19 octobre, du Parlement européen considérant le Hamas comme organisation terroriste.

Alger aurait, selon certaines sources diplomatiques, émis également des réserves sur sa participation au prochain sommet d'urgence de la Ligue arabe prévu le 11 novembre au vu des positions de certains pays arabes sur la crise Israël-Palestine.

Pour rappel aussi, Alger avait accueilli, tout au long de l'année dernière, des délégations de quatorze factions palestiniennes comme le Jihad islamique, le Hamas, le FPLP (classés comme organisations terroristes par plusieurs États occidentaux), le Fatah, le FDLP, etc., pour tenter de réconcilier ces organisations. Ces réunions ont débouché, le 13 octobre 2022, sur la signature de « l'accord d'Alger sur l'unité nationale palestinienne », mais qui demeure lettre morte. Précisons aussi que beaucoup d'organisations palestiniennes ont leurs bureaux ou représentants à Alger, à l'instar du Fatah et même du Hamas. Oussama Hamdane, leader du Hamas au Liban, ou d'autres dirigeants de l'organisation sont également interviewés par la radio publique algérienne. Dans les médias publics, le terme « entité sioniste » est d'ailleurs majoritairement employé par rapport à la dénomination « Israël » ou « État israélien ».

Par ailleurs, le 18 octobre, le Bureau de contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du département du Trésor américain a « imposé des sanctions à dix membres, agents et facilitateurs financiers clés du groupe terroriste du Hamas à Gaza et ailleurs, notamment au Soudan, en Turquie, en Algérie et au Qatar », selon un communiqué officiel.

On imagine donc mal un quelconque pas vers plus de rapprochement entre Alger et Paris qui serait couronné par une visite d'État d'Abdelmadjid Tebboune en France au vu de la profonde discordance sur la question du Hamas et de la crise au Moyen-Orient en général. Comment les deux présidents pourront faire une déclaration commune qui ne pourra éviter la question du Moyen-Orient sans faire résonner chacun les profondes et radicales dissensions de leurs pays respectifs ?

 

Alger et Paris inconciliables sur la guerre Israël-Hamas mais c’est logique c’est d’abord un pays musulman qui ne peut pas être pour ISRAEL et les juifs hébreux !?

Mais surtout en plus et ce n’est la première raison car la France leur a fait une guerre inutile pour avoir leur indépendance qu’il réclamait à juste titre comme tous les pays de l’Afrique ex empire colonial AOF/AEF et aussi le TUNISIE et MAROC de ce Maghreb qui comme cette ALGERIE et ses dirigeants qui détestent la France et dont le passé n’est pas digéré par les autorités algériennes depuis 1962 année de leur indépendance !?

Avec en plus les pays africains francophones qui lâchent la France les uns après les autres ne voulant plus de l’ex colonisateur Français depuis + 60 ans fin des colonisations européennes (mais qui n’oublient pas de nous envoyer leurs familles de migrants !?)

Pour l’ALGERIE et ses dirigeants vindicatifs anti-Français il faut absolument du fait de ne pas vouloir dénoncer le HAMAS terroriste couper les ponts avec ce pays qui déjà ne s’entend pas avec ces voisins magrébins et qui est dangereux par ses idées antisémites et anti occidentales !?

Car notre petit président parvenu bourgeois trop jeune n’y comprend rien à cette décolonisation et ne nous protège pas et est un bienpensant donneur de leçons hypocrite que plus personne n’écoute dans le monde et aussi de tous les Français de métropole surtout ceux qui on subit cette partie de notre histoire coloniale malheureuse encore nombreux qui se souviennent !?

La communauté juive de France est importante par 600000 juifs sur notre sol il faut la protéger contre cet antisémitisme rampant que l’on voit renaitre et celle arabo musulmane de 1,9 millions car ce déséquilibre est déjà trop important !?

Et si notre président et son gouvernement n’arrive pas à nous protéger ni eux ces Français Juifs ils ne servent à rien (ce dont on se doutait déjà hélas !?)

Jdeclef 03/11/2023 14h35

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