vendredi 10 mars 2017

E.MACRON a toute à fait raison il a bien cerné F.FILLON et sa dureté excessive envers les français lambda « d’en bas qu’il n’aime pas » !

La leçon d'histoire de Macron

VIDÉOS. Interrogé sur son lien à l'Histoire sur France Culture, le candidat a taclé la "vertu" de François Fillon qu'il a, dans une allusion, comparé à Robespierre.

 Je ne suis pas leibnizien dans l'écriture de l'Histoire », « ce serait intempestif au sens nietzschéen du terme »... Questionné dans l'émission La Fabrique de l'histoire de France Culture sur son « imaginaire historique », Emmanuel Macron a surtout rappelé tout son vocable philosophique. Évidemment interrogé sur la polémique déclenchée par ses propos à Alger le 14 février sur la colonisation et « le crime contre l'humanité », le candidat d'En marche ! a défendu « la réconciliation de mémoires qui sont encore chaudes » en refusant les tabous et en assurant qu'il évoque à chaque fois, dans ses sorties médiatiques, « la complexité des expériences ».
 « Quand j'ai pu parler d'une modernisation par effraction à propos de la colonisation, je ne suis pas allé dans le sens de ceux qui avaient promu, en 2004-2005, les bienfaits de la colonisation. Mais je reconnais qu'il y a eu des femmes et des hommes qui, dans le cadre de la colonisation, ont fait des choses », a-t-il expliqué, avant d'ajouter que « dans le même discours où je parle de crime contre l'humanité, je parle également de ce qui a pu être fait en termes de modernisation, j'ai un vrai discours public sur les harkis ».

Appartenance à une nation

En ce qui concerne l'enseignement de l'Histoire, Emmanuel Macron a déclaré que le rôle du président n'était pas de « s'immiscer » dans les programmes scolaires et qu'il laisserait cette tâche à son ministre de l'Éducation, tout en s'appuyant sur les enseignants plutôt que sur des « commissions indépendantes ». Si l'enseignement par chronologie et grandes figures comme Clovis reste indispensable, selon lui, il ne faut pas non plus « enseigner l'Histoire comme un bloc de vérités », mais l'accompagner par un appareil critique et une initiation à l'historiographie. De même, s'il défend « un roman national », celui-ci ne doit pas être « totalitaire », « une vérité d'État enseignée sans aucun recul ». « Beaucoup de candidats à droite et à l'extrême droite utilisent le terme d'identité nationale pour replier la France sur, en quelque sorte, la haine de l'autre, le fantasme d'un passé qui n'a peut-être jamais été », a dénoncé le candidat d'En marche !, qui « croit beaucoup plus au concept d'appartenance à une nation ».

Robespierre-Fillon

Refusant d'annoncer qu’elle figure historique il pourrait transférer au Panthéon s'il était élu président, Emmanuel Macron a vivement protesté quand le journaliste Emmanuel Laurentin a voulu l'inscrire dans une filiation avec le socialisme progressiste d'un Saint-Simon, rappelant qu'il est aussi le rejeton du « libéralisme politique français » à la Benjamin Constant. Enfin, il a fini l'émission en taclant son adversaire François Fillon. Qualifiant la « vertu » de l'Incorruptible Robespierre de « promesse intenable », il a déclaré : « Je crois à la vertu romaine en ce qu'elle est une exigence en soi et pour soi. Je ne crois pas en la vertu robesperienne qui reprend les habits de l'Inquisition. Et je me méfie des grands purificateurs. L'histoire récente vient de nous montrer que, parfois, celles et ceux qui se drapent des habits de la probité et de la vertu ne sont pas les meilleurs au fond d'eux-mêmes pour les porter »...

E.MACRON comparant indirectement F.FILLON à un ROBESPIERRE incorruptible est parfaitement souligné, car c’est exactement, cela qu’il est !

F.FILLON veut serrer la vis des français lambda (appelé aussi d’en bas par un autre 1er ministre de droite) toute en protégeant les nantis de sa caste !

Mais lui par sa regrettable affaire a bien montré qu’il n’est pas net en terme de probité, alors élire Mr FILLON avec les pouvoirs importants d’un président de la république est-ce bien raisonnable? (Car c’est au mieux un dissimulateur puisque s’il ne s’était pas fait prendre, en faisait croire qu’il était le sauveur de cette France en faillite selon des paroles qu’il avait dites quand il était 1er ministre de N.SARKOZY les deux faisant la paire !)

Ça politique rigoriste rigide pour seulement une partie des français toujours les mêmes car plus nombreux est loin d’être juste de la part d’un donneur de leçons qu’il n’applique pas à lui-même car lui qui n’a jamais travaillé comme les électeurs à qu’il fait appel qui ne sont pas du même monde que lui hobereau sarthois hyper nanti digne de l’ancien régime !

Il faudrait enfin de plus que les français cessent enfin de revoter pour les mêmes comme des gogos depuis des décennies et mettent à profit le changement qu’ils réclament avec un peu de courage cela ne serait pas plus mal, ils peuvent le faire cette fois, qu’ils en profitent !


Jdeclef 10/03/2017 11h07 LP

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