jeudi 2 mars 2017

Ce type de politicard devient trop fatiguant et aussi orgueilleux que d’autres connus !

Elections

Présidentielle: Grand courant d'air dans la campagne de Fillon après une série de défections

PRESIDENTIELLE Beaucoup de soutiens de l'ancien Premier ministre n'ont pas compris le maintien de sa candidature malgré la perspective d'une prochaine mise en examen...
La tempête de ces dernières semaines autour de la campagne de François Fillon s'est muée mercredi en grand courant d'air. En dénonçant un « assassinat politique » et en rappelant la légitimité qui lui a été conférée par la primaire à droite, l’ancien Premier ministre a assuré qu’il « irait jusqu’au bout », maintenant sa candidature à la présidentielle malgré la perspective d’une prochaine mise en examen. Mais autour du « champion » de la droite, les défections se sont multipliées dans la foulée de sa déclaration. Tour d’horizon.

Ils ne pardonnent pas à Fillon son maintien malgré sa mise en examen

L’un des premiers à avoir rejoint l’équipage du candidat après la primaire de novembre dernier, son ancien concurrent Bruno Le Maire a aussi été parmi les plus rapides à quitter le navire Fillon mercredi, invoquant le (non) « respect de la parole donnée » par le candidat, qui avait promis de se retirer s’il était mis en examen. « Elle est indispensable à la crédibilité de la politique », a jugé le représentant pour les affaires européennes et internationales pour expliquer sa démission.
Le candidat LR pourrait-il ne pas être «un justiciable comme les autres»?
Il a été suivi par les députés Alain Chrétien, Frank Riester, Jean-Luc Warsmann mais aussi Catherine Vautrin, vice-présidente LR de l’Assemblée. « L’idée que je me fais de la politique m’oblige à me mettre en retrait de la campagne », a déclaré sur Twitter le député-maire de Reims Arnaud Robinet.
La sénatrice Fabienne Keller, ancienne porte-parole d’Alain Juppé, a elle aussi pris ses distances avec le candidat, invoquant la nécessité d’« aller au-delà de la personne de François Fillon ». « Il n’est pas possible de continuer à faire campagne contre la justice »
Les centristes de l’UDI, qui avaient initialement soutenu Alain Juppé avant de rallier François Fillon, ont quant à eux annoncé qu’ils « suspendaient » leur participation à la campagne.

« En ce moment je pense au Général de Gaulle… »

L’hypothèse d’une candidature alternative pour remplacer François Fillon au pied levé devient de plus en plus incertaine, à deux semaines de la date limite de dépôt des parrainages. Mais l’urgence pousse certains à chercher « une sortie de crise par le haut », le député LR Pierre Lellouche envisageant de demander au Conseil constitutionnel un report de l’élection.
Alain Houpert appelle, lui, sa « famille politique à se ressaisir » car « il n’est jamais trop tard pour sortir d’une crise ». « Notre candidat, lâché par l’UDI et des parlementaires Républicains de plus en plus nombreux, n’est plus en mesure de représenter la voix de la droite et du centre », estime sans détour le sénateur de la Côte-d’Or.
Un rien perfide, le député sarkozyste Sébastien Huyghe rappelle la petite phrase lâchée par François Fillon à l’encontre de Nicolas Nicolas Sarkozy durant la primaire : « Qui imagine un seul instant le général de Gaulle mis en examen ? ». « En ce moment je pense au Général de Gaulle… », a-t-il glissé sur Twitter.
Face au grand courant d’air provoqué par toutes ces portes qui claquent, les soutiens restés fidèles à François Fillon tentent de rester stoïques. Le député de l’Ain Damien Abad dit « comprendre » la démarche de Bruno Le Maire mais fustige « les girouettes qui, aux premières bourrasques, quittent le navire ». Pour tenter une dernière fois de hisser les voiles, le député Jérôme Chartier, conseiller spécial de François Fillon, a annoncé un rassemblement de soutien dimanche à Paris, place du Trocadéro.
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Si c’est ça la qualité de nos politiciens élus en plus donneurs de leçons menteurs et bien nantis qui en fait ne pensent qu’à eux et dénigrent la justice qui les a coincés car se croyant intouchables !

Pourquoi les français devraient encore voter pour lui sont-ils masochistes ou des niais incurables !?

F.FILLON s’est fait piéger tellement son désir d’enrichissement et de pouvoir était simple et en principe sans risque car autorisé par des privilèges trop nombreux pour nos élus en se défendant en plus en disant « tous le font » et il a enfoncé le clou en prônant la probité qu’il ne s’applique pas à lui-même !

Coupable ou innocent de la loi, il ne mérite pas d’être élu comme un président de la république qui a trop de pouvoir et protégé par une immunité pendant son mandat la dissimulation ou mensonge suffit largement lui faire confiance serait une erreur !

Il faut que ces politiciens de tous bords arrêtent de se moquer ou de ne pas respecter les français qui les mettent au pouvoir !


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