Saint-Denis : 54 gardes à vue prolongées après
des violences près d'un lycée
55 jeunes, dont 44 mineurs, avaient été interpellés
et placés en garde à vue mardi pour avoir incendié des poubelles et
"caillassé des policiers".
Ils
étaient 55 jeunes, dont 44 mineurs, à avoir été placés en
garde à vue ce mardi, pour "violences volontaires",
"attroupement armé" et "incendie volontaire". Les gardes à
vue de 54 de ces jeunes ont été prolongées mercredi, au lendemain de
leurs interpellations pour des violences près d'un lycée de Saint-Denis qui ont
suscité l'indignation dans la classe politique, a-t-on appris de source
judiciaire. Une seule personne, mineure, a été relâchée, a précisé cette
source. "Ce sont des actes gravissimes menés par un certain nombre de
casseurs qu'il faudra sanctionner fermement", a déclaré la ministre de
l'Éducation, Najat
Vallaud-Belkacem, sur BFM TV. "Une digue semble avoir sauté
(avec) l'introduction de la violence non plus seulement sur le parvis des
établissements mais à l'intérieur des établissements", a-t-elle estimé,
appelant à en "poursuivre la sécurisation renforcée". La présidente
de la région Île-de-France,
Valérie Pécresse
(Les Républicains),
a condamné dans un communiqué des violences et dégradations
"inacceptables". Rappelant que la région avait investi "près de 15 millions
d'euros" pour la sécurisation des lycées, elle a "renouvelé" sa
demande au ministre de l'Intérieur "de protéger les abords des lycées
franciliens, qui depuis plusieurs semaines sont le théâtre d'incidents violents".
"Ce type d'événements ne surprend plus", ont assuré dans un
communiqué Wallerand de Saint Just, président du groupe FN au conseil régional, et
Jordan Bardella, conseiller régional et secrétaire de la fédération de
Seine-Saint-Denis. "Certains territoires sont devenus de véritables parcs
d'attractions pour des jeunes criminels toujours plus violents et sans
limite", ont-ils dénoncé.
Des policiers caillassés
Les
violences ont débuté vers 11 heures mardi. Des "fumigènes"
ont été lancés dans l'enceinte de cet établissement, le lycée Suger, situé dans
le quartier réputé difficile du Franc Moisin, a expliqué une source proche de
l'enquête. Le proviseur avait alors décidé d'évacuer et de fermer
l'établissement, qui a rouvert mercredi matin, a indiqué un professeur. Après
l'évacuation du lycée, "80 à 100 jeunes" avaient pris la
direction du centre-ville. Sur leur chemin, "ils ont caillassé des
policiers, incendié des poubelles et détruit du mobilier urbain", avait expliqué
une source policière. Selon une source proche de l'enquête, les jeunes,
"qui étaient là pour casser", ont répondu à un "appel lancé sur
les réseaux sociaux". En toile de fond, "des reliquats de l'affaire
Théo", du nom du jeune homme victime d'un viol présumé avec une matraque lors
de son interpellation le 2 février à Aulnay-sous-Bois
(Seine-Saint-Denis), selon des sources policières. "On a pu entendre
quelques slogans du type vengeance
pour Théo", a rapporté l'une d'entre elles.
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Le
gouvernement actuel et la ministre de l’éducation nationale gère mal le courant,
du fait d’une campagne électorale que le PS hollandais et la gauche en général
vont perdre par un laxisme du quinquennat de F.HOLLANDE en matière de justice
avec le passé d’une ex garde des sceaux d’une médiocrité déplorable qui a
démolit notre justice et une ministre de l’éducation nationale jeunette gravure
de mode qui a succédé à un autre ministre de l’éducation qui a tenu que 4 mois
et 23 jours et en plus candidat utopique comme président de la république !
Tout cela
après le changement de 1er ministre après la défection de F.HOLLANDE
pleutre président et de la candidature de M.VALLS remplacé par B.CAZENEUVE
surement meilleur ministre de l’intérieur qu’il n’est 1er ministre
de passage tout comme le nouveau ministre de l’intérieur qui ne sert pas à grand-chose
du fait en plus d’un président que personne n’écoute plus logiquement !
Tout cela
faisant un gouvernement de transition qui gère mal le pays en attente d’un
nouveau gouvernement et surtout d’un nouveau président issu d’une campagne
électorale déplorable avec des politiciens connus médiocres !
Alors le pays
va « à vau l’eau » jusqu’à
après l’élection présidentielle et les trublions d’une jeunesse non encadrée en
profitent comme certains jeunes adultes casseurs violents qui s’en donnent
libre cours !
Il ne faut pas
s’étonner, si la France va mal et espérer que les français votent mieux que d’habitude,
cela changerait, mais sans garantie étant donné leur
versatilité, car reprendre les mêmes quel que soit leurs bords n’est pas une
réussite avérée loin de là !
Jdeclef 08/03/2017 15h44
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