dimanche 17 janvier 2021

En fait tous ces manifestants se fichent totalement du Covid 19 et ses 70142 victimes comme ceux qui font la fête à plus de 10 personnes dans des lieux privés par exemple !

 

Loi « sécurité globale » : plusieurs manifestations partout en France

Plusieurs rassemblements sont prévus ce samedi pour protester contre la proposition de loi « sécurité globale » et « pour la défense des libertés ».

Les opposants à la proposition de loi « sécurité globale » ne baissent pas les bras. Plusieurs manifestations sont tenues à Paris et dans plusieurs villes de France, samedi 16 janvier, pour protester contre ce projet de loi, qui pénalise notamment la diffusion malveillante d'images de policiers. Les manifestations ont rassemblé 34 000 personnes en France selon la police et 200 000 selon les organisateurs, ont indiqué à l'Agence France-Presse le ministère de l'Intérieur et le syndicat SNJ-CGT. Le ministère a fait par ailleurs état de 24 interpellations à Paris, tandis que la préfecture du Rhône en a annoncé sept à Lyon, et celle de Loire-Atlantique trois à Nantes.

Au total, près de 80 rassemblements « pour le droit à l'information, contre les violences policières, pour la liberté de manifester et contre la surveillance de masse » ont été organisés sur l'ensemble du territoire. Dans le nord du pays, les protestataires ont été confrontés à une météo hostile, avec 32 départements placés en vigilance météo pour la neige et le verglas.

Les forces de l'ordre sont intervenues pour empêcher « la tenue d'une rave party à proximité de la manifestation » à Paris, a écrit le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur Twitter. Selon la préfecture de police, des organisateurs ont été verbalisés et se sont vu confisquer du matériel sono. Dans plusieurs villes, les « teufeurs » de la mouvance des « free parties » ont en effet décidé de rejoindre le mouvement « pour le droit à la culture » et contre la « répression disproportionnée » lancée après la rave de Lieuron (Ille-et-Vilaine) qui a réuni 2 400 personnes au Nouvel An.

La proposition examinée par le Sénat en mars

Ces « marches des libertés » se déroulaient à l'appel de la coordination d'associations et syndicats mobilisés contre ce texte, qui restreint notamment la diffusion d'images des forces de l'ordre. À la mi-journée, des images postées sur les réseaux sociaux témoignaient de rassemblements, parfois très limités, dans différentes villes comme Bayonne, Laval, Blois, Brive, Besançon ou encore Clermont-Ferrand. À Paris, la manifestation a débuté à 14 heures de la place Daumesnil pour rejoindre celle de la Bastille.

Malgré « une mobilisation sans précédent pour la défense des libertés, le gouvernement (nous) a opposé une fin de non-recevoir », regrette, dans son appel à manifester, la coordination. Celle-ci regroupe des associations comme La Ligue des droits de l'homme et Amnesty, ainsi que de nombreux syndicats et associations, de journalistes et réalisateurs. La proposition de loi, déjà votée en première lecture à l'Assemblée nationale, doit être examinée au mois de mars, au Sénat.

Loi sécurité globale : « On a fait trop de politique et pas assez de droit »

« Les enjeux sont […] majeurs. Ils touchent au respect même de l'état de droit » et du contrôle des autorités « par les citoyens, le Parlement, la justice et la presse », soulignent les associations, qui ajoutent que « les mesures de surveillance de la population doivent, elles, demeurer l'exception ». Elles exigent toujours le retrait de plusieurs dispositions, à commencer par l'article 24, qui pénalise la diffusion malveillante d'images de membres des forces de l'ordre.

Une proposition de loi vivement critiquée en France et à l'étranger

Le collectif, qui demande à être reçu par Emmanuel Macron, cible également les articles 21 et 22 sur l'usage des caméras piétons et des drones par les forces de l'ordre, et du « nouveau schéma national du maintien de l'ordre » (SNMO), régulièrement invoqué par les forces de l'ordre pour limiter la couverture médiatique des manifestations. « C'est la reprise du combat », selon Gérald Le Corre, un des responsables de la CGT en Seine-Maritime, qui déclare sentir venir un « vent de colère » avec l'extension du couvre-feu à 18 heures.

La proposition de loi « sécurité globale » a été vivement critiquée en France par la Défenseure des droits et la Commission nationale consultative des droits de l'homme, et à l'étranger par des rapporteurs spéciaux des Nations unies et la commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe. La mobilisation contre le projet de loi, lancé le 17 novembre 2020, a donné lieu à plusieurs journées de manifestations, souvent rejointes par des Gilets jaunes. La plus importante, le 28 novembre, a rassemblé 500 000 personnes dans le pays selon la coordination et 133 000 selon le gouvernement. Plusieurs d'entre elles, à Paris notamment, ont été ponctuées de heurts avec les forces de l'ordre.

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L’égoïsme et l’indiscipline de certains français encore nombreux est flagrant !

Il faut afficher en lettres lumineuses géantes partout chaque jour le nombre de décès pour faire comprendre que tous les français risquent d'être contaminés !

D’ailleurs ce sera les mêmes, si on bascule dans un confinement total, si les contaminations ne baissent pas qui protesterons !

De toute façon notre état régalien ne fera rien pour empêcher ce type de manifestations contre des libertés déjà mal encadrées, car ce serait encore de mettre de l’huile sur le feu de certains français qui ont pourtant beaucoup de libertés bien plus que dans certains pays démocratures connues !

Nous sommes dans un pays ou une fraction de citoyens sont incurables râleurs qui passent leur temps à demander le changement à condition que cela ne les dérange pas leurs habitudes de transgresser les lois ou règlements dans toutes bonnes sociétés démocratiques !

Ce qui est désolant, c’est que même dans des situations exceptionnelles comme cette pandémie ont les voient toujours protester pour tout et n’importe quoi, bien qu’il y ait mieux à faire, donc ils doivent être trop gâtés et mériteraient bien quelques coups de pieds aux c..s qui se perdent !

Je ne suis pas le dernier à fustiger notre gouvernement et ses dirigeants, mais là, cela suffit, surtout que cela ne sert à rien, car la loi a été voté au parlement par des élus que nous avons élus !?

Jdeclef 17/01/2021 13h14


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