Vallancien
– Covid : l’info défigurée !
CHRONIQUE.
Dans cette campagne anti-Covid, les médias ont perdu leur âme. Atteints par le
virus du sensationnalisme, ils répandent la panique.
La
grande foire aux vaccins est ouverte et l'on s'y précipite malgré des sondages
qui ciblaient plutôt la méfiance des Français. Tant mieux si une majorité
d'entre eux accepte de se faire piquer l'épaule, car la vaccination avant
d'être un acte médical est une démarche citoyenne de protection de soi-même et,
à terme, des autres. Dans les deux cas, le bénéfice est au rendez-vous. Les
discours qui circulent sur les réseaux postés par les antivax sont non seulement affligeants
d'erreurs et de bêtise, mais ils s'avèrent surtout toxiques, mettant en cause
sans aucune preuve la qualité et la sécurité des produits injectés qui sont
soumis à des contrôles draconiens. Comment ne pas applaudir au succès de
la recherche sur le virus ? Jamais dans ma vie de médecin je n'ai observé
une telle rapidité de mise à disposition d'un produit pharmaceutique. Les Big Pharma qui
s'en mettraient plein les poches sur le dos des malades sont en fait des Great Pharma travaillant
avec des start-up innovantes, des laboratoires et instituts de recherches
publics et académiques reconnus. Les uns découvrent, les autres développent, et
vite, très vite, même si les doses n'arrivent pas par centaines de millions en
trois jours, comment serait-ce possible ? L'industrie pharmaceutique en
pleine mutation accélère sa production comme elle ne l'a jamais fait
auparavant. La soupçonner de tous les vices, alors que les Français sont les
champions du monde dans la consommation des médicaments, est proprement
scandaleux.
Vaccins
anti-Covid : le contrat avec le labo CureVac en partie dévoilé
Si les réseaux sociaux jouent un rôle néfaste dans la
désinformation laissant diffuser n'importe quel ragot, les médias télévisés en
boucle sont devenus pour certains d'entre eux une caricature d'une
médiocrité et d'une vulgarité qui frise d'indigence intellectuelle pour ne pas
parler d'arnaque. Ces chaînes n'informent plus, elles surfent sur la panique
ambiante, ajoutant leur grain de sel d'inquiétude aux difficultés actuelles. Le
pire est qu'elles trouvent un public avide de sensations fortes. Alors tout est
bon pour maintenir la pression. On ne sait pas quand…, faudra sans doute que…,
on ne sait pas si…, mais peut-être que…
Brasserie du Commerce
Le doute et le drame font gagner des parts de marché à l'Audimat.
Est-ce l'objectif d'une chaîne d'info ? La réponse est non, à moins d'y
laisser son âme, ce qui semble se produire jour après jour sous nos yeux. Faire
durer le suspense, monter le niveau d'angoisse, déstabiliser le public pour le
conserver le plus longtemps possible, la recette est malheureusement trop bien
connue. Tactique dangereuse sous des airs bonasses de copains qui se racontent
des histoires en buvant un coup. Certains présentateurs se croient à la
brasserie du Commerce, à l'angle de la rue. Les voilà qui donnent leur
avis sur tout, devenus experts en rien ; on les surprend à appeler les
intervenants par leurs prénoms. On se tutoie comme si on était accoudés au zinc
en se racontant les potins du jour, entre soi, tout en éclusant un petit
blanc. Une présentatrice vous fusille du regard de ses yeux noirs, comme
une serveuse sans pourboire, parce que vous n'êtes pas assez stressant, ne
voulant pas répondre à sa question stupide. Les experts défilent, virologues,
réanimateurs, infectiologues, épidémiologistes, politiques. Chacun y va de son
discours. Inquiétant, dubitatif ou rassurant. La plupart se contredisent en
donnant leur opinion personnelle sans pousser plus loin une analyse
scientifique qui fait défaut, car toujours en retard d'un journal, d'une
émission. Voilà la mauvaise sauce qui aggrave la peur du quidam branché sur la
chaîne dans l'attente de l'apocalypse. Les bandeaux des titres défilent en
forme de drames absolus parce qu'il faut faire peur, entretenir la panique,
montrant en continu les visages des intervenants devant le mur de leur salon ou
de leur bibliothèque, écouteurs aux oreilles. Rechercher le plus petit
accro pour en faire une montagne d'horreur. Perversion d'un système qui ne peut
vivre que du sang et des larmes pour engranger des contrats publicitaires.
Coronavirus :
« On en vient à valoriser la panique »
Guerre
Mener la guerre contre ce mal invisible et mouvant de la pandémie
est extrêmement compliqué pour ne pas en rajouter dans la crainte et
l'angoisse. Les rédactions de certaines chaînes en continu devraient cesser ce
cinéma peu glorieux d'une attractivité malsaine dont se repaît un public
ignare. Il serait plus utile de revenir sur les épidémies passées et sur leur
mortalité effroyable afin de relativiser nos malheurs. Il serait judicieux de
préparer la riposte à d'autres attaques virales ou bactériennes dans les années
à venir dont nous sommes en grande partie à l'origine en maltraitant la
planète. Un peu d'humilité et de professionnalisme dans les rédactions ferait
du bien à tout le monde. Former et informer réclame un haut niveau de
considérations éthiques qui s'estompent, emportées dans le tourbillon d'un
sensationnalisme pervers. Voilà qui ne nous grandit pas.
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De la part de notre gouvernement et de ses ministres
et dirigeants !
Car eux sont perdus et dépassés n'ayant pas de
solutions avérées, car ne reposant que sur des hypothèses diverses, qui préfèrent
cela, plutôt que de dire du bout des lèvres qu’ils ont fait des erreurs ou se
sont trompés !
Le président en faisant sa colère inappropriée étant
vexé dans son amour propre mal placé se rendant compte de l’impuissance de son
gouvernement a admis que l’on puisse faire des erreurs, mais pour autant n’aurait
pas dû rejeter celles-ci sur les français qui subissent ces malheurs dans leur
vies quotidiennes et proteste !
Car la carence sur la vaccination insuffisante de la population
est la goutte qui a fait déborder le vase du mécontentement surtout après les annonces
utopiques de Mr VERAN ministre de la santé et les défilés continuels de nos
scientifiques qui n’arrivent pas à donner des réponses ou mêmes explications
rationnelles sur cette pandémie avec un espoir d’en arriver à bout !
On serait tenté de leurs dire, taisez vous tous, et ne
reparlez que quand vous aurez des nouvelles fiables, car pour l’instant, ils
sapent le moral de nos concitoyens, c’est tout, car à quoi, servent-ils !?
Jdeclef 23/01/2021 09h24
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