Coignard –
Bompard et Quatennens : le binôme toxique de LFI
Les deux
chouchous de Mélenchon mettent à l’épreuve, chacun à sa manière, les nerfs
de leur mouvement et l’avenir de la Nupes sale temps en coulisses
Ces partis représentent ce qu’est devenue la classe
politique française si médiocre qu’elle est un boulet pour les Français à
trainer tout comme leurs dirigeants issus de celle-ci depuis + de 40 ans !?
Le moral n'était pas au beau fixe à LFI depuis la rentrée, mais les
deux derniers jours tournent au mauvais feuilleton. Avec dans les rôles
principaux, pour venir gâter un peu plus l'ambiance, les deux « fils
préférés » de Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard et Adrien Quatennens.
Le premier a été hissé à la place du second comme patron du mouvement.
Enfin, il a apporté lui-même une nuance à cette présentation. Officiellement,
celui qui a hérité de la circonscription de Jean-Luc Mélenchon à Marseille se
présente comme simple « membre de la coordination des espaces ». À
LFI, tout est stupéfiant, y compris le vocabulaire !
Coignard – L'affaire Quatennens, boulet de LFI
Cette modestie affichée ne trompe personne. Mais c'est surtout le mode de
désignation de la nouvelle équipe dirigeante qui laisse pantois. Alors que deux
autres partis, LR et EELV, votaient le week-end dernier pour choisir leur
numéro un, Manuel Bompard n'a pas été élu. Non, il a été désigné par un petit
noyau de cadres et de militants conviés à une réunion tenue plus ou moins
secrète, avec vingt autres membres de la « coordination ». De cette
sorte de « bureau politique », où se prennent les décisions
importantes, sont exclues toutes les têtes qui dépassent : François
Ruffin, mais aussi ses collègues députés Raquel Garrido, Alexis Corbière, Éric
Coquerel et Clémentine Autain. Celle-ci n'a pas tardé à dénoncer, en
une de Libération, une méthode qui « fait taire toute
critique ». Bref, une purge.
Manuel Bompard, lui, déroule tranquillement des éléments de langage presque
comiques pour justifier sa promotion : « Nous avons des formes de
désignation de nos équipes de direction qui ne sont pas les mêmes que les
autres, ça ne veut pas dire qu'elles sont moins collectives ou moins
démocratiques. » La démocratie sans le vote : un concept qui
fait froid dans le dos !
Propos insensés
Le chemin de croix s'est poursuivi ce mardi, avec la condamnation d'Adrien
Quatennens à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Le
prédécesseur de Manuel Bompard était, depuis l'aveu d'une gifle à son épouse,
« en retrait » de l'Assemblée nationale. D'abord en congé maladie,
puis toujours invisible en commission comme dans l'hémicycle…
Affaire Quatennens, corrida : la Nupes tangue
Le groupe LFI attendait que la justice passe pour décider de son sort,
tandis que Jean-Luc Mélenchon et Manuel Bompard s'activaient pour préparer sa
réintégration. Las ! La sentence, plus lourde que prévu, place son
groupe LFI dans un embarras dont témoigne le communiqué alambiqué publié
ce mardi, qui invoque à la fois un « principe féministe » et la
« gradation des sanctions » pour prononcer la « radiation
temporaire » de l'intéressé puis sa réintégration en avril prochain
moyennant un « stage de responsabilisation sur les violences faites aux
femmes ».
Victimisation à outrance
Affaire terminée ? Pas du tout. Car les autres composantes de la Nupes ne
l'entendent pas ainsi. Du PS aux communistes en passant par les Verts, des voix
réclament en termes plus ou moins véhéments sa démission. Démission, pas
question, rétorque Adrien Quatennens, qui prend la parole dans La Voix du
Nord en des termes insensés. Selon lui, ses électeurs
« témoignent leur impatience » de le voir retourner à
l'Assemblée nationale ; il a subi « un lynchage médiatique
inédit » – peut-être devrait-il revoir ses classiques pour se sentir moins
seul – ; et, morceau de bravoure, « selon des sources
concordantes », la fuite « a été directement orchestrée depuis le
ministère de l'Intérieur ». Bref, il se vit comme la victime d'une cabale
orchestrée par le pouvoir en place.
Manuel Bompard justifie la démocratie sans vote, Adrien Quatennens accuse –
sans preuve aucune – le pouvoir d'assassinat politique. Et c'est toute une
culture qui se révèle au grand jour.
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S'il n'y avait que ces deux-là pour être
toxique mais il y en a d'autres inutiles de les citer on les connait et en tête
de liste leur leader J.L.MELENCHON qui a mis en lice ces politiciens médiocres
et excités mal élevés comme leur patron tribun aboyeur de foire champion pour
semer le désordre commun à ce parti LFI dit d'extrême gauche qui ne savent que
dire non à tout et troubler les séances de questions à l'Assemblée Nationale
tout en ayant essayé de réunir cet agrégat de cette gauche moribonde en cette
NUPES comme l'est d'ailleurs les autres partis de droite dit classiques y
compris le RN de M.LE PEN en fin de course dont tous ont un point commun leur
inutilité de partis ringards que le Français n'aiment plus en fait !
Ce n'est que le crépuscule de cette V eme
république pseudo monarchique usée et obsolète et ces institutions qu'il
faudrait changer pour avoir les changements que réclament les Français sans les
obtenir depuis 40 ans préférant leur chacun pour soi individualiste qui ne
profite qu'à ces politiciens de tous bords si médiocres !
Jdeclef 15/12/2022 10h57
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Dans cet hebdo rétrograde de bien pensant hypocrites on ne peut dire ce que l'on pense car il ne respectent pas la liberté d'expression ni la vérité alors leurs modérateurs bornés qui censurent arbitrairement les commentaires qui ne vont pas dans le sens des opinions de leur rédaction qui devrait être neutre dans un pays libre comme la France et un media qui se veut être d'information c'est dommage car leur articles bien qu'orientés sont assez intéressant mais la censure stupide dégrade la qualité journalistique du POINT !
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