jeudi 15 décembre 2022

Puisque que ce parti agrégat d’élus nuls ont un droit : alors que l’on puisse les traiter de « baltringues » un langage populaire correspondant mieux à leur ligne de conduite lamentable !

 


Coignard – Bompard et Quatennens : le binôme toxique de LFI

Les deux chouchous de Mélenchon mettent à l’épreuve, chacun à sa manière, les nerfs de leur mouvement et l’avenir de la Nupes sale temps en coulisses

Ces partis représentent ce qu’est devenue la classe politique française si médiocre qu’elle est un boulet pour les Français à trainer tout comme leurs dirigeants issus de celle-ci depuis + de 40 ans !?

Le moral n'était pas au beau fixe à LFI depuis la rentrée, mais les deux derniers jours tournent au mauvais feuilleton. Avec dans les rôles principaux, pour venir gâter un peu plus l'ambiance, les deux « fils préférés » de Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard et Adrien Quatennens.

Le premier a été hissé à la place du second comme patron du mouvement. Enfin, il a apporté lui-même une nuance à cette présentation. Officiellement, celui qui a hérité de la circonscription de Jean-Luc Mélenchon à Marseille se présente comme simple « membre de la coordination des espaces ». À LFI, tout est stupéfiant, y compris le vocabulaire !

Coignard – L'affaire Quatennens, boulet de LFI

Cette modestie affichée ne trompe personne. Mais c'est surtout le mode de désignation de la nouvelle équipe dirigeante qui laisse pantois. Alors que deux autres partis, LR et EELV, votaient le week-end dernier pour choisir leur numéro un, Manuel Bompard n'a pas été élu. Non, il a été désigné par un petit noyau de cadres et de militants conviés à une réunion tenue plus ou moins secrète, avec vingt autres membres de la « coordination ». De cette sorte de « bureau politique », où se prennent les décisions importantes, sont exclues toutes les têtes qui dépassent : François Ruffin, mais aussi ses collègues députés Raquel Garrido, Alexis Corbière, Éric Coquerel et Clémentine Autain. Celle-ci n'a pas tardé à dénoncer, en une de Libération, une méthode qui « fait taire toute critique ». Bref, une purge.

Manuel Bompard, lui, déroule tranquillement des éléments de langage presque comiques pour justifier sa promotion : « Nous avons des formes de désignation de nos équipes de direction qui ne sont pas les mêmes que les autres, ça ne veut pas dire qu'elles sont moins collectives ou moins démocratiques. » La démocratie sans le vote : un concept qui fait froid dans le dos !

Propos insensés

Le chemin de croix s'est poursuivi ce mardi, avec la condamnation d'Adrien Quatennens à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Le prédécesseur de Manuel Bompard était, depuis l'aveu d'une gifle à son épouse, « en retrait » de l'Assemblée nationale. D'abord en congé maladie, puis toujours invisible en commission comme dans l'hémicycle…

Affaire Quatennens, corrida : la Nupes tangue

Le groupe LFI attendait que la justice passe pour décider de son sort, tandis que Jean-Luc Mélenchon et Manuel Bompard s'activaient pour préparer sa réintégration. Las ! La sentence, plus lourde que prévu, place son groupe LFI dans un embarras dont témoigne le communiqué alambiqué publié ce mardi, qui invoque à la fois un « principe féministe » et la « gradation des sanctions » pour prononcer la « radiation temporaire » de l'intéressé puis sa réintégration en avril prochain moyennant un « stage de responsabilisation sur les violences faites aux femmes ».

Victimisation à outrance

Affaire terminée ? Pas du tout. Car les autres composantes de la Nupes ne l'entendent pas ainsi. Du PS aux communistes en passant par les Verts, des voix réclament en termes plus ou moins véhéments sa démission. Démission, pas question, rétorque Adrien Quatennens, qui prend la parole dans La Voix du Nord en des termes insensés. Selon lui, ses électeurs « témoignent leur impatience » de le voir retourner à l'Assemblée nationale ; il a subi « un lynchage médiatique inédit » – peut-être devrait-il revoir ses classiques pour se sentir moins seul – ; et, morceau de bravoure, « selon des sources concordantes », la fuite « a été directement orchestrée depuis le ministère de l'Intérieur ». Bref, il se vit comme la victime d'une cabale orchestrée par le pouvoir en place.

Manuel Bompard justifie la démocratie sans vote, Adrien Quatennens accuse – sans preuve aucune – le pouvoir d'assassinat politique. Et c'est toute une culture qui se révèle au grand jour.

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S'il n'y avait que ces deux-là pour être toxique mais il y en a d'autres inutiles de les citer on les connait et en tête de liste leur leader J.L.MELENCHON qui a mis en lice ces politiciens médiocres et excités mal élevés comme leur patron tribun aboyeur de foire champion pour semer le désordre commun à ce parti LFI dit d'extrême gauche qui ne savent que dire non à tout et troubler les séances de questions à l'Assemblée Nationale tout en ayant essayé de réunir cet agrégat de cette gauche moribonde en cette NUPES comme l'est d'ailleurs les autres partis de droite dit classiques y compris le RN de M.LE PEN en fin de course dont tous ont un point commun leur inutilité de partis ringards que le Français n'aiment plus en fait !

Ce n'est que le crépuscule de cette V eme république pseudo monarchique usée et obsolète et ces institutions qu'il faudrait changer pour avoir les changements que réclament les Français sans les obtenir depuis 40 ans préférant leur chacun pour soi individualiste qui ne profite qu'à ces politiciens de tous bords si médiocres !

Jdeclef 15/12/2022 10h57

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1 commentaire:

  1. Dans cet hebdo rétrograde de bien pensant hypocrites on ne peut dire ce que l'on pense car il ne respectent pas la liberté d'expression ni la vérité alors leurs modérateurs bornés qui censurent arbitrairement les commentaires qui ne vont pas dans le sens des opinions de leur rédaction qui devrait être neutre dans un pays libre comme la France et un media qui se veut être d'information c'est dommage car leur articles bien qu'orientés sont assez intéressant mais la censure stupide dégrade la qualité journalistique du POINT !

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