FOG –
C’est notre lâcheté qui pousse au crime Poutine et Erdogan !?
ÉDITO.
Pourquoi la faiblesse congénitale de l’Europe en matière de défense et ses
atermoiements encouragent les visées guerrières de Poutine et Erdogan.
ON N’A PAS BESOIN DE DENAZIFICATION ON LES A
REMPLACE PAR LA POUTONOPHILIE ET LE NEOMUSULMAN ERDOGANIEN EN SEULEMENT 30 ANS !
Flagada : « très faible, sans force », selon
la définition du Larousse. Voilà un mot qui convient pour définir la psyché
actuelle de Macron et de ceux qui nous gouvernent. Pour un peu, ils feraient
pitié, comme la plupart des dirigeants européens aujourd'hui. Ils ne sont pas à
la hauteur.
L'agression russe contre l'Ukraine n'a pas provoqué de
sursaut. À part Macron un moment, personne ne parle ainsi de défense
européenne , notre continent préférant s'en remettre totalement à l'Otan,
c'est-à-dire aux États-Unis, ce qui le relègue au rang de lointaine province
américaine.
Portons Biden à la présidence de l'Union européenne,
pendant qu'on y est, ce serait plus clair ! Si l'Amérique ne s'était
pas mêlée de l'affaire ukrainienne, l'Europe, désarmée moralement et
militairement, se serait couchée devant Poutine, et l'Ukraine aurait été
condamnée à une impitoyable russification. Telle est l'odieuse vérité. Mis à
part la Grande-Bretagne et la Pologne, la poutinophilie d'une partie des «
élites » européennes nourrit la résignation du Vieux Monde, celle des troupeaux
de moutons qui vont à l'abattoir.
Merkel, Mélenchon, Le Pen, Orban, Schröder, Royal,
Salvini, même combat ! Subventionné ou pas, le collaborationnisme
fait florès. Ce n'est pas lui qui amènera Poutine à la table des négociations.
Au contraire, c'est notre lâcheté qui lui donne du courage. Mais, si les temps
sont durs, ces jours-ci, pour nous autres Européens, ils ne le sont pas moins
pour les tyrans qui s'accrochent à leur pouvoir comme des moules à leur pieu.
Après Poutine, voici qu'entre en scène Erdogan, le néosultan ottoman.
Ce qui a poussé Poutine à attaquer l'Ukraine, ce
ne sont pas, bien sûr, ses fables débiles sur la nature démoniaque de l'ancien
et florissant État de Kiev qui nécessiterait une « dénazification »
urgente. Ce sont notre faiblesse pathologique et la pulsion de mort d'un
dictateur qui, à son couchant, a besoin, dans un processus de fuite en avant,
d'entreprendre des opérations militaires pour ressouder son peuple autour de la
conquête d'un nouvel « espace vital », cette obsession nazie.
Après plus de vingt ans de règne, le bilan de Poutine
est désastreux. Pas pour ses finances personnelles : grâce aux
oligarques qu'il ponctionne, comme dans tout système mafieux, il est peut-être
l'homme le plus riche de la planète. Mais, malgré ses abondantes ressources
naturelles, son pauvre pays figure au 65 e rang du classement
international des PIB par habitant, en valeur nominale, à peu près dix fois
moins que l'Irlande ou la Suisse, sept fois moins que les États-Unis, quatre
fois moins que la France (1).
« Le nationalisme, c'est la guerre », disait
Mitterrand. Même s'il semble au bout de sa vie, le visage gonflé
à l'hélium, à la cortisone ou au botox, Poutine a cru qu'en jouant sur la fibre
nationaliste il pourrait encore tenir. C'est le même pari que fait Erdogan,
dont le bilan est pareillement catastrophique. Dans le même classement, la
Turquie figure au 73e rang. Après avoir connu une forte croissance
au début de ce siècle, grâce à une politique de libéralisation, son économie
est partie en sucette avec une inflation qui atteint désormais des niveaux
délirants : 85 %, selon les chiffres officiels, mais beaucoup plus, à en croire
les organismes indépendants.
Erdogan cherche une guerre. Pour espérer
avoir une chance d'être réélu à l'élection présidentielle de juin 2023 qui
s'annonce très mal, même s'il la truque, il est prêt à embraser sa région afin
de brandir devant son peuple, le jour venu, de nouveaux trophées territoriaux.
En guise de préambule, il vient de lancer des raids aériens très violents
contre les Kurdes du Rojava, en Syrie, et ceux du nord de l'Irak. Pour ce
faire, il a pris prétexte d'un attentat meurtrier à Istanbul qui tombait à pic
et qu'il a attribué au mouvement kurde PKK, lequel, redoutant une attaque
turque imminente, n'était évidemment pas assez bête pour lui apporter un mobile
sur un plateau. Mais plus c'est gros, mieux ça passe. Avec Erdogan, c'est
l'incendie du Reichstag tous les jours.
Affligeantes auront été les réactions occidentales à
ces raids. Tandis que les États-Unis, renvoyant les Turcs et les
Kurdes dos à dos, osaient réclamer une « désescalade », la France, par
la voix de Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, appelait la
Turquie à la « retenue ». Passons sur l'Allemagne, tout aussi minable.
Quand on sait que l'Arménie et la Grèce sont les prochaines cibles d'Erdogan,
il est criminel, si les mots ont un sens, de laisser tomber les Kurdes, nos
meilleurs alliés, qui ont vaincu l'État islamique. Si l'on veut travailler pour
la paix, qu'on en finisse avec ces concours abjects de chiffes molles !
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Comme tout autocrates et dictateurs il a peur
des autres qui sont rebelles quelque fois dans nos pays encore libres et démocratiques
surtout en plus pour Poutine quand c'est un pays frère de par leur histoire
ancienne russophone à sa frontière alors il essaie de l'éliminer mais il ne
croyait pas à la résistance de ces Ukrainiens qui veulent une liberté
équivalente à celles de l'EUROPE UNIE OCCIDENTALE qui a comme allié en plus les USA et son
bouclier nucléaire OTAN son ennemi héréditaire depuis la fin de la guerre
froide de 1989 et la chute de l'URSS induite avec ses républiques soviétiques
perdues dont l'UKRAINE qui revendique sa liberté et les pays occidentaux comme
la FRANCE et l'ANGLETERRE qui possèdent aussi la frappe nucléaire qui de fait protège
leurs frontières communes y compris celle de l'Ukraine !
Alors le maitre du KREMLIN utilise une autre
arme en plus des bombardements de missiles sur l'Ukraine qui est économique et
devient donc inflationniste avec les énergies gazières et pétrolières qu'il fournissait
à cette Europe et dont l'inflation induite se développe dans le monde entier
car son pays n'en manque pas et ses habitants sont habitués à plier l'échine
asservi depuis des siècles par le tsarisme et le communisme soviétique !
Nos dirigeants bienpensants donneurs de leçons
ne sont pas à la hauteur pour stopper voire éliminer cet illuminé en quête d'un
empire perdu et le peuple Français ne souffre pas encore assez des restrictions
à venir très proches et pire en 2023 ne croyant pas à la guerre que personne ne
veut regarder en face de là à parler de lâcheté ou d'inconscience la différence
est faible car NOEL approchant avec la fête des enfants et cette coupe du monde
jeu du cirque moderne pour occuper les esprits des français lambda risque d'être
plus triste s'il y a des coupures de courant du jamais vu en FRANCE notre
gouvernement ne gouverne plus il subit car notre président est dépassé avec en
plus un rebond de crise sanitaire de cette COVID !?
Jdeclef 02/12/2022 16h28
Cette censure arbitraire des modérateurs bornés du POINT et de leur rédaction inféodée au pouvoir actuel est déjà une honte car ce n'est pas en faisant la politique de l'autruche macronienne que le pays se sortira de l'ornière qui devient une crevasse sans fond par l'incompétence avérée de nos dirigeants dépassés !
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