vendredi 2 décembre 2022

Pour la France le joyeux NOEL 2022 et bonne année 2023 s’annonce mal par l’inertie de nos dirigeants et gouvernements devenus des zombies d’un mauvais film pour nous faire peur !?

 

FOG – C’est notre lâcheté qui pousse au crime Poutine et Erdogan !?

ÉDITO. Pourquoi la faiblesse congénitale de l’Europe en matière de défense et ses atermoiements encouragent les visées guerrières de Poutine et Erdogan.

ON N’A PAS BESOIN DE DENAZIFICATION ON LES A REMPLACE PAR LA POUTONOPHILIE ET LE NEOMUSULMAN ERDOGANIEN EN SEULEMENT 30 ANS !

Flagada : « très faible, sans force », selon la définition du Larousse. Voilà un mot qui convient pour définir la psyché actuelle de Macron et de ceux qui nous gouvernent. Pour un peu, ils feraient pitié, comme la plupart des dirigeants européens aujourd'hui. Ils ne sont pas à la hauteur.

L'agression russe contre l'Ukraine n'a pas provoqué de sursaut. À part Macron un moment, personne ne parle ainsi de défense européenne , notre continent préférant s'en remettre totalement à l'Otan, c'est-à-dire aux États-Unis, ce qui le relègue au rang de lointaine province américaine.

Portons Biden à la présidence de l'Union européenne, pendant qu'on y est, ce serait plus clair ! Si l'Amérique ne s'était pas mêlée de l'affaire ukrainienne, l'Europe, désarmée moralement et militairement, se serait couchée devant Poutine, et l'Ukraine aurait été condamnée à une impitoyable russification. Telle est l'odieuse vérité. Mis à part la Grande-Bretagne et la Pologne, la poutinophilie d'une partie des « élites » européennes nourrit la résignation du Vieux Monde, celle des troupeaux de moutons qui vont à l'abattoir.

Merkel, Mélenchon, Le Pen, Orban, Schröder, Royal, Salvini, même combat ! Subventionné ou pas, le collaborationnisme fait florès. Ce n'est pas lui qui amènera Poutine à la table des négociations. Au contraire, c'est notre lâcheté qui lui donne du courage. Mais, si les temps sont durs, ces jours-ci, pour nous autres Européens, ils ne le sont pas moins pour les tyrans qui s'accrochent à leur pouvoir comme des moules à leur pieu. Après Poutine, voici qu'entre en scène Erdogan, le néosultan ottoman.

Ce qui a poussé Poutine à attaquer l'Ukraine, ce ne sont pas, bien sûr, ses fables débiles sur la nature démoniaque de l'ancien et florissant État de Kiev qui nécessiterait une « dénazification » urgente. Ce sont notre faiblesse pathologique et la pulsion de mort d'un dictateur qui, à son couchant, a besoin, dans un processus de fuite en avant, d'entreprendre des opérations militaires pour ressouder son peuple autour de la conquête d'un nouvel « espace vital », cette obsession nazie.

Après plus de vingt ans de règne, le bilan de Poutine est désastreux. Pas pour ses finances personnelles : grâce aux oligarques qu'il ponctionne, comme dans tout système mafieux, il est peut-être l'homme le plus riche de la planète. Mais, malgré ses abondantes ressources naturelles, son pauvre pays figure au 65 e rang du classement international des PIB par habitant, en valeur nominale, à peu près dix fois moins que l'Irlande ou la Suisse, sept fois moins que les États-Unis, quatre fois moins que la France (1).

« Le nationalisme, c'est la guerre », disait Mitterrand. Même s'il semble au bout de sa vie, le visage gonflé à l'hélium, à la cortisone ou au botox, Poutine a cru qu'en jouant sur la fibre nationaliste il pourrait encore tenir. C'est le même pari que fait Erdogan, dont le bilan est pareillement catastrophique. Dans le même classement, la Turquie figure au 73e rang. Après avoir connu une forte croissance au début de ce siècle, grâce à une politique de libéralisation, son économie est partie en sucette avec une inflation qui atteint désormais des niveaux délirants : 85 %, selon les chiffres officiels, mais beaucoup plus, à en croire les organismes indépendants.

Erdogan cherche une guerre. Pour espérer avoir une chance d'être réélu à l'élection présidentielle de juin 2023 qui s'annonce très mal, même s'il la truque, il est prêt à embraser sa région afin de brandir devant son peuple, le jour venu, de nouveaux trophées territoriaux. En guise de préambule, il vient de lancer des raids aériens très violents contre les Kurdes du Rojava, en Syrie, et ceux du nord de l'Irak. Pour ce faire, il a pris prétexte d'un attentat meurtrier à Istanbul qui tombait à pic et qu'il a attribué au mouvement kurde PKK, lequel, redoutant une attaque turque imminente, n'était évidemment pas assez bête pour lui apporter un mobile sur un plateau. Mais plus c'est gros, mieux ça passe. Avec Erdogan, c'est l'incendie du Reichstag tous les jours.

Affligeantes auront été les réactions occidentales à ces raids. Tandis que les États-Unis, renvoyant les Turcs et les Kurdes dos à dos, osaient réclamer une « désescalade », la France, par la voix de Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, appelait la Turquie à la « retenue ». Passons sur l'Allemagne, tout aussi minable. Quand on sait que l'Arménie et la Grèce sont les prochaines cibles d'Erdogan, il est criminel, si les mots ont un sens, de laisser tomber les Kurdes, nos meilleurs alliés, qui ont vaincu l'État islamique. Si l'on veut travailler pour la paix, qu'on en finisse avec ces concours abjects de chiffes molles !

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Comme tout autocrates et dictateurs il a peur des autres qui sont rebelles quelque fois dans nos pays encore libres et démocratiques surtout en plus pour Poutine quand c'est un pays frère de par leur histoire ancienne russophone à sa frontière alors il essaie de l'éliminer mais il ne croyait pas à la résistance de ces Ukrainiens qui veulent une liberté équivalente à celles de l'EUROPE UNIE OCCIDENTALE  qui a comme allié en plus les USA et son bouclier nucléaire OTAN son ennemi héréditaire depuis la fin de la guerre froide de 1989 et la chute de l'URSS induite avec ses républiques soviétiques perdues dont l'UKRAINE qui revendique sa liberté et les pays occidentaux comme la FRANCE et l'ANGLETERRE qui possèdent aussi la frappe nucléaire qui de fait protège leurs frontières communes y compris celle de l'Ukraine !

Alors le maitre du KREMLIN utilise une autre arme en plus des bombardements de missiles sur l'Ukraine qui est économique et devient donc inflationniste avec les énergies gazières et pétrolières qu'il fournissait à cette Europe et dont l'inflation induite se développe dans le monde entier car son pays n'en manque pas et ses habitants sont habitués à plier l'échine asservi depuis des siècles par le tsarisme et le communisme soviétique !

Nos dirigeants bienpensants donneurs de leçons ne sont pas à la hauteur pour stopper voire éliminer cet illuminé en quête d'un empire perdu et le peuple Français ne souffre pas encore assez des restrictions à venir très proches et pire en 2023 ne croyant pas à la guerre que personne ne veut regarder en face de là à parler de lâcheté ou d'inconscience la différence est faible car NOEL approchant avec la fête des enfants et cette coupe du monde jeu du cirque moderne pour occuper les esprits des français lambda risque d'être plus triste s'il y a des coupures de courant du jamais vu en FRANCE notre gouvernement ne gouverne plus il subit car notre président est dépassé avec en plus un rebond de crise sanitaire de cette COVID !?

Jdeclef 02/12/2022 16h28


1 commentaire:

  1. Cette censure arbitraire des modérateurs bornés du POINT et de leur rédaction inféodée au pouvoir actuel est déjà une honte car ce n'est pas en faisant la politique de l'autruche macronienne que le pays se sortira de l'ornière qui devient une crevasse sans fond par l'incompétence avérée de nos dirigeants dépassés !

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