mardi 27 décembre 2022

Les médecins ils manquaient dans l’addition des grévistes pathologiques car l’argent n’a pas d’odeur toute peine méritant salaires (corrects !)

 

Les médecins libéraux appelés à la grève à partir de lundi

Malgré la triple épidémie de Covid, de grippe et de bronchiolite, les médecins libéraux, qui réclament une hausse du tarif de la consultation, veulent faire grève.

QUAND ON EST UN MEDECIN ET QUE L’ON CHOISI SA VIE A SOIGNER LES GENS (MEME CEUX DE PEU) ON ACCEPTE LA DIFFICULTE DE CE METIER MAIS FAUT-IL QU’ILS SOIENT REMUNERES A SA JUSTE VALEUR (Ou alors accepter d’être fonctionnaires du service public comme dans d’autres métiers régaliens avec ne plus avoir le droit de faire grève !?)

Malgré l'appel des autorités sanitaires à « l'union sacrée », face à la pression hospitalière liée à la triple épidémie Covid-grippe-bronchiolite, les médecins libéraux sont de nouveau appelés à fermer leurs cabinets à partir de lundi, et ce, jusqu'au 2 janvier pour réclamer une hausse du tarif de la consultation et une amélioration de leurs conditions d'exercice, un mouvement qui s'annonce toutefois moins suivi que celui de début décembre.

Le collectif Médecins pour demain n'a pas renoncé après l'appel à « l'union sacrée ». Ce jeune collectif, créé à la fin de l'été, a signé un coup d'éclat les 1er et 2 décembre : son mot d'ordre de fermeture des cabinets médicaux a entraîné une baisse d'activité d'environ 30 % chez les généralistes, selon l'Assurance maladie.

Un « ultime cri d'alarme »

Une nouvelle grève était alors déjà annoncée entre Noël et le jour de l'an. L'appel a été maintenu depuis, avec le soutien de plusieurs syndicats (UFML, FMF, SML, Jeunes Médecins). « C'est l'ultime cri d'alarme des médecins libéraux devant l'effondrement du système de santé dans sa globalité », a déclaré Noëlle Cariclet lundi sur France Info. Porte-parole de Médecins pour demain, cette psychiatre francilienne a déploré que les praticiens soient « contraints de fermer leurs cabinets pour se faire entendre ».

Sa consœur Christelle Audigier, généraliste lyonnaise et fondatrice du collectif, prédit toutefois que la mobilisation « sera un peu moindre, mais malgré tout importante », tout en se projetant vers une manifestation nationale prévue à Paris le 5 janvier.

Kervasdoué – La santé après l'épidémieLa revendication centrale demeure le doublement du tarif de la consultation de base (de 25 à 50 euros) pour créer un « choc d'attractivité » vers une médecine de ville en manque criant d'effectifs, écrasée par les tâches administratives et qui n'attire plus les jeunes.

Les organisations de médecins s'inquiètent aussi pour leur liberté d'installation, remise en question par des propositions de loi sur les déserts médicaux, et redoutent que d'autres soignants puissent être autorisés à faire des prescriptions, notamment les infirmières en pratique avancée (IPA).

Des négociations en cours avec l'Assurance maladie

Cette grève tombe également en plein milieu de négociations avec l'Assurance maladie, en vue d'un accord pour les cinq prochaines années avec la profession. Certains en profitent pour faire monter les enchères, comme l'UFML qui a estimé lundi dans un communiqué que « l'investissement doit être à la hauteur du besoin », soit « de 6 à 10 milliards par an ».

Mais les principaux syndicats (MG France, CSMF, Avenir Spé) estiment que les discussions ouvertes cet automne ont produit des « avancées » et n'appellent pas à fermer les cabinets durant les fêtes. Le ministre de la Santé, François Braun, a salué leur « responsabilité », au vu de la « situation critique » des urgences hospitalières.

« Cela me semble une très mauvaise période pour ne pas répondre présent face aux besoins de soins de la population », a fait valoir la directrice générale de l'agence régionale de santé (ARS) Île-de-France, Amélie Verdier, qui comme les autres ARS pourra procéder à des réquisitions de grévistes pour assurer les gardes de nuit et du week-end.

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Pourquoi pas ? Mais même les médecins libéraux font partie du service au public déontologiquement et tenus par leur serment d’Hippocrate ?!)

La grève devient une maladie pandémique virale que l'on n'est plus capable de soigner et qui revient périodiquement ce n'est qu'une variante de nos systèmes de santé en pleine déconfiture mal gérée par des comptables en manches de lustrine datant du milieu du XX eme siècle à cause de l'argent qui pourri tout par notre sécurité sociale monceau de paperasserie kafkaïenne usine à gaz de fonctionnaires comme on les aiment tant alors que tous les domaines de santé concernant tous les Français devrait être un dû prioritaire car ils les paient sur leurs revenus par leurs cotisations à la sécurité sociale !?

Quant aux médecins et en plus dont on manque pourquoi ne feraient ils pas grève cela devient un sport national en France dans un état ou une majorité de Français sont mal payés malgré leurs qualifications et ou soi-disant les gouvernements ne peuvent pas agir ni indexer les salaires sur l'inflation qui perdure et les augmentations d'énergies et autres charges obligatoires vont aussi augmenter en 2023 !

Mais c'est aux Français qui votent encore dans un pays libre démocratique ayant réélu un président monarque de montrer en demandant ce dont ils ont besoin car c'est eux qui travaillent au quotidien pour que la France cesse de sombrer dans l'inaction de nos dirigeants incompétents comme on le constate depuis des décennies, quinquennats ou autres depuis 40 ans et peut être pas à un seul homme à qui ils ont donné trop de pouvoir qu'il utilise mal !?

Jdeclef 27/12/2022 16h36

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