Agression
d'une femme à Blois : le policier qui n'a pas pris la plainte a été suspendu… ?!
La
victime, aujourd'hui dans le coma, a été violemment agressée par son ancien
compagnon mardi dernier, quelques heures après s'être rendue au
commissariat.
IL FAUT ABSOLUMENT EMPLOYER DES POLICIERS FIABLES
FORMES POUR CE GENRES DE PROBLEMES DE VIOLENCE CONJUGALES FEMINICIDES OU INFANTICIDES
ASSOCIES A UNE JUSTICE PLUS RIGORISTE EN MATIERE DE SANCTIONS SEVERES ET
SANCTIONNER AUSSI LES AGENTS QUI NE FONT PAS LEUR TRAVAIL CORRECTEMENT VOIRE
LES RENVOYANT DE LA POLICE !?
Son agression a suscité une vive émotion à travers le pays. Le policier du commissariat
de Blois qui n'a pas pris la plainte de la femme agressée par son ancien
compagnon, le 13 décembre, fait l'objet d'une procédure de suspension
à titre conservatoire lancée par le directeur général de la Police nationale, a
appris l'Agence France-Presse, confirmant une information de BFMTV. La
jeune femme, qui est actuellement dans le coma, avait tenté de porter plainte
au commissariat de Blois pour violences et harcèlement contre son ex-compagnon.
Elle avait alors été invitée par la police à revenir le lendemain.
Selon nos confrères, le policier a été entendu par l'IGPN mardi dans le
cadre d'une enquête administrative ouverte après l'agression. La victime
souffre de « lésions hémorragiques cérébrales majeures », avait
précisé la procureure de la République de Blois Charlotte Beluet. Son ancien
compagnon, âgé de 27 ans, a été interpellé jeudi à Plaisir
(Yvelines). Il a été placé en détention provisoire dans le cadre d'une
information judiciaire pour tentative de meurtre.
Entre 150 et 200 personnes ont manifesté mardi 20 décembre
à Blois pour dénoncer le traitement par la police des violences faites aux
femmes, une semaine après la violente agression d'une jeune femme quelques
heures après avoir été invitée à se représenter plus tard au commissariat.
Féminicides : zizanie chez les féministes
« Dénoncer l'inaction de la police »
« Cela reflète notre société dans laquelle on ne fait pas notre travail
contre les violences faites aux femmes. [...] Ce qui est fondamental,
quand on reçoit une femme, c'est de savoir si elle est en sécurité.
[...] Malgré les lois qui sont faites, il n'y a pas de conscience
politique sur la gravité de ce qui est fait aux femmes », a estimé
Micheline Dupont, du collectif Droit des Femmes 41, à l'initiative du
rassemblement.
Violences conjugales : toujours plus de plaintes et de
signalements
L'accueil des femmes « n'est pas encore au point », « les
gens manquent de formation », a-t-elle regretté devant le commissariat.
Présente aussi, Even, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille, a pris la
parole pour le collectif des Collages féministes de Blois. « On est
présentes pour dénoncer l'inaction de la police », a indiqué la jeune
militante.
« Ces défaillances sont systémiques »
« Quand, à 17 h 30, on lui a dit de repasser le lendemain,
elle a précisé qu'elle avait peur et, malheureusement, on lui a dit que, comme
ce n'était pas la procédure, elle ne serait pas raccompagnée jusqu'à chez elle.
Et c'est en rentrant chez elle que c'est arrivé. [...] Ce n'est pas
possible que quelqu'un dénonce des violences, dénonce la peur de mourir, et ne
soit pas entendu », a-t-elle insisté.
Féminicides : l'impossible convergence des luttes
« Ces défaillances sont systémiques, ce n'est pas une personne en
particulier, ce n'est pas le commissariat de Blois. Il y a tout un système qui
est à revoir », a-t-elle estimé. L'IGPN a été saisie vendredi après la
violente agression de cette jeune femme de 24 ans, frappée par son
ancien compagnon quelques heures après s'être présentée sans avoir été reçue au
commissariat de Blois, selon la préfecture du Loir-et-Cher.
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En FRANCE il n'est pas si facile que çà pour
porter plainte ou autres faits de violence entre conjoint ou même simplement des
faits d'agressions violentes que ce soit contre des femmes ou autres car
certains policiers bottent en touche et quand ces plaintes ne se transforme pas
en main courantes suivi d'aucun d'effet !
Là c'est le cas typique de certains policiers
qui ne veulent pas s'embarrasser de paperasserie qu'ils jugent inutiles leur
faisant perdre leurs temps espérant que la victime se lassera et ne confirmera
pas son dépôt de plainte surtout quand il s'agit de violence conjugale !
Là pourtant cette femme était bien atteinte de
lésions importantes et tombée dans le coma après par suite de la récidive de
son compagnon !?
C'est une honte pour notre police et cet agent
devrait être jugé condamné et licencié au minimum pour nos assistance à
personne en danger et faute avérée dans l'exercice de son métier de policier
qui est là pour protéger les Français !
Notre police et justice n'est pas assez sévère
en matière d'agression dans le cadre familial et en plus concernant les femmes
et même les enfants aux prises avec des hommes irascibles devenant dangereux
sous l'emprise de la colère !
Surtout dans notre pays avec ces libertés mal
encadrées dans cette V eme république obsolète avec une justice laxiste et ses
dirigeants qui veulent toujours donner des leçons de bien pensant hypocrites !?
Décadence de notre société et de l'état
Français qui ne sait plus protéger ces citoyen(nes) dans leurs vies courantes !?
Jdeclef 22/12/2022 12h19
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