jeudi 22 décembre 2022

Là ce n’est pas NOEL pour tout le monde période soi-disant de trêve ou les violences allant jusqu’au crimes ne font qu’augmenter en matière conjugales sur femmes ou enfants mais aussi pour d’autres délits divers tout aussi dangereux dans notre pays ou tout le monde veut faire sa loi personnelle !?

 

Agression d'une femme à Blois : le policier qui n'a pas pris la plainte a été suspendu… ?!

La victime, aujourd'hui dans le coma, a été violemment agressée par son ancien compagnon mardi dernier, quelques heures après s'être rendue au commissariat.

IL FAUT ABSOLUMENT EMPLOYER DES POLICIERS FIABLES FORMES POUR CE GENRES DE PROBLEMES DE VIOLENCE CONJUGALES FEMINICIDES OU INFANTICIDES ASSOCIES A UNE JUSTICE PLUS RIGORISTE EN MATIERE DE SANCTIONS SEVERES ET SANCTIONNER AUSSI LES AGENTS QUI NE FONT PAS LEUR TRAVAIL CORRECTEMENT VOIRE LES RENVOYANT DE LA POLICE !?

Son agression a suscité une vive émotion à travers le pays. Le policier du commissariat de Blois qui n'a pas pris la plainte de la femme agressée par son ancien compagnon, le 13 décembre, fait l'objet d'une procédure de suspension à titre conservatoire lancée par le directeur général de la Police nationale, a appris l'Agence France-Presse, confirmant une information de BFMTV. La jeune femme, qui est actuellement dans le coma, avait tenté de porter plainte au commissariat de Blois pour violences et harcèlement contre son ex-compagnon. Elle avait alors été invitée par la police à revenir le lendemain.

Selon nos confrères, le policier a été entendu par l'IGPN mardi dans le cadre d'une enquête administrative ouverte après l'agression. La victime souffre de « lésions hémorragiques cérébrales majeures », avait précisé la procureure de la République de Blois Charlotte Beluet. Son ancien compagnon, âgé de 27 ans, a été interpellé jeudi à Plaisir (Yvelines). Il a été placé en détention provisoire dans le cadre d'une information judiciaire pour tentative de meurtre.

Entre 150 et 200 personnes ont manifesté mardi 20 décembre à Blois pour dénoncer le traitement par la police des violences faites aux femmes, une semaine après la violente agression d'une jeune femme quelques heures après avoir été invitée à se représenter plus tard au commissariat.

Féminicides : zizanie chez les féministes

« Dénoncer l'inaction de la police »

« Cela reflète notre société dans laquelle on ne fait pas notre travail contre les violences faites aux femmes. [...] Ce qui est fondamental, quand on reçoit une femme, c'est de savoir si elle est en sécurité. [...] Malgré les lois qui sont faites, il n'y a pas de conscience politique sur la gravité de ce qui est fait aux femmes », a estimé Micheline Dupont, du collectif Droit des Femmes 41, à l'initiative du rassemblement.

Violences conjugales : toujours plus de plaintes et de signalements

L'accueil des femmes « n'est pas encore au point », « les gens manquent de formation », a-t-elle regretté devant le commissariat. Présente aussi, Even, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille, a pris la parole pour le collectif des Collages féministes de Blois. « On est présentes pour dénoncer l'inaction de la police », a indiqué la jeune militante.

« Ces défaillances sont systémiques »

« Quand, à 17 h 30, on lui a dit de repasser le lendemain, elle a précisé qu'elle avait peur et, malheureusement, on lui a dit que, comme ce n'était pas la procédure, elle ne serait pas raccompagnée jusqu'à chez elle. Et c'est en rentrant chez elle que c'est arrivé. [...] Ce n'est pas possible que quelqu'un dénonce des violences, dénonce la peur de mourir, et ne soit pas entendu », a-t-elle insisté.

Féminicides : l'impossible convergence des luttes

« Ces défaillances sont systémiques, ce n'est pas une personne en particulier, ce n'est pas le commissariat de Blois. Il y a tout un système qui est à revoir », a-t-elle estimé. L'IGPN a été saisie vendredi après la violente agression de cette jeune femme de 24 ans, frappée par son ancien compagnon quelques heures après s'être présentée sans avoir été reçue au commissariat de Blois, selon la préfecture du Loir-et-Cher.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

En FRANCE il n'est pas si facile que çà pour porter plainte ou autres faits de violence entre conjoint ou même simplement des faits d'agressions violentes que ce soit contre des femmes ou autres car certains policiers bottent en touche et quand ces plaintes ne se transforme pas en main courantes suivi d'aucun d'effet !

Là c'est le cas typique de certains policiers qui ne veulent pas s'embarrasser de paperasserie qu'ils jugent inutiles leur faisant perdre leurs temps espérant que la victime se lassera et ne confirmera pas son dépôt de plainte surtout quand il s'agit de violence conjugale !

Là pourtant cette femme était bien atteinte de lésions importantes et tombée dans le coma après par suite de la récidive de son compagnon !?

C'est une honte pour notre police et cet agent devrait être jugé condamné et licencié au minimum pour nos assistance à personne en danger et faute avérée dans l'exercice de son métier de policier qui est là pour protéger les Français !

Notre police et justice n'est pas assez sévère en matière d'agression dans le cadre familial et en plus concernant les femmes et même les enfants aux prises avec des hommes irascibles devenant dangereux sous l'emprise de la colère !

Surtout dans notre pays avec ces libertés mal encadrées dans cette V eme république obsolète avec une justice laxiste et ses dirigeants qui veulent toujours donner des leçons de bien pensant hypocrites !?

Décadence de notre société et de l'état Français qui ne sait plus protéger ces citoyen(nes) dans leurs vies courantes !?

Jdeclef 22/12/2022 12h19

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire