Notre président ne sait pas quoi faire et imposer ce qu’il veut faire (mais le sait-il ?) « Car il est dégonflé comme une baudruche crevée dont il n’a pas les rustines » Pauvre France et ses Français aussi indécis que leur patron !?

 

Michel Richard : Macron et l’immigration, de l’audace, SVP !?

MAUVAIS ESPRIT. La loi immigration mérite mieux que demi-mesures, chantages et marchandages de tous bords. Macron devrait jouer gros, prendre ses risques.

PRENDRE DES RISQUES CE SERAIT ETONNANT CAR LE PRESIDENT IL NE SAIT PAS COMMENT FAIRE ET POURTANT IL A TOUS LES POUVOIRS MAIS PAS LE COURAGE QUI VA AVEC !?

Pressé fortement sur ma droite, mon centre cède, impossible de me mouvoir… » Ce descriptif du général Foch lors de la première bataille de la Marne en 1914, c'est à peu près celui que pourrait faire Emmanuel Macron, prisonnier d'une situation moins guerrière mais apparemment aussi compromise.

C'est de sa loi sur l'immigration qu'il s'agit. La droite veut bien voter le volet répressif du texte, durcissant les règles et facilitant l'expulsion des délinquants étrangers, mais ce volet seulement, faute de quoi elle ne voterait pas un texte qui serait à ses yeux un appel d'air. « Pressé fortement sur sa droite », c'est peu de le dire, Macron n'aurait pas de majorité, sauf à satisfaire au diktat des LR.

Coignard : immigration, l'introuvable « en même temps » Mais voilà que « [son] centre cède ». Son centre et la gauche de sa majorité ne veulent en rien renoncer à l'article 3 du projet de loi, celui qui fait voir rouge à la droite. Il s'agit du volet social, prévoyant la création de titres de séjour pour les sans-papiers travaillant dans les secteurs « en tension » : hôtellerie, restauration, bâtiment, propreté, aide à la personne. Douze députés de Renaissance et du MoDem publient une tribune avec une vingtaine de parlementaires socialistes, écologistes et communistes. C'est dire la tension !

 Loi immigration : pourquoi l'aile gauche de la majorité se rebiffe « Impossible de se mouvoir. » Macron est dans un étau. Prisonnier des voix de droite, menacé d'un schisme dans sa majorité. C'est là qu'il faut lire Foch jusqu'au bout : « Situation excellente. J'attaque. »
C'est aussi ce qu'on attend de lui. Qu'il attaque ! De l'audace ! Qu'il aille jusqu'au bout du texte qu'il a voulu et de ses deux volets, qu'il affronte ceux qui n'en goûtent que la moitié, qu'il ne s'embarrasse d'aucun calcul à mille inconnues, qu'il n'ait peur de rien. Pas peur, faute de majorité parlementaire, d'actionner l'article 49.3. Pas peur des critiques de passage en force et de mépris du Parlement. Pas peur de la motion de censure que l'opposition pourrait déposer, ni qu'elle puisse être votée, ni que le gouvernement puisse être renversé, prélude à une dissolution. Cataclysmique ? Pourquoi pas.

Le sens du « en même temps »

Le thème – l'immigration, dont personne ne cache qu'elle pose d'immenses problèmes – et le texte valent bien que l'exécutif s'engage à fond. On redoute ces demi-solutions que laisse entrevoir un Gérald Darmanin pourtant coauteur de ce projet qualifié de « méchant avec les méchants et gentil avec les gentils » quand il laisse entendre qu'à défaut d'idéal, il faudrait en rester au faisable. L'annonce d'un recul ?

 Gérald Darmanin, confidences d'un affranchiOn peut discuter, amender, durcir les deux volets, rendre plus difficile le regroupement familial d'un côté ou la régularisation des travailleurs sans papiers de l'autre. Mais, nous semble-t-il, garder cet équilibre entre sévérité accrue et humanité bien comprise qui, d'ailleurs, n'est pas qu'altruiste. Ce serait une faute de laisser en situation irrégulière des gens qui travaillent et veulent s'intégrer. Une faute hypocrite de les laisser sans papiers mais d'en avoir besoin, les condamnant à la précarité. Ce serait aussi à notre détriment, laissant inoccupés des postes de travail essentiels dans notre vie collective. Au détriment encore d'employeurs, artisans, commerçants peu désireux d'employer des clandestins pour assurer leur activité (et une prime à ceux qui n'ont pas le scrupule d'en profiter).

Le « en même temps » macronien, si souvent brocardé et pas toujours à tort, trouve ici son sens : apporter une réponse équilibrée à un problème affreusement complexe. La majorité présidentielle, qui est une minorité parlementaire, ne s'honorerait pas à tergiverser, procrastiner, s'incliner devant des parlementaires qui jouent à faire peur avec force lignes rouges et menaces de censure.

J'attaque ? Macron jouerait gros : pas moins que son mandat, mais avec panache, en homme d'État. La droite, d'ailleurs, devrait bien réfléchir avant de déclencher l'arme nucléaire : qui dit que son électorat, appréciant le volet répressif, ne serait pas satisfait de voir aussi assurées la vie des petits commerces, la propreté des rues et l'aide à la personne ?

De l’audace ?! Si notre président procrastinateur en avait cela se saurait on a pu le juger lors de son 1^er quinquennat raté et le 2 ème déjà entamé mais pas assez puisque des Français aussi peureux que l’ont réélu et lui ont accordé de fait une 2 eme chance mais qui lui heureusement ne pourra pas se représenter une 3 eme fois de par notre constitution de cette Veme république qui en fait rapporte aux divers dirigeants de tous bords et politiciens élus même s’ils sont de qualité médiocre de tous bords !?

Car bien sur ce Mr président de notre république si incompétent par ses défauts qu’il n’arrive pas à gommer gonflé d’orgueil en bavard s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile préfère donner des leçons de bienpensant hypocrite qu’il n’applique pas à lui-même et qui de toute façon sera présent jusqu’en 2027 !?

La « macronie » a fait long feu à l’mage de son créateur opportuniste qui a profité de la défection de son prédécesseur (une honte française de plus) et les Français se sont fait avoir car des naïfs incurables depuis + de 40 ans  comme d’habitude ayant peur du lendemain qui est loin d’être garantie par le président actuel qui ne sait pas où il va avec ses promesses aussi creuses que ses fameux 100 jours pétard mouillé comme un Waterloo morne pleine sauf que lui n’est pas Napoléon loin de là !?

Il faut que les Français qui ont le courage de réfléchir n’avalent pas tout et le disent car pour le reste « les carottes sont cuites » (alors qu’il faudra en plus gérer ces J.O. de PARIS en 2024 ce qui n’est pas une petite affaire en matière d’organisation ou financière et surtout sécuritaire) quand on voit l’instabilité de certaines catégories de Français trublions pour ne pas dire plus !?

Jdeclef 16/09/2023 18h50

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