lundi 18 septembre 2023

Bien qu’étant chrétien baptisé marié à l’église etc. mais non pratiquant il faut admettre enfin que les religions et croyances diverses par leur mysticisme religieux divisent les hommes depuis la nuit des temps c’est cela la réalité et la faiblesse des hommes !?

 

Au Vatican, le pape François ne lâche rien !?

LE POUVOIR DU PAPE (1/4). À bientôt 87 ans et quoiqu’affaibli, le chef de l’Église catholique réforme et continue de parler au monde. Reportage.

Il est comme nos dirigeants donneurs de leçons bienpensant donneurs de leçons qu’ils n’appliquent pas à eux-mêmes mais lui à l’avantage d’avoir aucun pouvoir politique et faire de la morale à ceux qui avalent ses bonnes paroles mais qui restent de fait sans lendemain car les décisions ne peuvent être appliquées que si elles sont suivies que par les chefs d’état de religion chrétienne (ce qui est très rarement le cas dans nos pays ou « l’argent roi » est la seule pseudo religion semble-t-il !?)

Sous le cagnard romain, la foule se presse sur la place Saint-Pierre. C'est ainsi quasiment chaque mercredi sur ce parvis – ou bien dans la vaste salle Paul VI, quand le temps ne le permet pas – pour l'audience générale hebdomadaire du pape François. Ce sera aussi le cas lors de la visite ces 22 et 23 septembre du chef de l'Église catholique à Marseille, pour une grande messe dans le stade Vélodrome et au passage de la « papamobile » sur le Prado.

Ce pape de bientôt 87 ans – il les aura le 17 décembre 1936 –, handicapé par des douleurs qui le font souffrir – au poumon (il lui manque un lobe), à la hanche et au genou – et qui l'obligent désormais à se déplacer en chaise roulante, à la tête d'une Église minée par les scandales, déplace les foules. « Je ne vois aucun signe de fin de pontificat, assure un (très) proche, Andrea Tornielli, le directeur éditorial de Vatican News. Le pape voyage, et il fait de son mieux pour faire passer au monde un message de miséricorde et défendre la paix ». Plus étonnant, Sandro Magister, le « pape » des journalistes vaticanistes italiens, qui par ailleurs ne ménage pas ses critiques sur un « pontificat de confusions et de contradictions », abonde : « À part ses problèmes d'articulation, l'état de santé du pape reste bon pour son âge. Il travaille sans cesse, tous les jours, il suit personnellement une quantité de dossiers. Il pourrait très bien prolonger le pontificat durant des années. »

Un pape qui n'arrête jamais

Avant Marseille, François était dans la lointaine Mongolie et au milieu de plus d'un million de jeunes catholiques à Lisbonne, après la Hongrie et un déplacement sous tension en République démocratique du Congo et au Soudan du Sud. Il enchaîne les rendez-vous et les prises de parole. Il s'apprête à publier, le 5 octobre, la suite de son encyclique Laudato si' sur l'écologie intégrale, qui a connu un fort succès en 2015 et continue d'inspirer nombre de décideurs et de jeunes, une « mise à jour » très attendue.

Au même moment, François réunira à Rome le grand synode rassemblant 300 évêques et experts laïcs pour plancher pendant un mois sur « sa » grande réforme pour l'avenir de l'Église. Il a profondément remodelé la curie romaine à sa main, créant, le 10 juillet, 21 nouveaux cardinaux – dont 2 Français – qui entreront en fonction le 30 septembre : aujourd'hui, 72 % des cardinaux électeurs – ceux qui sont âgés de moins de 80 ans – ont été nommés par le pape François. La promotion récente à la tête de la très stratégique Congrégation pour la doctrine de la foi – gardienne de la doctrine, à la tête de laquelle Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, officia plus de vingt ans – de l'Argentin Mgr Victor Manuel Fernandez marque aussi un tournant.

« L'image d'un pape parmi les loups, comme ça l'était au début du pontificat, ne correspond plus à la réalité », remarque une vaticaniste. François semble vouloir garder le contrôle pour imposer un successeur qui poursuive l'action dans la ligne qu'il a fixée. Même si cela sera compliqué. « Les oppositions et résistances dans la hiérarchie des évêques et cardinaux sont sourdes, très diversifiées, de gauche et de droite, et, au moment du conclave pour désigner le successeur, elles apparaîtront en pleine lumière », soutient Sandro Magister, qui, après avoir été le chroniqueur « religions » de l'hebdomadaire L'Espresso, continue de suivre le Vatican sur son blog Septième Ciel, traduit en quatre langues.

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La voix puissante des « sans-voix »

Drôle d'ambiance à Rome. Ce pape très politique ne lâche rien. Il reste une autorité morale dans un monde à la géopolitique bousculée, la voix puissante des « sans-voix », des individus exclus – les migrants, en priorité – et des petites nations isolées. Mais son action n'est pas toujours lisible sur plusieurs points chauds. S'il continue à prendre des positions courageuses – voyage en Irak, admonestations répétées contre les mafias, « organisations du péché »… –, son ménagement de la Russie dans le conflit ukrainien – pour favoriser « un chemin de paix », soulignent ses proches – et ses silences sur l'Arménie, notamment, pèsent lourd, pour l'instant.

Tout comme, ce qui est à cette heure une tache sombre du pontificat, sa politique de lutte contre les abus sexuels, jugée en deçà de celle menée par son prédécesseur Benoît XVI. Son soutien indéfectible à son ami jésuite le père Marko Rupnik, malgré la multiplication à son encontre des accusations abus sexuels et spirituels de la part de femmes et d'hommes, choque. Ça tangue beaucoup au Vatican sur ce sujet, comme l'a récemment souligné la démission du jésuite allemand Hans Zollner, qui y siégeait depuis 2014, de la Commission pontificale pour la protection des mineurs en invoquant des « questions structurelles et pratiques ».

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François le réformateur poursuit la mission qui est la sienne de restructurer en profondeur la gouvernance de l'Église pour ouvrir davantage le dialogue, donner plus de place aux femmes et aux laïcs, en essayant de libérer le « mammouth » vaticanesque entravé par une machinerie lourde, figée et conservatrice. Tout, évidemment, ne se fait pas sans heurts. « François a rééquilibré beaucoup d'injustices, il a repris en main des dossiers ouverts, il a encouragé des communautés, remarque Giovanni Maria Vian, qui a dirigé (et profondément remanié) pendant onze ans L'Osservatore romano, le quotidien du Vatican. Mais il veut tout faire, tout contrôler, tout voir. Quand il a été élu, le gouvernement de l'Église était très faible, et il l'a repris en main, dans les dernières années de façon de plus en plus personnaliste et brutale. Résultat, il divise. »

En début d'année, après la mort de Benoît XVI et l'hospitalisation du pape François pour une « infection pulmonaire », les rumeurs de l'ouverture de sa succession avaient repris de plus belle. Et les listes de papabili – candidats potentiels au trône de Saint-Pierre – commençaient à tourner dans Rome. « Je suis vivant », a lancé dans un grand sourire l'intéressé. Et il veut le montrer chaque jour, s'épuisant à la tâche, ainsi que ses collaborateurs. Beaucoup de témoignages de l'intérieur parlent ainsi du climat d'angoisse, voire de peur, que son exigence et son management sans ménagement imposent. « Il est clair qu'il y a moins de sérénité, remarque un prélat. Avant, on pouvait s'installer ad vitam aeternam ; maintenant, François a inventé un temps limite pour servir le Saint-Siège : un mandat de cinq ans renouvelable une fois. Il n'y a plus de positions établies. »

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Ce qui rejaillit sur le contexte. « Le pape se répète sur ces thèmes de prédilection, il y a une fatigue avec un discours qui se renouvelle assez peu et des gestes qu'on a l'habitude de voir, observe le même prélat. Mais le pape François reste une “machine de guerre” : quand il se met sur un texte, il le reprend ligne à ligne. Il n'a pas l'habitude de peser ses paroles au trébuchet de la diplomatie, ce sont des mots du cœur, les phrases d'un grand-père qui peut se permettre de dire à ses petits-enfants ce qu'il pense… » Un chef spirituel dont les paroles et les gestes à Marseille seront captés – encore et toujours – sur tous les continents. Car vaille que vaille, malgré l'âge, la fatigue, les scandales, les attaques et les chamboulements politiques, l'homme en blanc reste le grand-père du monde.

Ramenons à la réalité ce titre accrocheur intitulé : « le Pape ne lâche rien » mais que peut-il faire à part apporter la bonne parole bienpensante car bien sûr il a une aura médiatique par ce pseudo chef d’un tout petit état pontifical dans le sein de cette Italie romaine qui n’a pas forcément les mêmes idées politiques et change de gouvernement tous les 18 mois en moyenne depuis l’après-guerre et l’épisode dictatorial mussolinien !?

Car il est le chef de l’église catholique chrétienne une des religions monothéistes encore la plus grande dans le monde mais qui n’a pas été sans faute loin de là dans son histoire et a beaucoup à se faire pardonner et même avec d’autre papes remontant jusqu’à la 2eme guerre mondiale et surtout avec de nos guerres de religions remontant à nos croisades et à nos histoires européennes de + de 2000 ANS ?!

Pour le reste on n’a jamais cesser de s’entretuer dans le monde notamment à cause de ses religions et par ce mysticisme religieux souvent moyenâgeux car remontant à la nuit des temps et  est un des principal défauts des hommes leurs croyances et aussi leurs prêtres pas toujours très recommandables (ce qu’il ne faut parler ou développer dans cette église catholique qui en déjà beaucoup à se reprocher car ces guerres de religions que tous nos dirigeants ne veulent pas regarder en face perdure ou qui continue avec des attentats divers au nom de dieu ( car les hommes en ont plusieurs de ces dieux…)

Alors dans cette époque instable que ce prélat prêche à ses ouailles croyantes ce n’est pas mauvais loin de là mais dans ce monde devenu si dangereux il faut cesser de donner des leçons que personne n’écoute et qui ne serve à rien hélas et même produisant le contraire qu’espéré (d’ailleurs nos dirigeants s’en charge dejà assez !?)

Cet homme est surement bon mais c’est un dirigeant comme les autres sauf que lui n’a aucun pouvoir et cela peut donner confiance aux plus faibles !?

MAIS CELA N’OCCULTE PAS QUE LES HOMMES SONT INCAPABLES DE S’ENTENDRE ENTRE EUX POUR DE MULTIPLES RAISONS INNOMBRABLES DEPUIS QU’ILS SONT SUR CETTE TERRE PLANETE QU’ILS N’ARRIVENT MEME PAS SE PARTAGER EN COURANT A LEUR PERTE !?

(Je suis allé à ROME fin mai 2023 c'est extraordinaire le nombre de touristes se pressant pour visiter le Vatican !?)

Jdeclef 18/09/2023 15h29


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