mardi 5 septembre 2023

Ça y est ont a touché le fond de l’insupportable et d’ailleurs cela ne date pas d’hier et remonte déjà à 1989 avec le port du voile car mélanger politique politicienne et religions est la pire erreur de gouvernance dans notre pays qu’il ne faut pas faire et nos dirigeants bienpensant pleutres ne savent pas le maitriser car nous mènerons à l’anarchie voire guerre civile cela fait déjà + de 60 ans que cela dure depuis l’indépendance de l’ALGERIE et cette guerre inutile !?

 

L’uniforme à l’école : solution miracle ou cache-misère ?!

LE MONDE DE SOPHIE. Emmanuel Macron se dit favorable à une tenue unique pour les élèves. Une évolution intéressante, si elle ne sert pas à ignorer les autres maux du mammouth.

NOTRE PRESIDENT BIEN PENSANT DONNEUR DE LECON HYPOCRITE N’EST PAS A LA HAUTEUR DE CE PROBLEME CAR TROP JEUNE N’Y COMPRENANT RIEN TOUT COMME LE REJET DES FRANÇAIS EX COLONISATEUR DE L’EMPIRE FRANÇAIS EX AOF/AEF et MAGHREB !?

Emmanuel Macron nous a habitués à ces pas de côté dans sa communication, notamment avec le très critiqué concours d'anecdotes réalisé depuis l'Élysée en compagnie des youtubeurs McFly et Carlito, en 2021. Le long entretien qu'il a accordé, ce lundi, à l'animateur de la chaîne YouTube HugoDecrypte est moins transgressif. Il s'agissait, en ce jour de rentrée, d'évoquer « l'avenir des jeunes » dans un média prisé par les moins de trente ans.

Après la santé mentale et les enjeux climatiques, le chef de l'État est longuement interrogé sur l'interdiction de l'abaya dans les établissements scolaires, interdiction qu'il défend sans faillir.

Uniforme, abaya, arbres… : ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel Macron

Puis il se dérobe fort logiquement sur la question de ce que serait une bonne tenue pour aller à l'école. Ce n'est pas au président de la République de la définir en effet. Mais c'est sur le port de l'uniforme qu'il montre une nette évolution. Sans opinion hier, il se dit « favorable à l'approche expérimentation-évaluation […] qui permettra de dépassionner le débat public ». À l'uniforme, il préfère d'ailleurs une « tenue unique » (jean tee-shirt et veste), jugée plus acceptable par les intéressés et qui « règle beaucoup de sujets », par exemple « la laïcité et l'idée qu'on se fait de la décence ».

Et le président de faire le lien avec l'interdiction de l'abaya : « L'école, ça construit du commun, c'est pour faire des citoyens, des républicains », ce qui signifie « construire un espace où il y a le moins de différences possibles. Donc éviter les tenues qui renvoient à une religion, parce que ça vous exclut et ça vous sépare […], les situations qui mettent de la stigmatisation sociale » et celles qui sont « trop excentriques ».

Le président se rapproche ainsi des positions de son épouse, laquelle s'est déclarée favorable au port de l'uniforme quand le débat a surgi en janvier dernier.

Cinq questions sur l'uniforme à l'école

Très insuffisant pour réduire les inégalités !

Mais cette solution de « bon sens », pour reprendre les mots du chef de l'État, ne risque-t-elle pas de faire office de cache-misère. Elle ne suffira pas à réduire les inégalités qu'a si opiniâtrement su faire prospérer l'Éducation nationale depuis plusieurs décennies, par manque de moyens parfois, mais surtout à grandes rasades de démago-pédagogisme.

Dès lors, l'uniforme ou la tenue vestimentaire unique ne doivent pas être instrumentalisés pour dissimuler l'incapacité de l'institution à se réformer en profondeur, désastre auquel aucun ministre jusqu'alors n'a eu le courage de s'attaquer frontalement. Pas plus que leur expérimentation ou leur généralisation ne permettront de trouver les 3 100 professeurs manquants sur 23 000 qui devaient être recrutés cette année. Ou d'en finir avec les enseignants non remplacés en cas d'absence du titulaire. Ou encore de mettre fin à ce système bureaucratique scandaleux qui envoie les professeurs les moins expérimentés devant les classes les plus difficiles et les plus socialement fragiles. Même bien coupée, une veste à écusson ne suffira pas à faire remonter le niveau général !

Quitte à parler comme un vieil homme qui radote : dans les années fin 1950 dans nos écoles filles et garçons étaient séparés pour les élèves garçons notamment on portait une blouse grise obligatoire pas très élégante mais on respectait nos instituteurs que l’on a rebaptisés professeurs des écoles plus tard et ses associations de parents d’élèves (sorte de syndicats empêcheurs de tourner en rond qui les respectaient peu mais aussi les parents qui veulent se substituer à l’enseignement diffusé dans l’école de la république ce qu’ils ne font plus eux comme certains trublions aussi en élevant mal leurs enfants !?

Car notre société FRANCAISE devenue cosmopolite est irrévérencieuse envers l’état républicain et ses institutions et maintenant ou le « chacun le chacun pour soi » veut faire sa loi ne respectant pas la laïcité Française et les lois diverses de la république ou les religions se sont mis sur les rangs  pour semer des troubles et avec de la mauvaise politique politicienne de nos dirigeants de tous bords qui ne pensent qu’à eux et à leurs pouvoirs que les FRANÇAIS leur ont donné à ses présidents qui se prennent pour des monarques de l’ancien régime gonflés d’orgueil comme des baudruches dédaignant « le peuple d’en bas ou de peu » comme ils disent qui bien sur déraille jusqu’à manifester violemment allant jusqu’à l’émeute !?

Se plaignant de leurs libertés qui soi-disant diminuent ce qui est faux mais c’est de leur faute ils méritent ce qu’ils ont et qui pourrait être pire comme dans des démocratures totalitaires de certains pays connus (pour certains comme notre président qui a pourtant beaucoup de pouvoir qu’il utilise mal ou peu se verrait bien à leur place ?!)

La France notre pays que beaucoup de citoyens aiment comme moi va de plus en plus mal car mal gouvernée et mal protégée j’en ai honte et cela me remplit de tristesse !?

Jdeclef 05/09/2023 11h43

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