lundi 9 décembre 2024

Mr MACRON n’est qu’un malade procrastinateur qui s’ignore d’ailleurs la réflexion de certains commentateurs journalistes en mail de scoop stupides :

 

Macron, manageur le plus pervers de France, de nouveau en quête d’un Premier ministre !?

Le président, en période de remaniement, aime faire tourner les têtes à coups de promesses de nomination, souvent sans suite. Avis aux aspirants Premiers ministres !

Par Nathalie Schuck et Mathilde Siraud

Publié le 05/12/2024 à 06h55

Voici qui refroidira peut-être les ardeurs des personnalités qui seraient approchées dans les prochaines heures pour se voir proposer le fauteuil, désormais vacant, de Michel Barnier. Car, comme le dit l'adage populaire, les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent. Surtout avec Emmanuel Macron, qui aime faire danser les ambitieux et ne prend pas toujours la peine de les rappeler, tel un marié ne se présentant jamais devant l'autel.

C'est un vieil ami de François Baroin qui raconte l'épisode, à peine croyable. Début septembre, alors que la France est sans gouvernement depuis cinquante jours, Nicolas Sarkozy prend contact avec François Baroin, qu'il voit comme son fils spirituel, pour sonder ses intentions. Figure historique de la droite, sans litige majeur avec le RN, il coche, à ses yeux, toutes les cases. Se laisserait-il tenter par Matignon ?

« Je te rappelle demain matin »… et puis, plus rien

Surprise, le maire de Troyes acquiesce. Fort de ce feu vert, l'ancien président contacte Emmanuel Macron, qui semble acheter l'idée, faisant même mine de la trouver « extraordinaire », et promet d'appeler Baroin rapidement. L'affaire semble emballée.

 Qui pour succéder à Michel Barnier ? Si bien que les jours suivants, poursuit notre source, des échanges ont lieu avec l'Élysée, à très haut niveau, pour signifier au chiraquien que le coup de fil présidentiel est imminent. « Le mardi 3 septembre vers minuit, Macron lui envoie même un SMS pour lui dire : “Je te rappelle demain matin” », achève le même. La nomination n'est plus qu'une question d'heures. Mais de coup de fil, il n'y eut point. Et le lendemain, Michel Barnier est nommé. « François aurait accepté… » soupire un autre vieux compagnon de route du chiraquien, dépité.

Tu pourrais mener cette aventure-là ?Emmanuel Macron à David Lisnard

Le maire de Cannes, David Lisnard, raconte peu ou prou la même scène. Peu après la dissolution, il échange au téléphone avec un conseiller élyséen quand, surprise, il lui passe Emmanuel Macron. Jovial, le chef de l'État plaisante avec lui, « comme si on était les meilleurs amis », et salue les propositions qu'il a formulées après les législatives pour sortir le pays de l'ornière, « renverser la table » comme il dit. L'été se passe, sans suite. À la rentrée, l'Élysée le convie à un entretien, au cours duquel le président le sonde sur les ténors qui, à droite, accepteraient de devenir ministres et les mesures qu'il conviendrait d'engager.

Lisnard, Bertrand…

Le ton est courtois, respectueux. Le président de l'AMF, en réponse, lui demande de s'engager à consulter les Français par référendum, pour passer outre les blocages de la haute administration, sa marotte. « C'est formidable, tu as raison ! » s'entend-il répondre, avant que ne tombe le sésame attendu : « Tu pourrais mener cette aventure-là ? » « Je ne suis pas demandeur, c'est un grand honneur », achève Lisnard, sans fermer la porte. Sans plus de nouvelles à ce jour. Il n'y a pas lieu de s'étonner, dès lors, que le patron de Nouvelle Énergie ait estimé ce mardi que le chef de l'État constituait « une grosse partie du problème » et appelé à sa démission dès qu'il serait possible de dissoudre à nouveau pour « porter une nouvelle politique publique et retrouver un peu de dignité ». Œil pour œil…

Je voudrais te féliciter…Nicolas Sarkozy à Xavier Bertrand, pensant qu’il serait nommé à Matignon

Et que dire de Xavier Bertrand ? L'ancien ministre de Chirac et Sarkozy est fondé à se demander si Macron ne s'est pas servi de lui comme d'un leurre, lui qui a cru jusqu'au bout qu'il serait désigné pour Matignon. Un casting gouvernemental, une femme au poste de directrice de cabinet, un programme d'action… Tout était prêt, l'ancien candidat à la présidentielle ayant bûché tout l'été. « Je voudrais te féliciter… », lui dit Nicolas Sarkozy, encore lui, quand il l'appelle tout guilleret le mardi 3 septembre.

Des grands patrons, des syndicalistes… Les SMS pleuvent sur le téléphone du patron des Hauts-de-France, plus personne ne doute qu'il s'installera le lendemain rue de Varenne. N'avait-il pas le profil idoine ? L'entourage élyséen ne faisait-il pas fuiter que le président avait été bluffé par sa gnaque lors de leur entretien estival au Touquet ? Le lendemain, changement d'ambiance. Emmanuel Macron, qui vient de déjeuner avec son bras droit Alexis Kohler, change brutalement d'avis. Le secrétaire général tout-puissant de la présidence l'a alerté : Xavier Bertrand Premier ministre, c'est la censure assurée. L'homme du Nord est évincé.

Thierry Beaudet : à peine nommé, aussitôt débranché

Thierry Beaudet a lui aussi vécu durant quelques jours l'ascenseur émotionnel. La France entière a découvert l'existence du discret président du Conseil économique social et environnemental (Cese) à l'occasion des entretiens d'embauche estivaux pour Matignon. Cet homme de gauche, présenté alors comme l'antidote à une situation de blocage institutionnel, s'est vu formellement proposer la succession de Gabriel Attal. Car le chef de l'État, qui apprécie cet homme discret – ils se sont revus le lundi 25 novembre, à l'occasion de l'événement Next Woman Forum qui s'est tenu à l'Élysée –, lui avait proposé le poste.

L'intéressé avait commencé à élaborer une plateforme de gouvernement. Il devait même en principe être nommé, si son nom n'avait pas fuité entre-temps dans la presse, provoquant immédiatement un puissant tir de barrage venant de l'entourage d'Emmanuel Macron. Alexis Kohler, qui n'était pourtant pas hostile à l'option Beaudet, qu'il apprécie, sera finalement chargé de « le débrancher ».

 Macron paie le prix de sa dissolution catastrophique Julien Denormandie, pourtant présenté comme le « chouchou » du président, son double, a subi le même sort, six mois plus tôt. Quand il limoge Élisabeth Borne, Emmanuel Macron teste trois noms, dont le sien. Alors qu'il quitte l'Élysée le 8 janvier au soir, l'ex-ministre du Logement pense qu'il sera nommé le lendemain à Matignon. Sauf que c'est Gabriel Attal qui décroche le poste. Et le chef de l'État ne prendra même pas la peine d'en informer le cofondateur d'En Marche !, son fidèle historique, macroniste devant l'éternel. Depuis, « Juju » a refusé toutes les propositions du président, de la direction du parti à d'importants postes ministériels…

Le précédent Catherine Vautrin

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre L'exemple le plus spectaculaire de « dénomination » restera sans doute celui de mai 2022. Emmanuel Macron vient d'être réélu, Jean Castex estime qu'il a fait son temps à la tête du gouvernement et qu'une nouvelle page doit s'ouvrir. Tout est organisé avec la Rémoise Catherine Vautrin pour la passation des pouvoirs. Cette ancienne figure des Républicains, qui a apporté depuis quelques mois seulement son soutien au président, a été longuement reçue à déjeuner à l'Élysée pour préparer sa nomination. Elle fait même la connaissance de Brigitte Macron, qui lui glisse une remarque complice sur la vaisselle ébréchée de Matignon.

Apprenant la nouvelle, les grognards de la macronie se mettent en travers du chemin de l'ancienne ministre de Jacques Chirac, brandissant ses prises de position anti-mariage pour tous. Ce sera donc Élisabeth Borne, qui sera nommée in extremis et qui fait par la même occasion la rencontre avec Emmanuel Macron, qui ne l'avait jamais reçue en tête-à-tête avant d'en faire sa Première ministre. Choisir une femme de gauche technicienne alors qu'on pensait nommer une femme de droite politique… Et si le train du second mandat avait déraillé dès ce moment-là ?

 

*

De dire « qu’il devrait se nommer lui-même premier ministre » est une INEPTIE d’une stupidité sans nom montre à quel point la France VA MAL et surtout les électeurs Français lambda anciens pourtant comme moi qui ont connus tous nos dirigeants et politiciens de tous bords de cette V EME REPUBLIQUE obsolète usée qui n’a rien à envier à la précédente IV EME en s’acheminant vers le pire ?!

Car la seule solution serait de remettre tout à plat vers peut être une VI eme république d’ici 2027 et se débarrasser de ce president politicien hyper fat et incapable de gouverner correctement et de nous protéger ce qui est grave car lui ayant donné trop de pouvoir comme à d’autres avant lui se prenant pour un petit bourgeois bon chic bon genre car soi-disant une majorité de Français verrait bien sa démission (donc alors on se demande d’ailleurs pourquoi on vote si mal ?!)

Pour le reste il reste 2ans et demi avant 2027 c’est encore long car il peut continuer à faire des erreurs comme cette dissolution qui a mis le feu aux poudres !?

Moi je ne suis qu’un Viel observateur lambda car ma vie est derrière moi pourtant j’aimerais voir autre chose pour ceux plus jeunes qui restent comme ma fille de 42 ans que de voir notre pays la France que j’aime finir de se noyer dans un trou sans fond !?

Je crois hélas que les FRANÇAIS sont incurables car c’est eux qui ont leur destin en main !?

 

Jdeclef 09/12/2024 12h42

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