dimanche 22 décembre 2024

Quand est-ce que les Français semblants ignares ou bornés comprendront qu’ils élisent et réélisent nos dirigeants et politiciens de tous bords archi connus ?! Ils peuvent toujours croire au Père NOEL c’est la période !? Et après les fêtes avoir « la gueule de bois » ! (Il N’Y A RIEN A ESPERER DE Mr BAYROU ... ?!)

 

« Il ne nous donne rien » : pourquoi François Bayrou irrite le bloc central !?

Les premiers pas du nouvel hôte de Matignon laissent perplexes les députés de l’ancienne majorité, pourtant censés le soutenir. Un point d’alerte quant à la suite du bail du patron du MoDem.

Vincent Jaouen

La satisfaction de la victoire n'aura été que de courte durée. Pourtant, vendredi 13 décembre, après la nomination rocambolesque de François Bayrou à Matignon, le MoDem exultait. L'heure était enfin arrivée. Et la « réconciliation », comme aime la théoriser le principal intéressé, avait sonné. Mais, une semaine plus tard, l'ambiance n'est plus au beau fixe.

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Après les premiers pas laborieux du Béarnais rue de Varenne, les doutes et les premières crispations se sont invités dans les rangs du bloc central – composé des groupes Ensemble pour la République, MoDem et Horizons, soit l'ancienne majorité. « Dans les couloirs, les députés sont dépités, persifle un collaborateur de l'opposition. Il faut dire qu'il ne leur fait aucun cadeau. »À LIRE AUSSI François Bayrou, l'homme qui croit au miracleEn premier lieu, beaucoup s'interrogent sur la méthode Bayrou. « Le problème, c'est la forme, il ne la soigne pas », regrette un député Horizons, épinglant le déplacement du Premier ministre à Pau, la proposition d'un retour du cumul des mandats, son premier passage à l'Assemblée ou encore sa méthode de négociation avec les différents partis politiques. « En fait, Bayrou, c'est le vieux monde », raille de son côté un macroniste. « Il y a eu de petites choses dont on se serait passés », reconnaît quant à elle auprès du Point Prisca Thevenot, proche de Gabriel Attal.

Pourtant, au mois d'août et alors qu'Emmanuel Macron cherchait désespérément le nom de son Premier ministre post-législatives, François Bayrou avançait déjà ses pions. « La responsabilité (du centre) n'est pas le monopole du pouvoir mais de rassembler et d'être un trait d'union », déclarait-il le 25 août sur LCI. Une fois aux responsabilités, les espoirs de ceux qui le pensaient prêt ont été rapidement douchés. « Il ne sait pas quoi faire, il est coincé », se désole un parlementaire.

Un bloc central délaissé

Au sein du camp Macron, après l'épisode Barnier, l'amertume de ne toujours pas se voir considéré par François Bayrou pèse de plus en plus. D'autant que l'optimisme a existé quelques heures. « J'étais très contente de la nomination de Bayrou en me disant "c'est un allié du président, un proche historique", mais j'ai très vite revu mon jugement », confie une ancienne ministre, qui avoue avoir écrit à l'Élysée pour faire part de son mécontentement.

Barnier a chuté sur un manque de soutien du bloc central parce qu’il ne les avait pas traités et Bayrou est en train de faire exactement la même erreur.Une ancienne ministre

« Barnier a chuté sur un manque de soutien du bloc central parce qu'il ne les avait pas traités et Bayrou est en train de faire exactement la même erreur. S'il veut une motion de censure mi-janvier, qu'il continue », avertit cette dernière.

 EXCLUSIF. Les premières confidences de François Bayrou à Matignon

Il faut dire qu'à aucun moment l'ancien haut-commissaire au Plan n'a cherché à tendre la main à son bloc. Reçu, comme les autres groupes parlementaires, à l'hôtel de Matignon, celui-ci ne se s'est même pas vu accorder la primauté, donnée, en revanche, à Marine Le Pen et Jordan Bardella, lundi 16 décembre.

« Il ne s'aide pas »

Même le soir de sa nomination, François Bayrou choisit de consulter en priorité le ministre de l'Intérieur démissionnaire et figure Les Républicains, Bruno Retailleau, au lieu d'organiser un rendez-vous avec les siens. « Il ne s'aide pas car c'est à lui d'impulser la discussion, mais là, il ne nous donne rien », soupire un parlementaire.

Ils n’ont pas envie de le supporter, mais ils n’ont pas le choix.Proche d’une ministre

Du reste, la façon dont le Béarnais a réussi, après un coup de force, à décrocher le poste à Matignon a toujours du mal à être digéré. Certains dans l'hémicycle vont même jusqu'à se poser la question d'un éventuel non-soutien. « En fait, on n'a pas envie d'y aller ! Alors qu'il menace de quitter la coalition, nous, on doit être les bons petits soldats et prendre les coups pour lui ? » fait mine de s'interroger un député Horizons.

Allié, mais pas similaire, le parti Horizons se réserve, d'ailleurs, bien d'afficher un blanc-seing au nouveau Premier ministre. « Le soutien n'est pas tacite, on l'attend sur des sujets de fond, c'est pourquoi Laurent Marcangeli – chef de file du groupe à l'Assemblée – n'a rien dit à ce propos », explique le même. Mais, malgré les pressions à demi-mot, François Bayrou cherche à temporiser. Aucune annonce claire quant à sa ligne politique ne sera à attendre de lui avant sa déclaration de politique générale, prévue le 14 janvier. Les consultations avec les différents partis se poursuivent et la nomination d'un gouvernement est à espérer « avant Noël ».

 L'incontournable monsieur Bayrou nommé Premier ministre

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Malmené par un Premier ministre qui ne le cajole pas, le bloc central rumine, mais ne dispose que de très peu de moyens de pression. « C'est shakespearien, ils n'ont pas envie de le supporter à l'Assemblée, mais ils n'ont pas le choix », décrypte un proche d'une ministre, qui y voit une crise d'amour propre sans recours pour ces députés habitués à une majorité absolue depuis 2017. « Au fond, chez Renaissance, tout le monde est rivé à son portable en espérant être appelé pour un ministère. »

Un scénario plausible que certains espèrent pour autant ne pas voir se réaliser. « S'il recycle des gens qui sont usés mais qui ne veulent que revenir aux affaires, alors Bayrou sera foutu. On a besoin de gens pragmatiques, les pieds dans la glaise et la tête dans les étoiles », professe l'ancien député et proche d'Emmanuel Macron Patrick Vignal. Mais, après sept ans au pouvoir, en reste-t-il beaucoup ?

 

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Car Mr BAYROU en plus prêchi-prêcha à tendance religieuse bigote mais hypocrite comme il se doit ne fait rien de mieux et en plus nos citoyens en sont encore, à parier combien de temps il restera en place !?

Pendant ce temps-là perdu depuis des lustres sous cette VEME REPUBLIQUE de 66ans usée obsolète on prend toujours les mêmes champions des donneurs de leçons bienpensants hypocrites et les Français lambda avalent cela en le digérant car ne sachant plus depuis longtemps voter ou choisir en râlant leur classes politiques de toutes étiquettes avec ces partis hyper ringards désespérant et leurs leaders médiocres connus car on récidive !?

Moi comme d’autres de ma génération vieux français je n’ai plus rien à espérer de nouveau ma vie étant derrière moi pourtant j’aime la France mon pays de naissance et doit me resigner à regarder la France glisser plus vite dans un trou qui semble sans fond !?

On peut toujours se consoler en voyant l’Allemagne avec son chancelier qui s’est pris aussi une claque à leurs dernières à élections législatives ou même aux USA nos cousins d’Amériques ex colonie britannique qui ont réélu TRUMP ou aussi chez les canadiens avec TRUDEAU qui ont subi les mêmes défauts !?

Il faut croire que ces évènements électoraux touchent de grands pays les plus libres et démocratiques du monde et çà c’est plus qu’inquiétant voir préoccupant car le monde entier va mal !?

Et pour terminer faire comprendre çà au peuple français cela devient mission impossible tant pis pour nous hélas car mal protégé et mal gouverné et c’est de notre faute !?

 

BON NOEL ET BONNE ANNEE TOUT DE MEME SI ON PEUT !?


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