vendredi 20 septembre 2024

J’aime la France mon pays car j’ai voyagé de par le monde et j’ai pu comparer chez les autres mais j’ai honte des Français mes compatriotes !?

 

Retailleau-Wauquiez-Larcher : les coulisses de la guerre des nerfs à droite

LA LETTRE DU PALAIS. Par quel rebondissement le sénateur de Vendée a-t-il coiffé au poteau Laurent Wauquiez pour le prestigieux ministère de l’Intérieur ? Récit.

Par Nathalie Schuck

Plusieurs fois ces jours derniers, alors que les tractations au sommet de l'État se tendaient au point de friser la catastrophe, Bruno Retailleau a confié en privé au Premier ministre : « Si je dois devenir un problème, donne le ministère de l'Intérieur à Laurent. » Prêt à s'effacer pour éviter une démission de Michel Barnier qui, si la réunion de la dernière chance organisée ce jeudi après-midi à Matignon avec les leaders des partis avait capoté, se profilait à grands pas. Un incroyable rebondissement tant, en début de matinée, les amis du sénateur de Vendée redoutaient qu'il finisse, une fois encore, comme le grand perdant de ce jeu de chaises musicales face à ceux qui n'hésitaient pas à jouer des coudes pour arracher un maroquin.

Durant la présidentielle de 2017 déjà, Bruno Retailleau, soutien de François Fillon et pressenti pour devenir Premier ministre en cas de victoire, avait proposé de s'éclipser quand, au pire de la crise du « Penelopegate », le candidat avait été pressé de toutes parts de proposer Matignon à François Baroin pour tenter de sauver sa campagne.

Barnier sait que ce sera très dur, il veut travailler avec des gens qu’il connaît et en qui il a toute confiance Un député proche du chef de gouvernement

« Bruno va encore finir comme le dindon de la farce ! » soupirait donc ces dernières heures un cadre LR qui l'apprécie. « La priorité, c'est d'éviter une démission du Premier ministre. Si Bruno doit renoncer à Beauvau pour éviter une crise de régime, il le fera », confiait de fait un « retailliste » ce jeudi matin, alors que la journée menaçait de virer à pile ou face. Face : Michel Barnier parvient à boucler son équipe ; pile : il part. Et si c'était cette capacité à faire abstraction de sa propre personne qui avait convaincu le Premier ministre que le Ligérien était l'homme idoine ? « Barnier sait que ce sera très dur, il veut travailler avec des gens qu'il connaît et en qui il a toute confiance », expose un député proche du chef du gouvernement.

Père la rigueur

Laurent Wauquiez n'en sera donc pas. C'est sans doute, à droite, la plus grosse surprise de ce gouvernement en cours de finalisation, qui sera officiellement annoncé d'ici à dimanche soir. Après avoir plaidé cet été du bout des lèvres pour un soutien sans participation, l'ancien patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes s'était fait à l'idée qu'il fallait monter à bord du navire Barnier, au point d'activer tous ses réseaux pour obtenir l'Intérieur. Jusqu'à l'Élysée, où il entretient de cordiales relations avec le secrétaire général, Alexis Kohler.

Car un seul poste l'intéressait : Beauvau. « Ce sera l'Intérieur ou rien », avait-il clairement fait savoir à Michel Barnier. Le week-end passé, Wauquiez s'était toutefois enquis de la bonne stratégie à adopter auprès de proches. Fallait-il accepter un autre poste, ou décliner au risque de passer pour velléitaire ? Il n'a guère eu le choix, car Barnier ne lui a proposé qu'une piste, Bercy, où il aurait été contraint d'endosser le costume du père la rigueur pour boucler le périlleux budget 2025, voire d'endosser de possibles hausses d'impôts pour les plus fortunés.

Lors de la réunion à Matignon jeudi, Barnier a en effet écarté une augmentation de la fiscalité pour les classes moyennes et « ceux qui travaillent », mais évoqué de possibles « contributions ciblées » au nom de la « justice fiscale ». Peu compatible avec le costume de présidentiable que Wauquiez entend endosser. À noter que la stratégique citadelle de Bercy pourrait donc être confiée à un inconnu du grand public, devenu député il y a un peu plus de deux ans, l'élu Renaissance de Haute-Savoie et président de la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale, Antoine Armand.

 Gouvernement Barnier : Bruno Retailleau annoncé au ministère de l'Intérieur Un homme a pesé, en coulisse, pour pousser les pions de la droite et éviter le naufrage : Gérard Larcher. C'est lui que le chef de l'État aurait discrètement appelé à la rescousse ce mercredi lorsque Barnier était à deux doigts de renoncer. Un peu plus tôt, Emmanuel Macron avait retoqué une première liste de noms soumise par le Premier ministre, car trop peu respectueuse à ses yeux des équilibres au Parlement, trop RPR en clair. Décryptage d'un stratège de droite : « Il ne pouvait pas y avoir des LR à Matignon, à Beauvau et à Bercy. » Ne restait donc plus qu'un poste régalien en lice pour LR. Wauquiez ayant dit non à Bercy, la voie devenait libre pour Retailleau à Beauvau. Or, si l'on scrute attentivement la liste des neuf noms de futurs ministres LR qui a fuité, on comprend qu'ils sont tous proches de Larcher et de Retailleau, et plusieurs élus de la Haute Assemblée.

Force républicaine

Annoncée à la Famille, la sénatrice de Loire-Atlantique Laurence Garnier pourrait finalement ne pas être de l'aventure en raison de ses positions sociétales, dont son hostilité à la constitutionnalisation de l'IVG. Nouveau ministre de la Laïcité, le vice-président de la région francilienne Othman Nasrou est un lieutenant de Valérie Pécresse, mais il fut aussi directeur de campagne de Retailleau dans cette même bataille. Plusieurs futurs ministres sont aussi passés par les rangs d'un micro-parti aujourd'hui en sommeil mais bien connu des connaisseurs des arcanes de la droite : Force républicaine, fondé par Fillon puis repris par Retailleau. Probable secrétaire d'État à la Défense, le député DR (Droite républicaine, ex-LR) Jean-Louis Thiériot y a émargé, comme Patrick Hetzel, attendu à l'Enseignement supérieur. La sénatrice Sophie Primas, promise au Commerce extérieur, est par ailleurs une fidèle de Larcher. Pressenti aux Outre-mer, le sénateur François-Noël Buffet, ancien rapporteur de la loi immigration, est un proche de Larcher comme de Retailleau.

 Les indiscrets – Gérard Larcher, l'autre DRH du gouvernement Le retour en force des anciens fillonistes ? « C'est surtout la victoire des LR du Sénat sur les LR des régions, dont Wauquiez et Bertrand », observe un cadre LR, plus nuancé. Déjà évincé de Matignon en raison de la fatwa édictée contre lui par Marine Le Pen, Xavier Bertrand espérait sans doute placer des proches. Le nom du député DR Julien Dive était évoqué. Il n'en sera rien. Donnée entrante au gouvernement et reçue par Michel Barnier ces derniers jours, Valérie Pécresse ne sera pas ministre non plus mais, assure son entourage, « elle n'était candidate à rien ». Quant à Laurent Wauquiez, il a préféré poursuivre l'aventure à la tête du groupe DR. Chose tout à fait inhabituelle, et un rien cavalière, c'est lui qui a annoncé les noms des futurs ministres de droite lors d'une visioconférence des députés DR, ce jeudi soir. À noter qu'il avait fortement poussé pour la nomination d'Annie Genevard, secrétaire générale de LR qui fait partie de ses proches, pour le ministère de l'Agriculture.

Le « en même temps » poussé à son paroxysme

C'est donc une droite réputée très conservatrice, inflexible sur les questions de sécurité, d'immigration et de société, qui va, sauf coup de théâtre, cohabiter à parité au sein du même gouvernement avec la « start-up nation » de Gabriel Attal et les centristes de François Bayrou, notamment. Sont ainsi pressentis côté macronie, parmi les quelques nominations qui ont fuité, le MoDem Jean-Noël Barrot au Quai d'Orsay – le fils de feu Jacques Barrot connaît bien, lui aussi, Wauquiez et ne le porte pas dans son cœur – ou la cofondatrice d'En marche ! Astrid Panosyan-Bouvet au Travail. Soit le « en même temps » poussé à son paroxysme.

 Alain Minc : « Le gouvernement Barnier est assis sur une bombe »

Signe que tout ne tient qu'à un fil, les centristes du MoDem ont bien failli refuser de participer. « Barnier est tout de même étrange ! Il fait campagne pour Matignon en se vendant chez Alexis Kohler, pour entrer ensuite dans une phase de bras de fer pour imposer un gouvernement RPR-LR, que même les dirigeants de LR ne demandaient pas. Même Gérard Larcher considérait que ce n'était pas raisonnable. Il se présente comme un facilitateur et le voilà en homme du bras de fer qui veut restaurer l'UMP… » s'étranglait un cadre bayrouiste dans la matinée. Jusqu'au claquage ? Peu, au sein de la classe politique, donnaient cher de la peau d'un tel équipage, tant le choc des mondes s'annonce brutal.

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C'est surtout l'exemple de cette classe politique lamentable bien franchouillarde de politiciens de tous bords aussi nuls qui peuvent l'être depuis que cette Veme république existe dit gaullienne qui laisse le pays aller à vau l'eau depuis des décennies car ne pensant qu'à eux et leurs avantages encore hérité de l'ancien régime monarchique et surtout napoléonien malgré notre ancienne révolution de1789 de 235 ans vite oubliée et même le gaulisme qui été balayé par de citoyens Français lambda 1969 car les générations ont changé mais n'ont pas grandis en éducation grace aussi à un ministère de l'Education nationale orientée bien sûr par le pouvoir en place et diffusée à nos jeunes dans nos écoles !?

Et bien sur l'élection présidentielle de notre roitelet élu et réélu par ses Français qui bien sur votent sans réfléchir car beaucoup n'y comprennent plus rien ou ne s'y intéresse plus bien que soit pourtant leur destin et et celui de la FRANCE malgré un 1er ministre  connu âgé ancien et compètent par sa carrière passée ou le président qu'il l'a désigné si difficilement ne veulent pas travailler entre eux ces politiciens à cause de leurs étiquettes de partis ringards déplorables aussi lamentables les uns que les autres !?

MAIS POUR QUI SE PRENNENT-ILS CES MINABLES avec en plus le président MACRON qui s'ingénie à mettre des bâtons dans les roues de son 1er ministre se prenant pour un autocrate alors que c'est lui qui semé ce souk avec sa dissolution inutile puisqu'indéboulonnable jusqu'en 2027 et inéligible !?

Cette une HONTE pour la France et aussi les Français tous sans amour propre car en ci concerne l'élection présidentielle bien sûr en 2027 on ne manque pas de candidats potentiels mais hélas trop connus car la place est bonne quant à MACRON il s'amuse bien en continuant à se moquer des Français en les dédaignant !?

MAIS IL FAUDRAIT DONC Y METTRE LE HO LA ! CAR LE PAYS VA TRES MAL !? ET DONC IL FAUT QUE LES FRANCAIS S'UNISSENT VRAIMENT ?!

 

Jdeclef 20/09/2024 18h50


mercredi 18 septembre 2024

Etant donné la mauvaise qualité de nos dirigeants de tous bords et la mauvaise éducation de nos citoyens Français à cause d’un mauvais enseignement diffusé à nos enfants par un ministère de l’Education nationale d’état inféodé au pouvoir en place on est très mal parti pour s’en sortir dans notre pays dans tous les domaines de notre gouvernance et on ne risque pas heureusement de refaire notre révolution de 1789 de 235 ans oubliée car les Français sont devenus apathiques avalant tout !?

 

Europe du nucléaire : en arrière toute ?

Pour prendre en charge les portefeuilles stratégiques de l’Énergie et de la Transition écologique, Ursula von der Leyen choisit deux antinucléaires notoires. Un camouflet pour la France.

Par Géraldine Woessner

Publié le 18/09/2024 à 06h24

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, le 11 septembre 2024. © Wiktor Dabkowski/ZUMA Press Wire/SIPA / SIPA / Wiktor Dabkowski/ZUMA Press Wire

« Si on avait encore un doute sur l'effondrement de notre influence à Bruxelles, c'est terminé », soupirait, ce mardi 17 septembre, un diplomate français. Annoncée dans la matinée par sa présidente Ursula von der Leyen, la composition de la nouvelle Commission européenne a sidéré les spécialistes. La nomination de Stéphane Séjourné, proche d'Emmanuel Macron désigné in extremis pour remplacer Thierry Breton au poste de vice-président en charge de la prospérité et de la stratégie industrielle, est présentée par l'Élysée comme un « portefeuille clé », au « périmètre élargi ».

Pourtant, comme l'a récemment rappelé Mario Draghi dans un rapport cinglant, aucune « stratégie industrielle » n'est possible sans politique énergétique ambitieuse, et surtout cohérente. L'énergie est au cœur des politiques de décarbonation portées par Bruxelles. Son prix détermine la compétitivité, la survie et le développement des entreprises. Sa disponibilité permettra, ou non, d'atteindre les ambitions européennes en termes d'innovations – IA, santé, réindustrialisation, numérique… Or l'énergie échappe totalement à Stéphane Séjourné.À LIRE AUSSI Cinq choses à retenir de la nouvelle Commission européenne

Opposés aux intérêts français

Ce secteur échoit, au contraire, à deux personnalités aux positions radicalement opposées à la stratégie et aux intérêts français. Nommé commissaire à l'Énergie, Dan Jørgensen, socialiste danois diplômé de sciences politiques, est un antinucléaire convaincu, connu pour s'être farouchement opposé à l'inclusion du nucléaire dans la liste des technologies durables susceptibles d'être financées par des fonds européens – un combat remporté de haute lutte par la France l'hiver dernier, au terme d'un bras de fer épique avec l'Allemagne, notamment.

« Son travail contribuera à faire baisser les prix de l'énergie, à investir dans l'énergie propre et à garantir que nous réduisions notre dépendance », a déclaré Ursula von der Leyen lors d'une conférence de presse. En clair : appliquer à l'Union la recette « tout-ENR » choisie par l'ancien ministre de l'Énergie et du Climat danois : pour réduire sa dépendance au gaz russe, le Danemark a en effet poussé les développements des renouvelables, qui ont fourni près de 55 % de son électricité en 2023… Le fait que le nucléaire suédois et le charbon allemand, massivement importés, assurent la stabilité de son réseau est rarement évoqué.

 Le nucléaire fait une entrée fracassante à la COP28Dan Jørgensen devra travailler sous la supervision d'une autre antinucléaire historique : l'Espagnole Teresa Ribera, nommée vice-présidente exécutive en charge d'une transition propre, juste et compétitive. La nouvelle commissaire dispose d'un portefeuille élargi, dont la lettre de mission précise les contours : application du Green Deal, politiques climatiques, industrie propre, croissance propre… Celle qui a supervisé la sortie du nucléaire de son pays (les cinq derniers réacteurs espagnols doivent fermer en 2035), et dont le gouvernement promet un mix 100 % renouvelables d'ici à 2050, s'était elle aussi farouchement opposée à l'inclusion du nucléaire dans la taxonomie verte.

L'axe pro-gaz Madrid-Berlin

À l'heure où l'urgence climatique a favorisé un retour en force de l'énergie nucléaire, soutenue par une quinzaine de pays européens au sein d'une « Alliance du nucléaire » portée par la France, les profils choisis par Ursula von der Leyen interrogent. « Aucun signal n'est envoyé montrant que quelque chose a changé sur le nucléaire. Au contraire, on voit se renforcer le nouvel axe énergétique Madrid-Berlin, qui est apparu avec la crise ukrainienne », souligne la spécialiste de l'énergie Cécile Maisonneuve, fondatrice de Décisive. « Un axe qui refuse de fermer notre marché aux voitures électriques chinoises, et mise sur le gaz renouvelable pour se décarboner. »

L'Académie des sciences appelle à la raison sur l'hydrogène

Pour la France, le nouveau visage de la Commission européenne pourrait rapidement devenir urticant : si le nucléaire a bel et bien été inclus dans la taxonomie européenne des activités durables, et placé sur le même pied que les énergies renouvelables dans le Net Zero Industry Act, cette ouverture attend de se traduire en faits. Certains fonds spécifiques, comme le Fonds pour une transition juste ou celui qui soutient l'hydrogène, excluent toujours l'atome. « Si un commissaire n'est pas convaincu et que son administration garde sa force d'inertie, rien ne changera », s'alarme un député européen, membre du PPE, qui s'attendait, comme beaucoup, à la nomination du Tchèque Jozef Síkela comme commissaire à l'Énergie, ce qui aurait illustré la volonté de l'Union de soutenir les efforts de décarbonation rapides des pays de l'Est. « Ces pays, fortement dépendants des fossiles pour leur électricité, n'ont aucun espoir de remplir leurs objectifs climatiques sans le nucléaire », souligne-t-il. « L'Allemagne elle-même, si elle n'avait pas fermé ses centrales, irait dix fois plus vite. »

Conflits d'arbitrage en vue

Autre sujet d'inquiétude : Paris fait pression depuis des mois pour remplacer les objectifs actuels de l'UE en matière d'énergies renouvelables par d'autres objectifs, ciblés sur la faiblesse des émissions de carbone. « Il est invraisemblable que la France soit régulièrement condamnée pour n'avoir pas atteint X % d'éoliennes, alors qu'elle a l'électricité la plus décarbonée d'Europe », répète-t-on dans les troupes françaises. Privée de leviers d'influences, il est peu probable que la France, désormais, parvienne à imposer ses vues…

 Les Européens veulent peser dans la bagarre mondiale de la « cleantech »

D'autant plus que la nouvelle répartition des portefeuilles annoncée par Ursula von der Leyen annonce une gouvernance particulièrement complexe. À Paris, on souligne que le vice-président exécutif français, Stéphane Séjourné, disposera d'instruments de financements supplémentaires et aura la responsabilité du Pacte sur l'industrie propre (« Clean Industrial Deal »), annoncé par la cheffe de l'exécutif européen juste avant l'élection. Mais cette responsabilité figure aussi en toutes lettres dans la lettre de mission de Teresa Ribera, ce qui laisse présager des conflits d'arbitrage. « Six personnes différentes ont des portefeuilles liés à l'énergie : logement, eau et environnement, transports, climat, industrie… C'est un pied de nez au rapport Draghi, qui démontre que l'approche en silo est destructrice, comme on l'a vu avec l'échec des voitures électriques », redoute Cécile Maisonneuve.

Les commissaires seront auditionnés par le Parlement européen entre le 14 et le 18 octobre. Mais il y a peu de chances qu'ils soient désavoués… « Les socialistes sont plus que bien servis dans cette nouvelle commission, le PPE a 15 commissaires sur 27 et ne peut pas voter contre, et Stéphane Séjourné décroche une vice-présidence, alors que son groupe Renew a beaucoup perdu », décrypte un fin connaisseur du Parlement européen. Qui s'inquiète du message envoyé aux opinions d'Europe, qui ont clairement exprimé, lors des derniers scrutins européens et nationaux, le rejet d'un « Pacte vert » imposé sans études d'impact, et sans concertations. Ursula von der Leyen, fragilisée, assure dans ses discours les avoir entendus. Dans les faits… c'est aujourd'hui moins sûr.

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On a l’impression en France du fait de la médiocrité de nos dirigeants de tous bords depuis surtout la fin de nos empires coloniaux africains et magrébins et cette immigration de les après 1eres guerres mondiales14/18 et surtout 39/45 maintenant et avant de cette VEME REPUBLIQUE FRANCAISE vieillissante usée de + 66 ans créée par le Général de Gaulle en 1958 !?

Quant à Mme URSULA VON DER LEYEN présidente de la commission européenne elle n’a pas eu de mal à être plus intelligente que nos ex dirigeants Français par exemple comme les anciens JOSPIN CHIRAC SARKOZY HOLLANDE and co° etc et bien sur le dernier en place ce remarquable nul Mr MACRON ce roitelet sans couronne fat qui se moque d’eux en les dédaignant qui n’a rien fait en 2017élu et réélu par des français par défaut en 2022 car ne sachant plus choisir après le MITTERANDISME de gauche qui fut aussi un échec et maintenant pour l’instant on a un vieux politicien bien qu’émérite mais aussi vieux en fin de carrière Mr BARNIER 1er ministre qui a bien du mal à constituer son gouvernement car il a déjà un clou ou caillou dans sa chaussure : Notre président mais lui qui n’est pas gêné car lui attend sans amour propre 2027 car ayant été battu à la dernière législative comme quoi cela ne sert pas à grand-chose notre système electoral qui favorise le pouvoir en place et dont certains croient que de faire une action en destitution du président puisse servir à quelque chose mais tellement compliqué donc sans effet ce qui fait le bonheur des médias diverses !?

Alors bravo aux Français lambda qui regardent leur pays sombrer du moment qu’on ne leur enlève pas leurs petits avantages étriqués du « chacun pour soi » comme pour nos poignées de politiciens de tous bords !?

Car fini la fête des J.O. et paralympiques « macroniens » alibi genres d'arbres qui cachaient la forêt de l'incompétence de notre président et les ennuis à venir !?

Je prends 8 jours de vacances (loin loin) de la France que pourtant j'aime avant le pire peut être !?

 

JDeclef 18/09/2024 14h09


dimanche 15 septembre 2024

L’Europe est-elle condamnée au déclin ? De toute façon si cela s’empire encore car avec MACRON qui est indéboulonnable jusqu’en 2027 il ne fera pas de miracle .Mais les USA eux ont déjà subi en 1930 une méga crise en faisant la queue a la soupe populaire et bien plus puissante que cette U.E mais vient de mettre en marche forcée une réindustrialisation qu’ils veulent comparer en plus grand au plan MARSHAL d’après guerres mondiales et eux ils y arriveront avec leur 333 millions d’AMERICAINS ce qu’ils se disent avant tout quand on les interrogent nous on ne dit pas EUROPEENS mais FRANCAIS (bien franchouillards !?)

 

LA CHRONIQUE DE GÉRARD ARAUD. Les Européens sont à la traîne plus qu’au volant des transformations rapides que connaît le monde actuellement.

Par Gérard Araud

Publié le 15/09/2024 à 08h00

En dehors des risques géopolitiques, l’Europe doit jouer tout son rôle dans la révolution technologique. © UNION EUROPEENNE / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

(MALHEUREUSEMENT LES FRANÇAIS SEMBLENT BETES A BOUFFER DU FOIN DANS DES RATELIERS VIDES CAR INCURABLES !?)

Mr MACRON S’EST ENCORE MOQUE OUVERTEMENT DES FRANÇAIS AVEC CES J.O. ET PARALYMPIQUES FESTIFS C’ETAIT TRES SYMPATIQUE ET A FAIT PLAISIRS AUX ATHLETES ET FRANÇAIS QUI LE MERITENT ALORS QUI N’A PAS AIME CELA C’EST SUR ?! MAIS MAINTENANT QUAND LE SOUFFLE SERA RETOMBE ET QUE LE NOUVEAU GOUVERNEMENT SERA ENFIN NOMME ON VERRA COMBIEN DE TEMPS IL RESISTERA AVEC CE BON MR BARNIER DONC C’EST LOIN D’ETRE GAGNE !?

*

Non seulement l'Europe connaît le retour de la guerre interétatique après la plus longue période de paix depuis la chute de l'Empire romain, mais son environnement immédiat est porteur de menaces. La Turquie étend désormais ses ambitions du Caucase à la Libye, en passant par les eaux territoriales de Chypre et de la Grèce. Au Moyen-Orient, l'Iran se rapproche dangereusement du seuil nucléaire. La Libye n'a pas trouvé son équilibre depuis la chute de Kadhafi. La Tunisie et l'Algérie sont ballottées entre autoritarisme, islamisation et aspiration à la démocratie. Enfin, au sud du Maghreb, l'explosion démographique d'une Afrique dont la population devrait presque doubler au cours des décennies qui viennent annonce l'accroissement dramatique de la pression migratoire.

En dehors des risques géopolitiques, l'Europe doit jouer tout son rôle dans la révolution technologique qui nous attend. A priori, elle dispose des ressources scientifiques pour y parvenir. Or, il n'en est rien : ses chercheurs et ses ingénieurs partent en nombre croissant aux États-Unis où ils sont assurés de trouver les financements nécessaires et le climat favorable à l'entrepreneuriat, dont ils ont besoin. On l'a dit : les États-Unis innovent ; l'Europe réglemente. Ambassadeur à Washington, je n'ai cessé de rencontrer de jeunes Français qui venaient faire fructifier une idée ou un brevet ou qui venaient conduire des recherches. Ils savaient que tout leur serait plus facile outre-Atlantique. On peut se demander si notre continent n'est pas en train de devenir une destination touristique enviée pour ses paysages, ses monuments et sa qualité de vie pendant que l'avenir se forge ailleurs.

 Compétitivité en Europe : les 20 propositions chocs de Mario Draghi

Face à ces défis, les Européens sont tout à leurs problèmes intérieurs. Le modèle allemand est brisé. S'appuyant sur une énergie d'origine russe à bon marché, sur ses exportations et la protection américaine, il subit de plein fouet les conséquences de la guerre en Ukraine, de l'abandon de l'énergie nucléaire et de la concurrence chinoise. Son système politique est, de surcroît, ébranlé par le populisme de droite comme de gauche. Fondé sur le consensus, il peine à prendre les décisions difficiles qui s'imposent dans un pays qui, de surcroît, vieillit rapidement et s'accroche à un statu quo jusqu'à récemment très confortable.

Une France affaiblie

De son côté, la France, déjà affaiblie par sa situation budgétaire, s'enfonce dans une crise politique qui risque de durer et ne lui permettra pas de peser au sein de l'UE. La politique étrangère, c'est la projection extérieure d'une puissance intérieure. Une France divisée au gouvernement fragile n'impressionnera guère nos partenaires. Ailleurs, les populismes, qui partout se font entendre (qu'ils parviennent ou non au gouvernement), prônent un nationalisme qui va à l'encontre d'une réponse coordonnée par Bruxelles.

Le « chacun pour soi » d'États dont certains sont au mieux des puissances moyennes, face aux empires qui se réveillent, promettrait des lendemains douloureux. De toute façon, de leur côté, les partis modérés cèdent facilement aux vœux d'une population vieillissante qui demande plus de la protection que de l'innovation. L'UE prend l'allure d'une maison de retraite et non d'une start-up…

Le libre-échange pour les nuls

Les Européens sont donc à la traîne plus qu'au volant des transformations rapides que connaît le monde. Le protectionnisme est de retour, qu'il soit franc comme aux États-Unis ou plus dissimulé comme en Chine, où tout est fait pour encourager les exportations industrielles. La production européenne des panneaux solaires n'y a pas résisté ; celle des véhicules électriques pourrait suivre.

Alors qu'États-Unis et Canada ont imposé des droits de douane de 100 % sur ces exportations chinoises, l'UE n'a pas osé aller au-delà de 37 %. Il est vrai que l'Allemagne, qui réalise 40 % de ses exportations automobiles en Chine, s'y oppose. Hongrie, Suède et Espagne la soutiennent. On sent que Bruxelles se réveille progressivement de son « libre-échange pour les nuls » qui constituait son dogme, alors que tous nos partenaires l'ont jeté aux orties ou n'y ont jamais cru.

Mais, comme d'habitude, étant donné la lourdeur des procédures et la division des États membres, ce sera long et insuffisant. Le rapport Draghi que vient de publier la Commission, qui propose des pistes d'action audacieuses pour sortir notre continent de son marasme, n'a d'ailleurs été accueilli que par le silence de la plupart et un refus net de Berlin.

 Pourquoi Mario Draghi fait de l'énergie la mère des batailles

Face aux menaces militaires, tous les États européens ont commencé à augmenter leur budget de la Défense, parfois substantiellement comme la Pologne. Mais les annonces ne sont pas toujours suivies d'effet, comme en Allemagne, et les marges de manœuvre budgétaires sont parfois réduites, comme en France ou en Italie. De toute façon, les limites imposées au soutien à l'Ukraine, dans son volume comme dans l'usage des armes transférées, ne sous-entendent pas une détermination géopolitique à toute épreuve. L'Europe s'agite dans son sommeil mais n'est pas encore réveillée.

Faut-il désespérer pour autant ? Prétendons-nous, Européens, rester spectateurs d'une Histoire qui se réveille ? Encore faudrait-il qu'on nous en laisse profiter… Ce qui est problématique si nous en laissons la décision à Moscou, à Ankara, à Pékin ou même à Washington

 

Oui l’EUROPE des « 27 » dite UNIE est en déclin car se croit protégé financièrement par cet Euro miracle comme pour la France et d’autres de ses pays de la communauté européenne n’ont jamais perdu leur mauvaise habitude du fameux  « chacun pour soi égoïste en tirant la couverture à eux-mêmes de chaque pays ou nations libres et encore démocratiques de cette fameuse U.E. et surtout les Français lambda dont une majorité ni comprennent rien surtout avec le niveau de l’enseignement donné par notre Education Nationale hyper politisée par un ministère de fonctionnaires bornés dédiés aux pouvoirs en MACRONIEN ou ceux d’avant destinés indirectement aux jeunes dont beaucoup s’en fichent car quand on est jeunes maintenant avec les tentations médiatiques réseaux sociaux télévision et ses multi chaines et canaux divers et en plus avec cette intelligence artificielle avec laquelle on peut maquiller tout fakes news et information fausses  ou erronées à dessein!?

Pensez donc moi qui suis déjà un pépé comme dit ma fille de 42 ans qui travaille et diplômée m’a dit en boutade tu pourrais être 1er ministre comme BARNIER tu es plus vieux que lui qui a déjà 74 ans !?

À la fin du quatrième trimestre 2017, la dette nette des administrations publiques s'élève à 2 005,5 Md€, soit 87,7 % du PIB mais bon tout cela est donc irremboursable car maintenant on est à établir à 3 200 milliards d'euros en 2024, soit environ 110,6 % du PIB, l'un des taux les plus élevés en Europe.17 juil.

Et nos dirigeants « macroniens » noient le poisson en faisant croire à tous ses gogos de citoyens Français que ce n’est grave et virtuel car on a l’Euro miracle pourtant on commence à voir que cette monnaie bat de l’aile car aussi l’ALLEMAGNE qui est en difficulté et les investisseurs commencent à freiner leur envie de s’installer en France ?!

La dette publique des États-Unis a atteint cette année plus de 34,5 billions de dollars (34 598 milliards de dollars, soit environ 31,9 billions d'euros) et avec la puissance des USA !? 

Jdeclef15/09/2024 14h06


vendredi 13 septembre 2024

De toute façon avec la génération actuelle des Français lambda il ne fallait pas espérer mieux car ils se sont resignés à attendre 2027 d’ci là on sera peut-être vraiment en faillite !?

 

Jeux paralympiques : « Cette édition a marqué un tournant »

INTERVIEW. Au lendemain de la belle fête des Jeux paralympiques, Sylvain Ferez, sociologue, confie au « Point » ses analyses sur le spectacle, les discours, les promesses et l’héritage. (Il y a longtemps que le tournant à angle droit était amorcé !?)

Par Nathalie Lamoureux

Publié le 12/09/2024 à 09h00

Charles Noakes, Gloria Agblemagnon, Ugo Didier, Frédéric Villeroux et Mathieu Bosredon, de l'équipe de France, applaudissent alors qu'Aurélie Aubert souffle la flamme olympique lors de la cérémonie de clôture du onzième jour des Jeux paralympiques d'été de Paris 2024, au Stade de France à Paris, le 8 septembre 2024. © Abdullah Firas / Abdullah Firas/ABACA

Audience, spectateurs, médailles, ce sont les Jeux de tous les superlatifs, sans grève ni attentat. Samedi 14 septembre, tous les acteurs des Jeux de Paris 2024 défileront en contrebas des Champs-Élysées et jusqu'à la place de l'Étoile. Puis une centaine d'athlètes – olympiques et paralympiques – remonteront l'avenue avant d'être décorés, vers 18 h 30, par Emmanuel Macron, sur une scène de 400 m de long, en forme d'anneau, autour de l'Arc de Triomphe. Sylvain Ferez, maître de conférences à la faculté des sciences du sport de l'université de Montpellier, spécialiste de l'héritage paralympique et de l'accès au sport des personnes handicapées, ne ratera pas une miette de cette cinquième cérémonie.

Le Point : Les JO ont été une vraie réussite. Les Jeux paralympiques l'ont-ils été dans la même mesure ?

Sylvain Ferez : La livraison des Jeux à proprement parler constitue une véritable réussite au niveau de la cérémonie d'ouverture, de l'organisation globale des épreuves, de la grande diversité dans les sports représentés, de la forte affluence (2,5 millions de billets vendus), de la qualité de la couverture télévisée. Globalement, nous avons légèrement amélioré le message et la généralisation de la diffusion. Pendant longtemps, l'image des Jeux paralympiques est restée centrée sur les personnes à mobilité réduite. Cette édition a marqué un tournant, notamment avec la cérémonie d'ouverture qui a mis en avant la diversité des handicaps, dépassant la seule représentation des utilisateurs de fauteuils roulants pour inclure une variété de corps avec des déficiences motrices, mais aussi sensorielles et intellectuelles. Innovation symbolique, c'est aussi la première fois que la vasque est allumée par quatre personnes très différentes les unes des autres.

Les Jeux de Londres avaient suscité des débats en présentant les athlètes paralympiques comme des « surhommes ». Paris a-t-il réussi à mieux équilibrer ce discours ?

Il serait pertinent d'analyser la réception des Jeux, mais il est encore trop tôt pour avoir suffisamment de recul. Bien qu'il y ait eu un effort pour proposer des discours plus équilibrés, l'accent mis sur l'exception française, sur le plan tant artistique que sportif, entraîne une forme d'héroïsation, ce qui présente toujours le risque d'altérer le message sur l'ordinaire. Il ne s'agit pas de nier l'exceptionnalité, mais de veiller à ce qu'elle soit perçue de manière à inspirer des réflexions sur la normalité, et non à la remplacer. Le danger est de rendre les athlètes tellement extraordinaires que cela laisse entendre que seules les personnes ayant des déficiences qui réalisent des exploits exceptionnels ont droit à une place dans la société « ordinaire », que ce soit dans leurs environnements professionnels ou sociaux. L'art et les sports paralympiques, par ce qu'ils montrent, sont plus riches que les discours qui l'accompagnent. Le moins bon, ce sont les discours officiels.

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N'avez-vous pas été sensible à l'expression choc de « révolution paralympique », prononcée par Tony Estanguet, place de la Concorde, lors de la cérémonie d'ouverture ?

Je crois que, justement, il n'y a pas de révolution. Ce qui se joue ici relève plutôt d'une stratégie de communication visant à valoriser une organisation à travers des mots forts. Toutefois, cette rhétorique masque souvent la réalité. Un discours, aussi puissant soit-il, ne peut pas être performatif à lui seul. Il ne suffit pas de clamer une « révolution inclusive » pour qu'elle advienne. Il faut produire de nouveaux aménagements et de nouveaux points de vue, liés à une approche plus fine et plus nuancée. Or la finesse dans ces discours reste encore limitée. Par exemple, nous utilisons systématiquement le terme « personne en situation de handicap » pour toutes les personnes sans marquer la diversité des situations. Ce terme, finalement, ne veut pas dire grand-chose. C'est une expression politiquement correcte qui dilue le propos, évite de nommer les choses clairement et surtout crée une distance, une sorte de réification, où l'on parle des « eux » et des « ils » au lieu de reconnaître la diversité réelle des situations et nommer les incapacités. Raisonner ainsi, c'est envisager le vieillissement, la possibilité d'avoir un accident, d'être blessé, d'avoir un handicap ponctuel parce qu'on a tous eu des béquilles à un moment donné. Autant dire, plus simplement, « personnes handicapées ». Mais, pour ma part, quand j'utilise ce terme, il ne s'agit pas d'un substantif qui réduit les personnes à leur déficience ou leur incapacité, quelle qu'elle soit. J'emploie l'adjectif pour souligner le fait qu'elles rencontrent des obstacles qui les handicapent, obstacles qu'il convient – il s'agit de notre responsabilité collective – de percevoir afin de pouvoir les « lever » ou les réduire.

Du côté des performances, qu'est-ce qui vous a frappé ?

Le sujet est vaste, mais quelques points clés émergent. À commencer par la domination frappante de la Chine (première avec 220 médailles). Cela surprend, car on les voit peu dans les compétitions internationales. Depuis les Jeux de Pékin, ils ont mis en place une filière de très haute performance, avec un écosystème compétitif bien structuré. Ce succès n'est pas lié à une transformation de la vision du handicap en Chine, mais plutôt à une volonté de soft power et de briller sur la scène internationale. À l'opposé, les Pays-Bas, un petit pays de 18 millions d'habitants, se classent dans le top 5 avec 56 médailles. En termes de ratio, ils surpassent tout le monde, y compris la France. Nous sommes dans le cas d'un pays qui, à l'inverse de la Chine, est plus avancé sur les dimensions de reconnaissance de la diversité et de l'inclusion. La politique publique néerlandaise, notamment en matière de mobilité réduite et de droits humains, en est un exemple.

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Que dire de la France ?

Le cas de la France est intéressant. Des moyens ciblés ont été mis en œuvre pour avoir des médailles, grâce à l'instauration d'une filière de haut niveau et un programme qui s'appelle « La relève », lancé dès 2019 pour identifier et former des athlètes capables de remporter des titres. Cela s'est accompagné d'un investissement de 20 millions d'euros dédié à la recherche sur la très haute performance, olympique et paralympique. Cette initiative, soutenue par le plan d'investissement d'avenir France 2030, finance des projets de recherche visant à améliorer les performances des athlètes, notamment grâce à l'innovation technologique. Les effets de cette stratégie sont déjà visibles avec un grand nombre de médailles, mais l'impact réel de cet investissement se fera sentir à long terme, notamment lors des Jeux de Los Angeles en 2028 et à Brisbane en 2032. D'autres pays, comme le Royaume-Uni, l'Australie et le Brésil, capitalisent également sur les structures mises en place lors de précédentes éditions des Jeux.

Au-delà de l'excitation et des performances sportives, quel effet de levier ces Jeux paralympiques vont-ils avoir en France ?

C'est difficile à dire dans la mesure où la suite n'a pas été aussi bien préparée. L'investissement reste concentré sur la recherche sur le haut niveau, et peu sur l'héritage. Cela pose la question de l'exceptionnalité : on investit massivement pour des performances exceptionnelles, mais les effets sur l'inclusion au quotidien restent plus modestes. En 2012, après les Jeux, Londres a connu un petit rebond de la pratique des personnes ayant des déficiences, de même que l'année suivante. Mais, ensuite, les chiffres de fréquentation ont sensiblement baissé, car il n'était pas prévu une offre adaptée à des déficiences aussi diverses. En France, les pouvoirs publics ont mis de l'argent pour créer un réseau de 3 000 clubs inclusifs ou « para-accueillants ». C'est bien, mais on s'est aperçu que beaucoup de clubs qui demandent le label étaient en réalité déjà sensibilisés. L'offre ne sera peut-être pas aussi étendue que cela. Sera-t-elle efficace et sera-t-elle durable ? Sur ce point, la recherche n'a pas été impliquée. Je trouve très inquiétant le fait qu'aucun dispositif de recherche n'ait été prévu pour évaluer ces programmes, assurer leur pérennisation et travailler à leur amélioration, et plus globalement accompagner des politiques publiques sur le long terme.

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La candidature de Paris avait promis l'accessibilité de tous les sites et des gares ferroviaires. Dans les faits, cette promesse n'a pas été entièrement tenue. Était-ce prévisible ?

Absolument. Il aurait été plus réaliste d'annoncer dès le départ que les Jeux serviraient de démonstrateur, sur un mode expérimental, avec une évaluation derrière. Les organisateurs auraient dû identifier les lieux les plus pertinents pour cette expérimentation et envisager des mesures concrètes pendant l'événement et post-Jeux en contractualisant des engagements à long terme avec l'État et les collectivités. Cela aurait permis de marquer les Jeux comme un point de départ sérieux, crédible aux yeux des experts et des sociologues, et non simplement un « effet waouh » temporaire. Trop souvent, on alimente la croyance que les discours suffisent, alors que les réalités sont plus complexes et nécessitent du temps et des efforts concertés. Le retard en matière d'accessibilité en France est évident, et l'enjeu aurait dû être de lancer un véritable plan d'action sur le moyen ou le long terme, ce qui n'a malheureusement pas été fait avant les Jeux. Je crois aux démonstrateurs, car tout ne peut pas être transformé rapidement. Il y a des espaces qu'on aura du mal à changer. Nous n'allons évidemment pas détruire nos monuments historiques parce qu'ils ne sont pas accessibles. Mais nous pouvons penser quelques aménagements ingénieux et les regarder comme les traces d'époques qui ont produit de belles choses mais qui n'avaient pas encore ce souci de la diversité. Cela nous permettrait de nourrir notre propre réflexion contemporaine sur l'inclusion et, tout en prenant la mesure des évolutions sociales en cours, d'enrichir notre culture et notre intelligence de la diversité.

J’ai été éblouis et agréablement surpris par ces jeux paralympiques qui ont mis en valeurs tout ces handicaps souvent dans leurs vies humaines et qui ont apporté leurs malheurs à des hommes femmes voire enfants dans leurs vies courantes ou professionnelles souvent en plus du par l’imprudence ou la malveillance ou maladies de nos concitoyens et voire ces politiciens et dirigeants incapables de nous protéger efficacement contre ces aléas de la vie moderne !?

Et contre certains Français qui se permettent de comparer cela avec des jeux du cirque alors que pour les animaux sauvages qui sont interdit maintenant de montrer ces bêtes en cage en les dressant à coups de fouet !?

Car ses hommes et femmes sont de athlètes accomplis qui peuvent même se comparer à des athlètes valides et qui nous ont enthousiasmé car là ont les a montrés aux Français et autres par voies télévisuelles et médiatiques et autres diverses peut-être parce qu’ils étaient en France pays des droits de l’homme un des plus libres et démocratiques du monde ce qui est un avantage appréciable et  trop politisé par notre président grand donneur de leçons hypocrite de bienpensant qui a dû annoncer l’ouverture de ceux-ci car c’était la tradition qu’on a peu entendu et s’est peu montré car c’était amplement suffisant !?

Je regarde les J.O. depuis toujours mais on ne parlait pas beaucoup des paralympiques et depuis que je suis retraité depuis 2006 car j’ai maintenant du temps pour les regarder ?!

Pour terminer je dirais aux « pisses vinaigres » politiciens et autres donneurs de leçons hypocrites dit bienpensant de tous poils qui critique tout dans notre pays si mal gouverné qu’ils ne lisent pas ce commentaire car incurables bornés !?

 

jDeclef 13/09/2024 11h46 LP

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mercredi 11 septembre 2024

Nous les FRANÇAIS qui sommes si mal gouvernés et mal protégés par un gouvernement pas encore nommé malgré ce nouveau 1er ministre (soi-disant miracle) Mr BARNIER on n’a pas de leçon à donner aux américains donc « arrêtons de jeter le bébé avec l’eau du bain et balayions devant notre porte » car nous on en qu’un de président mais pire !?

 

Dans un débat tendu, Kamala Harris laisse Donald Trump se saborder

Après une entame correcte, l’ancien président est retombé dans ses travers complotistes. Mieux préparée, la vice-présidente a proposé aux Américains de « tourner la page ».

Par Philippe Berry

Publié le 11/09/2024 à 08h02, mis à jour le 11/09/2024 à 10h15

Quand on perd le match, il ne reste souvent qu'un recours : critiquer l'arbitre. À peine le premier débat entre Donald Trump et Kamala Harris terminé, mardi soir, la belle-fille de l'ancien président, Lara Trump, s'indigne sur les plateaux télé : « C'était un contre trois ! » Mais si les modérateurs de ABC ont fact-checké à plusieurs reprises Donald Trump en temps réel, c'est parce qu'il a multiplié, tel un disque rayé, les déclarations au mieux farfelues, au pire mensongères. Reste à voir si la vice-présidente, qui entretient le flou sur son programme, aura convaincu des indécis.

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Fait surprenant, Donald Trump et Kamala Harris ne s'étaient jamais rencontrés. Leur échange, à Philadelphie, commence par une poignée de main, puis la vice-présidente lance les débats : « J'ai grandi dans une famille de la classe moyenne, et je suis la seule personne sur la scène du débat ce soir qui a un plan pour permettre à la classe moyenne et aux travailleurs américains de prospérer. » Elle cite notamment un abattement fiscal de 6 000 dollars pour un premier enfant et de 50 000 dollars pour « créer son entreprise », et ironise sur son adversaire « qui a hérité de 400 millions de dollars de son père et a fait banqueroute six fois ». « Elle n'a pas de plan. Elle a copié celui de Joe Biden. Son plan, c'est une phrase de quatre mots. Certains prix se sont envolés de 60 ou 70 %. C'est une catastrophe. C'est une marxiste, tout le monde le sait. Son père était un professeur marxiste. Elle a bien appris ses leçons », rétorque Donald Trump, dans son meilleur moment de la soirée.

Que valent les programmes économiques de Donald Trump et Kamala Harris ? Le républicain embraye sur le point faible de Kamala Harris : l'immigration. Il l'accuse d'avoir laissé, avec Joe Biden, « des millions de personnes affluer dans notre pays depuis les prisons, les établissements psychiatriques et les asiles d'aliénés ». Harris rappelle que démocrates et républicains avaient réussi à se mettre d'accord sur une réforme musclée. « Mais Donald Trump a décroché son téléphone et il a tué (le texte) car il préfère faire campagne sur un problème plutôt que de le régler. »

« Ils mangent les chiens. Ils mangent les chats »

Donald Trump commence à glisser sur l'avortement. Il assure que les démocrates soutiennent des IVG « même après la naissance », parlant de « meurtre ». La journaliste de ABC, Linsey Davis, le reprend : « Il n'y a aucun État dans ce pays où il est légal de tuer un bébé après sa naissance. » « J'avais prévenu qu'on allait entendre des mensonges », riposte Harris. « À cause de Donald Trump, il y a des femmes qui se vident de leur sang sur des parkings, car les docteurs refusent de les soigner par peur d'aller en prison. Il y a des États où l'avortement est interdit sans exception en cas de viol ou d'inceste. C'est immoral. » L'ancien président rappelle qu'il soutient ces exceptions, mais que « chaque État est libre de décider ».

La discussion revient sur l'immigration. Comme son colistier J. D. Vance, Donald Trump relaie des rumeurs selon lesquelles des migrants haïtiens s'attaqueraient aux animaux de compagnie des habitants de Springfield, dans l'Ohio. « Ils mangent les chiens. Ils mangent les chats », assure-t-il. Kamala Harris roule des yeux et rit aux éclats. Les modérateurs le reprennent à nouveau : les élus locaux ont démenti et la police a assuré que personne n'avait signalé de vols d'animaux de compagnie.

« J'ai un concept de plan »

Sur les questions internationales, Kamala Harris déroule. Elle rappelle qu'elle a rencontré Zelensky avant l'invasion russe et détaille les armes que les États-Unis ont livrées à l'Ukraine. Comme à son habitude, Donald Trump répète qu'il mettra fin à cette guerre, s'il est réélu, « en 24 heures » avec deux coups de téléphone à Poutine et Zelensky. « Cette guerre serait finie en 24 heures car il [Trump] abandonnerait [l'Ukraine] », tacle Harris. « Si Trump était président, Poutine trônerait à Kiev en louchant sur la Pologne », continue la démocrate. Qui se livre à un cinglant réquisitoire contre son adversaire « qui cajole des dictateurs qui le manipulent par la flatterie et des faveurs », et « échange des lettres d'amour avec Kim Jong-un ».

« Kamala Harris a mis le wokisme en sourdine » Sur la situation à Gaza, la vice-présidente américaine assure qu'elle protégera toujours « le droit d'Israël à se défendre » mais insiste : « Cette guerre doit se terminer. » « Si elle devient présidente, je crois qu'Israël n'existera plus d'ici à deux ans », raille l'ancien président, qui prédit « une troisième guerre mondiale » avec la démocrate au pouvoir.

Malgré l'insistance des modérateurs, Donald Trump refuse une nouvelle fois de reconnaître sa défaite de 2020. Il défend l'action des émeutiers du Capitole, assurant qu'ils n'ont « tué personne », contrairement « aux illégaux qui déferlent sur notre pays ». Et alors que les modérateurs lui demandent si neuf ans après avoir juré de remplacer la réforme de la santé votée sous Barack Obama, il a « un plan », il répond : « J'ai un concept de plan. » Mais toujours aucun détail.

 « Nous avons besoin d'une guerrière » : Taylor Swift annonce soutenir Kamala Harris

Sur Fox News, le verdict du commentateur Brit Hume tombe : « Kamala Harris était préparée. Elle a gardé son calme. Elle l'a piégé avec succès. Trump a passé une mauvaise soirée. » La stratégie de la démocrate était simple : elle a laissé Trump faire du Trump. Et l'a dit aux Américains : “Nous n'avons pas à revenir en arrière. Nous pouvons tourner la page.” »

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Allons redescendons sur terre avec ce DUO DONALD TRUMP LE VILAIN CANARD NOIR opposé à KAMELA HARRIS une femme mieux éduquée elle n’a pas de mal avec son opposant mal élevé aboyeur de foire c’est cela la vraie  nouveauté car elle n’est pas stupide et quand même ex procureur donc pas nulle loin delà de cette justice US mais ce cinéma médiatique est digne d’un mauvais feuilleton HOLLYWOODIEN Californien par la défection de BIDEN pour raison de santé avec en plus ce système électoral bizarre de quelques grands états qui peuvent faire la pluie et beau temps en remportant l’élection grâce à quelque milliers de voix ?!

Une population de plus de 323 millions de personnes mais qui ne votent pas tous de la même façon qu’en FRANCE chaque État a au moins 3 grands électeurs et le nombre total de grands électeurs est de 538.Un système filandreux difficile à comprendre chez nous et Europe libre occidentale libre et démocratique mais il faut aussi savoir que ce sont les administrations qui pilotent le pays démocrates ou républicains heureusement car avec un TRUMP cela n’est pas avec son esprit compliqué revanchard et va-t’en guerre que çà peut aller !?

Pour leur histoire pas si ancienne que çà il faut se rappeler que ce peuple est issu de colonies européennes notamment anglaises (ou le CANADA mais qui lui s’est acheté une conduite raisonnable anglo/française avec son Québec notamment !?)

Car en ce qui concerne les USA cela ne sait pas fait sans heurts militaires avec l’Angleterre colonisatrice et ces futurs USA qui ont été bien aidé par la France de Louis XVI et LAFAYETTE : 19 avril 1775 - 11 avril 1783 (cessez-le-feu) · (7 ans, 11 mois et 23 jours) Traité de paix : 3 septembre 1783 et indépendance sans oublier La guerre de Sécession, ou Guerre civile américaine, est un conflit armé qui a opposé de 1861 à 1865, les États américains du Nord (Union) et ceux du Sud (Confédérés), après que ceux-ci aient fait sécession, en 1860 et 1861.

C’est peut-être pour cela qu’on est allié et attaché aux USA qu’on considère comme nos cousins d’outre atlantique qui sont venus à notre secours contre nazisme hitlérien lors des guerres mondiales avec aussi avec le plan MARSHAL pour redresser notre économie !?

Jdeclef 11/09/2024 15h43

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mardi 10 septembre 2024

Face à Michel Barnier, les (faux) musclés de la « macronie » mais si les Français ont changé de génération et ils ont perdu tout amour propre et bon sens mais en gagnant en individualisme borné qui profite aux pouvoirs en place !?

 

Sophie Coignard
Journaliste

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Pour mieux masquer leur effacement, les membres de l’ex-majorité veulent faire entendre leur différence et redoublent de créativité langagière.

Publié le 10/09/2024 à 07h19

Dans une situation politique des plus instables, en attente de la composition du nouveau gouvernement, la « macronie » cherche ses marques. Il y a les taiseux, ceux qui considèrent que le silence est d'or pour garder ou conquérir un poste de ministres. Mais avec la nomination de Michel Barnier, d'autres personnages ont retrouvé leur liberté et, avec elle, l'usage de la parole. C'est le cas, tout d'abord, du plus exposé d'entre eux, Gabriel Attal. Désormais pleinement chef des députés Ensemble pour la République (EPR, ex-Renaissance), il réunit ses troupes ce mardi à Rosny-sur-Seine, dans les Yvelines, et a précisé au préalable sa nouvelle philosophie : « Ni volonté de blocage ni soutien inconditionnel. »

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Une forme de « ni-ni » qui contraste avec le « et-et » que défendait Aurore Bergé, ministre démissionnaire chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, lundi soir sur France 5. Pour elle, le futur gouvernement devra « intégrer des membres du bloc central tout en démontrant qu'il y a une alternance ». Faire du neuf avec du vieux, en quelque sorte.

« Alors, qui va rentrer au gouvernement ? » : LR en ébullitionSigne des tiraillements en macronie, Roland Lescure, ministre de l'Industrie sortant et désormais vice-président de l'Assemblée nationale, se montre plus farouche… peut-être parce qu'il ne souhaite pas intégrer l'équipe de Michel Barnier. Il assurait, lundi, dans les colonnes de Libération que sa « confiance au gouvernement de Michel Barnier ne sera pas automatique » : « Nous nous inscrivons dans une logique constructive, sans signer de chèque en blanc. Une forme de “majopposition” ! On ne peut pas considérer notre soutien comme acquis. »

Néologismes en série

Il est intéressant de s'arrêter sur la contribution de Roland Lescure à l'enrichissement du vocabulaire politique. « Majopposition » est une de ces nouvelles créations langagières censées magnifier la position ambiguë de l'ancienne majorité présidentielle. Elle s'ajoute à d'autres néologismes, destinés à marquer à la fois une forme de rupture avec le passé, conforme aux souhaits des électeurs, et une certaine continuité, fidèle aux désirs du chef de l'État qui répugne à voir son « nouveau monde » exploser en vol.

Macron peut-il jouer les présidents modestes ? La première innovation est d'ailleurs sortie de l'Élysée, la semaine dernière, pour définir une cohabitation qui n'en serait pas vraiment une, une espèce de « changement dans la continuité ». La « coalitation », contraction de coalition et de cohabitation, n'a toutefois pas fait florès. Elle a été remplacée depuis par la « coexistence exigeante », formule plus facile à comprendre mais tout aussi nébuleuse.

François Bayrou, pour sa part, brandit le concept de « coresponsabilité », illustré par un merveilleux mais illusoire triptyque : « un président fort, un gouvernement fort, un Parlement fort ». À entendre le président du MoDem, on se demande pourquoi la France s'est privée si longtemps d'une aussi enviable équation politique !

 

Là c’est le pire qu’on puisse faire dans la qualité si médiocre de ses politiciens français et ceux de cette « macronie moribonde » que l’on supporte par les votes et mauvais choix des français lambda qui l’ont élu par défaut en 2017 et 2022 ce président alors qu’il n’avait rien fait de probant (après) avec cette clique de branquignols incapables et ce président le pire que l’on est eu en faisant cette dissolution inutile pour nous et pour lui-même car inéligible en 2027 !

Donc ce qui confirme qu’il ne sert à rien en pseudo apprenti hyper bavard autocrate qui nous as soulé par des discours creux alambiqués de bienpensant donneur de leçon hypocrite !?

Bien des français le déteste car il s’est moqué de citoyens « gens de peu  qu’il dédaigne car n’étant pas de son monde » et continue car il n’a rien à craindre de ces mêmes français râleurs peut être si loin de ceux qui ont fait la révolution Française depuis 235 ans car beaucoup ce sont embourgeoisés avec nos empires napoléoniens dans un monde instable actuel et même les trublions de 1968 qui avaient fuir un court temps le General de GAULLE auprès de son beau-frère haut général militaire en poste le General MASSU en fait mesure bidon médiatique de l’époque !?

Mais là on a fait mieux car en 1969 les Français ont rejeté de Gaulle grâce à un referendum et il a démissionné ?!

Depuis la France va de mal en pis et pire avec MACRON car on change de génération qui ne sais plus choisir et voter depuis+ de 40 ans et qui espère peut-être un miracle avec ce nouveau 1e ministre âgé que çà change MR BARNIER (si on le laisse gouverner !?)

Je crois que c'est les français qui sont difficiles à comprendre car ingouvernables frondeurs remontant au XVI eme siècle car on a gagné en technicité et modernisme voir facilité et éducation intellectuelle surtout après nos guerres mondiales et donc si nos concitoyens bornés ne se remettent pas en cause rapidement on sera perdu d'ailleurs la FRANCE continuera à chuter dans un trou sans fond !? 

Jdeclef 10/09/2024 17h32

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