Revendications,
perturbations… À quoi s’attendre pour la grève des enseignants ce mardi ?!
(Marginal qui gênera les parents bien sûr pour faire garder leurs enfants !?)
Les syndicats
d’enseignants réclament l’abandon des mesures du « choc des
savoirs », une revalorisation de leur salaire et des moyens pour l’école
publique.
Pour le reste
de ce qui ne va pas dans notre pays on a le choix car rien ne va ( sans compter
l’insécurité omniprésente et çà c’est plus grave car mal gouverné ou pas du tout
en fait par nos dirigeants et leurs cliques de ministres pitoyables !?)
Les « groupes de niveau »
au cœur de la mobilisation. Le 26 mars dernier, des syndicats
d'enseignants ont appelé à la grève et à manifester ce mardi 2 avril. Ils
réclament l'abandon des mesures du « choc des savoirs », mais
également une hausse de leur salaire et des moyens pour l'école publique.
Pourquoi les enseignants font-ils grève ?
Dans le viseur des enseignants en colère : l'instauration des groupes
de niveau en français et en mathématiques au collège. Ces derniers entreront en
vigueur à la rentrée scolaire 2024 pour les classes de sixième et de
cinquième, et à compter de la rentrée scolaire 2025 pour les classes
de quatrième et de troisième.
« Derrière la promesse d'une plus grande flexibilité, ce sont en
réalité des contraintes d'organisation et pédagogiques qui vont lourdement
fragiliser notre liberté pédagogique et casser la relation forte et continue
avec les classes et les élèves », ont dénoncé les syndicats.
L'arrêté sur la mise en place de ces groupes a été publié le 17 mars au Journal
officiel, avec une formulation qui ne reprend pas les termes de
« groupes de niveau », mais de groupes « constitués en fonction
des besoins des élèves ». « Le gouvernement est fébrile et en vient à
passer en force, en publiant des textes, au mépris de l'avis de la
profession », ont accusé les syndicats, qui refusent de « trier les
élèves ».
De son côté, le gouvernement nie en bloc toute notion de choix. « Je
refuse le tri social des élèves », a affirmé le 26 mars, sur France Inter,
la ministre de l'Éducation nationale, Nicole Belloubet.
« On veut améliorer les résultats de nos élèves en français et en maths,
qui sont les deux apprentissages fondamentaux », a plaidé la ministre.
Pacte enseignant : quel
bilan après six mois d'existence ? En outre, les
organisations syndicales réclament « une revalorisation salariale sans
contreparties et des moyens pour l'école publique ». Pour rappel, lors de
la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron en 2022, ce dernier avait fait la
promesse de revaloriser de 10 % le salaire des professeurs. En septembre
dernier, le Premier ministre, Gabriel Attal, avait promis que cette hausse
irait même « au-delà » : « Elle sera de 11 % »,
assurait-il.
Qui appelle à la grève ?
Le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, avec le SNEP-FSU (éducation
physique et sportive), SUD Éducation, la CGT éduc'action et la FNEC-FP FO
souhaitent « amplifier la mobilisation ». « Le 2 avril
marquera une nouvelle étape pour demander au gouvernement de revoir sa
copie », affirme de son côté
la FCPE dans un communiqué.
Quelles sont les perturbations prévues ?
Des manifestations dans plusieurs villes de France sont attendues. De Limoges
à Toulouse passant par Strasbourg et Rennes, le Snes-FSU recense près
de 90 manifestations dans un communiqué. À Paris, par exemple, un
rassemblement est organisé dès 14 heures avec le jardin du Luxembourg
comme point de départ. Dans la plupart des autres villes, les cortèges
s'élanceront entre 10 h 30 et 11 heures.
À Lille, sur les 79 écoles, 31 n'auront pas d'accueil
périscolaire le matin, 31 n'en auront pas le midi
et 22 n'en auront pas le soir, comme le rapporte Lille actu. Par
ailleurs, deux écoles seront totalement fermées.
Les enseignants ont-ils déjà manifesté contre ces mesures ?
« Depuis des mois, les personnels se mobilisent contre les groupes de
niveau. Grèves les 1er et 6 février, actions locales, vote
contre “le choc des savoirs” en CSE (Conseil supérieur de l'éducation),
réunions publiques avec les parents d'élèves, opération collèges morts… »,
énumèrent les syndicats.
En effet, plusieurs manifestations ont eu lieu ces derniers mois dans tout
le pays. Le 19 mars, 6,8 % des enseignants étaient en grève dans le
premier degré (maternelle et élémentaire) et 10,7 % dans le second degré
(collèges et lycées), selon les chiffres du ministère de l'Éducation nationale.
Le Snes-FSU avait de son côté enregistré 30 % d'enseignants grévistes.
Groupes de niveau : un
« choc de crédibilité » pour Gabriel AttalUn
chiffre supérieur à la mobilisation du 6 février, où 3,2 %
du personnel était en grève tous niveaux confondus et 9,52 % dans les
collèges, selon le ministère. Le Snes-FSU chiffrait de son côté à 40 % le
taux d'enseignants grévistes dans les collèges.
Le 1er février, la
journée de mobilisation dans l'Éducation nationale sur les conditions de
travail, les salaires et l'école publique avait été très suivie :
elle s'était traduite par un taux moyen d'enseignants grévistes de 20,3 %,
selon des chiffres officiels. Les syndicats avaient quant à eux avancé des taux
de 40 % de grévistes dans le premier degré et 47 % dans les collèges
et lycées.
C’est malheureux à dire cela semble dans les gènes
de leur profession pourtant valorisante car enseigner à de jeunes enfants
surtout en classes primaires ou ils essaient de leur apprendre les règles de
bases lire, écrire et compter est plus qu’utile à leurs vies futures !?
Car pour certains de ses enseignants plus motivés
que d’autres ils supplantent indirectement la mauvaise éducation de certains
parents qui envoient leurs enfants à l’école car obligatoire en France pour s’en
débarrasser car dépassés par leurs taches de parents et leur éducation (quand
ils en ont normales et correctes) dans leur vie courante familiale en dehors de
ces écoles par le respect des adultes et de leurs parents !?
Mais il n’y a pas que cela dans cette
profession de Fonctionnaires d’états car dépendant d’un ministère DE L’EDUCATION
DITE NATIONALE gigantesque surnommé « MAMOUTH » par certain ministre
car hautement politisé en fonction de la couleur politique du moment de ces présidents
ET QUI COUTE UNE FORTUNE aux contribuables avec leurs cliques de ministres souvent
incapables qui change aussi souvent que nos sous-vêtements comme bien sur les
programmes scolaires que les élèves plus faibles ont plus de mal à suivre ainsi
que leurs parents dont certains s’en prennent aux enseignants qu’ils ne
respectent pas mauvais exemple à donner aux enfants bien sûr !?
Avec pour les enseignants eux-mêmes (en plus mal
payés) qui craignent pour leur vie quotidienne que ce soit en classe dans leurs
écoles ou a l’extérieur dans la vie courante qui en arrive à édulcorer leurs
programmes pour ne pas fâcher certaines communautés et prendre de mauvais coups
!?
Naturellement il reste l’enseignement privé libre
ou les pensions ou internat pour les parents plus fortunés mais ou les
programmes d’états sont respectés car obligatoires !?
Mais cela ne date pas d’aujourd’hui mais représente
bien la mauvaise qualité de la gouvernance de notre pays qui se dégrade comme
le niveau scolaire de nos enfants !?
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