mardi 2 avril 2024

On est pays de fonctionnaires kafkaïens spécialistes des grèves à tout va dans nos services publics ou semi privés Enseignants Transports en communs SNCF/RATP services de santés hôpitaux pour les plus connus etc… Dans un pays de cette Veme république pseudo monarchique mal gouvernée depuis + de 40 ans !?

 

Revendications, perturbations… À quoi s’attendre pour la grève des enseignants ce mardi ?! (Marginal qui gênera les parents bien sûr pour faire garder leurs enfants !?)

Les syndicats d’enseignants réclament l’abandon des mesures du « choc des savoirs », une revalorisation de leur salaire et des moyens pour l’école publique.

Par Chloé Sémat pour Le Point

Pour le reste de ce qui ne va pas dans notre pays on a le choix car rien ne va ( sans compter l’insécurité omniprésente et çà c’est plus grave car mal gouverné ou pas du tout en fait par nos dirigeants et leurs cliques de ministres pitoyables !?)

Les « groupes de niveau » au cœur de la mobilisation. Le 26 mars dernier, des syndicats d'enseignants ont appelé à la grève et à manifester ce mardi 2 avril. Ils réclament l'abandon des mesures du « choc des savoirs », mais également une hausse de leur salaire et des moyens pour l'école publique.

Pourquoi les enseignants font-ils grève ?

Dans le viseur des enseignants en colère : l'instauration des groupes de niveau en français et en mathématiques au collège. Ces derniers entreront en vigueur à la rentrée scolaire 2024 pour les classes de sixième et de cinquième, et à compter de la rentrée scolaire 2025 pour les classes de quatrième et de troisième.

« Derrière la promesse d'une plus grande flexibilité, ce sont en réalité des contraintes d'organisation et pédagogiques qui vont lourdement fragiliser notre liberté pédagogique et casser la relation forte et continue avec les classes et les élèves », ont dénoncé les syndicats.


L'arrêté sur la mise en place de ces groupes a été publié le 17 mars au Journal officiel, avec une formulation qui ne reprend pas les termes de « groupes de niveau », mais de groupes « constitués en fonction des besoins des élèves ». « Le gouvernement est fébrile et en vient à passer en force, en publiant des textes, au mépris de l'avis de la profession », ont accusé les syndicats, qui refusent de « trier les élèves ».

De son côté, le gouvernement nie en bloc toute notion de choix. « Je refuse le tri social des élèves », a affirmé le 26 mars, sur France Inter, la ministre de l'Éducation nationale, Nicole Belloubet. « On veut améliorer les résultats de nos élèves en français et en maths, qui sont les deux apprentissages fondamentaux », a plaidé la ministre.

 Pacte enseignant : quel bilan après six mois d'existence ? En outre, les organisations syndicales réclament « une revalorisation salariale sans contreparties et des moyens pour l'école publique ». Pour rappel, lors de la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron en 2022, ce dernier avait fait la promesse de revaloriser de 10 % le salaire des professeurs. En septembre dernier, le Premier ministre, Gabriel Attal, avait promis que cette hausse irait même « au-delà » : « Elle sera de 11 % », assurait-il.

Qui appelle à la grève ?

Le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, avec le SNEP-FSU (éducation physique et sportive), SUD Éducation, la CGT éduc'action et la FNEC-FP FO souhaitent « amplifier la mobilisation ». « Le 2 avril marquera une nouvelle étape pour demander au gouvernement de revoir sa copie », affirme de son côté la FCPE dans un communiqué.

Quelles sont les perturbations prévues ?

Des manifestations dans plusieurs villes de France sont attendues. De Limoges à Toulouse passant par Strasbourg et Rennes, le Snes-FSU recense près de 90 manifestations dans un communiqué. À Paris, par exemple, un rassemblement est organisé dès 14 heures avec le jardin du Luxembourg comme point de départ. Dans la plupart des autres villes, les cortèges s'élanceront entre 10 h 30 et 11 heures.

À Lille, sur les 79 écoles, 31 n'auront pas d'accueil périscolaire le matin, 31 n'en auront pas le midi et 22 n'en auront pas le soir, comme le rapporte Lille actu. Par ailleurs, deux écoles seront totalement fermées.

Les enseignants ont-ils déjà manifesté contre ces mesures ?

« Depuis des mois, les personnels se mobilisent contre les groupes de niveau. Grèves les 1er et 6 février, actions locales, vote contre “le choc des savoirs” en CSE (Conseil supérieur de l'éducation), réunions publiques avec les parents d'élèves, opération collèges morts… », énumèrent les syndicats.

En effet, plusieurs manifestations ont eu lieu ces derniers mois dans tout le pays. Le 19 mars, 6,8 % des enseignants étaient en grève dans le premier degré (maternelle et élémentaire) et 10,7 % dans le second degré (collèges et lycées), selon les chiffres du ministère de l'Éducation nationale. Le Snes-FSU avait de son côté enregistré 30 % d'enseignants grévistes.

Groupes de niveau : un « choc de crédibilité » pour Gabriel AttalUn chiffre supérieur à la mobilisation du 6 février, où 3,2 % du personnel était en grève tous niveaux confondus et 9,52 % dans les collèges, selon le ministère. Le Snes-FSU chiffrait de son côté à 40 % le taux d'enseignants grévistes dans les collèges.

Le 1er février, la journée de mobilisation dans l'Éducation nationale sur les conditions de travail, les salaires et l'école publique avait été très suivie : elle s'était traduite par un taux moyen d'enseignants grévistes de 20,3 %, selon des chiffres officiels. Les syndicats avaient quant à eux avancé des taux de 40 % de grévistes dans le premier degré et 47 % dans les collèges et lycées.

 

C’est malheureux à dire cela semble dans les gènes de leur profession pourtant valorisante car enseigner à de jeunes enfants surtout en classes primaires ou ils essaient de leur apprendre les règles de bases lire, écrire et compter est plus qu’utile à leurs vies futures !?

Car pour certains de ses enseignants plus motivés que d’autres ils supplantent indirectement la mauvaise éducation de certains parents qui envoient leurs enfants à l’école car obligatoire en France pour s’en débarrasser car dépassés par leurs taches de parents et leur éducation (quand ils en ont normales et correctes) dans leur vie courante familiale en dehors de ces écoles par le respect des adultes et de leurs parents !?

Mais il n’y a pas que cela dans cette profession de Fonctionnaires d’états car dépendant d’un ministère DE L’EDUCATION DITE NATIONALE gigantesque surnommé « MAMOUTH » par certain ministre car hautement politisé en fonction de la couleur politique du moment de ces présidents ET QUI COUTE UNE FORTUNE aux contribuables avec leurs cliques de ministres souvent incapables qui change aussi souvent que nos sous-vêtements comme bien sur les programmes scolaires que les élèves plus faibles ont plus de mal à suivre ainsi que leurs parents dont certains s’en prennent aux enseignants qu’ils ne respectent pas mauvais exemple à donner aux enfants bien sûr !?

Avec pour les enseignants eux-mêmes (en plus mal payés) qui craignent pour leur vie quotidienne que ce soit en classe dans leurs écoles ou a l’extérieur dans la vie courante qui en arrive à édulcorer leurs programmes pour ne pas fâcher certaines communautés et prendre de mauvais coups !?

Naturellement il reste l’enseignement privé libre ou les pensions ou internat pour les parents plus fortunés mais ou les programmes d’états sont respectés car obligatoires !?

Mais cela ne date pas d’aujourd’hui mais représente bien la mauvaise qualité de la gouvernance de notre pays qui se dégrade comme le niveau scolaire de nos enfants !?

jdeclef 02/04/2024 13h13

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