Jean-Luc
Mélenchon : et maintenant, le chantage à la guerre !? BEN VOYONS tout
est bon pour cet aboyeur de foire !?
LA CHRONIQUE
DE SOPHIE COIGNARD. Alors que LFI est en rade dans les sondages, Jean-Luc
Mélenchon sort le grand jeu : celui du missionnaire de la paix, en guerre
contre la guerre.
Publié le
02/04/2024 à 06h54
MELENCHON
EST LE VILAIN VIEUX CANARD NOIR DES POLITICIENS DE CETTE EXTREME GAUCHE QUI
TROUBLE SOUVENT LES DEBATS A L’ASSEMBLEE NATIONALE AVEC CES ELUS LFI CAR LUI
NOTRE ABOYEUR DE FOIRE INUTILE N’EST MEME PLUS ELU ALORS IL A BESOIN DE PORTES
VOIX ?!
LFI
est à la peine dans les sondages pour les élections européennes, où la liste
menée par Manon Aubry plafonne entre 6 et 7 %. Jean-Luc
Mélenchon ne ménage pas sa peine pour tenter de retourner la situation.
L'anti-macronisme comme l'antifascisme se révélant moins efficace qu'il
le croyait pour enrayer la chute, il choisit désormais d'autres éléments de
langage, très proches d'ailleurs de ceux de Marine Le Pen, sur la peur de la guerre, à
laquelle il entend faire rempart de son corps.
Il était intéressant de l'écouter, jeudi 28 mars, dans un amphithéâtre
de l'université Paris-Est Créteil : « Ne croyez pas que ce soit
sans risque. Nous sommes entre les mains de gens dangereux. Les uns parce
qu'ils ne réfléchissent pas, les autres parce qu'ils calculent
beaucoup. » De qui parle-t-il ? Qui sont « les uns »
et « les autres » ? À chacun de le deviner. L'idée générale
consiste à faire monter la tension : « Vous ne pouvez à la fois dire
“Monsieur Poutine est dangereux”, et faire comme s'il ne l'était pas. Et dire à
tout le monde “la liberté de la France est en jeu à Kiev”, avant c'était à
Kaboul, le coup d'avant c'était je sais pas où. Non, basta avec tout ça. Pas la
guerre, la paix. »
Ukraine : ces
partis qui incarnent l'esprit munichoisIl avait tenu
des propos à peu près semblables une semaine plus tôt, devant des étudiants de
l'université de Clermont-Ferrand : « Si vous pensez que la guerre est
une bonne chose, votez pour la guerre et préparez-vous à aller à la
guerre. » Le bulletin de vote LFI aux élections européennes serait
donc une sorte d'assurance sur la paix.
Une interprétation outrancière ? Pas du tout. Samedi, Jean-Luc
Mélenchon atterrissait à La Réunion pour une tournée de campagne. À sa descente
de l'avion, il déclare : « Je suis venu pour parler de la
paix. » Pour ceux qui seraient un peu lents d'esprit, il
précise : « Les Réunionnais sont capables de comprendre que les
enjeux internationaux les conduisent à devoir faire des choix. » Et pour
être encore plus clair, il ajoute : « Le prochain bulletin de vote,
vous choisirez entre la paix et la guerre. »
Envoi de « cartes postales »
Revendiquer la paix sur tous les tons, et à tout prix, présente aussi pour
le triple défait à la présidentielle l'avantage de peaufiner son clientélisme à
l'égard des électeurs musulmans. Il y a l'Ukraine, bien sûr, mais aussi la
guerre entre Israël et le Hamas. Il s'est refusé, dès le début, à qualifier de
terroristes les attaques du 7 octobre. Depuis, il ne perd pas une occasion
d'envoyer des « cartes postales » à un électorat qu'il entend choyer.À LIRE AUSSI Guerre Hamas-Israël : les
sordides calculs de Jean-Luc MélenchonJeudi dernier, il
était à Lille avec une délégation de députés Insoumis pour apporter son soutien
à Jean-Paul Delescaut. Ce cadre de la CGT avait diffusé le
10 octobre 2023 un tract appelant à une manifestation de soutien
aux Palestiniens rédigée en ces termes : « Les horreurs de
l'occupation illégale se sont accumulées. Depuis samedi, elles reçoivent les
réponses qu'elles ont provoquées. » Il comparaissait jeudi pour
« apologie du terrorisme » devant le tribunal de Lille.
Durant une allocution en plein air devant les militants de la
CGT, jeudi 28 mars, Jean-Luc Mélenchon est rattrapé par le
retour du refoulé au moment où il fustige l'empilement des lois
sécuritaires : « Macron, à lui tout seul, en a rajouté dix. Et la
première chose qu'il ait fait voter après qu'il a été malheureusement élu
plutôt que moi, c'est de détruire le Code du travail. » « Plutôt
que moi », tout est dit.
Tous les moyens sont bons pour éviter un
score à un chiffre aux élections européennes. Ou, à tout le moins, pour
l'enjamber au profit de la seule vraie bataille qui compte aux yeux de l'ancien
sénateur socialiste : la campagne pour la présidentielle, c'est-à-dire
pour lui.
Si c’est cela la politique de nos partis
ringards français LFI et ses leaders même plus élus comme ce vieil aboyeur de
foire MELENCHON la classe politique est tombée bien bas au niveau du caniveau !?
Moi étant plus vieux que lui je peux me
permettre de dire ce que je pense car ayant connu tous nos dirigeants et
politiciens de tous bords depuis que la Veme république existe dite gaullienne que
nous élisons et réélisons depuis + de 40 ans issue de ces classes politiques et
leur partis médiocres qui changent de noms mais pas d’incompétence qui poussent
la France vers le fond à cause de Français gogos et naïfs incurables qui ne
savent plus voter !?
Attendons 2027 puisqu’on l’a voulu et quant aux
Europennes se ne sont pas des élections nationales dont une bonne partie des électeurs
français lambda n’y comprennent ne rien et de ce fait s’abstiennent car ne les intéressant
pas !?
De toute façon on n’a pas honte même pour ceux
qui votent encore car à part râler on ne sait rien faire d’autres avec « une
macronnie » désespérante mal pilotée par notre président ce qui fait le
bonheur de nos élus jusqu’au plus haut de l’état c’est bien triste en espérant
pas pire d’ici 2027 encore trop loin hélas pour peut-être changer cela (ce qui
n’est pas sûr en plus…D'ailleurs !?)
Jdeclef 02/04/2024 14h15
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