Ce personnage ne mérite même pas
le qualificatif de politicien puisque non élu à l’Assemblée Nationale c’est un
Vieux politicien ex ministre de gauche ex PS étiqueté pour l’instant d’extrême
gauche mais cela n’a pas toujours été le cas devenu semeur de trouble patenté aboyeur
de foire qui est en plus est mal élevé et peut être un malade psychologique qui
s’ignore et dans ce cas il devrait se faire sérieusement soigner car il est
vindicatif et s’il avait le pouvoir serait peut-être dangereux ?!
REPORTAGE. Le leader Insoumis
a conclu un déplacement de 48 heures à Brest par un meeting visant à
lancer ses troupes à l’assaut de la mairie, tenue par les socialistes.
Par Erwan Seznec,
à Brest
Publié le 20/03/2025 à 15h16
Une visite à l'Ifremer, où il
a rencontré « un type sympa mais productiviste », un tour sur le
port, qu'il a trouvé « bien tenu », une rencontre avec des
syndicalistes et, surtout, un meeting. Le thème annoncé du discours de Jean-Luc
Mélenchon, mercredi 19 mars au parc des expositions de Penfeld, à Brest,
était la lutte contre l'extrême droite. La promesse n'a pas été tenue.
Devant 700 personnes (on a refusé du monde), le leader Insoumis s'en
est surtout pris aux socialistes.
Bien sûr, il a égratigné le
RN, insistant longuement sur « la lutte contre le racisme, ligne de front
essentielle », se présentant comme le défenseur de la France issue de
l'immigration. Se rangeant lui-même dans les
« franco-maghrébins », au motif qu'il est né en Algérie, il a
rappelé que désormais, « un Français sur quatre a un grand-parent
étranger ». Le propos sonnait un peu creux dans le Finistère, où la part
des immigrés est trois fois inférieure à la moyenne nationale (en comptant les
Britanniques, nationalité la plus représentée à égalité avec les
Marocains), mais peu importe. Les électeurs issus des « quartiers »
forment désormais la classe ouvrière, a martelé Jean-Luc Mélenchon et ils
« votent ultra-majoritairement pour les Insoumis ».
Mélenchon pas communautariste,
mais…
Les représentants des
« quartiers » et de la diversité étaient ce mercredi
soir invisibles dans le public, composé majoritairement de retraités,
d'étudiants et de très jeunes actifs. Jean-Luc Mélenchon a réservé une pique
aux absents, les jeunes des années 1990 « à qui on a répété
qu'il fallait gagner, gagner, toujours gagner ».
Voile
dans le sport : « On ne peut pas faire du cas par cas » Tout
en se défendant de toute tactique communautariste, il a élargi dès le premier
quart de son allocution (de 90 minutes) le périmètre de la
xénophobie et de l'extrême droite jusqu'à ceux qui prônent l'interdiction
du voile dans le sport. Un « concours de conneries » prétendant
régler un problème inexistant, chaque fédération pouvant fixer ses règles,
a-t-il insisté.
Connerie, également, la
polémique sur le
visuel de Cyril Hanouna dénoncé comme antisémite. Jean-Luc
Mélenchon expédie le sujet en une blague : « Certains ont cru
reconnaître les affiches que leur avaient laissées leurs grands-parents.
Nous, ces affiches-là, on ne les a pas ! »
LFI : le scandale de
l'affiche Hanouna
Des figures classiques
impeccablement exécutées. Jean-Luc Mélenchon reste une bête de scène, modulant
sa voix, soignant ses effets, passant de l'anecdote à la géopolitique avec
aisance. Il éblouit, mais il n'éclaire pas toujours. Quelqu'un, mercredi soir à
Brest, a-t-il compris sa ligne sur l'armement et la dissuasion ? C'est un
thème très concret lorsqu'on parle au bord de la Penfeld, à quelques kilomètres
à vol d'oiseau de la base des sous-marins
nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de l'Île Longue.
Comme un flou face aux Russes
Aujourd'hui, à quoi sert cet
arsenal, comment se positionner dans un contexte international très tendu,
quelle politique de réarmement mener ? Jean-Luc Mélenchon n'est pas clair.
Il revendique d'avoir condamné en premier l'agression contre l'Ukraine, il
salue rapidement la mémoire des hommes
de l'île de Sein, partis pour Londres en 1940, mais aujourd'hui, faut-il se
dresser contre les Russes ? Le tribun explique à l'auditoire que
« nous ne sommes pas en état de menacer » quiconque, malgré nos SNLE.
Baissant la voix, il souligne que Brest serait sur la liste des cibles de
Moscou en cas de guerre… « N'ayons pas un moral de battu », dira-t-il
plus tard, mais à propos de politique interne.
« La
gauche identitaire est en train de l'emporter sur la gauche
traditionnelle » L'effort de réarmement ne le convainc pas. « La
guerre aura lieu dans l'espace », prophétise-t-il, sans développer.
Inutile, donc, de s'équiper de chars et de fusils. Nous en avons assez, toute
commande supplémentaire ne servirait qu'à renforcer « un circuit rentier
d'accumulation de matériel ». « On croit mourir pour
la patrie, on meurt pour les industriels », dit-il, citant
Anatole France. Comment la France, deuxième exportateur de matériel militaire,
pourrait-elle manquer d'armes elle-même, feint-il de se demander. Peut-être
précisément parce qu'elle exporte, comme le savent les
quelque 400 entreprises bretonnes représentant 27 000 emplois
qui travaillent pour le secteur de la défense.
Le développement est surtout
l'occasion de placer une pique contre Raphaël Glucksmann, que Jean-Luc
Mélenchon décrit comme un va-t'en guerre ridicule. « Glucksmann face à
Poutine, ce n'est pas sérieux. Même à moi, il ne fait pas peur. »
Les deux gauches face à face
Sous son apparence décousue et
spontanée, façon « stand-up comedy », ce discours brestois vire à la
série d'attaques programmées contre les socialistes. Ils en font trop sur la
laïcité, ils ont trahi le programme du Nouveau Front populaire. Ils sont le
ferment de division de la gauche, que les Insoumis, ouverts à la discussion,
tenteraient d'unir. Jean-Luc Mélenchon n'a pas un mot de courtoisie pour
François Cuillandre, maire PS de Brest. Il replonge dans ses années socialistes
pour charger Martine Aubry, sur un motif assez obscur, et réserve ses mots les
plus cinglants au social-traître Jérôme Guedj : « Va donc relire
Jaurès, si tu sais encore lire. »
« On
est écartelés entre le PS et LFI » : les verts au défi d'exister
« L'orientation est de porter partout des listes autonomes, sauf
exception », déclarait la veille le leader Insoumis à la presse
locale. Message reçu dans le camp d'en face. Samedi 22 mars,
la gauche anti-LFI se réunit à Liffré (Ille-et-Vilaine), à l'initiative du
président de la Région Bretagne, le socialiste Loïg Chesnais-Girard. On y
annonce Raphaël Glucksmann, Bernard Cazeneuve et la présidente de la Région
Occitanie, Carole Delga.
À Découvrir Le Kangourou du
jour Répondre Sur
Brest, le candidat LFI aux municipales serait le député de la deuxième
circonscription, Pierre-Yves Cadalen, qui a chauffé la salle pour son mentor
mercredi soir. Le 12 février dernier, il a organisé une réunion intitulée
« Municipales 2026 : construisons le programme ». Difficile de
faire plus clair. Le jeune Insoumis avait été éliminé au premier tour des
municipales de 2020, sur le score de 7,12 %. Il s'était classé sixième,
loin derrière François Cuillandre (PS) et les Verts, dont les listes avaient fusionné
pour une réélection facile au second tour. Pierre-Yves Cadalen avait seulement
28 ans. Il s'agissait de porter une candidature de premier tour.
Sa notoriété a grandi, mais la
marche pour prendre la mairie de Brest reste néanmoins très haute. La deuxième
circonscription est la plus à gauche d'une ville foncièrement
sociale-démocrate. Les socialistes sont solidement implantés. Ils ont des
relations courtoises avec les Insoumis brestois. Du moins, ils en avaient,
avant ce meeting de Jean-Luc Mélenchon.
-----------------------------------------------------------------------------------------------
Moi qui suis plus vieux que
lui et qui est connu tous ces dirigeants élus de tous bords voire réélus de
cette VEME REPUBLIQUE USEE de 1958 devenue vite ringarde hélas et qui n’a pas
evoluée en faveur du peuple qui vote pourtant mal ne sachant qui choisir ou
pour qui voter on dont une partie de nos concitoyens se désintéresse car déçus
ou dégoutés !?
Oh ! il n’y a pas que lui
mais heureusement il n’est pas au pouvoir tant mieux mais cela commence à bien
faire de supporter de tels politiciens trublions inutiles du plus haut au plus
bas de l’état même non élus mais donc comme on a une démocratie super libre sans
vraiment assez de gardes fous dans ce monde instable on n’en paie les conséquences
car les Français lambda qui votent bien sûr ne savent pas la maitriser !?
Donc après 2027 il serait peut-être
utile de changer de république pour faire enfin du neuf utile aux Français que
ne s’y intéresse plus et qui profite toujours aux mêmes parce qu’ils votent mal !?
D’ailleurs on devient la honte
de la communauté mondiale mais comme les Français n’ont aucun amour propre ils
s’en fichent se croyant en passant les meilleurs ce que certains bienpensant
connus leur font croire comme aussi les médias orientés !?
Jdeclef 21/03/2025 15h23
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire