vendredi 7 mars 2025

Il ne manque pas d’air ce président algérien magrébin même pas arabe même si musulman qui déteste la France en plus !?

 

Sommet arabe sur Gaza : le coup de colère d’Alger

LETTRE D’ALGER. Le président algérien a boudé le sommet arabe sur Gaza, estimant que certains pays avaient monopolisé sa préparation. Puis a fait savoir son désaccord sur des points du projet adopté.

Par Adlène Meddi

Publié le 07/03/2025 à 08h00

Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune (ici en janvier 2024), a boycotté le sommet arabe du Caire, mardi 4 mars 2025, sur la reconstruction de Gaza. © Algerian Presidency Offic/SIPA

Temps de lecture : 4 min

Grosse colère à Alger. Le président Abdelmadjid Tebboune a décidé de boycotter le sommet arabe d'urgence qui s'est tenu au Caire mardi 4 mars pour plancher sur le dossier Gaza. Alger a donc envoyé le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, pour la représenter à cette réunion initiée par le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi.

D'après l'agence officielle APS, qui cite une « source bien informée », la décision de Tebboune de ne pas participer à ce sommet de la Ligue arabe « intervient dans le contexte des déséquilibres et des lacunes qui ont entaché le processus de préparation de ce sommet, dans la mesure où ce processus a été monopolisé par un groupe limité et étroit de pays arabes qui ont accaparé la préparation des “outcomes” du sommet du Caire sans aucune coordination avec le reste des pays arabes, qui sont tous concernés par la question palestinienne ». Alger accuse certaines capitales arabes, donc Le Caire et certainement Abou Dabi et Riyad, de faire cavalier seul dans le dossier.

« La logique des choses a été et demeure toujours de consolider l'unité arabe et de renforcer le rassemblement de tous les pays arabes autour de la cause palestinienne, qui reste leur cause centrale, d'autant plus que cette dernière est confrontée à des défis existentiels qui visent à s'attaquer au projet national palestinien dans son essence », poursuit la « source bien informée », rappelant que l'Algérie « continue de consacrer son mandat au Conseil de sécurité à la défense de la cause palestinienne, une voix arabe qui dit la vérité, une voix arabe qui défend les droits des opprimés, et une voix arabe qui n'attend aucune récompense ou reconnaissance de ses frères mais qui se lamente et déplore l'état actuel de la nation arabe ».

Un plan à 53 milliards de dollars pour Gaza

Interrogé par le quotidien gouvernemental El Moudjahid, l'expert en relations internationales Arslan Chikhaoui évoque une « fracture diplomatique interne à la Ligue arabe » qui serait due au « fait qu'un groupe de pays membres [qui] tire ses motivations des accords d'Abraham et par conséquent l'inclusivité et le consensus ne peuvent fonctionner avec un risque de haute intensité d'affaiblissement de la cause palestinienne ».

 « L'alternative à l'État palestinien, on la connaît : c'est la guerre et la mort » Le sommet du Caire a fini par proposer un « projet alternatif » à celui de Trump concernant l'avenir de l'enclave palestinienne. Porté par l'Égypte, ce plan, chiffré à 53 milliards de dollars sur cinq ans, prévoit de créer un fonds destiné à financer la reconstruction de Gaza, détruite par quinze mois de guerre entre Israël et le Hamas, en appelant à une contribution internationale pour accélérer le processus.

La bande de Gaza serait administrée durant une période transitoire par un comité de technocrates palestiniens, avant que l'Autorité palestinienne n'en reprenne le contrôle. Le Caire assure qu'il garantira le maintien des 2,4 millions d'habitants de Gaza sur leur terre, une réponse au projet du président américain qui prévoit leur expulsion vers l'Égypte et la Jordanie pour faire du territoire la « Riviera du Moyen-Orient ».

Voix dissonante sur la gestion de la reconstruction

« Les conclusions de ce sommet sont déjà élaborées et les chefs des États membres de la Ligue arabe sont “invités” uniquement pour les entériner, ce qui s'apparente, à tout le moins, à un manque de tact », a commenté El Moudjahid. Le plan égyptien adopté par le sommet arabe a déjà été rejeté par Israël et critiqué par les États-Unis. Pour Alger, « les grandes lignes [de ce plan] ne cadrent pas toutes avec les positions de l'Algérie, qui n'a cessé d'affirmer que nul ne peut décider de l'avenir des Palestiniens à leur place ».

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre L'Algérie « s'associe aujourd'hui aux voix de ses frères arabes pour réaffirmer son rejet catégorique des plans visant le déplacement des Palestiniens de leur terre, dénoncer les tentatives désespérées de séparer Gaza du reste des territoires palestiniens et condamner toutes les manœuvres incessantes visant à annexer la Cisjordanie et à la détacher de son giron palestinien authentique », a déclaré le chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, lors du sommet.

 Maghreb : qu'attendre de Trump 2 ?

Cela signifie, pour l'éditorialiste Othman Lahiani, que « l'Algérie estime que c'est à la partie palestinienne de gérer le processus de reconstruction et d'évaluer ses besoins et les exigences du projet de manière à garantir que les fonds accordés soient destinés à restaurer les infrastructures à Gaza et à rétablir les nécessités de la vie, et non profiter à une autre partie ou aux entrepreneurs ».

 

Il est plus que temps de rompre définitivement toutes relations politiques avec ce pays vindicatif qui n’accepte rien et notamment leurs Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF) de ses ressortissants qui ne respectent pas les règles de  notre république française libre et cette ALGERIE qui en plus déteste la France et les Français et qui nous envoie TOUJOURS vers notre pays une immigration importante de certains de leurs compatriotes qui ne supportent pas leur régime totalitaire depuis 1962 et la fin de leur guerre d’indépendance !?

Car le trop c’est trop et pour notre malheur avons au pouvoir Un président Mr MACRON INUTILE BAVARD mou et trop jeune lors de cette guerre d’Algérie incapable de comprendre et de faire respecter nos droits internationaux se laissant insulter par ce pays devenu infréquentable magrébin ce qui ne veut PAS dire pur arabe comme l’est par exemple l’ARABIE SAOUDITE et ses lieux saints de l’ISLAM ?

APRES 63 ANS D’INDEPENDANCE IL EST TEMPS DE REMETTRE ENFIN LES PENDULES A L’HEURE DES DEUX COTES DE LA MEDITERRANEE POUR CE MAGREBH INSTABLE QUI CONCERNE AUSSI LA TUNISIE ET LE MAROC QUE L’ON TRAINE COMME DES BOULETS DEPUIS LA DECOLONISATION NORD AFRICAINE ET AOF DEPUIS + DE 63 ANS  !?

Jdeclef 07/03/2025 16h26

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