La prestation de F.FILLION à FR2 n’a rien appris, mais surtout rien de très nouveau au point de vue idées !

«L'Emission politique»: Ce qu'il faut retenir du passage de François Fillon

POLITIQUE Le candidat à la primaire de droite était l'invité de l'émission politique de France 2...

C’était au tour de François Fillon. Le candidat de la primaire à droite était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2 jeudi soir. L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy a détaillé son projet « choc » en économie, attaqué François Hollande, et même été accusé de racisme au cours des deux heures d’émission. 20 Minutes vous résume ce qu’il ne fallait pas rater.
Une accusation de « racisme »
Bruno Le Maire avait eu droit au « pipi de chat » la semaine dernière, François Fillon s’est lui vu accusé de racisme par le syndicaliste guadeloupéen Elie Domota. Le porte-parole du LKP, collectif « kont pwofitasyon » (contre l’exploitation outrancière), a accusé le candidat de tenir des « propos racistes » et de faire une « apologie de crime contre l’humanité ».
En cause, les propos tenus par l’ancien Premier ministre sur la colonisation cet été : « La France n’est pas coupable d’avoir voulu faire partager sa culture aux peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du nord » et « non, la France n’a pas inventé l’esclavage ». François Fillon a balayé ses accusations, « parfaitement scandaleuses », et vanté son « refus de la repentance ».
Un petit tacle pour les sondeurs
C’est une de ses marottes. François Fillon a profité d’en avoir un sous la main, pour mettre un petit taquet aux sondeurs. « Un de mes collaborateurs, par hasard, a été sondé pour votre émission… Naturellement il a voté pour moi au 1er tour, deuxième question du sondage : au deuxième tour quel candidat choisissez-vous entre Juppé et Sarkozy ? C’est quand même bizarre, vous avez déjà décidé avant même d’avoir dépouillé le 1er tour que le deuxième était joué. Beaucoup de Français sont agacés que le débat soit caricaturé en permanence ».
Un mea culpa sur les impôts, oui, oui
Mais au fait François Fillon, n’avez-vous pas augmenté les impôts sur le capital et l’épargne lorsque vous étiez Premier ministre ? « C’est pas ce dont je suis le plus fier. Nous étions dans une situation de crise financière extrême, nous avons dû affronter la crise de 2010-2011 », a répondu le candidat.
Premier ministre de Juppé ? « Jamais »
François Fillon accepterait-il Matignon en cas de victoire d’Alain Juppé. « Jamais », répond le candidat. « La politique que porte Alain Juppé ne peut pas réussir ». Quittera-t-il la politique en cas de défaite, chose promise en janvier dernier ? Le député de Paris se fait soudain plus flou. « Je ne suis candidat à rien ». Candidat aux législatives ? « Je ne réponds pas », puis il se sort des questions par une formule. « On fait toujours de la politique dans la vie ».
Prends ça, François Hollande
Interrogé sur les révélations du livre « Un président ne devrait pas dire ça », et les opérations secrètes dites «Homo » dévoilées aux journalistes, François Fillon ouvre le feu. « Je lui reproche de se pavaner devant des journalistes, il veut faire le malin, il veut expliquer aux journalistes comme un chasseur qu’il a un tableau de chasse. Ça montre que François Hollande n’a jamais été à la hauteur de la tâche de président ».
François Fillon, réactionnaire ? « Conservateur, c’est déjà mieux »
Soudain, Léa Salamé prononce le mot tabou : « réactionnaire ». François Fillon voit rouge. « Pourquoi tout de suite les insultes. Réactionnaire dans votre bouche, c’est atrocement péjoratif. J’ai des convictions et le souci que notre société soit la plus cohérente ». François Fillon conservateur ? « C’est déjà mieux », ironise-t-il. La question de la journaliste intervenait après un débat sur la loi Taubira et l’adoption des couples homosexuels. Le candidat, qui était contre la loi, a indiqué qu’il ne reviendrait pas dessus, mais a rappelé qu’il souhaitait revenir sur le droit à l’adoption plénière pour les couples homosexuels et réserver la PMA aux couples hétérosexuels.

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Ce qu’il faut retenir pour « les français d’en bas » expression détestable d’un ancien 1er ministre UMP/LR, ou « sans dents d’un président » c’est un serrage de vis et de ceinture à cause de deux quinquennat quel que soit leur bords politique plus que médiocres avec des politiciens élus qui n’ont d’abord pensé qu’à eux avec leur magouilles et à leur réélections en bon professionnels de la politique qui ne sert qu’à eux !

Certains diront que l’on nous serrent déjà la vis, rien en comparaison de ce que cela sera, car avec lui cela serait bien pire et il tiendra parole, alors pour (« ceux qui aiment les coups de pieds au c..ls, » il seront servis !)

Pour le reste Mr FILLION ne peut nous faire penser qu’à l’ancienne 1ere ministre d’outre-manche M.TATCHER « dame de fer » la bien nommée qui a étrillé les anglais et tout nivelé au royaume uni, qui lui se fracture avec le BREXIT !

Il n’est qu’un conservateur (certains diraient réactionnaire, cela ne lui a pas plus d’ailleurs) mais a un programme structuré !

Donc résumons, il représente une droite dure libérale capitaliste, peut être pire que le « petit nerveux » son principal adversaire (car en fait tout le monde est à peu près contre l’ancien président qui promet tout ou même la lune et n’importe quoi pour être réélu !)

La seule chose qui donne une avance à A.JUPPÉ (le 2eme) bien que rigide comme lui, c’est que lui ne ferait qu’un seul quinquennat (à ce qu’il a dit ?!)

Quand à cette élection ce n’est qu'une primaire ne l’oublions pas et « un piège à couillons » pour les candidats et les électeurs !

Donc attendons aussi la primaire de la gauche PS, bien que celle-ci soit bien malade, ainsi que la décision de notre président et surtout après la présidentielle, seule juge de paix !

DJMAI5 | 28.10.2016 à 11:41