vendredi 4 octobre 2024

Bah bien sur la place est bonne et ils courent tous après tout aussi nuls les uns que les autres car on les connait et en plus un président inutile et un vieux 1er ministre BARNIER sympathique avec des paris ouverts sur le temps qu’il résistera avant la chute de son gouvernement par des censures qu’on lui promet !?

 

Raphaël Glucksmann met le cap sur la présidentielle 2027, avec ou sans le PS

LA LETTRE DU PALAIS. L’eurodéputé réunit son mouvement ce week-end près de Bordeaux et entend le structurer. Avec, en point de mire, la présidentielle de 2027.

Par Michel Revol

Publié le 04/10/2024 à 08h15

BRAVO AUX FRANCAIS SI NULS ET INCURABLES QUI N’AMUSENT QUE LES MEDIAS !?

On l'a perdu vers le 10 juillet, englouti par un vortex appelé Nouveau Front populaire. L'alliance électorale avait tout avalé, même les critiques des anti-Mélenchon comme François Hollande ou Carole Delga. Raphaël Glucksmann n'y a pas non plus survécu. Malgré son beau résultat aux européennes (14 %), le leader de Place publique s'est fait, dit l'un de ses proches, « laminer ». D'une part, il ne participe pas aux négociations d'arrière-cuisine pour arracher de bonnes places aux législatives pour les siens : les négociateurs des autres partis lui accordent royalement trois circonscriptions, ingagnables ; d'autre part, il se tait, laissant les Insoumis et ses affidés rouler des mécaniques.

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Le 21 juin, jour de l'officialisation des accords électoraux du NFP dans les jolis jardins de la Maison de la chimie à Paris, Olivier Faure, Marine Tondelier ou l'Insoumis Manuel Bompard prennent la pose, bras dessus bras dessous. Glucksmann n'est pas là. Seule Aurore Lalucq, coprésidente de Place publique, se glisse tant bien que mal sur la photo de famille.

Déclic

Trois mois plus tard, Raphaël Glucksmann est de retour. Après un été à réfléchir et à échanger, notamment dans sa maison du cap Corse, où il reçoit, entre autres, l'ex-macroniste Gilles Le Gendre, l'eurodéputé fait sa rentrée ce week-end à La Réole, près de Bordeaux. Le moment est d'importance. Il marque non seulement la rentrée médiatique de Glucksmann (outre une interview dans Le Parisien-Aujourd'hui en France, après celle dans Le Point) mais aussi l'acte de naissance d'un vrai mouvement politique. « Le 10 juillet a été un déclic, comme un acte fondateur, raconte le sénateur Bernard Jomier, l'un de ses proches. Raphaël a compris qu'il ne peut pas se contenter de porter un discours politique ». Place publique ne veut plus être une sorte de think tank amélioré mais quelque chose qui ressemble à un parti, capable de présenter des candidats aux élections et de mobiliser des militants pour tracter sur les marchés ou coller des affiches.

 Après la gauche caviar, la gauche cassoulet

Raphaël Glucksmann doit, lui aussi, enfiler un nouveau costume. Le leader de Place publique reste son porte-voix et sa clé de voûte, mais pas seulement. Bernard Jomier, qui a passé quinze ans chez les écologistes, se souvient de l'erreur de Daniel Cohn-Bendit quand EELV est créé, en 2010. « Dany » se concentre sur le discours politique, laissant à Cécile Duflot et à Jean-Vincent Placé le soin de faire tourner la boutique. Ces deux-là, à force de délaisser l'écologie pour se concentrer sur la quête du pouvoir, conduisent l'écologie politique dans le mur. « Raphaël ne doit pas être le nouveau Dany », prévient Jomier. Le leader de Place publique doit donc, aussi, accepter de « mettre les mains dans la tambouille », selon un député proche de Glucksmann. Comme le fait François Hollande à l'Assemblée, l'eurodéputé doit accepter de passer du temps à discuter de tout et de rien avec les parlementaires de gauche, par exemple.

10 000 adhérents, mais ni salarié ni local

Il y a du pain sur la planche. Pour l'heure, Place publique n'a toujours pas de salarié, pas de local et a à peine un organigramme. Les troupes, pourtant, grossissent. Le mouvement compte un peu plus de 10 000 adhérents, et plusieurs grands élus s'en rapprochent. Parmi ceux-ci, les maires de Libourne et de Saint-Brieuc (Philippe Buisson et Hervé Guihard, tous deux ex-socialistes), les adjoints d'Anne Hidalgo – Christophe Najdovski et Arnaud Ngatcha – ou encore Aurélien Rousseau. L'ex-ministre de la Santé d'Emmanuel Macron a pu être élu député des Yvelines par l'entremise du maire de Marseille, Benoît Payan. Un préfet pourrait être appelé aux côtés de Glucksmann pour mettre sur pied une organisation efficace, capable de se faire une place au soleil de la social-démocratie.

 L'étonnante tournée politique de Bernard Cazeneuve

Glucksmann voit loin. En privé, il confie viser l'Élysée, en 2027. Il tentera d'atteindre son objectif avec toutes les bonnes volontés, à l'exclusion des mélenchonistes. « La gauche ne doit plus intégrer la domination politique et programmatique de LFI », prévient Aurélien Rousseau. À part eux, tout le monde est le bienvenu. Ou presque. Glucksmann a invité à La Réole la plupart des leaders sociaux-démocrates qui comptent, de François Hollande à Carole Delga en passant par le maire de Saint-Ouen, Karim Bouamrane, et celle de Paris, Anne Hidalgo, mais pas Bernard Cazeneuve. « C'est un manque de courtoisie et une faute politique », cingle le député de La Rochelle Olivier Falorni, proche de l'ex-Premier ministre.

Avec Olivier Faure, les ponts sont rompus. Leurs stratégies divergent. Faure penche vers Mélenchon et le NFP, Glucksmann veut s'en défaire. Mais l'eurodéputé continue de miser sur le Parti socialiste. Il attend de pied ferme le congrès, normalement organisé l'an prochain. Si les socialistes valident l'alliance avec les Insoumis, Glucksmann continuera son chemin sans eux ; s'ils reprennent leur autonomie, il tentera de travailler avec le PS. « Mais plus le congrès est retardé, plus les initiatives qui fragmenteront la gauche vont se multiplier », redoute Aurélien Rousseau. Glucksmann a choisi sa voie : il avance, et devrait le redire dimanche, lors de son discours à La Réole.

 

Ce personnage qui fait les plateaux télé comme on l’a vu hier à la télévision sur la 5 à l’émission « c’est à vous » d’ELYSABETH LEMOINE ne vise que la présidentielle et est un aboyeur de foire donneur de leçons de plus à qui veut l’entendre sans intérêt comme d’autres !?

Ce n’est pas avec des pseudos politiciens comme çà que l’on pourra sortir la France de l’ornière qui se creuse chaque jour des 3220 milliards € de cette dette pharaonique irremboursable à cause de Mr MACRON qui ne sert plus à rien (et s’il a servi à quelque chose ce qui reste à démontrer à par semer le souk jusqu’en 2027) car inéligible et sa « macronie fantôme » sans oublier les Français si stupides qui l’ont réélu !?

Car c’est une honte pour nos concitoyens car étant dans un des pays libres démocratiques du monde on n’arrive presque à se demander à quoi cela nous a servi tant pis pour nous puisque nous ne savons plus voter ou choisir nos élus depuis + de 40 ans (et même avant !?)

 

Jdeclef 04/10/2024 12h55

 

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