mercredi 9 octobre 2024

De toute façon avec ces motions de censures bidons qu’on ne compte plus cela va devenir ingouvernable comme presque maintenant et comme ce président incompétent se fiche totalement de cela car c’est de la faute des Français n’en déplaisent à certains stupide « pisses vinaigres fauteurs de troubles !?

 

Motion de censure à l’Assemblée : du NFP au RN, thérapie de groupe et arrière-pensées

À l’heure où les périls s’accumulent, l’examen de la motion déposée par les groupes du NFP, ce mardi dans l’Hémicycle, a mêlé amertumes et contorsions tactiques.

Par Samuel Dufay, à l'Assemblée

INTERVIEW. Alors que Marseille vient de connaître deux nouveaux faits divers sanglants, un saisissant livre-enquête qui paraît ce 9 octobre décrit ces nouveaux tueurs à gages sans foi ni loi.

Propos recueillies par Bartolomé Simon

Publié le 08/10/2024 à 08h05

Pour le suspense, on repassera. L'échec de la motion de censure du gouvernement Barnier, déposée par les groupes du Nouveau Front populaire (NFP) en protestation contre la « négation du résultat » des législatives, qui n'a recueilli que 197 voix sur les 289 nécessaires à son adoption, n'a surpris personne sur les bancs de l'Assemblée. Au point de susciter une forme de désintérêt. C'est devant un auditoire clairsemé à gauche qu'Olivier Faure, le premier secrétaire du PS et défenseur de la motion, dénonce l'« offense démocratique » constituée par le gouvernement Barnier, alors que le NFP est arrivé en tête des élections législatives, avant de contester un « budget en trompe-l'œil, présentant à l'avant-plan une justice fiscale destinée à masquer un arrière-plan beaucoup plus sombre » : réforme de l'assurance-chômage, désindexation des pensions de retraite…

Comme si la chorégraphie bien concertée de cette procédure parlementaire aussi fréquente qu'inefficace sous la Ve République (une seule adoption, en 1962) tournait à vide. Et la présence dans les travées de nombreux ténors de la vie politique française, de Gabriel Attal à François Hollande en passant par Marine Le Pen et Gérald Darmanin, ne suffit pas, à elle seule, à assurer l'intérêt des débats, précédés par un hommage à l'ancien président de l'Assemblée Pierre Mermaz (1981-1986), décédé en août, puis les questions au gouvernement.

Ressassement

Alors, pourquoi s'infliger ces débats à l'issue courue d'avance ? Cet après-midi, l'Hémicycle a des airs de thérapie de groupe. Le NFP, arrivé en tête des élections législatives anticipées, n'en finit pas de ressasser la nomination à Matignon d'un membre du parti des Républicains. Le fantôme de Lucie Castets, candidate du NFP dédaignée par Emmanuel Macron au prétexte qu'elle aurait été censurée par l'Assemblée à peine arrivée à Matignon, plane entre les bancs de velours rouge. Les discours d'Olivier Faure et de ses alliés sont parsemés de références à cette occasion manquée. Signe d'une forme de déni : cette scène saisissante où, arrivé au terme du temps imparti à sa prise de parole, Olivier Faure continue à s'époumoner, micro coupé, malgré les objurgations de la présidente de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet…

Quant au RN, il n'en finit pas de remâcher ce maudit front républicain qui a empêché in extremis l'accession de Jordan Bardella à Matignon. Guillaume Bigot, l'orateur du groupe, s'emporte à la tribune contre les « accords de boutiquiers » responsables, à ses yeux, de cet échec à imposer une cohabitation à Emmanuel Macron. D'où une inquiétante impression de piétinement, alors que les périls, notamment budgétaires, s'accumulent.

Par contraste, Michel Barnier et ses alliés paraissent avant tout soucieux du présent et de l'avenir. Avec ses faux airs de Roger Moore, portant beau à 73 ans malgré une silhouette légèrement voûtée, le Premier ministre renoue avec le ton malicieux étrenné lors de sa passation des pouvoirs douce-amère avec Gabriel Attal sur le perron de Matignon. D'une voix douce, il assure à Olivier Faure avoir écouté « avec attention [son] discours, même si ce n'était pas facile jusqu'au bout » à cause de la coupure de micro… Et prononce dans une ambiance feutrée une réponse consensuelle reprenant ses grandes orientations sur la dette, les services publics ou encore l'insécurité annoncées dans sa déclaration de politique générale.

Sortie par la porte, Lucie Castets reviendra-t-elle par la fenêtre ? La différence est frappante avec son soutien Laurent Wauquiez (Les Républicains), dont la prise de parole très offensive à l'égard du NFP, accusé de manquer d'esprit de responsabilité, suscite un concert d'imprécations sur les bancs de la gauche. Preuve de l'habileté de l'ancien négociateur du Brexit, quelques heures après une réunion de groupe houleuse avec les députés macronistes, et à la veille d'un budget périlleux…, ou signe qu'il n'est déjà plus le sujet principal ?

Le RN en équilibriste

De fait, cette Assemblée qui semble dominée par le duel entre RN et NFP, Michel Barnier donne parfois l'impression, malgré sa haute stature, de disparaître de la photo. Car si elles apparaissent obsédées par les élections passées, ces deux formations cherchent d'abord à prendre date pour l'avenir. À défaut de faire chuter le gouvernement avec sa motion de censure, le NFP vise surtout à montrer sa collusion avec le RN, dont dépend sa survie : en joignant ses voix à celles de la gauche, celui-ci pourrait faire tomber le gouvernement Barnier. « L'extrême droite se range toujours du côté du capital contre le travail », croit repérer Olivier Faure… Michel Barnier n'a-t-il pas appelé Marine Le Pen pour la rassurer après les propos de son ministre de l'Économie, Antoine Armand, excluant la formation dirigée par Jordan Bardella de l'« arc républicain » ?

Michel Barnier, un Premier ministre à la merci de Marine Le PenLe RN cherche, pour sa part, à prouver son esprit de responsabilité. Dans un sacré numéro d'équilibriste, Guillaume Bigot, l'orateur du groupe, explique que son mouvement ne votera pas cette censure « a priori »… tout en « brûl[ant] de le faire » et en n'éprouvant « aucun scrupule à le faire demain », face à un « barniérisme qui sera aussi la poursuite du macronisme par d'autres moyens ». « Dans cette Assemblée, personne n'a de majorité. Nous ne voulons pas de crise de régime », argue-t-il. Une contorsion qui confirme que chaque camp se prépare déjà aux prochaines échéance

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Alors là BRAVO à ces Français lambda qui se laissent manœuvrés par des politiciens de tous bords élus et réélus par eux ces citoyens devenus nuls abêtis apathiques n’y comprenant rien ou ne voulant pas comprendre ou s’abstenant pour certains se contentant de leur petits avantages pécuniers ou autres immobiliers réalisés car amassés par leur travail utile à la France d’ailleurs pour les plus âgés qui ont eu le temps de se les constituer pour ceux qui ont pu le faire jusqu’à à leurs fins de vie ce qui donne une idée perverse de plus à notre gouvernement de s’attaquer lâchement aux retraités qui ne peuvent se défendre car bien sûr ils ne vont pas défiler ou tout casser  comme d’autres plus jeunes avec cette très jeune voyoucratie qui devient de plus en plus dangereuse par la profusion de faits divers quotidiens insupportables  voire criminels remontés par nos médias les seuls qui profitent de cela !?

Et comme notre petit président bon chic bon genre procrastinateur maladif est incapable de décider et quand il le fait ce qui est rare il se plante lamentablement que ce se soit par ses actes ou paroles comme dernièrement !?

Donc c’est bien aux FRANÇAIS à se reprendre en main sur leur destin et s’unir surtout !?

Car ses soi-disant multiples censures politiques à l’Assemblée Nationale trop nombreuses pour être efficaces promises envers le nouveau gouvernement BARNIER n’aboutirons à rien il est plus que temps de changer « TOUT » car ce président MACRON est devenu inutile et semeur de troubles il y a assez de MELENCHON l’extrémiste çà fait trop ainsi que cette « macronie »moribonde qui a encore changé de nom ridicule car il en plus on en n’a marre de se moquer ouvertement des Français dans notre pays si démocratique SOIT DISANT car on vote encore mais on ne le dirait pas car c’est toujours les mêmes qui tirent les ficelles !?

Et donc il faut que nos citoyens Français se réveillent car ça urge SVP !

Jdeclef 09/10/2024 13h11

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