vendredi 4 octobre 2024

Et alors on n’a plus le choix « il faut tailler dans le vif qui reste » MACRON est toujours là mais ne sert plus à rien donc travailler à son remplacement car il a perdu l’élection législative donc son maintien n’est pas légitime et il mettra des bâtons dans les roues de son 1er ministre BARNIER et son gouvernement cible importante de ses opposants qui grossissent chaque jour jusqu’en 2027 ?!

 

« Le château de cartes va s’effondrer » : le lent délitement du groupe macroniste à l’Assemblée (le petit minet ATTAL va retourner dans son panier à faire son ronron en rentant ses griffes ?!

Miné par les départs au compte-goutte de députés, le groupe EPR est fragilisé, affaiblissant, par voie de conséquence, son président, Gabriel Attal.

Par Sébastien Schneegans

Publié le 04/10/2024 à 13h31

C’est logique il faut que les Français n’hésitent plus car il s’agit de l’avenir du pays et le leur !?

Ce n'est pas une explosion, plutôt un craquellement. La « maison » macroniste à l'Assemblée nationale ne s'est pas effondrée, mais sa façade est lézardée. Depuis le second tour des élections législatives, le 7 juillet dernier, pas moins de sept députés ont quitté le groupe Ensemble pour la République (EPR), dirigé par Gabriel Attal. Trois députés ont annoncé, dès leur réélection, qu'ils n'y siégeraient pas – Sacha Houlié, Béatrice Piron et Lætitia Saint-Paul – et quatre élus ont quitté le navire en cours de route – Sophie Errante, Xavier Roseren, Charlotte Parmentier-Lecocq et Stella Dupont, dernier départ en date.

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Le groupe, qui comptait en juillet 99 députés, n'en a plus que 95. « Ça commence à faire beaucoup, grince un député Droite républicaine (DR), qui redoute que ce lent délitement fragilise la majorité (très) relative de Michel Barnier. À ce rythme-là, on aura autant de députés qu'eux dans six mois [le groupe DR, présidé par Laurent Wauquiez, agrège 47 députés, NDLR]. Je pense que le château de cartes finira par s'effondrer. »

Les « deals » entre Marine Le Pen et les macronistes ne passent pas

Tous ne partent pas pour les mêmes raisons et ne voguent pas dans la même direction ; les représentants de l'aile gauche, à l'instar de Sacha Houlié, siègent en non-inscrits tandis que certains députés de l'aile droite, comme Charlotte Parmentier-Lecocq et Xavier Roseren, rejoignent Horizons, le groupe d'Édouard Philippe. Et une dizaine d'élus qui n'ont pas encore franchi le Rubicon ne sont pas directement membres d'EPR mais « apparentés ».

Les récents départs traduisent un malaise vis-à-vis de la composition du gouvernement de Michel Barnier. Stella Dupont, qui a annoncé quitter EPR ce mercredi, estime par exemple qu'il est « trop éloigné de [ses] valeurs ». « Ça fait cinq ans qu'elle menace de partir. Elle le fait au pire moment après un discours de politique générale plutôt modéré », regrette une source proche de l'exécutif. Beaucoup ne veulent pas apparaître comme les cautions de gauche d'un gouvernement qu'ils jugent « Le Pen-compatible ». Les « deals » passés en ce moment avec le parti de Marine Le Pen pour la répartition de postes clés au Palais-Bourbon ne passent pas.

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Comme l'a rapporté Le Figaro, l'ex-vice-président RN de l'Assemblée, Sébastien Chenu, a été élu, à la surprise générale et grâce aux votes d'élus macronistes, à la tête de la commission chargée d'apurer les comptes du Palais-Bourbon. Dans l'autre sens, des députés EPR ont été élus ou réélus à leur poste dans d'autres commissions grâce au soutien du RN. « C'est insupportable. On se fout de notre gueule », vitupère l'un des députés apparentés, tenté de partir.

Sacha Houlié compte bien profiter de la gronde

Sacha Houlié, soutien de la première heure d'Emmanuel Macron et qui a fondé avec d'autres jeunes de la « bande de Poitiers » les Jeunes avec Macron, espère tirer profit de cette gronde pour créer son propre groupe de sociaux-démocrates mécontents – pour user d'une litote – de la tournure que prend l'aventure macroniste. Avec sa dissolution, « le président m'a donné l'occasion de lui montrer que je ne lui devais plus rien » cinglait-il, il y a quelques jours, dans Libération.

D'aucuns rappellent que l'adoption au forceps de la loi immigration, qui a manqué de faire exploser le groupe, a laissé des traces. Sophie Errante, qui a justifié son choix de partir en affirmant qu'elle ne pouvait plus accepter « un tel niveau de mépris », avait qualifié cet épisode d'« apogée de l'insupportable. » C'est l'une des raisons pour lesquelles EPR avait déjà du plomb dans l'aile il y a trois mois, lors des premières réunions de groupe.

 Après la gauche caviar, la gauche cassoulet

Gabriel Attal, qui était encore alors Premier ministre, s'est fait élire à la tête du groupe mais il était le seul candidat… Gérald Darmanin et Élisabeth Borne, ennemis d'hier qui s'étaient justement déchirés sur la loi immigration, s'étaient rapprochés et avaient fait campagne en interne pour reporter l'élection à la rentrée de septembre. En vain. Aujourd'hui, Gérald Darmanin et Gabriel Attal, qui siègent côte à côte sur les bancs de l'Hémicycle, serrent les rangs et tentent de colmater les brèches.

Sur le budget, jugé tel quel « inacceptable » par l'ex-ministre de l'Intérieur, les deux hommes vont devoir gérer une pomme de discorde : la question des hausses d'impôt. Si la ligne de Michel Barnier – une taxation exceptionnelle des Français les plus aisés – convient à une partie du groupe, l'aile droite en fait un casus belli.

Qui prendra la tête de Renaissance ?

Dans une tribune publiée dimanche dernier, avant la déclaration de politique générale, 27 députés EPR écrivaient que « toute hausse d'impôt contribuerait à dégrader la compétitivité retrouvée de notre pays, à rompre le pacte de confiance noué avec les Français, à faire fuir les entreprises et à condamner tout partage de valeur. » « Tout cela acte la fin du mythe du en même temps, donc du macronisme. On fait mine de découvrir qu'il est absurde qu'un Gérald Darmanin siège dans le même groupe qu'un Sacha Houlié », estime un député Horizons, pas mécontent néanmoins que Horizons attire de nouveaux profils.

Attal est dans la situation du berger dont les moutons se barrent dans tous les sens.Un député DR

Reste une question : Attal a-t-il les moyens de tenir des troupes aussi divisées ? « Il est dans la situation du berger dont les moutons se barrent dans tous les sens, moque le député DR cité plus haut. Le problème, c'est qu'il n'a pas de chien de troupeau pour les ramener au bercail. » Tout le monde a en tête le prochain congrès de Renaissance, qui doit se tenir, selon les statuts du parti, avant le 30 novembre. Élisabeth Borne a déjà prévenu qu'elle serait candidate pour prendre la présidence du parti présidentiel. Attal y pense aussi. Mais l'ex-Premier ministre, s'il se lance, va devoir mener deux combats en même temps – la lutte pour garantir la cohésion du groupe et la campagne pour la présidence – tandis que Borne n'a qu'une bataille à mener. Et l'élue du Calvados y jettera probablement toutes ses forces.

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D’accord peut être mais comme MACRON l’inutile trouble-fête est toujours là jusqu’en 2027 il ne faut pas rêver avec en plus un vieux 1er ministre qui est sur la corde raide qui risque de casser à tout moment avec une censure de ses opposants connus qui font la queue pour renverser son gouvernement déjà accouché difficilement aux forceps cela risque de ne pas attendre longtemps !?

Pendant ce temps-là les français vont tirer la langue et pas seulement les riches !?

Car si on ne se débarrasse pas de MACRON ce qui semble difficile et si on ne change pas cette VEME REPUBLIQUE OBSOLETE ET USEE DEPUIS + DE 66 ANS D’ICI 3 ANS le pays continuera à sombrer et le pire cela ne prouvera pas qu’après 2027 cela s’améliorera car les Français individualistes incurables pratiquant le dévastateur « chacun pour soi » eux ne changeront pas ce serait étonnant car là il faudrait faire un grand ménage drastique dans la mentalité de la société FRANCAISE et sa classe politique pourrie et sclérosée !?

On n’aura pas le choix car il faut balayer ces partis ringards qui changent de nom à chaque mandature inutilement droite gauche extrême et écolos de tous bords et tout revoir en profondeur pour sauver la France !?

Car eux ces dirigeants et politiciens de tous bords ils sont à l’abri car en fait pas si nombreux mais toujours là à conquérir ces pouvoirs et les avantages et privilèges liés à ceux-ci digne de l’ancien régime que l’on a fait tomber en 1789 avec notre révolution et empires napoléoniens qui ont suivi depuis + de 235 ans vite oubliés par les FRANÇAIS dans nos républiques !?

Donc on n’a PAS le choix il faut faire du neuf avec du vieux avant qu’il ne soit trop tard!?

Jdeclef 04/10/2024 16h09

 

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