lundi 14 octobre 2024

Mais franchement si ce n’est « LE POINT » hebdo qui se dégrade en mal d’informations beaucoup PLUS importantes qui çà peu intéresser cette presse people avec cette royauté britannique qui dégringole médiatiquement faisant les titres des hebdo spécialisés en faits divers people d’un autre âge dans cette ANGLETERRE en déconfiture économique (comme chez nous aussi d’ailleurs ?!)

 

Harry et Meghan se séparent (professionnellement)

LETTRE DE BUCKINGHAM. Le couple formé par le prince Harry et Meghan Markle semble prendre des routes différentes sur le plan professionnel.

Par Marc Roche

Publié le 14/10/2024 à 12h00

Le prince Harry et son épouse Meghan Markle ont décidé de se séparer sur le plan professionnel. © LEON KUEGELER / AFP

Ces jours-ci, le prince Harry est à l'affiche partout. Mais ce brouet de discours, d'interviews télévisées, d'actes philanthropiques et de tournées à l'étranger est effectué en solo. Pendant que le duc de Sussex est précipité sous les feux de la rampe, à la une de la presse, son épouse est aux abonnés absents. « Où est passée Meghan ? » s'interrogent unanimes les journaux britanniques à propos de l'absence de la duchesse lors du voyage, début octobre, de son mari au Lesotho dans le cadre de sa croisade contre le sida.

Ce périple en solitaire est d'autant plus surprenant, qu'à écouter l'intéressé, il avait trouvé son « âme sœur » en Afrique de l'Est au cours d'un safari effectué en 2016 par les deux tourtereaux. Depuis leur départ aux États-Unis, les Sussex ont toujours « roulé » en tandem, partageant le même bureau et signant ensemble les contrats conclus avec Netflix ou Spotify.

Le couple, décrit par Harry comme le « sel et le poivre », a acheté la résidence de Montecito (Californie) en raison de la présence de deux palmiers entrelacés, symbole, à leurs yeux, de l'engagement à mener leur action de concert.

 Retour sur l'« annus horribilis » de Meghan et HarryUne chose est claire, les Sussex ont décidé de se séparer sur le plan professionnel. À Harry, les causes caritatives qui lui tiennent tant à cœur, la santé mentale, les enfants, les handicapés et les défavorisés. À l'image de sa mère, la princesse Diana, il entend parcourir le monde pour défendre son idéal humanitaire afin de promouvoir les valeurs d'entraide et de solidarité qui lui sont chères.

À Meghan, la carrière de businesswoman déterminée à faire fructifier sa ligne de produits de bien-être « American Riviera Orchard » qui doit être lancée l'an prochain. Par ailleurs, l'ancienne comédienne travaille sur une série Netflix consacrée au jardinage et à la cuisine. En outre, elle serait en négociation avec l'éditeur Penguin en vue de publier ses Mémoires de son passage au sein des Windsor, ouvrage brûlot qui lui vaudrait une fabuleuse avance en échange de révélations croustillantes sur les errements de la famille royale.

Harry et Meghan en font-ils « trop » ?

Comment expliquer ce partage des rôles qui contraste avec la communauté de destin proclamée haut et fort depuis leur mariage à la chapelle Saint-Georges, le 19 mai 2018 ?

Tout d'abord, à la suite de provocations et d'initiatives artistiques ratées, l'auréole du duc et de la duchesse s'est étiolée à Hollywood. À force d'en faire « trop » en vue de monnayer leur lignée royale, ils ont été victimes de la loi des rendements décroissants selon laquelle les retombées de la surexposition médiatique diminuent en raison de la hausse des coûts et de la baisse des profits résultant de la lassitude des spectateurs.

À l'heure du cancer du roi et de Kate, les multiples attaques des rebelles contre le souverain, son fils aîné et sa femme apparaissent de nos jours déplacées et contreproductives. « Où sont passés le respect planétaire et l'énorme fortune espérés à l'issue de leur expatriation ? » demande le tabloïde conservateur Daily Mail à propos du dernier revers subi par Harry, à savoir l'échec annoncé par les milieux de la télévision de son documentaire sur le polo en cours de tournage par Netflix.

 Harry et Meghan, c'est cauchemar au bureau

Aussi, l'image de Meghan, et par ricochet celle de Harry, a beaucoup souffert de la démission de 19 de leurs collaborateurs aux États-Unis depuis trois ans. Le lâchage a mis en exergue la difficulté de travailler avec celle qui a été qualifiée de « terreur » en malmenant un staff corvéable à merci. Les accusations de harcèlement de subordonnés de la part d'une patronne irascible ne sont pas nouvelles. Buckingham a été contraint d'ouvrir une enquête sur des allégations similaires visant la duchesse entre 2018 et 2021 dont les conclusions n'ont pas été rendues publiques.

Surtout, Harry a mal vécu la manière dont Meghan a accaparé les feux de l'actualité mondaine à son détriment. Lors de leurs récentes visites en Colombie et au Nigeria, cette dernière a totalement éclipsé son mari. L'auteur du Suppléant, qui lui a rapporté 25 millions de livres (30 millions d'euros) en royalties, dispose désormais des ressources financières nécessaires pour réaliser sa mission après avoir hérité à 40 ans de la dernière part de l'héritage de son arrière-grand-mère.

Processus de réconciliation

Enfin, en reprenant sa liberté, le plus jeune fils de Charles III espère entamer le processus de réconciliation avec sa famille. Depuis la publication de son autobiographie assassine, Son Altesse est plus que jamais paria à la cour. Non seulement il est en froid avec les siens, mais avec ses amis d'enfance, du pensionnat et de l'armée. Si His Highness a démenti les informations d'un souhait de reprise des activités de représentation royales à mi-temps, le prince est conscient qu'en prenant ses distances en public avec sa femme haïe au Palais, un retour dans les bonnes grâces de l'establishment britannique apparaît possible.

Le roi est rétabli de son mal, comme l'atteste la tournée, à partir du 18 octobre, en Australie et à Samoa pendant laquelle il a été autorisé de cesser son traitement. Les inquiétudes sur son état de santé subsistent toutefois. À croire les dernières rumeurs dans les milieux médicaux londoniens, Sa Majesté souffrirait d'un cancer de la vessie non invasif. Or, les deux tiers des victimes de cette pathologie détectée et traitée à temps, dont beaucoup ont l'âge du monarque (75 ans), vivront au moins cinq ans.

Reste que face à l'incertitude sur la gravité de la maladie, Harry aimerait se rabibocher avec William pour faire front ensemble en cas de disparition du chef de l'État. Et il est conscient que seul l'effacement officiel de Meghan lui permettrait de réussir pareille gageure.

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Depuis le décès de la REINE ELYSABETH II et son fils CHARLES III lui-même malade qui a pris sa succession car âgé lui-même ?!

Alors que l’EUROPE L’ANGLETERRE ET LE MONDE ENTIER VA MAL ET MEME avec cette fumisterie de cette élection présidentielle US AVEC CELLE DE CES PRESIDENTS NOTAMMENT L’EXICITE TRUMP ET CETTE KAMALA HARRIS QUI A REMPLACEE BIDEN HORS JEU pour motif de santé et d’âge !?

Cela est quand même préoccupant parce que les citoyens de ces pays démocratiques les plus libres du monde sont abêtis stupides ou devenus idiots apathiques et comme leurs dirigeants à qui on a donné trop de pouvoir se prennent pour de monarques sans couronnes comme notre petit bourgeois MACRON « 2 » puisque réélu par des citoyens gogos sans amour propre a la différence des Anglais qui eux ont une monarchie constitutionnelle et ne font plus partie de l’Europe avec leur « brexit » un fiasco qu’ils semblent regretter d’ailleurs on voit ce que donne cette Union Européenne des 27 qui bat de l’aile et on s’étonne que le monde entier aille mal il faut dire que nos électeurs ne savent plus voter ou bien choisir çà c’est la réalité de nos pays !?

On l’a surement mérité et d’ci 2027 MAIS surtout chez nous en FRANCE se sera pire !?

Jdeclef 14/10/2024 18h29


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