mercredi 31 janvier 2024

C’est hélas évident les Français trop naïfs votent toujours si mal car ne sachant pas choisir leurs dirigeants qui pourtant ne les protègent pas car comme eux pratiquant de « le chacun pour soi individualiste » en ne pensant qu’à eux et leurs avantages ou privilèges dignes de l’ancien régime !?

 

Gabriel Attal : un discours pétri de généralités dans un climat de paille brûlée (ou de pétard mouillé qui fera pschitt !?)

L'ÉDITO DE PIERRE-ANTOINE DELHOMMAIS. En pleine crise agricole, il ne fallait guère s’attendre à ce que le Premier ministre allume d’autres incendies en annonçant des réformes économiques audacieuses ou des coupes budgétaires douloureuses.

Par Pierre-Antoine Delhommais

Publié le 31/01/2024 à 06h10, mis à jour le 31/01/2024 à 09h07

LES FRANÇAIS N’ONT PAS A SE PLAINDRE CAR ILS ONT MAL CHOISI LEURS POLITICIENS OU DIRIGEANTS DE TOUS BORDS DEPUIS + DE 40 ANS (delà à dire qu’ils « sont bêtes à bouffer du foin ») comme ces pauvres agriculteurs qui essaient de se faire entendre de ce gouvernement « macronien » borné il n’y a qu’un pas à franchir car ils le méritent !?

 

Rien de surprenant dans cette atmosphère de paille brûlée à ce que le Premier ministre en soit prudemment resté au stade des généralités, « des beaux discours et des grandes tirades », selon ses propres mots. Pour faire l'éloge du travail devant être mieux rémunéré que l'inactivité, pour souligner l'urgence de « déverrouiller » l'économie en s'attaquant aux normes et aux rentes, pour dénoncer une « smicardisation » généralisée du pays, pour affirmer la nécessité d'augmenter le taux d'emploi des séniors et de rendre le « modèle social plus efficace et moins coûteux ».

Autant de diagnostics très justes, que plusieurs de ses prédécesseurs avaient d'ailleurs déjà formulés comme lui à la tribune de l'Assemblée nationale, mais qui ne disent pas grand-chose sur les remèdes que le Premier ministre compte administrer pour soigner tous ces maux parfaitement identifiés dont souffre l'économie française.

Du flou, du flou, du flou

Ce décalage entre la force des mots employés par le Premier ministre et le grand flou entourant son action future s'est retrouvé de façon emblématique lorsqu'il a abordé la situation de nos finances publiques. « Le préalable au réarmement de la France, c'est la responsabilité budgétaire, a expliqué avec solennité Gabriel Attal. Nous devons faire preuve d'une responsabilité exemplaire dans nos finances publiques, il y va de notre souveraineté, il y va de la survie de notre modèle social, il y va de la protection des plus fragiles, il y va de la protection des classes moyennes qui seraient les premières victimes des coupes massives et des hausses drastiques auxquels nous serions contraints si nous ne tenons pas notre trajectoire de réduction des déficits et de notre dette. »

Interview de Macron : après le « quoi qu'il en coûte », le chéquier

Tout cela était magnifique, presque poignant, sauf que, là encore, aucune piste précise n'a été évoquée pour « tenir cette trajectoire », aucune mesure concrète annoncée pour apporter le premier euro des 12 milliards d'économies que Bruno Le Maire a pour mission de trouver dans le prochain budget.

De façon plus préoccupante encore, le Premier ministre a réaffirmé, dans la droite ligne de ce qu'avait déjà dit il y a quinze jours Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse, que le meilleur moyen à ses yeux de diminuer les déficits, « c'est le travail et la croissance ». Il est pour le moins inquiétant qu'un Premier ministre qui se targue de « voir la vérité en face » se montre à ce point aveugle en pensant que le retour d'une forte croissance est possible dans une France qui enregistre des niveaux de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires records dans le monde.

Une situation catastrophique qui devrait modérer tout élan de fierté

Il est également illusoire de parler sans cesse comme il l'a fait de « reconquête de souveraineté » quand plus de 3 000 milliards d'euros de dette publique mettent le pays à la merci des sautes d'humeur des banques étrangères, des hedge funds américains et des caisses de retraite asiatiques qui détiennent une grande part des obligations assimilables du Trésor. Il deviendra impossible de financer les 200 euros d'augmentation de salaires des infirmières scolaires promis par le Premier ministre si les agences de notation et les investisseurs étrangers commencent à se lasser du « je-m'en-foutisme » budgétaire de la France.

 L'argent, un déterminant plus important en France qu'ailleurs

Parce qu'il voit l'économie française plus belle qu'elle ne l'est, attractive comme jamais, débarrassée du chômage de masse et se réindustrialisant à toute allure, le Premier ministre ne semble pas tout à fait conscient des énormes efforts et des réformes profondes à accomplir pour la « réarmer ». « Nous ne serons jamais une puissance moyenne qui se résigne au déclin avec fatalité », a lancé avec émotion le Premier ministre en conclusion de son discours de politique générale. La situation catastrophique de nos finances publiques comme de nos comptes extérieurs est là pour tempérer cet optimisme et modérer cet élan de fierté.

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Tant que les Français lambda ne voudront pas comprendre que c’est le président qui gouverne (ou décide quand il le fait rarement comme dans cette « macronie du en même temps » par en plus sa procrastination pathologique) rien ne changera malgré des changements de gouvernements sans effet même partiel ?!

Car ce président comme d’autres avant lui après le mitterrandisme qui a duré du   21 mai 1981 – 17 mai 1995 socialiste de cette gauche PS et son parti et surtout après le sarkozisme et autres dirigeants de tous bords qui se sont succédés depuis ces quinquennats jusqu’à cette « macronie »  et son président élu et réélu par défaut croyant à de la nouveauté pour certains Français par la jeunesse de leur président à cause d’une opposition pas fiable et du changement artificiel de nom de ce parti dit « en marche »  et des Français comme cette droite qui a déjà usé maintes fois ces changements de partis bien que toujours les mêmes depuis que cette Veme république usée existe comme cette extrême droite FN devenue RN de la famille LE PEN !?

Et ce malgré que les Français lambda de tous les corps de métiers y compris les retraités qui souffrent vocifèrent râlent manifestent et quelque fois violemment voire en vandalisant ou essayant de bloquer la marche du pays comme ces mouvements protestataires des agriculteurs après bien d’autres divers !

Ces problèmes de gouvernance dans notre pays ne sont pas nouveaux depuis + de 40 ans mais ne cessons pas de le dire sont la faute des Français qui votent car nous sommes encore dans un pays libre et démocratique bien qu’ils aient donné » trop de pouvoir à leur président (sans même sans rendre compte dans cette Veme républiques devenue monarchique avec ses faux rois sans couronnes !?)

Jdeclef 31/01/2024 11h30

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