EXCLUSIF. Viktor Orban
sur l’aide à l’Ukraine : « La Hongrie subit un chantage »
INTERVIEW.
Seule contre tous, la Hongrie refuse de donner son feu vert au programme
d’aide à l’Ukraine. Avant le sommet européen extraordinaire sur la question
budgétaire, Viktor Orban s’explique.
LES
PEUPLES ENCORE LIBRES ET DEMOCRATIQUES DEVRAIENT COMMENCER ENFIN A REAGIR
PUISQU’ILS PEUVENT ENCORE VOTER AU
LIEU DE SE FAIRE TONDRE COMME DES MOUTONS AU PROFIT DE POIGNEES DE POLITICIENS DE
TOUS BORDS ET DIRIGEANTS QUI NE PENSENT QU’A EUX (et leurs avantages ou privilèges
dignes de l’ancien régime monarchique) AVEC DES FRANÇAIS NAIFS QUI LES ELISENT
ET REELISENT LES AGRICUTEURS ONT RAISON CE PROTESTER CAR DANS NOTRE PAYS (IL N’
Y A QUE CELA POUR FAIRE BOUGER LES CHOSES DANS NOTRE SOCIETE QUI PART A VAU L’EAU
MAIS C’EST TRISTE !?)
Ce
jeudi 1er février 2024, les Vingt-Sept se retrouvent à
Bruxelles pour un Conseil européen extraordinaire sur la question
budgétaire. Avec, à la clé, un nouveau match Viktor Orban contre
les Vingt-Six. En décembre, le Premier ministre hongrois a mis son veto
à un soutien de 50 milliards d'euros en faveur de l'Ukraine d'ici
à 2027 (dont 17 milliards de subventions). Depuis, les
discussions ont patiné. La Hongrie subit une énorme pression. C'est dans ce
contexte que Viktor Orban a accepté de répondre aux questions du Point.
Le Point : Depuis un mois et demi, vos
partenaires européens font pression sur vous pour que vous acceptiez un plan
d'aide à l'Ukraine de 50 milliards d'euros pris dans le budget européen.
Jeudi, qu'allez-vous proposer ?
Viktor Orban : Rien n'a
changé. La position hongroise est donc toujours très claire : au fil du
temps, nous pensons qu'il n'y a pas de solution militaire à la guerre en
Ukraine. Malheureusement, les 26 autres États membres de l'Union européenne
pensent toujours qu'il existe une solution militaire. Leur proposition va dans
le sens d'une solution militaire à laquelle que je ne souscris pas. Les
Hongrois ne l'apprécient pas non plus. Nous pensons que la seule solution est
diplomatique. Elle implique des négociations de cessez-le-feu et de paix.
Dans ce contexte, on nous demande de donner 50 milliards d'euros à
l'Ukraine sur quatre ans. Or, parce que nous n'aimons pas l'escalade de la
guerre et que nous ne pensons pas que la solution passe par le champ de
bataille, nous n'aimons pas cette proposition. Nous avons le droit d'être en
désaccord parce que nous avons un budget dans l'Union européenne qui a été
accepté il y a trois ans par les autres pays, y compris par la Hongrie. Ce
budget européen est une base que les autres veulent désormais modifier. Je
pense que chaque membre de l'Union européenne a le droit de défendre le budget
tel qu'il a été créé. C'est une position très européenne car il s'agissait d'un
budget européen agréé à Vingt-Sept. La question fondamentale relève de la
souveraineté. La Hongrie, en tant qu'État souverain, s'oppose à cette
modification du budget. Malheureusement, ce droit d'un pays indépendant n'est
pas accepté par les 26. Alors ils essaient de nous convaincre, puis de faire
pression, puis de faire du chantage, de nous contraindre à les rallier. C'est
très difficile de rester seul dans cette famille.
En tant que partisan de l'Union européenne ou plutôt de l'unité européenne, je
partage le point de vue selon lequel l'unité européenne est une valeur. La
Hongrie n'aime pas utiliser son droit de veto et voter contre les autres, car
nous comprenons bien que l'unité est une valeur. C'est donc le grand défi
auquel nous sommes tous confrontés : comment sortir de cette
situation ?
EXCLUSIF.
Viktor Orban : « L'Ukraine est l'un des pays les plus corrompus du
monde » Vous avez fait une proposition samedi…
Nous avons décidé de faire une offre de compromis : nous ne sommes pas
d'accord pour modifier le budget. Nous ne sommes pas d'accord sur le fait que
nous devrions donner 50 milliards d'euros, une somme énorme. Nous ne
sommes pas d'accord sur le fait que nous devions l'accorder pendant quatre
ans, etc. Mais bon, la Hongrie est prête à participer à la solution des
Vingt-Sept, si vous garantissez que chaque année nous déciderons de continuer
ou non à envoyer cet argent. Et cette décision annuelle doit avoir la même base
juridique qu'aujourd'hui : elle doit être unanime. Malheureusement,
certains pays comprennent ou interprètent cette position comme un moyen de les
faire chanter chaque année.
Vous avez un certain
historique en la matière…
Notre position est qu'il ne s'agit pas d'un chantage au veto, mais de restaurer
et de maintenir l'unité de l'Union européenne. Donc, si vous forcez quelqu'un à
faire partie de quelque chose qu'il n'aime pas et dont il a le droit de ne pas
faire partie, mais que vous l'avez poussé, forcé de quelque manière que ce soit
à en faire partie, il est juste et raisonnable de lui donner la possibilité de
participer chaque année à la décision de poursuivre ou pas. Ce serait donc le
compromis. Voilà où nous en sommes.
Et comment votre proposition est-elle reçue en ce moment ? Par
exemple, par le chancelier allemand, Olaf Scholz ?
Si je comprends bien, la manière dont ils l'ont reçue a été publiée dans le Financial
Times… Ce n'est donc pas vraiment une réflexion positive.
Le Financial Times
a, en effet, publié un article, ce lundi 29 janvier, selon lequel l'UE
pourrait punir l'économie hongroise en cas de veto en refusant tout paiement
européen à la Hongrie, ce qui aurait des conséquences sur les investissements
et la monnaie dans votre pays. Avez-vous eu vent d'un tel plan ?
C'est une sorte de manuel du maître chanteur. Ils disent, en somme, que si nous
nous comportons comme un pays souverain, la Hongrie subira immédiatement un
vaste blocus financier et qu'ils feront un lien entre la question ukrainienne
et l'État de droit. Les deux n'ont rien à voir ! Alors, la Hongrie
subirait l'Armageddon[l'« Apocalypse », NDLR]. C'est ce
qu'il est écrit dans le document publié par le Financial Times. Je
n'ai aucun doute sur l'authenticité de ce document. Connaissant Bruxelles, ils
en sont capables.
Un haut responsable du Conseil européen a apporté une forme de
démenti après la publication, en précisant qu'il s'agissait d'une note sur
l'état économique de la Hongrie rédigée sous la responsabilité du secrétariat
général du Conseil. Nous ne savons pas exactement ce qu'il en est, mais le
Conseil publie une sorte de rectification…
Nous avons tous une certaine expérience en politique internationale. Nous ne
sortons pas d'un jardin d'enfants. Si le Financial Times publie un
document détaillant le scénario d'un blocus financier de la Hongrie et d'un
chantage à notre encontre, nous pouvons être sûrs qu'il existe. Je comprends
combien il est difficile pour les autres de l'accepter, car l'Union européenne,
ces dernières années, s'est de plus en plus orientée vers une direction
impérialiste, surtout après le départ du Royaume-Uni. Il s'agit de moins en
moins d'une communauté d'États souverains. De plus en plus, quel que soit votre
droit établi par les traités, quels que soient les arguments raisonnables que
vous leur opposez, ils essaient de vous forcer à faire partie de quelque chose
dont vous ne voulez pas.
Plus concrètement encore, Bruxelles a mené ces dernières années une guerre
idéologique contre la Hongrie et a constamment tenté de nous faire chanter.
Même la présidente de la Commission européenne [Ursula von der Leyen, NDLR]
a déclaré publiquement lors de la dernière session parlementaire que la Hongrie
ne recevra pas les fonds européens qui lui sont dus tant qu'elle ne sera pas
prête à changer sa position sur la migration et le genre. Alors qu'est-ce que
c'est, sinon du chantage ? Nous, Hongrois, vivons dans ces conditions
depuis de nombreuses années.
Pour
Viktor Orban, l'Ukraine ne peut pas vaincre la Russie
Les 26 autres États membres de l'UE disent qu'un plan
annuel, approuvé chaque année, ne permettrait pas à l'Ukraine de planifier ses
dépenses sur quatre ans. Est-ce un argument recevable à vos yeux ?
C'est un argument qu'il faut prendre au sérieux, mais je ne l'accepte pas.
D'abord, nous ne savons pas ce qui va se passer dans les trois ou quatre
prochains mois en Ukraine. Alors, dans quatre ans…
Deuxièmement, personne ne sait si les Américains participeront ou non au jeu,
que ce soit aujourd'hui ou après l'élection présidentielle américaine de
novembre 2024.
Troisièmement, qui a fait le décompte, ? Qui a fait le calcul ?
Pourquoi exactement 50 milliards d'euros ? Nous ne savons pas
exactement à quoi correspond cette somme. Et enfin, l'argument principal, du
moins pour un démocrate, c'est que dans cinq mois, il y aura des élections en Europe. On
négligerait totalement l'opinion des Européens en prenant une décision
aujourd'hui qui engagerait l'Europe sur quatre ans et qui porte sur une somme
énorme ! Comme si l'opinion des peuples n'avait aucune importance et quel
que soit le résultat des élections européennes en juin… Si l'Europe entend se
comporter comme une communauté démocratique fondée sur l'État de droit, nous ne
pouvons tout simplement pas prendre une telle décision.
Vous comprenez que les Ukrainiens sont dans l'urgence…
Je comprends les Ukrainiens. Ils aimeraient avoir la garantie d'une somme
d'argent énorme pour la période la plus longue possible. Je comprends, mais ce
n'est pas dans l'intérêt européen. En Europe, nous devons nous comporter
différemment. Cette somme d'argent, les Européens en ont également besoin. En
Europe, nous souffrons de plus en plus des mauvaises performances de
l'économie. Cet argent serait très utile aux peuples européens, aux Français,
aux Allemands, aux Hongrois, aux Polonais… Tout compte fait, je pense que nous
avons plus d'arguments en faveur de notre solution – une décision annuelle,
révisée en fonction des événements – que mes opposants, qui voudraient allouer
d'un seul coup 50 milliards d'euros à l'Ukraine pour quatre ans, n'en ont
pour la leur.
Si, en février 2022, le président
américain s’était appelé Donald Trump, il n’y aurait plus de guerre en Europe.
Que répondez-vous à ceux qui pensent qu'au fond vous attendez l'élection de Donald Trump en
novembre prochain pour voir votre point de vue triompher ? Il
serait un grand allié pour vous…
Revenons à 2016, pendant sa première campagne, avant l'élection. À l'époque,
tout le monde disait que l'élection était gagnée pour Hillary Clinton et non
pour Donald Trump. J'ai clairement dit, à ce moment-là, que nous avions besoin
de Donald Trump en Europe. Parce que lorsque Trump dit « Make America
Great Again » ou « America First », cela nous légitime dans le
fait de dire « Make Europe Great Again » et « Europe First ».
Mettez l'Europe en premier, mettez la France en premier, mettez la Hongrie en
premier. C'est l'attitude normale en politique internationale, si nous
souhaitons trouver des accords fondés sur la base de l'intérêt national.
Enfin, nous ne devrions pas oublier que Trump a été l'un des présidents des
États-Unis ayant connu le plus de succès en matière de politique étrangère. Pas
une seule guerre n'a été déclenchée par lui. Et les accords d'Abraham étaient la
seule chance sérieuse de générer une paix, un équilibre et une forme de vie
acceptable dans la région très difficile du Moyen-Orient.
Ma conviction personnelle reste que si, en février 2022, le président
américain s'était appelé Donald Trump, il n'y aurait plus de guerre en Europe.
Je ne vois aujourd'hui personne d'autre que lui, ni en Europe ni en Amérique,
qui soit un leader suffisamment fort pour arrêter la guerre. La paix porte un
nom, celui de Donald Trump.
La Commission européenne mène une guerre
idéologique contre la Hongrie.
La présidente Ursula von der Leyen a précisé devant le Parlement
européen qu'environ 20 milliards d'euros ne seraient pas versés à la
Hongrie tant que certains problèmes persisteraient dans le pays, tels que la
loi sur la protection des enfants qui cible les personnes LGBT, les accrocs sur
la liberté académique, les failles dans la lutte contre la fraude. Comment
réagissez-vous à ce rappel ?
Il convient tout d'abord de rappeler que la Commission européenne a clairement
déclaré il y a trois mois que la réglementation sur les marchés publics
hongrois ne présentait aucun problème. C'est une bonne réglementation. La
Hongrie se situe, de ce point de vue, dans le meilleur premier tiers des pays
de l'UE. Le défaut de lutte contre la corruption n'est donc plus un argument
solide.
Ensuite, la Commission européenne a déclaré que le système juridictionnel en
Hongrie était correct. Nous disposons donc du système judiciaire contrôlé et
réévalué le plus solide de l'Union européenne. Ça aussi, c'est fini.
Comment
Viktor Orban est devenu un modèle pour les droites nationalistesMais
parce que la Commission européenne est animée d'une intention politique, parce
qu'elle mène une guerre idéologique contre la Hongrie, la présidente von der
Leyen a besoin de créer de nouveaux griefs pour attaquer la Hongrie et la faire
chanter. Et le nouveau grief concerne la migration et le genre ! Cela n'a
rien à voir avec la corruption ou la qualité du système judiciaire. La Hongrie,
à cet égard, va bien. Donc l'État de droit, c'est évident, n'est pas le
véritable argument brandi contre la Hongrie. Sans compter la tentative de
chantage visant à dire : si la Hongrie n'accorde pas les 50 milliards
d'euros à l'Ukraine, nous la priverons de son droit de vote au Conseil
européen… Il s'agit d'un comportement manifestement injuste, car priver un pays
du droit de vote n'est possible que si l'État de droit pose problème. Mais
l'Ukraine n'a rien à voir avec l'État de droit !
Les institutions européennes ne prennent pas au sérieux l'État de droit. C'est
juste un instrument pour faire chanter les pays qui souhaitent maintenir leur
souveraineté et qui ont leur propre opinion. D'un autre côté, ce n'est pas bon
pour la Hongrie parce que, comme toute personne normale, nous aimons être
aimés. Nous aimons être respectés en tant que personnes et en tant que pays, ce
qui est injustement refusé à la Hongrie. Malgré cela, je continue de croire que
l'unité européenne est importante.
Les États membres, s’ils sont en désaccord sur
des questions comme la guerre, la migration, le genre, subissent immédiatement
une réaction impérialiste de la part de Bruxelles.
Avez-vous parlé de cette situation avec Giorgia Meloni, la
présidente du Conseil italien ?
J'ai parlé continuellement avec tout le monde.
Est-elle un soutien pour vous ?
Non, nous sommes seuls. Pour nous, c'est une question de principe, mais
les 26 autres en font une question de pouvoir. C'est une situation
difficile malheureusement. Vous le savez, je suis membre du Conseil européen
depuis de très, très longues années. Ce qui est important dans ces situations
compliquées, c'est ce que nous appelons à la tranquillité stratégique : ne
pas sauter sur tout ce qui bouge, ne pas réagir immédiatement,
rester calme. Il est important que les Européens comprennent que les États
membres, s'ils sont en désaccord sur des questions comme la guerre, la
migration, le genre, subissent immédiatement une réaction impérialiste de la
part de Bruxelles et subissent une forme de chantage.
L'Europe traverse une crise agricole majeure. La Hongrie a été
impactée par l'ouverture du marché européen aux produits ukrainiens.
Qu'attendez-vous de la Commission européenne, qui doit proposer une solution
d'ici à juin ?
Cette histoire montre donc à quel point l'Ukraine est un problème grave pour
l'Europe, indépendamment de la guerre. La guerre ne fait que souligner
l'importance de l'Ukraine. Mais même sans la guerre, l'Ukraine constitue un
défi important pour l'Europe.
Nous devons être très prudents car l'Ukraine est un pays immense. Et le
rapprochement de l'Ukraine de l'Union européenne, voire son adhésion à l'Union
européenne, aura un énorme impact désastreux ou pourrait avoir un énorme
impact désastreux sur les économies européennes, en particulier dans le secteur
agricole. Alors que se passe-t-il ? Nous souffrons beaucoup ici en Hongrie
parce que nous sommes un pays voisin, ainsi qu'en Pologne.
« Venez
voir à quoi ressemble l'Ukraine, M. Orban » Vous, en
France, vous êtes loin. Vous êtes défendu par nous, si je puis dire. Le
continent éloigne de vous l'Ukraine, mais, tôt ou tard, l'impact de l'économie
ukrainienne sur l'Union européenne arrivera en France. Et vous souffrirez
exactement comme nous. Nous devrions être très unis et expliquer clairement aux
Ukrainiens quelles mesures doivent être prises pour la rapprocher de l'Union
européenne et de nos marchés. La production agricole ukrainienne est bien
meilleur marché que celle des paysans français et hongrois, et ce n'est pas
soutenable. Nous ne pouvons pas rivaliser et nous détruisons nos communautés
agricoles. Nous ne pouvons pas faire ça – les Ukrainiens doivent le comprendre.
La Commission européenne doit défendre les intérêts européens contre les
Ukrainiens, et non pas représenter les intérêts ukrainiens contre les
agriculteurs européens.
L’UKRAINE n’est pas sans défaut
mais quand cette attaque de ce pays par un dictateur dérangé Russe après avoir
tenté d’envahir la Tchétchénie et Géorgie avec la cerise sur le gâteau de l’annexion
de la Crimée a voulu détruire ce pays (frère avant sous l’ère soviétique) qui
est tombé en 1989 avec la chute du mur de BERLIN et la réunification des 2
Allemagnes est/ouest et la fin de ses mandants de la 1ere ministre allemande MERKEL
elle-même née en RDA EST soviétique qui discourait avec Poutine à bâton rompu
de cette Europe (dite unie) qui ne l’est pas en totalité et la HONGRIE en est l’exemple
avec son président pro soviétique ORBAN (déjà d’ailleurs avec ce « brexit »
économique de l’ANGLETERRE britannique qui a déjà quitté celle-ci mais pas heureusement
ses alliances militaires US et U.E. et France !?)
Car si les alliés de cette
U.E pourtant divisée n’avait pas été là les Russes poutiniens serait à nos
portes !?
Les grands conflits internationaux
dans l’histoire de notre monde entier malade ont duré en moyenne 5 ans celui de
l’Ukraine date depuis 2022 loin d’être terminé et surtout mal géré par cette Europe
bavarde et ses dirigeants donneurs de leçons bienpensants hypocrites qui s’en
remettent aux USA pour leur protection par l’épouvantail OTAN et qui vont surement
changer de président en reprenant TRUMP un mauvais choix entre 2 vieillards et
donc qui n’ont rien d’autre à penser !?
Sans compter notre « macronie »
malade malgré ce faux changement gouvernemental pétard mouillé qui a fait pschitt
et qui débouche sur une crise majeure du monde agricole français et ce monde
instable qui souligne les conflits Orient contre Occident le tout teintée de
religions extrémistes moyenâgeuses (avec un président hors sol qui se promène
à l’étranger jamais là quand il faut confirmant son inutilité !?)
Jdeclef 30/01/2024 13h44
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