lundi 8 janvier 2024

Mauvais spectacle que ce cirque des remaniements ministériels si utilisés par tous les présidents de cette Veme république obsolète et usée et ses gogos de français lambda qui s’y laissent prendre…

 

La mise en scène toxique du remaniement ?!

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Si Emmanuel Macron veut changer de gouvernement, qu’il le fasse, vite et sans préavis. Ce suspense d’opérette ne le grandit pas.

Par Sophie Coignard

LA ON VOIT LA PAUVRETE DU MONDE POLITIQUE DE NOTRE PAYS QUI DIRIGE LA France ET EST CENSE LA GOUVERNER ET LA PROTEGER DEPUIS + DE 40 ANS CAR ON VA DE MAL EN PIS !?

Mais le président s’en fiche il n’a aucun amour propre et se croit meilleur que les français (pourtant certains sont bien plus intelligents que lui mais les Français ne savent pas les choisir et c’est cela leurs principaux défauts !?)

C’est une scène habituelle de la Ve République, surtout depuis l'élection d'Emmanuel Macron. Le microcosme bruisse pendant des jours de toutes les rumeurs sur un changement de locataire à Matignon, sur l'éviction de tel ou tel ministre qui a déplu, sur l'arrivée dans la future équipe d'une personnalité inattendue, propre à nourrir les commentaires sur la capacité du président à fédérer autour de lui des profils intéressants.

Il serait rassurant de penser que les Français n'en ont pas grand-chose à faire. Mais c'est malheureusement pire que cela : ils s'en moquent sûrement mais ne peuvent échapper aux fausses confidences distillées par tel ou tel conseiller, tel ou tel ministre, relayées par les médias et les réseaux sociaux. Les Français, donc, se trouvent bien malgré eux, depuis le début de cette année, spectateurs d'un lamentable feuilleton dont le scénariste semble avoir paresseusement tiré à la ligne. Où que se tourne leur attention, impossible d'échapper aux prédictions astrologiques délivrées par des mages en manque d'inspiration et d'information.

Remaniement : Macron bien décidé à « faire le ménage »

La machine, au fil du temps, s'emballe elle-même et tourne en rond. On soupèse les moindres fait, geste et parole de la Première ministre. On évalue les chances de ses successeurs supposés. On compte les jours, les heures, les minutes pour tenter de trouver le moment exact du verdict présidentiel.

Le Monopoly des carrières ministérielles

À tout ce cirque, un seul responsable : le président de la République en personne. S'il souhaite se séparer de sa Première ministre, s'il veut remanier peu ou prou le gouvernement, qu'il le fasse ! Mais sans festonner pendant des jours l'événement à venir de maints rebondissements, ballons d'essai et autres états d'âme complaisamment relayés par son entourage. Les chefs de parti de sa majorité lui donnent du fil à retordre, parce que chacun a son avis sur le meilleur successeur d'Élisabeth Borne ? Qu'il fasse preuve d'autorité, qu'il tranche et cesse de consulter à tout va.

 Au revoir Élisabeth Borne, il est temps de partir

Il n'est pas possible, en effet, de déclarer le 31 décembre au soir qu'il est urgent et fondamental d'opérer un « réarmement » du pays, puis de donner en spectacle ses propres atermoiements comme le fait Emmanuel Macron depuis des jours. Si chaque minute compte pour sortir la France de sa dépression, l'heure n'est pas à jouer au Monopoly des carrières ministérielles.

 Le non-conseil des ministres, un non-événement ?

Le dernier épisode en date de ce feuilleton atterrant a été, ce dimanche, la convocation d'Élisabeth Borne à l'Élysée. Pour qu'elle présente sa démission ? Que nenni ! Il s'agissait d'évoquer des « dossiers importants », tels que les intempéries dans le Pas-de-Calais et la vague de froid. La gestion de tels dossiers ne nécessite nullement une dimension théâtrale. Et, si le sort du gouvernement tient à la « température ressentie », laquelle, c'est un fait avéré, peut baisser fortement en hiver, il sera difficile de prétendre à l'avenir que l'exécutif est « tout à sa tâche », « pleinement concentré sur les enjeux qui comptent pour le pays ». Tout simplement parce que ce n'est pas vrai.

Pitoyable jeu de chaises musicales trouées car usées depuis que cette Veme république existe avec en plus un président procrastinateur pathologique qui n’arrive pas à décider ce qu’il veut (peut-être faire !?)

Car les Français qui ne savent plus voter ni choisir correctement dans cette Veme république gaullienne devenue monarchique style ancien régime dont on n’arrive pas à se débarrasser comme un vieux chewing-gum usagé qui colle à leurs chaussures pour leur destin et qui ont commis une erreur de plus parmi celles déjà nombreuses en réélisant notre (dit) chef d’état petit bourgeois parvenu qui les dédaigne et se moque d’eux en les insultant en filigrane car ne les considérant pas de son monde !?

Car maintenant une majorité de Français s’en fiche ou ne vote pas car n’y croyant plus depuis + de 40 ans car désabusés alors ils se resignent puisque de toute façon ils doivent attendre 2027 (pour revoter aussi mal car le pli est pris d’ailleurs de moins en moins de ces citoyens râleurs aboyeurs ne vont revoter car devenus partisans du « chacun pour soi » qui ne profitent qu’aux plus malins !?)

Quand au sort de Mme BORNE 1ere ministre revêche technocrate inféodée à la personne du président il devrait la garder car il ne trouvera peut-être pas quelqu’un(e) d’aussi servile à sa personne qui obéira à ses ordres au doigt et à l’œil en se fichant des citoyens lambda ?!

Pour le reste la « macronie » mourra de sa belle mort en 2027 après la non réélection d’un nouveau président qui sera mal élu (comme d’habitude) par des Français frondeurs indisciplinés qui ne pensent qu’a eux personnellement comme les politiciens et dirigeants qu’ils élisent et réélisent depuis près de 79 ans !?

Bonnes années (futures) à tous ces politiciens que nous élisons et rééliront qui regardent la France couler irrémédiablement en sombrant et que l’on n’écoute plus dans ce monde instable !?

Jdeclef 08/01/2023 10h37

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