dimanche 28 janvier 2024

Cet ex patron des patrons du MEDEF est bien à l’image de la « macronie » et de notre président petit bourgeois parvenu se prenant trop pour un monarque qui ne nous protègent pas !?

 

Pierre Gattaz : « Il faut supprimer soit la région, soit le département, et les agglomérations et les métropoles » !?

S’il donne un satisfecit aux dernières réformes, l’ancien patron du Medef, Pierre Gattaz, appelle le gouvernement à accélérer et dénonce « la folie normative » de l’Europe.

Par François Miguet

POURQUOI NE PAS DEVENIR UNE DEMOCRATURE TOTALITAIRE QUI FLEURIE DEJA ET SE PORTE BIEN DANS DE NOMBREUX PAYS DE CE MONDE MALADE QUI PAR A VAU L’EAU CAR INSTABLE A LA MARGE DE CONFLITS LATENTS QUI NE DEMANDENT QU’A SE DECLENCHER ( et qui plairait peut être à notre président ? Qui ne peut être rééligible en 2027 de par notre constitution car il est encore jeune ce qui n’est pas le cas pour les américains dans leurs USA…avec leurs vieillards ?!)

Qu'est devenu Pierre Gattaz ? Depuis qu'il a laissé les commandes du Medef, il y a presque six ans, l'ancien patron des patrons s'est fait plutôt discret. Loin des plateaux des chaînes d'information en continu et des studios des matinales radiophoniques qu'il fréquentait jadis chaque semaine, il s'est concentré sur le développement de son entreprise familiale, Radiall, un spécialiste de la connectique de pointe qui fournit des industriels comme Dassault ou Boeing. Mais le voici maintenant de retour dans l'arène médiatique avec un livre : Enthousiasmez-vous ! (Éditions du Rocher, 240 p., 18,90 euros), qui tient à la fois des Mémoires et du vade-mecum à destination des jeunes tentés par l'aventure entrepreneuriale. Entretien et confidences sans langue de bois.

Le Point : Près de six ans après la fin de votre mandat de président du Medef, vous revenez dans le débat public avec un livre. Pourquoi ?

Pierre Gattaz : Quand on est patron du Medef, fonction que j'ai exercée à titre bénévole de 2013 à 2018, on devient un peu visible médiatiquement et on acquiert de l'expérience. J'ai voulu écrire ce livre pour partager cette expérience, notamment avec les jeunes, dont ceux, au premier chef, qui veulent entreprendre. C'est aussi ma façon de lutter contre le pessimisme des Français. On est quand même un grand pays, doté d'un patrimoine incroyable. Les chefs d'entreprise le savent : après des mois de galère, le soleil finit toujours par revenir. Je voulais aussi rendre hommage aux réformes économiques portées par Manuel Valls à partir de 2014 et puis par Emmanuel Macron.

On s'était moqué de moi en janvier 2014 quand j'ai dit qu'on pouvait créer 1 million d'emplois. Le chômage était alors à plus de 10 %. J'avais annoncé que si les bonnes mesures d'allègement et de simplification fiscale et sociale étaient prises, on pourrait gagner 1 million d'emplois en cinq ans. Fin 2019, l'Insee a acté que le million d'emplois avait été créé. Et, aujourd'hui, on en est à 2 millions d'emplois créés. C'est le fruit d'une série de réformes : le CICE avec les baisses de charge, la flat tax, la diminution du taux de l'impôt sur les sociétés de 33 % à 25 %, la suppression de l'ISF, la loi El Khomri de simplification du marché du travail, les ordonnances Pénicaud qui ont mis un plafond au barème des prud'hommes… Tout cela a redonné de la confiance aux chefs d'entreprise français, mais aussi aux investisseurs étrangers. En 2013, ces derniers étaient tous très pessimistes pour la France. Maintenant, ça a changé. L'image de la France sur le plan économique s'est vraiment améliorée !

Cela dit, il reste beaucoup à faire. Le PIB par habitant des Français les classe au 28e rang mondial alors qu'ils étaient dans les cinq premiers à la fin des années 1960, rappelez-vous dans votre livre. Pourquoi avons-nous tant dégringolé ?

Même s'il y a du mieux depuis quelques années, nous sommes encore au milieu du gué. La part de l'industrie dans le PIB a été divisée par deux depuis les années 1970 pour s'établir à environ 10 %. Cela a entraîné des conséquences néfastes sur l'emploi, la vitalité des territoires, la recherche et la souveraineté. La réindustrialisation du pays est en cours, mais elle va prendre vingt ou trente ans. Il faudra tenir et garder le cap ! Le PIB par habitant des Allemands est de 15 % à 20 % plus élevé que le nôtre, celui des Américains l'est de plus de 40 % et celui des Suisses de 70 %. On paye encore aujourd'hui, le programme commun de la gauche de 1981 qui a démotivé et, in fine, appauvri les Français. On a commencé à arrêter les conneries, c'est bien, mais il faut continuer les réformes. Notamment en écoutant davantage le terrain que les intellectuels perchés dans leurs cumulonimbus.

Dans mon marché, celui de la connectique, je suis le dernier des Mohicans !

Votre plus grande fierté, écrivez-vous en introduction, est d'avoir gardé en France les cinq usines de votre groupe, Radiall, qui fabrique des composants électroniques. Était-ce si difficile ?

Oui, j'ai gardé mes quatre usines historiques et j'en ai construit une de plus en France. Et quand je suis arrivé chez Radiall en 1992, j'avais 1 000 collaborateurs, dont 900 en France. Maintenant, c'est 3 500 personnes dans le monde, dont 1 600 Français. Dans mon marché, celui de la connectique, je suis le dernier des Mohicans ! Ce marché est très mondialisé, très compétitif. J'ai subi quatre grandes crises. Après la chute du mur de Berlin, quand les commandes militaires ont baissé ; en 2001, quand la bulle Internet a explosé, entraînant une baisse de 40 % de mon chiffre d'affaires et des pertes ; en 2008, à la suite de la crise de Lehman Brothers où j'ai perdu 10 % de mon chiffre d'affaires ; et, enfin, en 2020, quand le Covid a étouffé l'économie mondiale, j'ai perdu 25 % de mon chiffre d'affaires. Heureusement, entre ces crises, j'ai enregistré de belles périodes de croissance. La conclusion évidente, c'est que la vie d'industriel n'est pas un long fleuve tranquille. À cause des lois françaises, il m'a fallu 18 mois pour restructurer mon groupe en 2001, alors que mes concurrents américains l'ont fait en quelques semaines et mes rivaux allemands en quelques mois. À ce moment-là, j'ai douté très fortement de ma capacité à continuer de produire des composants électroniques en France. Mais je me suis dit : « Si tous les patrons raisonnent comme ça, on ne va pas s'en sortir collectivement. » Et j'ai fini par me battre, trouver les bons débouchés. Et m'impliquer plus dans les fédérations professionnelles pour défendre nos entreprises. Quand je suis arrivé chez Radiall en 1992, j'avais vingt concurrents français. Ils se sont tous vendus à des boîtes étrangères. Il n'en reste plus un seul… C'est d'une tristesse infinie.

« Une catastrophe » : le patronat inquiet des futurs congés payés cumulés lors des arrêts maladie

À quelques rares exceptions près, toutes les initiatives de simplification ont échoué dans notre pays. Le gouvernement entend aujourd'hui rouvrir ce chantier. Faut-il y croire ?

Avec la baisse des dépenses publiques, la simplification est le sujet prioritaire. Cela dit, je pense que c'est un sujet de président de la République. C'est gaullien, churchillien, herculéen, c'est énorme. C'est bien que Bruno Le Maire en parle, mais ce chantier est tellement majeur pour la compétitivité du pays qu'il doit absolument être pris à bras-le-corps par le chef de l'État lui-même. Des maires, comme celui de Cannes, David Lisnard, qui en parle beaucoup, aux simples citoyens… Les Français n'en peuvent plus. Et les choses s'aggravent. Je suis très inquiet sur l'Europe, car elle s'est embarquée dans une folie normative, notamment en matière d'environnement. Son fonctionnement, c'est le triptyque contraint, contrôle, sanction, avec ajouts de fonctionnaires à tous les étages. Quand je suis parti du Medef, la France comptait 80 codes et 400 000 normes.

Comment doit-on faire pour simplifier tout cela ?

À chaque nouveau gouvernement, on crée une mission de simplification. Mais, à chaque fois, ceux à qui on confie ces projets s'épuisent, comme Thierry Mandon et Guillaume Poitrinal. On avait abouti sur la règle « le silence de l'administration vaut accord » au bout de trois mois. Mais l'État y a mis 2 500 exceptions ! Les Anglais ont inventé le « one in, two out  ». Il faut s'en inspirer. Parce que la boulimie de lois et de normes est en train de nous rendre obèses et de nous tuer. Le Code du travail suisse fait 60 pages contre 3 600 pour le nôtre. Honnêtement, je ne pense pas que le dossier de la simplification aboutira si Emmanuel Macron ne s'en occupe pas personnellement et quotidiennement. Et je ne pense pas non plus qu'il réglera le problème des dépenses publiques, car il n'en parle pas assez. Or, c'est un sujet crucial. La France est championne du monde de la dépense publique, avec 58 % du PIB, contre 49 % en moyenne européenne, 45 % en Allemagne, 35 % pour la Suisse. La France a une énorme administration, qui ne crée pas de richesse et qui est financée par ceux qui en créent. On peut faire beaucoup mieux avec beaucoup moins.

Ce n'est pas simple de faire baisser la dépense publique. Où faudrait-il couper ?

Il faut d'abord faire du management. Aujourd'hui, il n'y a pas de politique de ressources humaines dans la fonction publique. Nos fonctionnaires ne sont pas managés, motivés. On ne leur donne pas les outils nécessaires à leur épanouissement et leur implication. Or, ils doivent avoir, comme leurs homologues du privé, quantité d'idées pour améliorer le fonctionnement de leurs administrations. Je pense notamment aux infirmières qui courent tout le temps, s'épuisent parfois à la tâche et qu'on n'écoute jamais. C'est une piste d'économie énorme, car en augmentant le bien-être et la motivation des collaborateurs, on fait monter leur créativité et leur productivité. C'est du management moderne et participatif qui fait cruellement défaut.

Avez-vous d'autres pistes ?

Il faut ensuite simplifier l'organisation territoriale du pays. Je préconise que l'on supprime soit la région, soit le département. Et qu'on supprime également les communautés d'agglomérations et les métropoles. Afin d'arriver à seulement trois niveaux hiérarchiques, comme chez nos voisins suisses. Sous les présidences Chirac et Sarkozy, 700 000 fonctionnaires ont été embauchés dans la fonction publique territoriale. Le pays ne s'en porte pas mieux pour autant. Ensuite, il faut supprimer les autorités administratives indépendantes. Il faut aussi mettre en place des outils pour comparer nos dépenses publiques avec celles des meilleurs élèves de la classe, comme l'Irlande ou Singapour. Le tout, avec humilité. On en manque dans notre élite. Nos dirigeants ont peut-être les meilleurs diplômes, mais souvent ils parlent mal anglais et n'ont jamais géré des hommes et du cash. Enfin, il faut privatiser certaines activités, comme l'entretien des parcs, jardins, bâtiments, ou certains pans de la Sécurité sociale. La privatisation de France Télécom a été un succès.

Réindustrialisation : beaucoup de mythes, dures réalités

Vous relatez vos relations exécrables avec la CGT quand vous étiez président du Medef. Pour vous, elle ne voulait pas être un partenaire mais un adversaire social.

Oui. La CGT a été très active contre la loi El Khomri, entre autres choses. Elle est dans la défense des avantages acquis, et non pas la défense de l'outil de travail, comme la majorité des syndicats européens. Parfois, elle a aussi basculé dans la violence. J'avais reproché à la CGT d'utiliser des méthodes de voyous dans un entretien au Monde lors des réformes El Khomri, et elle m'avait attaqué en justice. J'ai gagné, heureusement, en première instance comme en appel. J'ai essayé de tendre la main aux partenaires sociaux pendant ma période au Medef, mais j'ai vite compris que ni la CGT ni la CFDT ne voulaient de cette main tendue. Les seuls sujets consensuels étaient ceux de la formation et de l'apprentissage. Donc j'en ai tiré les conclusions en conseillant au candidat Macron de passer en force pour toutes les réformes sensibles mais vitales, comme l'avait fait le chancelier Schroeder en 2003 pour enclencher le début du miracle économique allemand. Cela dit, avec le temps, les gens peuvent changer. J'ai croisé l'ancien patron de FO Jean-Claude Mailly, qui était très dur dans le dialogue social à l'époque où j'étais au Medef, il n'y a pas longtemps. Il m'a dit : « Je suis entrepreneur maintenant ! » Et il en est très fier. Arnaud Montebourg, qui était sur une ligne dure à ses débuts à Bercy, revendique lui aussi d'être devenu un « multi-entrepreneur ». C'est génial. Je me réjouis que l'image des entrepreneurs et des entreprises n'ait jamais été aussi bonne chez tous les Français, de droite et de gauche.

Dans votre ouvrage, vous racontez un épisode assez hallucinant où vous êtes reçu par la ministre de l'Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, pour parler de l'apprentissage. Cette dernière, pendue à son téléphone, n'écoute pas un mot de ce que vous lui racontez…

D'abord, il y a un problème de forme : quand on est face à quelqu'un, on ne regarde pas son téléphone. C'est la moindre des politesses ! La discussion à sens unique a duré trois quarts d'heure. Ensuite, sur le fond, j'ai compris qu'elle s'en fichait royalement de l'apprentissage, et donc de l'industrie. Elle m'a dit, en substance : « Je suis le résultat d'un système éducatif remarquable qui m'a permis de faire Sciences Po et de devenir ministre. » Or, l'apprentissage est un sujet majeur pour la jeunesse. Ce système a permis la réussite de l'Allemagne, de l'Autriche et de la Suisse. Cet épisode a été assez traumatisant pour moi. Il y a vingt ans, quand la Chine a construit sa puissance, sur les vingt ministres, il y avait dix-huit ingénieurs. Il faut que les ingénieurs, y compris ceux venant de l'apprentissage ou de l'alternance, et ceux qui connaissent le monde de l'entreprise, puissent devenir ministres.

Pensez-vous que le pays puisse atteindre le plein-emploi d'ici à 2027 comme le président Emmanuel Macron en a formé le vœu ?

Je pense que c'est atteignable, mais à condition de continuer à travailler sur les bons leviers. Tout le monde pensait que passer de 10 % à 7 % était inaccessible. On l'a fait. Passer de 7 % à 5 %, c'est faisable, puisqu'une grande partie de nos voisins européens y sont déjà. Seulement, pour y parvenir, il ne faudra rien lâcher sur la réindustrialisation du pays. Pour cela il faut continuer à baisser les charges qui pèsent sur le travail et donc à beaucoup mieux gérer les dépenses publiques de santé. Il faut continuer à diminuer les impôts, et comme on ne peut plus s'endetter, voire rembourser la dette, il faut couper dans les dépenses publiques de l'État et des territoires. Enfin, il faut redonner du pouvoir d'achat aux gens qui se paupérisent. Quand vous donnez 100 euros net à un salarié, ça coûte 186 euros à l'entreprise. On est les champions du monde des charges. Ça encourage le travail au noir, ça décourage les embauches et les augmentations de salaire. Ça démotive tout le monde et ça finance des monstres administratifs obèses et impotents. Il faut s'y attaquer. C'est le seul moyen d'aller vers le plein-emploi et de redresser durablement la France tout en redonnant des moyens aux chantiers publics prioritaires comme l'éducation, la justice ou la police. Là aussi, il faut être churchillien !

Êtes-vous enthousiaste pour l'année 2024 d'un point de vue économique ? Et si oui, pour quelles raisons ?

En dépit du paysage noir de guerre en Ukraine, de tensions extrêmes au Proche-Orient, de la grande nervosité géopolitique, notamment entre la Chine et les États-Unis, des actes d'incivilités et de la violence qui se développe sur notre territoire, je constate qu'il y a en France beaucoup d'énergies innovantes et entrepreneuriales, notamment de la part de nos jeunes. Je vois des jeunes des quartiers talentueux qui créent leurs entreprises, d'anciens chômeurs se battre pour retrouver un emploi, des Français très engagés dans leurs entreprises ou leurs associations, de l'entraide entre compatriotes, des gens qui veulent s'en sortir… Et cela me rend enthousiaste et optimiste. Contre toute attente, un gouvernement socialiste a mené des réformes économiques importantes qui ont permis de baisser le chômage à 7 % et d'apporter une image plus business au pays. On peut alors tout espérer ! Il faut juste continuer les bonnes réformes, pragmatiques et non idéologiques, et la France rejouera durablement en première division.

Conférence de presse de Macron : le déni de la dette

Comme d’autres avant lui et qui lui a octroyé la légion d’honneur (que l’on donne à tout le monde sans beaucoup de discernement et que l’on n’arrive pas à supprimer à certains quand ils ont fauté !?)

Ce personnage est l’archétype d’une bourgeoisie d’un IXX et début du XX eme siècle et de la révolution industrielle mondiale qui a entrainé surtout les pays libres et (encore) démocratiques d’après guerres mondiales dans une course en avant pernicieuse car trop rapide par cet argent roi virtuel et les progrès divers industriels qui vont trop vite comme l’informatique et autres dans nos sociétés au détriment des peuples lambda qui reste sur le bord du chemin car oublié par nos dirigeants que nous élisons et réélisons comme des naïfs dont certains n’y comprennent rien se laissant entrainer par de fausse majorité  virtuelle ou la vox populi des autres qu’ils côtoient !?

Nos dirigeants et surtout nos politiciens de tous bords depuis que cette Veme république de venue monarchique digne de l’ancien régime existe depuis + de 65 ans se serve et profite de nos faiblesses de caractères ou autres arrogances Françaises qui sont l’hypocrisie et le "chacun pour soi" dévastateur naturellement pas tous mais nombreux  malgré qu’ils peuvent changer cela dans notre pays ou ils votent si mal depuis 1982 pour leur propre malheur ou déception il n’y a que les vieux concitoyens de ma génération qui pourraient changer cela (mais quand ils votent car beaucoup ne le font plus!?)

La conséquence mondiale étant une progression de l’ORIENT et ses religions moyenâgeuses qui veut la perte de cet OCCIDENT judéo-chrétien remontant à des millénaires !?

LA France étant le pire en matière de donneurs de leçons hypocrites de par les voix de nos dirigeants élus et réélus par nous ont ne le dit pas assez !?

JDeclef 28/01/2024 11h32

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