jeudi 18 janvier 2024

Mr le président c’est bien gardé de parler de notre dette de 3000 MILLIARDS D’EUROS car il n’avait rien à répondre pour même la diminuer ce qui devient impossible ni sur notre économie qui bat de l’aile « il ne coure même pas comme un chien perdu après sa queue » il élude et continue de dédaigner en se moquant des Français dit lambda de classe moyenne qu’il veut aider MAIS COMMENT ?!

 

Conférence de presse de Macron : le déni de la dette !?

L’ÉDITO DE PIERRE-ANTOINE DELHOMMAIS. Emmanuel Macron a promis baisses d’impôts et investissements mais n’a jamais évoqué l’état de nos comptes publics. Le mythe de l’argent magique n’est pas mort.

Par Pierre-Antoine Delhommais

Publié le 18/01/2024 à 09h53

A FORCE DE MENTIR OU GOMMER VIRTUELLEMENT LES VRAIS PROBLEMES ECONOMIQUES LE PRESIDENT SI DONNEUR DE LECONS VA REUSSIR A METTRE LES FRANÇAIS DANS LA RUE ET LA IL NE POURRA STOPPER LEURS COLERES JUSTIFIEES HELAS ?!

Sans doute faut-il moins retenir de la conférence de presse d'Emmanuel Macron ce qu'il a dit ou annoncé que ce qu'il a soigneusement passé sous silence. Il est notamment édifiant, angoissant surtout, que le chef de l'État ait réussi l'exploit de ne pas prononcer une seule fois en deux heures et demie le mot de dette alors que celle-ci atteint des niveaux inédits dans notre pays que même les économistes les moins orthodoxes en matière budgétaire jugent préoccupants.

Il est vrai aussi, ce qui constitue un motif supplémentaire de désolation et la preuve que le déni n'est pas seulement présidentiel mais général, qu'aucune question ne lui a été posée sur l'état objectivement catastrophique de nos comptes publics. Aucune question non plus pour demander au président de la République où il va trouver l'argent pour financer les futures baisses d'impôts annoncées pour les classes moyennes mais également la longue liste des aides, « accompagnements » et investissements supplémentaires qu'il a établie.

Un héritage de 3 000 milliards d'euros de dette

On aura en tout cas bien compris que, pour le chef de l'État, l'instauration d'un congé naissance est une urgence plus grande dans notre pays que la diminution des déficits et que la pratique du théâtre à l'école revêt un caractère bien plus prioritaire que la réduction de la dépense publique. De cette dernière il n'est aujourd'hui même plus question, comme il n'est bien sûr plus question de supprimer, comme s'y était pourtant engagé en 2017 le candidat Emmanuel Macron, 120 000 postes de fonctionnaire. L'heure est aussi au réarmement de la fonction publique. Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire avait annoncé il y a quelques mois « la fin de l'ivresse de la dépense publique ». Le chef de l'État a remonté lundi soir de la cave suffisamment de bouteilles de vin pour que la fête du « quoi qu'il en coûte » puisse se poursuivre.

 Le roman noir de la dette : l'argent facile de Hollande, l'argent magique de Macron

« Le cœur de la bataille budgétaire est une bataille pour l'activité et la création d'emplois et de richesses  », a affirmé Emmanuel Macron, expliquant que, si la France avait le même taux d'emploi que l'Allemagne, ses finances publiques seraient à l'équilibre. Ce en quoi il n'a pas tort, mais, sans vouloir lui faire offense, il raisonne à l'envers. Il est vain de viser un objectif de plein-emploi et d'espérer le retour d'une forte croissance avec des niveaux de dépenses publiques et sociales records dans le monde qui exigent, pour être financées, des niveaux également records dans le monde de prélèvements obligatoires et de pression fiscale sur les ménages et sur les entreprises.

Lors de sa longue intervention, Emmanuel Macron en a appelé à plusieurs reprises au « bon sens ». Il faut singulièrement en manquer pour prétendre faire de l'école une priorité au moment où la charge de la dette publique, à cause de la remontée des taux d'intérêt, va dépasser d'ici à 2017 le budget de l'Éducation nationale. Il faut aussi en manquer, ou alors faire preuve d'un certain cynisme, pour se dire obsédé par le sort des générations futures mais leur léguer en héritage plus de 3 000 milliards d'euros de dette à rembourser.

Remettre de l'ordre ? Apparemment pas dans les finances publiques

Après avoir écouté lundi soir le chef de l'État, il ne fait malheureusement plus aucun doute que la volonté affichée par son Premier ministre Gabriel Attal de « remettre de l'ordre » ne s'appliquera pas aux finances publiques. Parce qu'il n'a plus à se soucier de son avenir électoral personnel et donc, en théorie, de sa cote de popularité, on aurait pourtant pu penser qu'Emmanuel Macron allait cesser de raconter des « carabistouilles » aux Français pour leur tenir un discours de vérité économique, en ne cachant notamment plus rien de la situation alarmante de notre endettement et des douloureux sacrifices budgétaires à faire pour stopper sa dérive. Avec la conférence de presse qu'il vient de donner, cet ultime espoir s'est définitivement envolé. L'argent magique va continuer de couler à flots d'ici à la fin du quinquennat.

 

Cette dette pharaonique de 3 milliards est impossible à rembourser et surtout ne fait qu’augmenter au fils des mandatures présidentielles de cette Veme république dite gaullienne depuis 1970 car le budget de la France n’est plus en équilibre comme pour des milliers de Français qui vivent ou survivent à crédit alors le pays et nos gouvernements de tous bords empruntent en plus à des taux qui ne font qu’augmenter avec en plus une inflation subit par tous les Français !?

Mais notre président était un ex Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique ancien énarque banquier d’affaire etc..alors !?

En septembre 2008, il se met en disponibilité de la fonction publique et devient banquier d'affaires chez Rothschild & Cie ?!

Pour le reste on ne va épiloguer après le fiasco de F.HOLLANDE qui s’est dégonflé comme une baudruche crevée ne voulant pas etre réélu !

Il a saisi la balle au bond et l’opportunité d’être élu par défaut car n’ayant aucune opposition correcte à lui opposer sans choix dans cette classe politique médiocre par des Français qui ont cru à un jeune dynamique inconnu par une majorité d’entre eux qui croyaient à la jeunesse et sa nouveauté !?

Mais le pire c’est peut-être d’être réélu pour son 2eme quinquennat par des Français lambda d’une niaiserie remarquable après un quinquennat raté !?

Et en bon spécialiste de l’auto satisfaction politicienne de nos dirigeants passés et lui donc présent il s’est bien garder de parler d’économie et de cette dette difficile à cacher irremboursable qui risque de mettre notre pays en faillite comme l’Argentine ou plus anciennement aux USA  et Allemagne celles de 1929 ou tout le monde se retrouverait à la soupe populaire pour simplement survivre avec son euro qui ne voudrait même pas le prix du papier pour l’imprimer et si l’U.E se désagrège comme dans certains pays qui commence à se désolidariser avec des risques de conflits militaires déjà présents !?

Le résumé est simple Mr le président de notre république bienpensant donneur de leçons continue en amplifiant de se moquer des Français sans vergogne dans un monde de plus en plus instable !?

Jdeclef 18/01/2024 15h08


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