CRITIQUES DE BON SENS: Commentaires d'articles de presse sur fait de société ou politique du monde
Éducation, jeunesse, sécurité, croissance… Ce mardi, Emmanuel Macron a fait de nombreuses annonces lors de son « rendez-vous avec la nation ».
Par Nathan Joubioux pour Le Point
Publié le 16/01/2024 à 20h31, mis à jour le 17/01/2024 à 08h47
IL N’A FAIT QUE REEDITER LES PROMESSES OU PLANS CREUX QU’IL N’AVAIT PAS REALISE LORS DE SON 1ER QUINQUENNAT MAIS COMME CELA SEMBLE PLAIRE A ENCORE TROP DE FRANÇAIS NAIFS LAMBDA POURQUOI S’EN PRIVERAIT-IL ?!
(Le plus triste c’est qu’il continue à se moquer de tous les Français et certains encore ne s’en rendent pas compte !?)
Emmanuel Macron avait donné rendez-vous aux Français en janvier, sans divulguer davantage d'informations. Ce mardi 16 janvier, le chef de l'État prend la parole depuis l'Élysée. Ce « rendez-vous avec la nation » intervient dans un contexte particulier, alors qu'il vient de nommer un nouveau Premier ministre en la personne de Gabriel Attal et après une année 2023 marquée par la réforme des retraites et la loi immigration, adoptée par la force.
« Après six ans et demi d'action au service des Français […], nous avons, collectivement, cherché à suivre une ligne claire : libérer les énergies, protéger les Français, unir la nation », a débuté Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron a d'abord tenu à justifier le remaniement. « C'est pour faire face à ces défis et à ce moment très précis du mandat que m'ont confié les Français que j'ai voulu nommer un nouveau gouvernement », a-t-il expliqué. « Pourquoi ce gouvernement le plus resserré et le plus jeune de l'histoire de la Ve République ? Parce que cette époque de crise que je décris rapidement suppose avant tout audace, action et efficacité. Dans les mois, dans les années à venir, se décidera le destin des prochaines générations. C'est tout l'enjeu. C'est tout notre défi. »
Le chef de l'État dit regretter des écrans qui « trop souvent enferment ». Il a promis de « déterminer leur bon usage ». « Chaque génération de Français doit apprendre ce que la République veut dire : une histoire, des devoirs, des droits, une langue, un imaginaire, le sens profond du respect et de l'engagement, et cela dès l'enfance, en renforçant le soutien et l'exigence vis-à-vis des parents, en reprenant aussi le contrôle de nos écrans, qui trop souvent enferment là où ils devraient libérer. »
« Sur la base des recommandations d'experts rencontrés la semaine dernière, nous déterminerons le bon usage des écrans en famille », a-t-il précisé.
Emmanuel Macron souhaite mettre en place des cérémonies de remise du brevet des collèges dès cette année, afin de valoriser les diplômes obtenus au collège. Autre nouveauté que le président de la République souhaite mettre en pratique dès cette année : l'instruction civique, qui sera « refondée avec, en appui, les textes fondateurs de la nation ».
Emmanuel Macron a également pour objectif de rendre obligatoires les cours de théâtre au collège et au lycée. « Je souhaite que le théâtre devienne un passage obligé au collège dès la rentrée prochaine parce que cela donne confiance. Cela apprend l'oralité, le contact aux grands textes. Et parce que la France est aussi une histoire, un patrimoine qui se transmet et qui unit. » Il a également annoncé que l'histoire de l'art « retrouvera sa place dès la rentrée prochaine au collège et au lycée ».
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Le second grand défi abordé par Emmanuel Macron est la sécurité. « Avoir une France plus forte, c'est aussi assurer l'ordre en contrôlant mieux nos frontières grâce aux textes que nous avons pu voter en France, comme ceux que nous avons votés au niveau européen et la poursuite aussi de ce que nous avons renforcé ces dernières années en luttant contre les incivilités », a-t-il indiqué.
Il a annoncé le doublement de la présence policière dans les rues. « C'est le cœur de la stratégie annoncée il y a quelques années à Roubaix par les emplois et les réformes conduites. [Nous devons aussi lutter] contre la drogue qui, ces dernières années, se déploie, pas simplement dans les grandes villes, mais aussi dans des villes moyennes qui la connaissaient moins. Parfois même dans des villages. »
Emmanuel Macron souhaite également accélérer le réarmement académique, scientifique, technologique, industriel et agricole « grâce au plan de relance et au programme France 2030 ». « La pandémie a montré que pour nombre de biens essentiels, les médicaments par exemple, nous dépendons trop souvent de l'étranger, et les solutions technologiques de demain, en particulier pour la croissance verte ou le numérique, d'être produites dans d'autres continents que le nôtre », a expliqué le chef d'État.
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Emmanuel Macron a annoncé un nouveau « congé de naissance ». Un congé « mieux rémunéré » et qui permettra aux deux parents d'être auprès de leurs enfants pendant six mois. Il souhaite un congé plus court que le congé parental actuel, « qui peut parfois aller jusqu'à trois ans et qui éloigne beaucoup de femmes du marché du travail, mais qui aussi crée beaucoup d'angoisse parce qu'il est extrêmement peu et mal rémunéré et donc crée des situations parfois impossibles ».
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« Je crois en cette France du travail et du mérite. C'est cette France qui tient le pays », a assuré Emmanuel Macron. Ainsi, pour éviter un « manque de travailleurs », le président de la République souhaite « former davantage selon les besoins de la nation » en encourageant la création et la reprise d'un emploi avec, « dès le printemps prochain, un acte II de la réforme du marché du travail lancée en 2017 ». « Si la France avait le taux d'activité et d'emploi de l'Allemagne, il n'y aurait pas de problèmes de finances publiques », a-t-il également précisé.
Il a indiqué mettre en place des mesures permettant de « mieux gagner sa vie par le travail ». Car si la France est « le pays où le pouvoir d'achat des travailleurs a le plus augmenté » malgré l'inflation, ce n'est pas suffisant pour le chef de l'État.
En parallèle, il affirme vouloir mettre « fin à cette France du “ce n'est jamais pour moi” ». « Il y a une France de l'angle mort, la France des classes moyennes, tous nos compatriotes qui gagnent trop pour être aidés », a regretté Emmanuel Macron. Pour ce faire, il dit vouloir voir des fonctionnaires davantage rémunérés « au mérite ».
Un président hyper bavard c’est fait plaisir il était tout sourire presque même enjoué pour cet exercice que l’on dit qu’il n’affectionne pas alors que c’est le contraire parfaitement à l’aise en bon « théâtreux » qui aurait pu être un grand acteur s’il n’avait choisi la politique et le pouvoir qui lui est tombé tout rôti par défaut car n’ayant pas de nouveau candidat diffèrent de ceux que l’on trainait depuis + de 40 ans de l’après mitterrandisme car il a vu ce que valent les Français lambda râleurs et indisciplinés voire frondeurs mais hélas d’une nativité qui frise la maladie psychologique des Français lambda qui l’ont réélu car bon public qui avale tout !?
Ce procrastinateur pathologique invétéré a redéroulé ce qu’il avait déjà promis et non réalisé lors de son 1er quinquennat (hormis cette réforme des retraites accouché au forceps qui n’a pas plu aux citoyens soi-disant son cheval de bataille) et il a continué à dédaigner les Français de tous bords et de se moquer d’eux avec le sourire !?
Son dernier gouvernement avec son jeune 1er ministre ATTAL bon chic bon genre est bien à son image car notre président s’en fiche car il ne peut être réélu et continue car çà cela devient de plus en insupportable de ne pas s’empêcher de donner des leçons qu’il n’applique pas à lui-même mais à tout le monde Français et reste du monde !?
Ceci étant il n’est pas le 1er président « à tête bien pleine de vide » et d’un orgueil démesuré depuis que cette V eme république devenu pseudo monarchique digne de l’ancien régime mais lui à une qualité spéciale c’est un pseudo acteur de théâtre qui a raté sa carrière tant il a la langue bien pendue !?
Mais il a des Français de plus en plus mal éduqués trublions râleurs indisciplinés qui n’y comprennent pas grand-chose ou plus simplement s’en fiche ce qui rejaillit sur notre France (QUI CONTINUE A REGRESSER) malgré qu’il veuille nous faire croire le contraire (car les évènements à suivre nationaux et internationaux à subir ne s’améliorerons pas !?
A l’avenir à cause des Français car étant (encore) dans un pays libre car votant quand ils le peuvent réclamant un referendum à plusieurs questions sur différents sujets le président n’étant pas encore chaud pour utiliser cette usine à gaz on le comprend bien qu’il ne soit pas rééligible à l’exemple du créateur de notre Veme république ce qui lui avait couté sa place (mais lui ne risque rien mais il veut rester quand même jusqu’au bout en 2027 !?)
Jdeclef 17/01/2024 10h58
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