Le gouvernement fait durer le suspense. Deux semaines après avoir annoncé son gouvernement, Gabriel Attal n'a toujours pas voulu indiquer qui ferait partie de la seconde vague de nominations. Il faudra patienter après la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, prévue le mardi 30 janvier, a appris France Télévisions.
Pour le moment, le gouvernement de Gabriel Attal est
constitué de quatorze personnes, dont onze ministres et trois ministres
délégués. Gabriel Attal devrait annoncer une seconde salve de nominations de
ministres délégués et de secrétaires d'État. Mais quelles sont les différences
entre ces postes ?
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qui sont les ministres écartés du gouvernement Attal ? Le
site Vie publique
indique qu'il n'existe, dans les faits, aucune hiérarchie entre les membres
d'un gouvernement. Si le Premier ministre « dispose d'une prédominance
politique », il « n'est pas le supérieur hiérarchique de ses
ministres, il n'a pas de moyens de les contraindre à prendre une mesure qu'ils
se refusent à exécuter », est-il expliqué.
Les ministres dits de « plein exercice » sont « à la tête
d'un département ministériel, dont les contours varient selon les
gouvernements », est-il indiqué. Si des variations peuvent exister entre
différents gouvernements, on retrouve généralement plusieurs appellations
telles que l'Intérieur, la Justice, les Affaires étrangères ou l'Écologie.
Une fois nommés, ils peuvent se constituer une équipe. Depuis un décret de
juillet 2020, modifiant une règle fixée en mai 2017, ils peuvent
comptabiliser jusqu'à quinze conseillers, au lieu de dix jusqu'alors,
expliquait Le Monde.
Leur rémunération s'élève à 10 490 euros mensuels, précise Capital.
Une somme composée de 8 148 euros d'indemnités de base,
2 098 euros d'indemnités de fonction et 244 euros d'indemnités
de résidence. À cela s'ajoutent les avantages sur les transports.
Les ministres d'État
Ce titre est beaucoup plus rare dans les gouvernements. Et pour preuve, le
dernier ministre d'État en date est François de Rugy qui était, en 2018
et 2019, ministre de la Transition écologique et solidaire, explique France Info. Il
s'agit en réalité d'un titre à portée honorifique (comme ce fut le cas pour
André Malraux de 1959 à 1969) ou à portée politique, afin de les
distinguer des chefs des partis de la majorité notamment.
Sous la Ve République, seules 69 personnes ont été
nommées « ministre d'État ». Outre François de Rugy, donc, on
peut citer Simone Veil et Charles Pasqua sous Édouard Balladur ou François
Bayrou et Gérard Collomb sous Édouard Philippe.
Les secrétaires d'État
Le rôle des secrétaires d'État peut se rapprocher de ceux des ministres de
« plein exercice », à la différence qu'ils possèdent beaucoup moins
de pouvoirs. S'ils peuvent être autonomes à la tête d'un département
ministériel, ils sont généralement rattachés au Premier ministre ou à un
ministre. Leur rôle est d'assister ces derniers dans leurs fonctions.
Pour les suppléer, ils peuvent recruter huit conseillers. Ils touchent un
salaire de 10 115 euros par mois.
Les ministres délégués
Dernier titre possible au sein d'un gouvernement, celui de ministre délégué.
Le site Vie publique explique qu'il peut « exercer [ses] fonctions soit
auprès du Premier ministre, soit auprès d'un ministre afin de prendre en charge
plus particulièrement certaines de ses attributions ».
À l'instar des secrétaires d'État, ils sont donc rattachés à un membre du
gouvernement, mais ont un statut de ministre. Cependant, ils ne siègent pas
forcément au Conseil des ministres, mais interviennent généralement lorsque
l'ordre du jour concerne leur fonction.
Olivier Véran, Franck Riester et Isabelle Rome étaient, notamment, ministres
délégués auprès de la Première ministre, Élisabeth Borne.
Comme une majorité de Français
n’y comprennent plus rien dans cette « macronerie » car étant hyper présidentielle
qui préfère faire plus compliquée que plus simple un des multiples défauts de
notre pays devenu depuis longtemps arrogant voulant donner des leçons au reste
du monde et bien franchouillard de tous ces gouvernements ou dirigeants passés
et maintenant présents depuis + de 40 ans dans Veme république usée devenue obsolète
et pseudo digne de l’ancien régime monarchique abattu un court temps en fait en
1789 avec après des empires napoléoniens et ses nouvelles république qui se
moquent des Français lambda soit depuis 235 ans en fait avec des hauts (plutôt des
bas) !?
Car si l’on revient au
présent puisque les FRANÇAIS lambdas sans mémoire malgré leurs générations différentes
avalent tout en râlant ou manifestant bien sur voir même quelque fois
violemment depuis 1958 et avant ou l’on voit par exemple pour faire simple que
ce nouveau gouvernement qui devait être resserré est en fait le contraire ou on
rajoute des couches à ses fonctionnaires par des sous ministre super
secrétaires d’état qui peuvent s’adjoindre des conseillers !?
Mais ce qu’il ne faut pas
oublier car sous l’égide de notre petit président bourgeois procrastinateur pathologique
élu et réélu avec trop de pouvoir que lui ont donné les Français qui ne s’en
sont même pas rendu compte qui les dédaigne en continuant de se moquer d’eux ce
peuple incurable naïf qui donne des bâtons pour se faire battre en disant merci
(pour certains !?)
JDeclef 24/01/2024 14h09
Bien sur la censure arbitraire moyennageuse du Point et ses bien pensants s'est reveilleée car on touche à catte "macronie" hypocrite mal gouvernée qui dirige mal et ne protege pas notre pays correctement !?
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