mardi 16 janvier 2024

La France n’a rien à envier des USA car nos citoyens lambda votent aussi mal qu’eux en réélisant les mêmes depuis + de 40 ans et cette « macronie » donc ils devraient balayer devant leurs portes politiciennes encombrées de nuls !?

 

Caucus de l’Iowa : grand favori, Donald Trump remporte la première primaire républicaine !?

L’ex-président américain, favori pour remporter l’investiture républicaine, s’est imposé dans ce scrutin qui lance le parcours des primaires.

Par B. L. avec AFP

Publié le 16/01/2024 à 02h42, mis à jour le 16/01/2024 à 09h13

LES AMERICAINS NOS COUSINS D’AMERIQUE DU NORD SONT AUSSI BETES QUE NOUS MALGRE LEURS VIEUX PRESIDENTS USES QUE SEULS PEUT ETRE LEURS GRANDS AGES PEUVENT LES LIBERER DE CES BOULETS QU’ILS TRAINENT ?!

Donald Trump a remporté lundi soir la primaire républicaine dans l'Iowa, selon les projections des médias américains, consolidant son statut de grand favori de la droite pour la présidentielle de novembre. Selon les médias CNN et CBS, l'ancien président, quatre fois inculpé, devance ses rivaux Nikki Haley et Ron DeSantis dans cet État du Midwest, qui lance la saison des primaires républicaines pour la présidentielle. Selon les médias américains, le gouverneur de Floride a devancé Nikki Haley et termine deuxième de ce caucus.

« Je pense qu'il est temps maintenant pour tout le monde, pour notre pays de s'unir [...]. Qu'il s'agisse des républicains ou des démocrates ou des libéraux ou des conservateurs », a affirmé l'ex-président, connu pour sa rhétorique d'ordinaire offensive, devant ses partisans à Des Moines dans cet État du Midwest. Dans la foulée, le candidat républicain Vivek Ramaswamy a jeté l'éponge. « Nous allons suspendre cette campagne présidentielle », a lancé celui qui a obtenu environ 7 % des voix selon des résultats provisoires. « Il n'y a pas de voie possible pour moi pour être le prochain président [...]. J'ai appelé Donald Trump pour lui dire que je le félicitais pour sa victoire et qu'à partir de maintenant, il aurait mon soutien entier pour la présidence », a-t-il ajouté.

De son côté, Joe Biden a estimé que cette victoire de Donald Trump faisait de lui le candidat « favori » du camp républicain pour le scrutin de novembre. « Il est le net favori de l'autre camp à ce stade », a-t-il affirmé sur le réseau social X, dans un message d'appel aux dons.

Malgré la tempête de neige qui s'est abattue sur l'État du Midwest et a fait craindre pour la participation, l'ex-président se rapproche donc un peu plus, même si de longs mois séparent encore le pays de la présidentielle, d'un probable duel avec le démocrate Joe Biden, l'actuel occupant de la Maison-Blanche. Donald Trump, qui disposait d'après les sondages d'une des plus grandes avances jamais vues sur ses adversaires (près de 50 % des intentions de vote), avait prédit à ses partisans une soirée « formidable », assurant qu'il allait gagner « haut la main ».

À 19 heures locales (2 heures, mardi, à Paris), les électeurs s'étaient rassemblés dans des écoles, bibliothèques et casernes de pompiers de l'Iowa pour les fameux « caucus », ou réunions électorales. 

« Je suis ici pour Trump, absolument »

Après une prière et une récitation du traditionnel serment d'allégeance au drapeau américain, des représentants ont prononcé un discours en faveur de leur champion avant que les participants n'écrivent leur choix sur un bout de papier. « Je suis ici pour Trump, absolument », a dit Kevin Yearington, un responsable électoral local. « C'était mieux avant », a-t-il ajouté en se plaignant de l'administration Biden. « J'en ai assez de payer plus cher pour les courses, l'essence. L'inflation est hors de contrôle ici. » C'est la première fois depuis l'élection de 2020 que Donald Trump faisait face au jugement des électeurs.

Ce premier moment de vérité de la campagne pèse lourd : si l'ancien président n'avait pas obtenu la victoire annoncée dans l'Iowa, son image d'invincibilité risquait d'être entamée pour le reste de la course. Dès la semaine prochaine, le ballet très orchestré des primaires mènera les candidats dans le New Hampshire, avant que, tour à tour, chacun des 50 États ne vote jusqu'en juin. En ligne de mire, la convention nationale de juillet, qui investira officiellement le candidat républicain à la présidentielle.

Autre grand enjeu de ce vote crucial : la deuxième place. C'est le gouverneur de Floride Ron DeSantis, un conservateur quadragénaire aux positions chocs sur l'immigration ou l'avortement, qui l'occupe, avec 21 % des voix. Il avait tout misé sur l'Iowa, sillonnant ces derniers mois chacun des 99 comtés. Il a savouré son score devant ses partisans, qu'il a remerciés de leur soutien alors que « tout le monde était contre nous » et que les médias « écrivaient notre notice nécrologique il y a quelques mois ».

L'ancienne ambassadrice à l'ONU Nikki Haley, unique femme dans la course, est arrivée troisième avec 19 % mais ne s'est pas pour autant jugée vaincue et a prédit qu'elle ferait mieux lors d'autres primaires. La quinquagénaire est la nouvelle coqueluche d'une partie de la droite et est très appréciée notamment par les milieux d'affaires.

Quid de ses déboires judiciaires ?

Une inconnue de dernière minute a perturbé l'équation : le froid. L'État a été frappé par une tempête de neige et le thermomètre devrait frôler les - 30 °C au moment du vote, avec des routes verglacées.

À Washington, la Cour d'appel sceptique sur l'éventuelle immunité de TrumpDonald Trump veut à tout prix assommer la concurrence pour s'assurer de sa victoire avant que ne commencent ses procès – dont certains lui font risquer la prison. Le républicain va vivre une année en tous points extraordinaire, ponctuée d'allées et venues entre les tribunaux et les estrades de meetings.

Et les démocrates ? Déjà fort du soutien officiel de son parti, le président sortant Joe Biden devrait, sauf énorme surprise, être désigné en août comme leur candidat. Et ce, malgré les critiques répétées sur l'âge du dirigeant octogénaire.

 

A force de juger les autres pays notamment les USA grande démocratie libérale et certains de ses américains qui votent aussi mal pour ce TRUMP éminemment dangereux par ses idées revanchardes extrêmes qui peut mener ce monde instable vers des conflits mondiaux que l’on a hélas déjà oublié depuis 1945 dans notre occident grand donneur de leçons (qu’il n’applique pas toujours à lui-même !)

La « macronnie » de notre président petit bourgeois parvenu élu et réélu par défaut par certains Français sans vraie majorité se prenant pour un monarque (comme d’autres sans couronne digne de l’ancien régime dont on n’arrive pas à se débarrasser qui nous colle à la peau comme des vêtements sales !)

Pratique la même politique arrogante bien qu’il n’en n’a pas les moyens car cette France est bien moins puissante que la grande Amérique U.S. dont elle a besoin comme l’Europe dite unie (mais pas totalement car encore divisée partiellement) qui en a toujours besoin pour se défendre ou se protéger ?!

Car les peuples de ces pays encore libres et démocratiques sont d’une niaiserie incurable manœuvrés par des politiciens chevronnés de tous bords rodés à l’exercice qui ne pensent qu’à eux et à leurs avantages notamment dans notre France avec notre président qui va nous gratifier d’une conférence de presse pour essayer de justifier son remaniement ministériel et pseudo changement de gouvernement déjà raté avant de commencer car inutile car ces Français citoyens lambda avaleront tout et comme c’est leur mauvaise habitude tant pis pour eux !?

Jdeclef 16/01/2024 12h39

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