Caucus de l’Iowa :
grand favori, Donald Trump remporte la première primaire républicaine !?
L’ex-président
américain, favori pour remporter l’investiture républicaine, s’est imposé dans
ce scrutin qui lance le parcours des primaires.
Publié le 16/01/2024 à 02h42, mis à jour le 16/01/2024 à
09h13
LES AMERICAINS NOS COUSINS
D’AMERIQUE DU NORD SONT AUSSI BETES QUE NOUS MALGRE LEURS VIEUX PRESIDENTS USES
QUE SEULS PEUT ETRE LEURS GRANDS AGES PEUVENT LES LIBERER DE CES BOULETS QU’ILS
TRAINENT ?!
Donald
Trump a remporté lundi soir la primaire républicaine dans l'Iowa, selon les
projections des médias américains, consolidant son statut de grand favori de la
droite pour la présidentielle de novembre. Selon les médias CNN et CBS,
l'ancien président, quatre fois inculpé, devance ses rivaux Nikki Haley et Ron
DeSantis dans cet État du Midwest, qui lance la saison des primaires
républicaines pour la présidentielle. Selon les médias américains, le
gouverneur de Floride a devancé Nikki Haley et termine deuxième de ce
caucus.
« Je pense qu'il est temps maintenant pour tout le monde, pour notre
pays de s'unir [...]. Qu'il s'agisse des républicains ou des démocrates ou des
libéraux ou des conservateurs », a affirmé l'ex-président, connu pour sa
rhétorique d'ordinaire offensive, devant ses partisans à Des Moines dans cet
État du Midwest. Dans la foulée, le candidat républicain Vivek Ramaswamy a jeté
l'éponge. « Nous allons suspendre cette campagne présidentielle », a
lancé celui qui a obtenu environ 7 % des voix selon des résultats
provisoires. « Il n'y a pas de voie possible pour moi pour être le
prochain président [...]. J'ai appelé Donald Trump pour lui dire
que je le félicitais pour sa victoire et qu'à partir de maintenant, il aurait
mon soutien entier pour la présidence », a-t-il ajouté.
De son côté, Joe Biden a estimé que cette
victoire de Donald Trump faisait de lui le candidat
« favori » du camp républicain pour le scrutin de
novembre. « Il est le net favori de l'autre camp à ce stade »,
a-t-il affirmé sur le réseau social X, dans un message d'appel aux dons.
Malgré la tempête de neige qui s'est abattue sur l'État du Midwest et a fait
craindre pour la participation, l'ex-président se rapproche donc un peu plus,
même si de longs mois séparent encore le pays de la présidentielle, d'un
probable duel avec le démocrate Joe Biden, l'actuel occupant de la
Maison-Blanche. Donald Trump, qui disposait d'après les sondages d'une des plus grandes avances jamais
vues sur ses adversaires (près de 50 % des intentions de vote),
avait prédit à ses partisans une soirée « formidable », assurant
qu'il allait gagner « haut la main ».
À 19 heures locales (2 heures, mardi, à Paris), les électeurs
s'étaient rassemblés dans des écoles, bibliothèques et casernes de pompiers de
l'Iowa pour les fameux « caucus », ou réunions électorales.
« Je suis ici pour Trump, absolument »
Après une prière et une récitation du traditionnel serment d'allégeance au
drapeau américain, des représentants ont prononcé un discours en faveur de leur
champion avant que les participants n'écrivent leur choix sur un bout de
papier. « Je suis ici pour Trump, absolument », a dit Kevin
Yearington, un responsable électoral local. « C'était mieux avant »,
a-t-il ajouté en se plaignant de l'administration Biden. « J'en ai assez
de payer plus cher pour les courses, l'essence. L'inflation est hors de
contrôle ici. » C'est la première fois depuis l'élection
de 2020 que Donald Trump faisait face au jugement des électeurs.
Ce premier moment de vérité de la campagne pèse lourd : si
l'ancien président n'avait pas obtenu la victoire annoncée dans l'Iowa, son
image d'invincibilité risquait d'être entamée pour le reste de la course. Dès
la semaine prochaine, le ballet très orchestré des primaires mènera les
candidats dans le New Hampshire, avant que, tour à tour, chacun
des 50 États ne vote jusqu'en juin. En ligne de mire, la convention
nationale de juillet, qui investira officiellement le candidat républicain à la
présidentielle.
Autre grand enjeu de ce vote crucial : la deuxième place. C'est le
gouverneur de Floride Ron DeSantis, un conservateur quadragénaire aux positions
chocs sur l'immigration ou l'avortement, qui l'occupe, avec 21 % des
voix. Il avait tout misé sur l'Iowa, sillonnant ces derniers mois chacun
des 99 comtés. Il a savouré son score devant ses partisans,
qu'il a remerciés de leur soutien alors que « tout le monde était contre
nous » et que les médias « écrivaient notre notice nécrologique il y
a quelques mois ».
L'ancienne ambassadrice à l'ONU Nikki Haley, unique femme dans la course,
est arrivée troisième avec 19 % mais ne s'est pas pour autant jugée
vaincue et a prédit qu'elle ferait mieux lors d'autres primaires. La
quinquagénaire est la nouvelle coqueluche d'une partie de la droite
et est très appréciée notamment par les milieux d'affaires.
Quid de ses déboires judiciaires ?
Une inconnue de dernière minute a perturbé l'équation : le froid.
L'État a été frappé par une tempête de neige et le thermomètre devrait frôler
les - 30 °C au moment du vote, avec des routes verglacées.
À
Washington, la Cour d'appel sceptique sur l'éventuelle immunité de TrumpDonald
Trump veut à tout prix assommer la concurrence pour s'assurer de sa victoire
avant que ne commencent ses procès – dont certains lui font risquer la
prison. Le républicain va vivre une année en tous points extraordinaire,
ponctuée d'allées et venues entre les tribunaux et les estrades de meetings.
Et les démocrates ? Déjà fort du
soutien officiel de son parti, le président sortant Joe Biden
devrait, sauf énorme surprise, être désigné en août comme leur candidat. Et ce,
malgré les critiques répétées sur
l'âge du dirigeant octogénaire.
A force de juger les autres pays notamment les USA
grande démocratie libérale et certains de ses américains qui votent aussi mal pour
ce TRUMP éminemment dangereux par ses idées revanchardes extrêmes qui peut mener
ce monde instable vers des conflits mondiaux que l’on a hélas déjà oublié depuis
1945 dans notre occident grand donneur de leçons (qu’il n’applique pas toujours
à lui-même !)
La « macronnie » de notre président petit
bourgeois parvenu élu et réélu par défaut par certains Français sans vraie majorité
se prenant pour un monarque (comme d’autres sans couronne digne de l’ancien régime
dont on n’arrive pas à se débarrasser qui nous colle à la peau comme des vêtements
sales !)
Pratique la même politique arrogante bien qu’il
n’en n’a pas les moyens car cette France est bien moins puissante que la grande
Amérique U.S. dont elle a besoin comme l’Europe dite unie (mais pas totalement car
encore divisée partiellement) qui en a toujours besoin pour se défendre ou se protéger ?!
Car les peuples de ces pays encore libres et démocratiques
sont d’une niaiserie incurable manœuvrés par des politiciens chevronnés de tous
bords rodés à l’exercice qui ne pensent qu’à eux et à leurs avantages notamment
dans notre France avec notre président qui va nous gratifier d’une conférence de
presse pour essayer de justifier son remaniement ministériel et pseudo changement
de gouvernement déjà raté avant de commencer car inutile car ces Français citoyens
lambda avaleront tout et comme c’est leur mauvaise habitude tant pis pour eux !?
Jdeclef 16/01/2024 12h39
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