Publié le
18/01/2024 à 07h30, mis à jour le 18/01/2024 à 09h50
PITOYABLE
CETTE POLITIQUE POLITICIENNE MENEE PAR DES ELUS DE TOUS BORDS QUI NE PENSENT QU’A
EUX ET DES FRANÇAIS LAMBDA QUI SE LAISSE FAIRE MALGRE QUE NOUS SOYONS DANS UN PAYS
LIBRE ET DEMOCRATIQUE PILOTE PAR SOI-DISANT UN CHEF D’ETAT A QUI LES FRANCAIS
ONT DONNE TROP DE POUVOIR QU’IL UTILISE MAL OU PAS DU TOUT ?!
Donc ces
Français dit de « classe moyenne » dont notre dirigeant se moque en
les dédaignant en passant ont se qu’ils méritent car c’est de leur faute jusqu’en
2027 (et pire peut être après car des remplaçants fiables et valables dans cette
classe politique médiocre ils n’existent pas encore !?)
Pauvre
petit minet le 1er ministre ATTAL il a même la 1ere dame comme on
dit au USA qui le plaint mais le ridicule ne tue pas ..!?
B rigitte Macron est inquiète. Gabriel Attal a déjà les
yeux pochés, les traits tirés. À quoi diable rime cette frénésie de
déplacements ? Pas-de-Calais, Val-d'Oise, Yvelines, Drôme, Calvados… Il
faut se ménager, tenir la distance ! D'autant qu'à peine nommé le plus jeune Premier ministre de la
Ve République voit s'allonger la liste des difficultés et se retrouve
prisonnier du tourbillon qu'implique la fonction. Rachida Dati lui a volé la
vedette, une partie du camp Macron se dit ulcérée par ce casting qui vire à
droite et menace de faire sécession, Gérald Darmanin fait entendre sa petite
musique, Amélie Oudéa-Castéra est venue en
une sortie de route faire oublier ses précédents efforts à l'Éducation
nationale.
Retour sur une semaine de folie. Le
ballet du pouvoir commence. Il n'y a pas vingt-quatre heures qu'il a pris ses
fonctions que, déjà, Gabriel Attal reçoit à tour de bras les aspirants
ministres. Les entretiens se déroulent dans l'un des salons du pavillon de
musique, au fond du jardin, loin des regards indiscrets. Les allées et venues
s'effectuent par la rue de Babylone, à l'arrière de l'hôtel de Matignon. Les
noms ne fuiteront pas. Personne ne doit être humilié. Le nouveau chef de
gouvernement est pris de vertige. « Tu sais quoi ? Je n'arrive
même plus à manger. » Auprès de cette élue qu'il apprécie, Gabriel
Attal s'épanche un instant. « Je n'ai pas encore réalisé ce qui
m'arrive. Je me pince. »
Short list. Tout est allé si vite. Le 2 janvier, de
retour de vacances au ski, Gabriel Attal reçoit un appel d'Alexis Kohler. Le
secrétaire général de l'Élysée rentre de Rome. Mais ce n'est pas vraiment
l'objet de leur conversation. « Le président envisage d'importants
changements, y compris au plus haut sommet de l'État. On pense à toi. Il veut
te voir. » Le ministre de l'Éducation comprend qu'il fait partie de
la « short-list » pour Matignon et rapatrie d'urgence son conseiller
spécial, encore en congé loin de Paris, qu'il met dans la confidence.
Alexis
Kohler : la fin de la toute-puissance à l'Élysée ?
La petite équipe planche, à la demande du Château, sur un programme d'action
de « cent jours » et un casting gouvernemental. Gabriel
Attal échange étroitement avec Emmanuel Macron, présente sa liste à l'Élysée.
En parallèle, d'autres personnalités – Sébastien Lecornu, Julien
Denormandie – sont testées. Leurs noms tournent en boucle dans les médias.
En macronie, il ne faut jamais vendre la peau de l'ours, le chasseur change
souvent d'avis…
Costume, cravate,
montre... Le style Attal
Ce n'est que le dimanche 7 janvier, lorsqu'il reçoit sa famille dans sa
résidence de la rue de Grenelle, où il habite toujours, que le ministre de
l'Éducation met ses proches au parfum. Prudence. « Il y a une
possibilité que je sois nommé Premier ministre. Mais je ne veux pas que ça
circule. Car, si cela ne devait pas advenir, ce serait vu comme un
échec. » Jusqu'au bout, le chef de l'État, étrangement pusillanime,
lui dit que sa décision n'est pas tranchée. « Si ce n'est pas moi, je
comprendrai. Je n'en prendrai pas ombrage, je n'irai pas dire que j'ai été
reçu », évacue Attal, bon soldat. Emmanuel Macron fait part à
François Bayrou de son hésitation entre Attal et Denormandie. Réponse du
centriste, qui militait pour le second : « Donc vous n'hésitez
pas ! »
Douche froide. Lundi 8 janvier, le conseiller en
communication de Gabriel Attal est de retour au bureau. Il sent bien que son
ministre est « fermé comme une huître », voit les rumeurs
enfler sur les chaînes d'information en continu. Un collègue l'informe : « On
a 90 % de chances d'être à Matignon. » Il veut féliciter
l'heureux élu. Gabriel Attal l'éconduit. « Ce n'est pas fait. »
Sur les coups de 23 heures, le trentenaire passe un dernier coup de fil à
un stratège de la majorité. Son interlocuteur est sûr de lui : ce sera
Denormandie. Douche froide. Minuit trente, Alexis Kohler puis la responsable du
secrétariat particulier du président, Valérie Lelonge, convoquent Gabriel Attal
pour un petit déjeuner à 8 h 30 avec Emmanuel Macron. Le
rendez-vous de la confirmation. De cet entretien rien ne transpirera. Il est
nommé. Silence, personne ne doit rien en dire avant le communiqué.
La garde rapprochée de Gabriel Attal est comme soufflée. La prise de
conscience est soudaine. Lorsque le téléphone de sa directrice de cabinet
retentit, elle se surprend à répondre : « Attends, je ne peux pas
te parler, je suis avec le PM. » Le PM, ce sigle d'initié par lequel
le microcosme politique désigne le Premier ministre. Ils ont réussi le hold-up
du siècle ! Désormais, et peu importe la durée de son bail, on lui donnera
du « monsieur le Premier ministre » pour le restant de ses
jours. Même dans ses plans les plus fous – et chacun connaît son ambition
sans limite –, il n'aurait pas prédit une ascension aussi fulgurante. Au
57, rue de Varenne, la petite équipe découvre les bureaux en enfilade, les
portes cachées dans les cloisons capitonnées et « les gens qui sortent
des murs » . La pression de la fonction, le poids des responsabilités,
aussi. Un puissant shoot d'adrénaline. « On essaie de prendre la
mesure » , glisse Emmanuel Moulin, tout juste rapatrié du Trésor et
nommé directeur de cabinet, qui traverse les pièces à grandes enjambées.
Emmanuel Moulin,
l'éminence grise de Gabriel Attal
Fronde. Le tête-à-tête de passation des pouvoirs avec
Élisabeth Borne est convenu. L'ex-préfète lui parle de l'échéance du
25 janvier, jour où le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur la
loi immigration, avec la censure attendue d'une série d'articles. Sur le
perron, pour une fois, ce n'est pas elle qui lit robotiquement ses fiches, mais
Gabriel Attal, qui, pourtant, apprend toujours tout par cœur. Tendu, il bute
sur des mots.
Comité
d’accueil. Avec les Républicains Éric Ciotti et Gérard Larcher,
à l’Assemblée nationale, le 16 janvier. © Elodie Gregoire
L'appétit est revenu. Dans le train qui le mène en déplacement au CHU de Dijon,
samedi 13 janvier, il dévore son bagel préféré. L'élu plaisante avec
sa nouvelle ministre du Travail, Catherine Vautrin, symbole, avec Rachida Dati,
de la droitisation de l'exécutif. Non sans dommage collatéral. L'aile gauche de
la majorité est remontée, Les Républicains sont furieux. Des députés
Renaissance soupçonnent Emmanuel Macron d'avoir cherché à se venger d'eux après
les défections lors du vote de la loi immigration. « Le remaniement ne
doit pas être une forme de sanction, prévient Stéphane Travert, député de
la Manche et ancien ministre. Nous avons voté par choix. À ce stade, la
promesse de 2017 a disparu. On a l'impression que c'est Nicolas Sarkozy
qui commence son second quinquennat. On n'est pas là pour refaire le
RPR ! » Un autre historique, Didier Paris, abonde, d'autant que
ses militants sur le terrain sont vent debout : « C'est la
première fois que je m'interroge. »
Catherine
Vautrin, une ministre clivante à la Santé et au Travail
Capital sympathie. Une fois que l'ensemble du gouvernement
sera constitué, certains s'attendent donc à ce que la majorité explose au
Parlement avec la création d'un groupe dissident. Le cabinet de Gabriel Attal
se démène pour tenter d'étouffer tout début de fronde. Mais pas de quoi
troubler le nouveau locataire de Matignon, décidé à profiter un tant soit peu
de l'état de grâce qui accompagne sa nomination. « Nos députés sont
pragmatiques, ils veulent régler les problèmes des Français. S'ils sentent que
ça bouge sur le terrain, qu'il y a une dynamique, ce sera positif. Je vais tout
donner pour cela », nous confie le Premier ministre.
Remaniement :
l'aile gauche macroniste éparpillée façon puzzle
Gabriel Attal a bien conscience que sa promotion n'a en rien changé la donne
dans l'Hémicycle. La majorité est toujours aussi relative, les oppositions
toujours plus agressives. Il sera bientôt le nouveau « Monsieur
49.3 », à l'affût de la moindre motion de censure qui pourrait écourter sa
mission. Lui assure vouloir « d'abord convaincre les Français » et
éviter de se laisser enfermer dans le piège du Parlement. Son atout : son
capital sympathie. Un seul juge de paix : sa relation avec le pays.
Élections
européennes : l'hypothèse Véran suscite peu d'enthousiasme
Le chef de gouvernement s'attelle donc à ce qu'il maîtrise le mieux :
aller au contact, communiquer, occuper l'espace. Le président a ouvert une
nouvelle ère : désormais, le « faire-savoir » est au moins aussi
important que le savoir-faire. Gabriel Attal a adoré sa déambulation sur le
marché de Caen, dimanche midi. Dans les bains de foule, le Parisien s'accroupit
pour se mettre à hauteur des enfants, salue les passants de sa main droite tout
en leur empoignant le bras de sa main gauche. Un copier-coller de la gestuelle
d'un président Macron en campagne. « Beaucoup projettent une nouvelle
étape sur ma nomination. Je me dois d'être au rendez-vous de cette
attente », dit-il au Point de retour à son bureau, tout en
engloutissant un plat de pâtes.
Auréolé de son passage à l'Éducation nationale, l'homme politique préféré
des Français goûtera sans doute plus vite qu'attendu aux affres de
l'impopularité. « Je ne suis pas là pour gérer ma cote de popularité.
Il y aura des bas comme il y a eu des hauts. L'important, c'est
l'action. » Il prie toutefois pour que les intentions de vote en
faveur de la liste macroniste aux élections européennes décollent sous l'effet
de sa nomination. Car Emmanuel Macron compte sur lui pour battre la campagne et
resserrer l'écart avec le RN de
Jordan Bardella. Un échec, et c'est l'assurance d'être tenu pour
responsable…
Couac.
Déplacement avec Amélie Oudéa-Castéra, ministre de l’Éducation
nationale, dans un collège des Yvelines, le 12 janvier. Et début de la
polémique après les propos de sa successeure sur les profs non remplacés.
© Elodie Gregoire
Pacte de non-agression. Personne ne lui fera de cadeaux.
Rue de Grenelle, Gabriel Attal a déjà eu à gérer les « peaux de
banane » jetées sur son passage par certains de ses petits camarades
qui le jalousent. Ce n'est rien par rapport à ce qui l'attend : les
crocodiles du gouvernement ne vont pas le lâcher. Comment esquiver les
chausse-trapes sans avoir à jouer les gardes-chiourmes ? La bande de
droite, le trio Darmanin-Le Maire-Lecornu, peut à tout moment se liguer
contre lui, il le sait. À peine nommé, le Premier ministre a déjà dû subir un premier affront de son rival
Gérald Darmanin, qui annonce à la presse avoir eu l'assurance du président
pour poursuivre dans ses fonctions. Manière de signifier, de la part de celui
qui défiait déjà l'autorité d'Élisabeth Borne, qu'il n'en référera qu'au chef
de l'État. Gabriel Attal doit sceller un pacte de non-agression avec lui, se
trouver des alliés. « Ils doivent bien comprendre que si on se plante,
derrière ce sera compliqué pour eux aussi », riposte l'un de ses
soutiens.
Réguler l'immigration,
est-ce raciste ?
Mercredi 10 janvier, lors d'un déplacement conjoint dans un
commissariat du Val-d'Oise, Gérald Darmanin ne cachait pas sa désinvolture. « Monsieur
le ministre, le Premier ministre arrivera dans quatre minutes » , lui
indique le préfet. « Ça devrait le faire, on vient du
Nord ! » fanfaronne le patron de Beauvau, contraint par le
protocole de patienter dans le froid. Gabriel Attal l'invite à s'isoler avec
lui pour répéter ses éléments de langage, rituel qu'il observe avant chaque
déclaration. « Je prends mon manteau, sinon j'aurai froid et on va
dire que ma feuille tremble ! » lance à la cantonade le Premier
ministre, en référence à sa prestation lors de la passation des pouvoirs. « J'ai
lu les commentaires, mais moi, je n'ai pas trouvé que ça tremblait… »
remarque, flatteur, Gérald Darmanin, qui ne lâchera pourtant pas un mot devant
les caméras et les micros. Amabilité dans l'intimité, passivité hostile en
public… La chorégraphie imposée par son cadet tient du supplice pour lui qui
lorgnait Matignon et aspire toujours à jouer un rôle de premier plan en 2027.
Le soir même, il interroge une amie. « Ça va, j'étais bien ?
– Mais non, tu dois sourire ! »
Marges de manœuvre. Depuis, il a déjà récidivé. L'ancien
sarkozyste a fait savoir que sa mission Place Beauvau prendrait fin après les
Jeux olympiques. Sous-texte : la durée de vie du nouveau gouvernement est
limitée, et, par conséquent, le bail de son chef aussi ! Voilà Gabriel
Attal prévenu. « Les Français n'aiment pas les aigris » , a
recadré un élu qui tente de jouer les intermédiaires. Mais c'est plus fort que
lui. Au point que Matignon a dû rappeler le principe de solidarité
gouvernementale.
Macron, le nouveau
Clemenceau
Mais s'il n'y avait que le turbulent Darmanin… L'Élysée, irrité par les
commentaires pontifiants qui ont suivi la promotion du jeune prodige à
Matignon, a tout de suite répliqué : c'est le chef de l'État qui a imposé
tous les choix pour la composition du gouvernement, la preuve par l'arrivée
surprise de Rachida Dati. Autrement dit, les marges de manœuvre du trentenaire
seront limitées. À quelques jours de la déclaration
de politique générale d'Attal, Emmanuel Macron a convoqué une
conférence de presse fleuve. On a connu mieux comme mise sur orbite. « Le
président le met à l'épreuve. On verra s'il en fait son fils spirituel ou s'il
le tue » , assène un proche. À charge pour Attal de retarder au
maximum le moment où les relations devront se tendre inévitablement.
Emmanuel
Macron, nouveau ministre de l'Éducation !
L'« effet blast » de sa
nomination est définitivement retombé avec la polémique visant Amélie
Oudéa-Castéra à propos de la scolarisation de ses enfants dans le privé, qui
ravive le procès en déconnexion intenté à la macronie. « Il n'y a rien
qui vole. Ce gouvernement n'est pas sérieux » , étrille un proche du
couple Macron. On dit déjà de lui que ses interventions sont creuses, que la
politique du selfie ne fait pas une vision pour la France. Une communication
maîtrisée suffit-elle à faire de lui un homme d'État ? Édouard Philippe
s'abstient de critiquer mais n'en pense pas moins. François Bayrou se mure dans
le silence, ce qui n'est jamais bon signe. « Gabriel bouscule tout le
monde, il les ringardise tous » , justifie François Patriat, chef de
file des sénateurs Renaissance. « Oui, ce sera dur, philosophe
Gabriel Attal. On va faire au mieux. Je ne veux pas avoir de regrets. Celui
que je pourrais avoir, c'est de ne pas être allé à fond dans mon action et sur
mes intuitions. »
On se
demande bien pourquoi l’épouse de notre président se mêle de ce qui ne la
regarde pas (bien qu’elle a le droit de dire ce qu’elle pense comme tout le monde)
de ce nouveau jeune 1er ministre minet bon chic bon genre frais
moulu parvenu devenu la marionnette inféodée au président et pour le materner semble-t-il
car ce jeune politicien macronien ( si l’on doit lui donner une etiquette politique
floue au départ) car il l’a voulu et personne ne l’a forcé car c’est un homme qui pratique une vraie
politique politicienne de donneurs de leçon encore pire depuis que la « macronie »
bidon existe qui est en place depuis 2017 mais en fait sans importance car les partis
politiques français sont d’une médiocrité lamentable voire inutiles ?!
Car
notre président dirige notre pays sans rien faire de probant depuis son 1er
quinquennat comme un monarque et ce 2eme qui prend le même chemin presque à l’image
de certaines démocratures de certains grands pays connus (à se demander s’il ne
préférait pas avoir ce pouvoir plus totalitaire) mais ayant encore la chance d’avoir
une majorité étriquée dû à sa réélection par des Français lambda ayant peut-être
peur du lendemain bien qu’ils ne les protègent pas (assez ou pas du tout !?)
En bon
bavard d’acteur de théâtre de boulevard à sa conférence de presse il nous a déballé
ce qu’il a déjà fait (bien que l’on ne s’en soit pas aperçu) en confirmant ce
qu’il ferait de nouveau ?!
Avec
ces chimères verbales auquel beaucoup de Français lambda ne croient plus depuis
longtemps échaudés d’ailleurs par ces présidents passés de cette Veme
république depuis + de 40 ans obsolète usée devenue monarchique à l’exemple de
l’ancien régime (« un monde » : dans notre pays qui a créé la révolution
Française de 1789 et renversé la monarchie peu de temps en fait après nos
empires et républiques dont cette dernière la Veme gaullienne tenue par des
bobos donneurs de leçons alors tant pis pour ce peuple si naïfs sans mémoire !?)
(Alors
ils râlent ou manifestent à défauts de mieux voter ou bien choisir leurs
dirigeants moi qui suis bien plus âgé que notre république donc ayant
connu tous nos dirigeants et 1er ministres je sais de quoi je parle
car les Français ont perdus leur bon sens et s’ils y en avaient eu un ?!)
Jdeclef
18/01/2023 12h10
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