vendredi 30 août 2024

Bernard Cazeneuve, la « couleuvre » d’Emmanuel Macron QUEL MANQUE D’IMAGINATION JE CONTINUERAIS A PUBLIER CE TYPE DE COMMENTAIRE TANT QUE JE SERAIS EN VIE SI RIEN NE CHANGE CAR TOUTE VERITE EST BONNE A DIRE ET DOIT ETRE DITE POUR LE BIEN DE TOUS !?) En fait MACRON a dynamité la marche du pays inutilement jusqu’en 2027 et en plus continue à se moquer des Français (qui n’ont pas honte) pauvre France !?

 

Voilà le nom qui court sur toutes les lèvres réputées informées. Bernard Cazeneuve, éphémère et dernier Premier ministre de François Hollande, réunirait toutes les qualités pour rejoindre une seconde fois Matignon. Il semble doté d'une qualité rare par les temps qui courent : pouvoir éviter la censure d'une coalition des oppositions.

À part les LFIstes et leurs vassaux, tout le monde le trouve acceptable. Même Lucie Castets s'efforce de ne pas rugir : « Je n'ai aucun problème personnel avec Bernard Cazeneuve, disait-elle jeudi matin lors de son interview à BFMTV-RMC. C'est quelqu'un que j'estime et que je respecte. » La moitié du PS le pare de toutes les vertus, et l'autre se montre très embarrassée pour l'accabler.

 Coalition, cohabitation, destitution… Quels scénarios possibles pour Macron ? À droite, son antimélenchonisme intraitable séduit. Il est qualifié de « parfait républicain », de « modéré », d'« homme d'expérience ». Même le RN semble résolu à lui laisser sa chance.

Et le principal intéressé semble prêt à relever le défi, au nom de l'intérêt supérieur de la nation. Alors, qu'attend le président de la République, qui a déclaré depuis Belgrade, jeudi soir : « Croyez bien que je fais tous les efforts, et les jours et les nuits, et que je le fais depuis des semaines, même si vous ne l'avez pas forcément vu, pour aboutir à la meilleure solution pour le pays » ? Peut-être cette possible nomination représente-t-elle pour lui une couleuvre difficile à avaler.

Vieilles fâcheries et retour vers l'« ancien monde »

Les deux hommes, pendant longtemps, ont entretenu des relations cordiales, voire chaleureuses. Mais Bernard Cazeneuve n'a pas apprécié, euphémisme, la « trahison » de son cadet. Dans un livre de souvenirs publié en 2017 (Chaque jour compte, publié chez Stock), il s'offusque de la manière dont celui-ci, lors de son débat avec Marine Le Pen, s'est désolidarisé du bilan du gouvernement auquel il appartenait encore moins d'un an auparavant : « Sans doute a-t-il considéré, à ce moment-là de la campagne, écrit-il, que l'élégance n'était pas nécessairement, en politique, la manière la plus efficace de prendre rapidement son bénéfice, oubliant qu'elle n'est pas une obligation de courtoisie mais une noblesse de l'âme. »

Il raille aussi avec une cruelle drôlerie, dans le même ouvrage, le narcissisme de son ancien collègue : « En arrivant en conseil des ministres, j'avais remarqué le comportement qui était le sien face aux photographes. Tel l'héliotrope confronté au soleil, il se tournait naturellement vers eux, avec l'irrépressible fascination de celui qui visualise l'image au moment même où le photographe la prend, avec la conviction qu'elle sera à son avantage. » Plus récemment, à la rentrée 2023, il formulait la même critique dans les colonnes du Point, à propos de « l'initiative politique d'ampleur » annoncée par le chef de l'État : « On attendait une main tendue. On voit surtout un doigt pointé. Un doigt pointé dans la seule direction qui vaille aux yeux d'Emmanuel Macron : la sienne. »

L'été où Emmanuel Macron a mis la France sur un volcanToutefois, les vieilles fâcheries peuvent s'oublier en cas d'absolue nécessité. En revanche, il est assurément plus douloureux, pour le président de la République, de promouvoir à Matignon une personnalité qui incarne tout ce qu'il a voulu abolir, cet « ancien monde » fait de politiciens professionnels passés par tous les mandats électifs, de valeurs partisanes et de clivages indépassables.

Pour atténuer cette contrariété, la cohabitation qui se profile ne sera pas identique aux précédentes. Le futur Premier ministre devra composer avec les représentants du camp présidentiel à l'Assemblée nationale et, pourquoi pas, accueillir des ministres issus de ces rangs dans son gouvernement.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

En France nous sommes un des pays les plus libres et démocratique du monde c’est une qualité mais qui a ses défauts quand cette liberté à tout va n’est plus assez encadrée à cause de certains qui veulent faire leurs lois personnelles les ramenant à leur moi personnel et leurs petits conforts bornés étriqués qui quelque fois peuvent mener presque à l’anarchie du « chacun pour soi » sans gardes fous et quand en plus on a élu et réélu souvent les mêmes dans cette classe politique devenue médiocre voire lamentable pilotée et mal protégé  par un président là c’est Mr MACRON car élu par défaut à sa décharge qui a pris la balle au bon hérité de son et ses prédécesseurs depuis l’après mitterrandisme qui pourtant avait été un échec avec cette gauche que l’on met en avant dans ses médias qui pérorent comme ces politiciens passés et présents de tous bords d’ex gouvernements pour certains de cette V EME REPUBLIQUE usée dite Gaullienne dont son créateur a été rejeté par ces Français lambda ingrats mais qui de toute façon était âgé et avait fait beaucoup historiquement pour la France pendant nos guerres mondiales!?

Le 27 avril 1969, les Français rejettent le référendum sur la régionalisation et la « rénovation » du Sénat. Désavoué peut être après les évènements sociaux de 1968 le général de Gaulle prend une retraite méritée !?

Depuis fin 1970 et une rare période de calme de progrès court et économique et divers mais ensuite en descente constante vers le bas du ruisseau presque a sec et certains diraient ce n’est plus çà car près de l’égout !?

Le président Mitterrand PS de gauche élu en 1981 meurt d'une longue maladie (cancer de la prostate) moins de huit mois après la fin de son mandat, le 8 janvier 1996 !?

 

Une page de notre pays s’est tournée mais le pays depuis végète et régresse çà c’est la réalité malgré les artifices « macroniens » et les indécisions de notre patron élu et réélu et en plus jusqu’en 2027 etc…

 

Car pour les Français lambda on vote encore en FRANCE ils devraient enfin ouvrir les yeux rapidement (ils ont bien su rejeter de GAULLE mais c’était une autre génération et aussi une autre population avec l’immigration galopante héritée de notre ancien empire colonial et notre Europe unie sans frontières !?)

 

Car râler : çà ils savent le faire mais c’est à peu près tout semble-t-il même si le président les dédaigne ou les insulte car çà il l’a fait relisez vos ou nos archives médiatiques mais on a perdu tout bon sens et amour propre !?

 

Jdeclef 30/09/2024 09h44

 

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 


jeudi 29 août 2024

Et bien nous ont fait la fête sur un volcan qui ne demande qu’à exploser c’est presque fait pour ses pauvres Français et notre pays LA FRANCE !? Mais moi vieux Français je ne peux accepter de me faire insulter en continuant à se moquer de nous ouvertement par ce président qui gouverne mal !?

 

Castets, Bertrand, Cazeneuve, Pécresse… Qui ira à Matignon ? DE TOUTE FACON ON REVOIT TOUJOURS MEMES C’est plus que décevant !?

Le futur locataire de Matignon, qu'Emmanuel Macron devrait annoncer dans les prochains jours, devra rassembler une majorité large tout en survivant aux motions de censure.

Par Henri Michelet

Publié le 20/08/2024 à 16h40, mis à jour le 21/08/2024 à 09h01

C'est un dossier brûlant qui est source de toutes les crispations. Avant le début des Jeux paralympiques, Emmanuel Macron reçoit vendredi les chefs de parti à l'Élysée afin de consulter les forces politiques pour former un nouveau gouvernement. Tandis que le camp présidentiel exclut le Rassemblement national et La France insoumise pour aboutir à une majorité, le bloc central compte s'appuyer sur les autres partis pour un nouveau Premier ministre. Les mêmes noms se répètent en coulisse durant les réflexions sur le choix d'un successeur à Gabriel Attal. Chacun a ses propres forces et faiblesses.

Haut du formulaire

Bas du formulaire

Lucie Castets, le choix du NFP

Depuis le second tour des législatives, son nom résonne dans tous les esprits du NFP. Ancienne directrice des finances de la mairie de Paris, Lucie Castets est plébiscitée par les partis du Nouveau Front populaire pour accéder au poste de Premier ministre. Selon ses soutiens, son choix s'explique par sa capacité à « rassembler tout le monde ». « Elle n'est pas candidate commune par hasard. Elle est au centre de ce qui lie les forces de gauche aujourd'hui », vante Aurélien Taché, député LFI du Val-d'Oise, pour qui le principal avantage de l'intéressée est dans « son combat pour les services publics ». « Aujourd'hui, toute la gauche veut voir l'hôpital et l'école publique être réparés. Elle a cette capacité technique que lui confère son parcours professionnel. »

 De l'intérêt de ne pas avoir de gouvernementL'un de ses handicaps serait son manque de popularité au sein de l'opinion publique. Selon un sondage Elabe pour Les Échos, qui teste pour la première fois la haute fonctionnaire, Lucie Castets recueille 15 % d'opinions favorables mais aussi 33 % d'avis négatifs. Une première confrontation qui n'effraie pourtant pas les élus de gauche. « Son manque de notoriété au début de l'été reste un de ses points faibles. Les Insoumis n'aident pas à l'améliorer d'ailleurs. Mais elle va gagner en popularité », glisse un élu socialiste. Autre obstacle : se confronter aux autres formations parlementaires. Alors que l'alliance électorale ne souhaite personne d'autre que Lucie Castets pour s'installer rue de Varenne, les autres blocs refusent de voir l'ancienne directrice des finances de Paris à Matignon. L'ex-majorité présidentielle a annoncé déposer une motion de censure dans le cas d'un gouvernement contenant au moins un ministre issu de La France insoumise. « C'est une ligne rouge absolue », prévient Aurore Bergé, ministre démissionnaire des Solidarités. Motion de censure qui serait votée par la droite et le Rassemblement national.

Xavier Bertrand, le survivant

« On n'est jamais mort en politique ! » Xavier Bertrand croit volontiers en cet adage. Depuis plusieurs semaines, le nom du président de la région Hauts-de-France fait sa place dans les esprits des conseillers présidentiels. Alors que ses relations sont mauvaises avec Emmanuel Macron, Xavier Bertrand rencontre les faveurs de poids lourds du gouvernement démissionnaire. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, voit en l'ancien maire de Saint-Quentin, qu'il définit comme son « ami », un homme politique « avec une très grande compétence » et pouvant « servir grandement la France ». Affilié au gaullisme social, l'ancien ministre de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy cherchera à faire des « réformes immédiates » selon le député LR de l'Aisne Julien Dive. « Les Français attendent des mesures chocs sur la crise structurelle. Il saura faire bouger les lignes. » Proche du président des Hauts-de-France, le député perçoit en l'ancien ministre de la Santé une capacité de rassemblement supérieure aux autres prétendants à Matignon. « Xavier Bertrand a plus de chances d'aller chercher des voix à droite, au centre et à gauche que ne le pourraient d'autres profils. »

Son manque de popularité pourrait toutefois lui faire défaut. Arrivé quatrième au congrès LR pour la présidentielle de 2022, Xavier Bertrand ne fait pas l'unanimité au sein des Républicains. Ses relations froides avec Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes ainsi que du groupe de la Droite républicaine à l'Assemblée, compliquent l'hypothèse d'une possible nomination. De l'autre côté, le Nouveau Front populaire refuse de voir une alternative à Lucie Castets pour succéder à Gabriel Attal. « J'ai beaucoup de respect pour Xavier Bertrand et son parcours, mais il n'incarne pas du tout l'équation du scrutin des législatives », argumente le député socialiste de Paris Emmanuel Grégoire.

 « Si Lucie Castets ne trouve pas de compromis, le gouvernement NFP sera renversé »

Bernard Cazeneuve, l'ex-PS devenu un recours pour la droite

Les rumeurs liées à la nomination du prochain Premier ministre tournent également autour d'un ancien locataire de Matignon. Bernard Cazeneuve, Premier ministre entre 2016 et 2017, figure parmi ceux dont le profil pourrait séduire l'Élysée. Alors qu'il n'est plus encarté au Parti socialiste depuis la création de la Nupes en 2022, l'ancien député de la Manche n'exclut pas un retour dans l'hôtel qu'il connut à la fin du quinquennat de François Hollande. « Ma seule préoccupation, c'est que le pays ne bascule pas dans le déclassement, dans l'ingouvernabilité, dans le n'importe quoi », avoue-t-il sur LCI tout en se disant « prêt » à un retour aux affaires. Au-delà de son ancienne famille politique, l'ancien ministre de l'Intérieur parvient à s'afficher comme un homme pouvant plaire à d'autres formations. Incarnant une gauche ferme sur la laïcité et sur les valeurs républicaines, son nom serait un ultime recours pour la droite. « Ce serait un moindre mal », confie un député LR.

Ses plus grands détracteurs se trouvent pourtant dans son ancien camp. « Ceux qui pensent trouver une solution en dehors du NFP se trompent ! » tance un député socialiste. Très critique du Nouveau Front populaire et particulièrement de La France insoumise, Bernard Cazeneuve s'est attiré les foudres des composantes de l'alliance électorale de gauche, qui n'auraient pour lui aucun égard en cas de nomination à Matignon. « Bernard Cazeneuve ne fait même pas consensus dans un parti dont il n'est même plus membre », étrille la secrétaire nationale des Écologistes Marine Tondelier, concluant que l'ancien Premier ministre « ne serait pas une solution possible pour les écologistes ». Son impopularité vient de son positionnement politique qui, selon ses adversaires du NFP, rappelle le « hollandisme ». « Il est trop orienté vers le centre et ne représente pas le barycentre du programme économique et social du NFP », tranche la députée LFI Alma Dufour.

Valérie Pécresse veut surfer sur la vague des JO

Plus rarement que celui de son acolyte de droite Xavier Bertrand, son nom circule également pour la Rue de Varenne. Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, figure elle aussi parmi les personnalités potentielles pour le poste de Premier ministre. Peu critiquée pour son travail à la tête du conseil régional d'Île-de-France, celle qui est souvent décrite comme « Macron compatible » pourrait capitaliser sur le succès des Jeux olympiques. « Les JO iront en sa faveur. Les transports ont été bien gérés. Elle a pu communiquer avec le président de la République dans une logique de dialogue », justifie la députée DR de Haute-Savoie Virginie Duby-Muller.

Matignon, l'art du « Mistigri » selon Emmanuel Macron

L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy laisse pourtant derrière elle de douloureux souvenirs pour la droite. Candidate LR en 2022, elle n'avait recueilli que 4,78 % des voix et réalisé le plus faible score du parti aux élections présidentielles. Sa vision politique reste son principal handicap face aux autres formations. Le Nouveau Front populaire voit dans son profil une ligne politique « ultralibérale ». « Si c'est Valérie Pécresse pour faire entrer Wauquiez au gouvernement, et que le RN aide pour qu'il n'y ait pas de censure, alors ça n'a aucun intérêt », déplore le député PS du Calvados Arthur Delaporte. Une éventuelle nomination à Matignon rencontrerait une motion de censure du NFP.

 

 

Mais pourquoi pas car même le vieux COHN BENDIT s’en mêle avec sa proposition du récidiviste BAYROU le candidat que l’on revoie à chaque fois ce qui ne fait que prouver que l’on passe son temps à retrouver les mêmes de ces politiciens usés ex élus ou non comme cette  vielle Veme république usée jusqu’ à la corde de + de 66 ans dit Gaullienne qui ne l’est plus car ne ressemblant plus à rien depuis longtemps à cause des électeurs Français enfin ceux qui votent et les élisent et réélisent toujours ces politicards si médiocres comme leurs classes politiques désespérantes et partis ringards à noms changeant comme des caméléons avec leurs leaders faits pour celle-ci !?

Il n’y en a qu’un qui s’amuse après sa dissolution inutile c’est notre faux monarque indéboulonnable jusqu’en 2027 à cause de nous Français lambda et avec ses faux alibis des J.O.FESTIFS ET PARAOLYMPIQUE pour distraire les Français « ces gens de peu » selon son expression dédaigneuse dont il se moque toujours notre roitelet président Mr MACRON dans ces jeux du cirque moderne mais qui mette quand même en valeur nos sportifs de tous bords les seuls vrais gains et de toute nationalité ce qui est logique dans cet OLYMPISME ?!

Car ce petit bourgeois il connait bien les Français au caractère superficiel frondeur qui ne pensent qu’à eux et leur « individualisme du chacun pour soi dévastateur » pourtant le prochain réveil de la mi septembre passé sera dur car pour l’instant malgré que nous soyons encore là (mais çà peu changer) dans un pays libre et des plus démocratiques du monde nous avons à la tête de notre pays un pseudo « autocrate » grâce aux pouvoirs que l’on lui a donné sans même s’en apercevoir sans amour propre, comme lui qui n’en n’a plus depuis longtemps !?

Car pas gouverné ni protégé correctement et avec des ministres aux abonnés absents commis d’office il faut bien survivre mais la honte ne nous étouffe pas quand voit les derniers présidents qui se sont succédés élus et réélus sous ses quinquennats !?

Jdeclef 29/08/2024 15h54


mercredi 28 août 2024

Oui mais avec un président apprenti autocrate qui n’aime pas les Français et qui ne veut pas les comprendre on ne peut arriver à rien de probant dans cette Veme république qui le protège jusqu’en 2027 !?

 

Pour Patrick Martin, président du Medef, « la France ne peut se mettre au point mort, encore moins en marche arrière ». © Romuald Meigneux/Sipa

 

L'été où Emmanuel Macron a mis la France sur un volcan oui peut-être mais la lave est loin ..!?

RÉCIT. Le pays est-il encore gouvernable ? L’après-dissolution l’a plongé dans un triste vaudeville, aux effets délétères.

La France, cet été, aura donc montré le meilleur et le pire d'elle-même. Commençons par le meilleur, avec ces Jeux olympiques éblouissants, qui nous ont rappelé, au moment où l'on en avait le plus besoin, que notre pays est capable de réussir l'impossible, de se rassembler et de vibrer ensemble. Le pire, ensuite, avec ce spectacle consternant d'une classe politique immature qui s'entête dans le blocage et les petits calculs politiciens au lieu de se hisser à la hauteur des enjeux et de se retrousser les manches au nom de l'intérêt général.

Résultat : un chaos généralisé, précipité par une dissolution impréparée et insensée, dont on n'a pas fini de commenter l'incongruité et de mesurer les dégâts sur le long terme.

Quel que soit le Premier ministre, le pays ne sortira pas indemne de cette situation de paralysie.

Imposer le fantasme de sa victoire

Le feuilleton, qui ne fait que commencer, n'amuse pourtant plus personne. Un président qui entend fixer le tempo reconnaît (dans les mots) la défaite et la nécessité de rupture tout en convoquant lui-même les partis politiques sous son haut patronage et en cherchant à garder le contrôle. Ses interlocuteurs et amis en sont restés cois quand ils ont compris qu'ils devaient lui expliquer, au cœur du mois d'août, qu'il ne pourrait pas continuer comme avant. Que non, il serait impossible de reconduire tel ou tel ministre docile et loyal dans le futur gouvernement… « Les ministres s'accrochent comme une moule à son rocher. Lui veut garder ses quelques copains, mais ce n'est pas le deal ! Les Français ne comprendraient pas que la macronie conserve les postes », lâche, lucide, un habitué de l'Élysée. Jupiter n'est plus, le plus dur est de l'accepter.

Candidater. Lucie Castets et ses alliés (au premier rang, de g. à dr. : Manuel Bompard [LFI], Marine Tondelier [Écologistes], Olivier Faure [PS] et Fabien Roussel [PC]) arrivent à l’Élysée le 23 août. À la proposition d’un gouvernement NFP, Emmanuel Macron a opposé une fin de non-recevoir. © Lafargue Raphael/ABACA

La gauche du Nouveau Front populaire, unie par pur opportunisme électoral et dominée par les mélenchonistes, a quant à elle tenté de faire croire qu'elle avait gagné les législatives et cherché à imposer le fantasme de sa victoire, quitte à sombrer dans une réalité parallèle. Il aura fallu un mois à Emmanuel Macron pour évacuer définitivement l'hypothèse d'un gouvernement NFP et la candidature de Lucie Castets, avec toutes les mesures démagogiques et dépenses pharaoniques qui allaient avec, au moment où la France est sous la surveillance de Bruxelles pour cause de déficits excessifs. Mais de la pire des manières, en donnant le sentiment du fait du prince. Et surtout sans solution alternative à proposer, s'exposant au risque d'une crise qui s'enlise et qui lui échappe. « Ça flotte. Il cherche un Castex de gauche mais il a du mal à trouver », dit-on dans son entourage. Mélenchon et ses affidés ont déjà prévu de prendre leur revanche dans la rue.

Nouveau Front populaire : les leçons d'une campagne au canon pour Matignon

Trouver une oreille constructive

Longtemps en mal de chef, la droite semble trouver refuge derrière la personnalité de Laurent Wauquiez, qui pense plus à la présidentielle de 2027 qu'à se porter au secours d'Emmanuel Macron. Très rapidement après le 7 juillet, députés et sénateurs de la Droite républicaine (le nouveau nom du parti après la scission avec Éric Ciotti) ont formulé treize propositions dans un pacte législatif autour de la « restauration de l'autorité », la « relocalisation de la production », l'« importance des services publics », s'accordant in fine sur un « soutien sans participation ».

Emmanuel Macron pourrait donc trouver une oreille constructive de ce côté-là de l'échiquier politique, mais pas de quoi constituer une majorité viable. « Je ne vais quand même pas nommer un Premier ministre d'un groupe de 47 députés », a-t-il lui-même exclu lors d'un échange avec une figure de l'ex-UMP. Il a de toute façon manqué depuis longtemps le rendez-vous avec la droite, ce n'est pas maintenant qu'elle « montera à bord du Titanic », selon un historique du parti.

Ne pas se précipiter. La Droite républicaine, emmenée par les députés Annie Genevard et Laurent Wauquiez (à dr.) et par le sénateur Bruno Retailleau (au c.), a été reçue à l’Élysée par Emmanuel Macron, le 23 août.

Le camp présidentiel, en disgrâce, disparaît peu à peu de la photo. Rivalités, guerre des chefs, absence de ligne et de cap, acteurs inaudibles et discrédités… Les partis du « bloc central » ont eu beau jeu de vociférer contre la possibilité d'un gouvernement comptant des ministres de La France insoumise et contre la dangerosité de leur programme, oubliant un peu vite que c'est leur logique mutuelle de « front républicain » qui a opéré dans les urnes. Depuis, les survivants macronistes de la dissolution ont perdu la main et nagent en eaux troubles.

Gabriel Attal, en sa qualité de patron des députés Ensemble pour la République, a bien mis sur la table un « pacte d'action ». Mais aucun parti n'a embrayé. « La France est devenue Pompéi. Tout le monde reste figé, et plus personne n'a le pouvoir », se désespère une ministre démissionnaire.

 « Personne ne veut y aller ! » : président cherche Premier ministre… désespérément

Ne pas se salir

Si ce n'est déjà le cas, Emmanuel Macron va rapidement déchanter. Le successeur de Gabriel Attal ne sera pas sous sa botte, mais sous la contrainte d'un Parlement survolté, fracturé en trois blocs. Fiche de poste : survivre à une motion de censure et faire voter le budget. Car avant même d'évoquer les sujets prioritaires – l'école, la santé, le logement… –, l'urgence est avant tout budgétaire. Le texte financier, attendu sur le bureau des Assemblées le 1 er octobre, devrait déjà être transmis au Conseil d'État. Pour respecter ses engagements et ne pas s'exposer à la menace d'un lâchage par ses créanciers, la France doit engager au moins 20 milliards d'euros d'économies. Une gageure.

Qui prendra ses responsabilités ? Gérard Larcher, président du Sénat, le rappelle systématiquement au chef de l'État : « Si l'on continue comme ça, on va finir avec des emmerdes majeures. » « On a le sentiment que personne ne veut se mouiller, tout le monde préfère rester dans l'opposition pour ne pas avoir à affronter une situation compliquée, ou préparer ses ambitions, constate l'ex-ministre Clément Beaune. La voiture est dans le fossé et personne ne veut mettre les mains dans le cambouis. Mais il faut accepter de se salir les mains, les Français jugeront sévèrement ceux qui le refusent. »

Passer son tour. Jordan Bardella et Marine Le Pen après leur entrevue avec le président, le 26 août.

Dépasser les clivages

Au fond, dans un vulgaire jeu de dupes et de postures, chacun jure la main sur le cœur vouloir être constructif, sans jamais prendre la moindre initiative. « Il y a des bonnes volontés individuelles, qui ne se traduisent pas en projet collectif », décrit Clément Beaune, partisan de longue date d'une coalition. Certaines individualités de gauche et de droite discutent ensemble, les apartés existent, mais aucun dialogue n'a été entrepris entre les forces politiques. Ce qui fait dire aux équipes élyséennes que c'est au président d'endosser le rôle d'arbitre. « Au fond, tout ça le fait rire, rapporte un visiteur. Il aime se faire attendre et déstabiliser le rapport de force politique. »

Emmanuel Macron en pleine instabilité

Dépasser les clivages, bâtir des compromis, rassembler des hommes et des femmes de bonne volonté… N'est-ce pas là l'essence même du macronisme ? De cette crise, l'éternel optimiste Macron croit qu'une opportunité peut jaillir. Les consultations, la cohabitation, la coalition : tout lui va, à condition qu'il reste maître du jeu. « Il préfère être organisateur du chaos, acteur du désordre, pour se dire qu'il a encore le contrôle. Plutôt que de se laisser disparaître à petit feu », décode un ami.

Basculer dans le précipice

Reste qu'on ne peut trouver distrayant ce vaudeville qu'en oubliant qu'il pourrait faire basculer le pays dans un précipice. Les Français, qui se sont massivement rendus aux urnes au début de l'été, attendent du changement et surtout des actes. L'incendie d'une synagogue à La Grande-Motte rappelle que l'antisémitisme prospère, tandis que les difficultés économiques font peser le risque d'une crise financière. L'inertie ou le blocage constituent la garantie d'un délitement démocratique décuplé.

Macron, tango sur un champ de ruines

Marine Le Pen ne s'y est pas trompée. La dissolution a fait office pour elle et son parti de répétition générale : ils n'étaient pas prêts. On ne les y reprendra plus. Ostracisé au Parlement, le RN ne pouvait rêver mieux qu'une coalition de droite et de gauche, façon « UMPS ». Ou même d'un gouvernement dirigé par une personnalité technique, alors que l'option d'une nomination de Didier Migaud, ancien président de la Cour des comptes, circule toujours. En Italie, la force politique qui n'a pas participé au gouvernement de Mario Draghi a eu tôt fait de remporter les élections qui ont suivi. Il s'agit du parti Fratelli d'Italia, présidé par une certaine Giorgia Meloni.

 

 

Cet aéropage de politiciens connus toujours les mêmes élus et réélus de tous bords par nous Français lambda que l’on voit se montrer et surtout se représenter pour décrocher la timbale du pouvoir qu’ils ne méritent pas qu’ils pratiquent quand ils le peuvent une politique d’une médiocrité lamentable que ce soit intérieure ou internationale d’ailleurs que les autres pays libres et démocratiques de cette Europe dite Unie et même bien sur d’outre atlantique USA notre allié qui s’en désintéresse car bien occupé par leur élection présidentielle de Novembre et leur système electoral bizarre que les américains seuls comprennent qu’ils utilisent depuis 250 ans !?

La cerise sur ce gâteau empoisonné ETANT d’avoir réélu en 2022 le « Sieur » MACRON l’inutile car ne faisant rien de probant déjà depuis 2017 et qui maintenant tergiverse toujours incapable de décider pourtant son rôle de soi-disant notre chef d’état à qui on a donné trop de pouvoir une des erreurs fatales !?

Car maintenant il attend on ne sait quoi car il ne le sait même pas lui-même perdu dans ses discours fumeux alambiqués qui ne passe plus de plus car il continue à se moquer d’eux « ces gens de peu pas de son monde » car les considérant stupides ou idiots car encore trop qui avalent tout !?

Mais le pire étant que notre pays n’est plus gouverné car sans 1er ministre peut être inutile d’ailleurs (SARKOZY l’avait prouvé sous son quinquennat avec FILION !?)

Résumons le pays est devenu ingouvernable dans ce système bavard français actuel et nécessiterait de changer cette Veme république et de constitution usée de + 66 ans et par la même de se séparer de ce président qui a montré son incompétence et inutilité et cela devient urgent car notre pays n’est pas fait pour des poignées de politiciens élus et réélus par des citoyens déçus mais qui n’y comprennent plus rien et sans amour propre et en plus qui ont perdu leur bon sens !?

Jdeclef 28/08/2024 10h51*

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


mardi 27 août 2024

Une fumisterie de plus de cette usine à gaz qui ne profite qu’à ceux qui ont le pouvoir depuis que cette V eme république existe BRAVO !? (vous n'avez le droit que de la fermer !?)

 

Pourquoi l’article 40 de la Constitution pourrait semer la pagaille à l’Assemblée ?

Les députés se sont, presque, toujours pliés à l’article 40 de la Constitution. Mais, avec la configuration de l’Assemblée, cela pourrait bientôt changer.

Par Nicolas Guarinos

Publié le 27/08/2024 à 09h01, mis à jour le 27/08/2024 à 11h45

Il est moins connu que le célèbre article 49.3 de la Constitution. Et pourtant, « l'article 40 pourrait jouer un rôle tout aussi important dans les mois à venir », présage l'ancien rapporteur général du budget à l'Assemblée nationale, Christian Eckert..

Voici ce que dit le texte de loi : « Les propositions et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une diminution des ressources publiques, soit la création ou l'aggravation d'une charge publique. » Le singulier à la fin de la phrase a son importance : il n'est pas possible d'entraîner une augmentation des dépenses publiques même si celle-ci est compensée par une baisse ailleurs ou par une ressource fiscale supplémentaire.

 Et si on divisait le nombre de députés par deux ? « La capacité du Parlement d'être à l'initiative de la loi s'en trouve fortement limitée », convient Jean-François Kerléo, spécialiste de droit parlementaire et auteur d'un essai pour inciter à sa révision. Trop limitée ?

« Jusqu'en 2022, tous les présidents de la commission se sont comportés comme des juges impartiaux dans l'application de l'article 40, et non comme des politiques, observe Jean-Pierre Camby, professeur associé à l'université de Versailles Saint-Quentin et ancien administrateur de l'Assemblée, qui a longtemps instruit ces dossiers. On a même vu des présidents décider de l'irrecevabilité d'amendements qu'ils avaient eux-mêmes signés, convaincus de la pertinence de celui-ci, mais scrupuleux sur le respect de la Constitution. »

Quand Yaël Braun-Pivet reprenait la main

« Depuis 2022, le président de la commission des Finances, Éric Coquerel, est plus réticent à appliquer cette mission constitutionnelle, les décisions sont plus aléatoires », poursuit Jean-Pierre Camby.

En juillet 2022, des députés de plusieurs groupes d'opposition ont déposé des amendements visant à la réintégration des personnels soignants non vaccinés. Ceux-ci ont été jugés irrecevables au titre de l'article 40, « non de mon fait, accusait Éric Coquerel, mais au nom de la présidente de l'Assemblée nationale [Yaël Braun-Pivet, NDLR]. Les arguments qui nous ont été donnés par le Bureau, c'est que ces amendements créeraient une dépense nouvelle. Ce qui laisserait supposer que la suspension de ces personnels était en réalité une mesure d'économie. Je ne le crois pas. »

Dans le cas d'un amendement, l'article 89 du règlement de l'Assemblée nationale dispose en effet que « le président de l'Assemblée décide après consultation du président de la commission des Finances ». « L'application littérale n'avait jamais été pratiquée depuis 1958 », souligne Jean-Pierre Camby.

Le cas ne s'est pas reproduit depuis mais, s'il venait à se répéter, Yaël Braun-Pivet jouerait probablement à nouveau les garde-fous. « Il n'y a donc pas de problème procédural, estime Jean-Pierre Camby. Mais il y a un problème politique. Si la présidente reprend la main sur un amendement symbolique, comme avancer l'âge légal de départ à la retraite, c'est elle qui supporterait le poids de l'impopularité d'une telle décision. »

À l'université du Medef, les patrons craignent le pire

Le risque d'un bureau qui fermerait les yeux

Pour les propositions de loi, en revanche, c'est le bureau de l'Assemblée qui décide. Jusqu'à présent, la coutume était de laisser les propositions de l'opposition arriver jusqu'au vote en séance afin qu'elle puisse s'exprimer. Les textes avaient peu de chance d'être approuvés par un vote de l'hémicycle, puisque l'opposition était en minorité. Ce qui n'est plus vrai aujourd'hui !

Or, le bureau de l'Assemblée étant désormais composé d'une majorité absolue de membres du Nouveau Front populaire (douze représentants sur 22), « il pourrait très bien laisser arriver en séance des propositions de loi irrecevables », redoute Jean-René Cazeneuve (Ensemble pour la République), ancien rapporteur général du budget, toujours membre de la commission des Finances. « Ce moment-là, explique Jean-Pierre Camby, il faut que les députés du camp présidentiel invoquent l'article 40. Le vote de l'hémicycle décidera. » Les précédents, notamment pendant la période allant de 1995 à 2008, ont toujours vu les textes problématiques échouer à être adoptés en séance.

 Emmanuel Macron en pleine instabilité

Et si le vote en séance débouchait sur une adoption du texte non conforme aux exigences constitutionnelles ? Un recours devant le Conseil constitutionnel est possible. « Le Conseil n'a jamais désavoué les décisions parlementaires relatives à l'article 40, note Jean-Pierre Camby. Au premier désaveu, l'autonomie laissée par le Conseil aux instances parlementaires deviendra suspecte. »

 

 

STOP il faut arrêter ce cinéma publicitaire style Jean MINEUR que l’on nous impose à l’entracte dans la salle quand on va voir film SVP dont on a payé sa place et son billet!?

Car notre pays à cause d’un président fat qui a disjoncté car vexé d’avoir perdu ces élections législatives ce qu’il a admis difficilement ayant imposé cette dissolution inutile pour nous et surtout pour lui puisqu’indéboulonnable jusqu’en 2027 par cette VEME REPUBLIQUE et cette constitution faite pour lui mais qui ne décide rien car perdu !?

Ce qui prouve que de donner trop de pouvoir à un seul homme : un président quel qu’il soit est une colossale erreur car il se transforme en autocrate totalitaire à la limite de démocrature totalitaire connue (car ce que soi-disant Mr MACRON petit bourgeois se comporte en faux monarque de l’ancien régime et on est en république française mais il a oublié « les fameux Français gens de peu » qu’il dédaigne et il a raison car on ne peut pas s’en débarrasser et le démettre !?)

Moi ce n’est que mon opinion mais tout cela en vieux Français qui a sa vie derrière lui cela me rend malade et ne peut supporter ça pour ceux de mes compatriotes plus jeunes qui restent et j’ai honte pour mon pays la France QUE J’AIME !?

Jdeclef 27/08/2024 15h58

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 


Petit article pour cacher la forte incompétence de notre président car avec les Français naïfs qui avalent tout car incurables !?

Emmanuel Macron en pleine instabilité

Sophie Coignard
Journaliste

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Le président invoque la « stabilité institutionnelle » pour repousser la nomination d’un Premier ministre. Au risque de fragiliser la sienne.

Le communiqué de l'Élysée est tombé ce lundi soir, un peu avant 20 heures : « Le président de la République a reçu vendredi 23 août et lundi 26 août, en vue de la nomination d'un Premier ministre, les responsables des partis représentés au Parlement ainsi que les présidents des deux chambres. Les échanges ont été loyaux, sincères et utiles. » Loyauté, sincérité, utilité : une telle introduction pouvait laisser augurer un dénouement, après huit semaines d'incertitude et de psychodrame politique.

Il n'en est rien, comme l'indique la phrase suivante, qui place Emmanuel Macron « dans son rôle constitutionnel d'arbitre, garant de la stabilité institutionnelle et de l'indépendance de la Nation ». C'est là une interprétation libre, très libre même, de l'article 5 de la Constitution, ainsi rédigé : « Le président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État. Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités. »
À LIRE AUSSI Ce que mijote Karim Bouamrane, le maire de Saint-Ouen en piste pour MatignonIl y est question de continuité de l'État, pas de stabilité institutionnelle. Or la continuité de l'État exige notamment l'existence d'un gouvernement. Il est difficile de considérer que des ministres démissionnaires depuis le 16 juillet, soit exactement six semaines ce mardi, et pour certains d'entre eux, dont le premier, désormais députés, constituent la meilleure garantie de la continuité de l'État. Quant à la « stabilité institutionnelle », c'est le chef de l'État en personne qui l'a mise en péril le 9 juin dernier avec sa dissolution surprise.

Des horloges sans maître

Une fois officiellement écartée l'hypothèse d'un gouvernement du nouveau Front populaire – c'est là le principal objectif de ce communiqué : constater l'inévitable censure par quelque 350 voix confirmée par les différents interlocuteurs du président –, rien n'est réglé.

Les consultations reprennent, sous une autre forme, dès ce mardi, « avec les responsables des partis et des personnalités se distinguant par l'expérience du service de l'État et de la République ». Traduction : avec toutes les bonnes volontés disponibles à l'exception de LFI, du RN et de ses affidés ciottistes.

À LIRE AUSSI Je nomme ici Monsieur Mélenchon… Emmanuel Macron croit-il vraiment que le temps joue en sa faveur ? Ou se trouve-t-il en état de sidération face à sa propre incapacité à fracturer et à séduire, comme il a si bien su le faire lors de sa première élection, en 2017 ?

Il devrait craindre dans tous les cas ces horloges qu'il prétendait maîtriser et qui désormais tournent en sa défaveur. Chaque heure qui passe sans nouveau gouvernement est désormais plus longue que celle qui précède, parce qu'elle donne à voir aux Français un président sans ressort, sans solution, donc sans avenir. Emmanuel Macron aime employer l'expression « prendre son risque ». C'est à lui qu'il doit l'appliquer au plus vite, en nommant, enfin, un Premier ministre.

---------------------------------------------------------------------------------

Pour compléter un précèdent post sur cet article qui n'a pas été publié semble-t-il peut être à cause de la censure arbitraire "du POINT" et ses modérateurs inutiles : Je dirais que notre président et avec "sa macronie fantôme" ou renaissance on se demande à quoi il sert si ne n'est que dire "NON" en passant son temps à tergiverser car on se demande s'il gouverne ce qui confirme son inutilité et incompétence pendant ce temps là on n'a ni 1er ministre peut être inutile mais surtout pas de gouvernement car çà c'est plus grave pour Notre FRANCE et ses concitoyens vraiment nuls qui s'en fichent ! ?

Car les FRANCAIS sont hélas bon public dons ils ont ce qu'ils méritent !?

lundi 26 août 2024

Pas de soucis notre gentil MACRON va nous trouver un 1er ministre fantôme comme « sa macronie » devenue inexistante qui ne sert plus à rien en sortant de son chapeau de faux magicien d’Oz un gentil 1er ministre inutile bon chic pour genre (ALLAH AKBAR) excuser moi je n’aurais pas dû dire cela !?

 

Ce que mijote Karim Bouamrane, le maire de Saint-Ouen en piste pour Matignon !?

L’élu socialiste, qui se distingue à gauche par son parcours, sa ligne politique et sa méthode, sait que son profil colle au portrait-robot dressé par le chef de l’État. Cela suffira-t-il OH ! MAIS OUI AVEC LES FRANCAIS IL FAUT S’ATTENDRE A TOUT CAR ILS DIGERENT TOUT !?

C'était en juin 2014. Une éternité, presque une autre époque. C'était bien avant que Karim Bouamrane ne fasse la une du New York Times et que le quotidien allemand Die Welt l'affuble du surnom d'« Obama de la Seine ». Bien avant, surtout, qu'il acquière une soudaine notoriété en France et que son nom soit même cité, ces temps-ci, pour Matignon. Cette année-là, il y a du beau monde à Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), où est organisée la traditionnelle Fête de la Rose. Jean-Christophe Cambadélis, qui vient d'être élu Premier secrétaire du PS (ce nul) , est à la recherche de nouveaux talents. Parmi la foule d'élus et de militants, il repère Karim Bouamrane. Une amitié se crée.

 

« Lorsque je l'ai rencontré, il portait déjà un discours singulier et incarnait une gauche de terrain, laïque, sérieuse et décomplexée sur les questions régaliennes », retrace « Camba », qui aidera cet élu municipal prometteur à se faire un réseau et à se placer dans les instances nationales du parti à la rose, dont il sera nommé porte-parole en 2016. Il lui doit au moins cela. Le reste, il est allé le chercher seul. Rien ne lui a été donné.

 La motion de censure, nouvelle arme fatale

À l'opposé de La France insoumise

Qui pouvait croire que Karim Bouamrane, issu d'une famille modeste d'origine marocaine et ayant grandi dans un logement insalubre d'une cité HLM de Saint-Ouen, devienne maire en 2020 de cette ville de plus de 50 000 habitants ? « Je m'appelle Karim Bouamrane, fils de Sadia et Allal Bouamrane, et je suis le nouveau maire de Saint-Ouen », déclare-t-il laconiquement, en juillet, lors du premier conseil municipal après son élection. Il n'a pas besoin d'en dire davantage. Et ne le veut pas non plus.

J’ai toujours refusé de tomber dans les clichés misérabilistesKarim Bouamrane

Une certaine pudeur et un refus d'être essentialisé l'y incitent. « J'ai toujours refusé de tomber dans les clichés misérabilistes, explique-t-il au Point. J'ai eu la chance d'avoir une enfance heureuse grâce à des parents et une famille aimante. » Lui qui se dit « très attaché à son ciment républicain » préfère que l'on parle de sa politique plutôt que de sa personne ; de ce qu'il fait plutôt que de ce qu'il est.

© Élodie Grégoire pour Le Point

Sa ligne politique, justement, le distingue très nettement de La France insoumise. Il croit à l'émancipation par le travail, respecte nos institutions et travaille au quotidien avec la police, qu'il n'accuse pas de « tuer », pour assurer la sécurité des Audoniens. « Il considère que personne n'est assigné à résidence, que l'injustice n'est pas une fatalité et que le développement économique n'est pas une insulte. Réussir sa vie en sortant des quartiers [comme Karim Bouamrane l'a fait, en partant s'installer quelques années aux États-Unis pour y travailler dans le domaine de l'informatique, avant de revenir en France, NDLR], ce n'est pas un gros mot. Pour LFI, un homme comme lui ne devrait pas exister. Il remet totalement en cause leur récit victimaire », résume Driss Aït Youssef, l'un de ses amis d'enfance. N'allez pas lui dire, en revanche, qu'il est libéral… « Je considère que le libéralisme, c'est le bonheur privatisé et le socialisme, le bonheur partagé », répond l'intéressé.

La méthode Bouamrane : « Faire des compromis sans jamais se compromettre »

Ses modèles, qui l'ont déterminé à s'engager en politique, sont Tommie Smith, Gisèle Halimi, Oum Kalthoum, Socrates, Simone de Beauvoir et Marx – un clin d'œil à ses vingt années d'engagement au PCF. Il s'en inspire pour faire de sa ville une « start-up nation du 93 » – une expression qu'Emmanuel Macron avait employée en 2021. Elle accueillera en septembre le siège français de Tesla, de Nexity et, en 2028, le siège de la DGSI… À cela s'ajoutent notamment le projet de CHU, l'installation d'université Paris Cité et la rénovation du stade Bauer, où les habitants de Saint-Ouen vibrent pour le mythique club local, le Red Star Football Club – il arrive d'ailleurs à Karim Bouamrane d'aller y voir des matchs avec François Hollande, qu'il connaît bien.

Conscient que les classes moyennes et populaires sont les premières à subir l'insécurité, le maire a mis le paquet sur le sujet. « Il y avait quatre policiers municipaux en 2020 ; nous en avons aujourd'hui 28. Nous sommes passés de 180 à plus de 400 caméras de vidéo protection et nous assumons de dire qu'elles sont efficaces », détaille son adjoint à la sécurité, Jean-François Clerc.

Pourquoi Emmanuel Macron ne nommera pas Lucie Castets à Matignon

L'élu de 51 ans se distingue donc par son parcours, par sa ligne politique mais aussi par sa méthode. « Karim discute avec tout le monde et, surtout, il écoute beaucoup, il a une capacité de travail phénoménale et il ne lâche jamais rien. Il sait faire des compromis sans jamais se compromettre », glisse le sénateur socialiste Adel Ziane, qui a mené beaucoup de campagnes – « et en a perdu beaucoup », sourit-il – avec Karim Bouamrane.

C'est en échangeant régulièrement avec des maires, partout en France, qu'il parvient, en 2023, à mettre en place un congé menstruel pour l'ensemble des agentes municipales de sa ville. Une première pour une collectivité en France. Au cœur de la préparation des Jeux olympiques et paralympiques, il a également travaillé avec tous les acteurs locaux et des élus brésiliens, dont le maire de Rio de Janeiro ; sa ville a accueilli les athlètes brésiliens.

Karim Bouamrane se dit sans doute qu’il peut relever le défi de Matignon mais, dans ce contexte difficile, il posera ses conditionsDriss Aït Youssef

Tous ces éléments et ces commentaires laudateurs font-ils de lui le « mouton à cinq pattes » que recherche Emmanuel Macron ? Est-il la solution à l'insoluble équation pour le poste de Premier ministre ? Revenons au portrait-robot dressé par le chef de l'État : il cherche, selon ce qu'il a fait savoir cet été, une femme ou un homme qui soit consensuel, capable de parler à la gauche, à la droite et au bloc central tout en offrant un « parfum de cohabitation ».

Il est respecté à droite et entretient de bonnes relations avec David Lisnard, maire de Cannes et président de l'Association des maires de France. Avec Valérie Pécresse aussi, dont le siège du conseil régional n'est qu'à cinq minutes à pied de la mairie de Saint-Ouen. « Ils s'entendent très bien et la région met les moyens pour accompagner sa politique, confirme l'entourage de Pécresse. On soutient les maires comme Karim Bouamrane ou Mathieu Hanotin [maire PS de Saint-Denis, NDLR], qui sont fermes sur les questions de sécurité. »

L'Élysée plutôt que Matignon ?

Aurait-il néanmoins le soutien – ou au moins la bienveillance – d'un Laurent Wauquiez, président du groupe Droite républicaine à l'Assemblée nationale, ou d'un Bruno Retailleau ? « Il n'a pas d'échanges avec eux. Il pourrait très bien se faire censurer. Ses déclarations dans La Voix du Nord ont surpris », rapporte un cadre LR. « Je suis socialiste, j'ai soutenu le Nouveau Front populaire (NFP) et donc je soutiens Lucie Castets », déclarait-il le 22 août au quotidien régional. Il semblait ainsi s'exclure du jeu et prenait le risque de braquer la droite, qui a annoncé qu'elle censurerait un gouvernement Castets si celui-ci comportait des ministres LFI.

 Laurent Wauquiez : « Le devoir de la droite républicaine, c'est de réconcilier la France »

Que le président de la République ait fait savoir qu'il excluait de nommer la candidate du NFP, arguant qu'elle serait vraisemblablement censurée dans la foulée – change toutefois la donne. Emmanuel Macron, qui devrait profiter des consultations à l'Élysée pour balayer définitivement l'hypothèse Castets – l'entourage de Karim Bouamrane ne pense pas que le coup tactique de Mélenchon, qui s'est dit ouvert à un soutien sans participation de LFI, puisse changer la donne – peut être tenté de chercher un autre Premier ministre, au centre gauche.

© Élodie Grégoire pour Le Point

Le nom de Bernard Cazeneuve est évoqué mais il n'aurait pas le soutien de la direction du PS et risquerait d'être censuré. Il n'est pas sûr, néanmoins, que Bouamrane ait davantage sa faveur… Il n'entretient pas spécialement de bonnes relations avec Olivier Faure, qui l'a mollement soutenu dans sa conquête de la mairie de Saint-Ouen – et ce dernier a déjà annoncé à plusieurs reprises qu'il n'accepterait pas d'autre nom que celui de Lucie Castets.

« L'hypothèse Matignon reste crédible, veut croire Driss Aït Youssef, son ami d'enfance. Karim a le profil pour prendre des responsabilités nationales et il a toujours su travailler en bonne intelligence avec tout le monde. Il se dit sans doute qu'il peut relever le défi mais, dans ce contexte difficile, il posera ses conditions. » Une figure du PS, opposée en interne à Faure, lui conseille par exemple de faire un deal avec Macron sur la proportionnelle, estimant que cela « inverserait le rapport de force entre LFI et le PS ».

« Je ne suis pas un phénomène »

Pour l'heure, l'intéressé fait mine de prendre beaucoup de recul sur ces tractations et de s'en tenir éloigné. Que des personnalités comme Jean-Louis Borloo ou Gaspard Gantzer, qui dit n'avoir « jamais rencontré de personnalité aussi charismatique », le voient même à l'Élysée plutôt qu'à Matignon l'amuse. Cette soudaine « hype », assure-t-il, ne le bouscule pas.

38 jours : le gouvernement démissionnaire Attal égale le record de longévité de la IVe République

Il refuse d'ailleurs de l'appeler ainsi. « Je ne suis pas un phénomène. Je suis un homme politique, riche de son expérience locale et nationale, qui peut être transposée dans un projet collectif global », assure-t-il, dévoilant, en creux, ses ambitions. Elles ne se limitent peut-être pas à l'hôtel de la rue de Varenne. Ce qu'il a patiemment construit, en trente ans d'engagement politique, peut lui permettre de viser plus haut, veut-on croire dans son entourage. Karim Bouamrane dit des Jeux qu'ils sont un « accélérateur de particules ». Ils seront peut-être, aussi, un accélérateur de sa carrière politique…

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Donc le dérapage risqué est amorcé en France on essaie de faire du « OBAMA » sauf qu’on n’est pas aux Etats Unis et avec leur système electoral bizarre à trois états des USA qui donne le ton pour les 47 autres états qui reste et pourtant qui votent mais qui n’a rien à voir avec le nôtre qui comprend la totalité des régions et départements de notre pays et quand à cet ex président U.S. le président élu OBAMA un noir ce qui semblait un évènement depuis la fin leur guerre de sécession de 1865 entre le NORD et le SUD cela n’a pas été une réussite jusque dans les années 1960 pour supprimer la ségrégation (pas encore totalement dans les têtes des américains) pour aboutir depuis à 2 vieux ex présidents TRUMP ou BIDEN mais qui lui a jeté l’éponge à cause des ses problèmes de santé évident en passant la main à CAMELA HARRIS et en plus avec des administrations qui elles gouvernent vraiment comme pour leur SENAT et autres ce qu’il ne faut pas oublier !?

Je crois en fait que dans notre France touchée par une immigration importante depuis la fin de nos empires coloniaux avec leurs pays Africains occidentaux et du NORD DU MAGREBH devenus indépendants depuis + de 60 ans (avec une guerre d’indépendance inutile pour l’Algérie qui nous ont envoyé leur migrants de plus en plus nombreux et en plus notre dernier président avec Mr MACRON petit bourgeois donneur de leçons  incompétent élu et réélu par défaut et par la défection de cet ex Président HOLLANDE qui avait jeté l’éponge en se dégonflant comme une baudruche déjà crevée !?

Pour le reste ce n’est que du bla-bla médiatique sans intérêt jusqu’en 2027 car Mr MACRON perdu d’ailleurs car ce moquant toujours des citoyens car ne sachant pas quoi faire malgré qu’il doit designer un 1er ministre presque devenu inutile mais qui s’en fiche car indéboulonnable mais devant former un gouvernement car on n’en n’a pas pour gouverner et diriger le pays pour l’instant à cause des FRANÇAIS eux-mêmes niais ou stupides incurables tant pis pour nous et surtout la France dont ces politiciens de tous bords foulent foule au pied notre démocratie ?!

Jdeclef 26/08/2024 14h52

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++