samedi 24 août 2024

Ça y est on est arrivé dans notre France ingouvernable ou on est presque à un point de non-retour dans la mauvaise gouvernance de notre pays sans issue et heureusement la population « d’en bas » justement n’a pas encore explosée car les congés d’été pas encore terminés mais la mèche de la bombe théorique se raccourcit chaque jour d’ici la rentrée scolaire et autres !?

 

Pourquoi Emmanuel Macron ne nommera pas Lucie Castets à Matignon

Le chef de l’État, qui a eu un dialogue courtois avec la haute fonctionnaire, retient des consultations qu’il a menées qu’un gouvernement NFP serait automatiquement censuré à l’Assemblée.

Par Henri Michelet (avec M.S.)

Publié le 23/08/2024 à 23h40, mis à jour le 24/08/2024 à 09h52

Emmanuel Macron procède par élimination. (ET S’IL POUVAIT S’ELIMINER TOUT SEUL CE SERAIT VRAIMENT UN SOULAGEMENT MAIS IL NE FAUT PAS REVER ON LE FAIT VIRTUELLEMENT CE CHOIX DEPUIS QUE LA VEME REPUBLIQUE EXISTE AVEC DEJA SES PREDECESSEURS !?

 

Car les FRANÇAIS n’ont plus d’imagination et veulent être tenu par la main comme des jeunes enfants qu’on accompagne à l’école primaire !?

 

« C'est de la sédimentation par strate successive », charrie un haut gradé du Parlement reçu ce jour à la présidence. Car si son choix délicat pour Matignon semble loin d'être mûr, le locataire de l'Élysée veut avancer étape par étape. Les consultations menées successivement ce vendredi 23 août avec les forces politiques, qui se poursuivront ce lundi, lui permettent d'ores et déjà de prendre acte qu'un gouvernement Nouveau Front populaire mené par Lucie Castets, leur candidate pour Matignon, serait immédiatement renversé par l'Assemblée nationale.

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Car en dépit d'un échange courtois avec la haute fonctionnaire reçue au Palais avec les dirigeants de l'alliance de gauche, le chef de l'État a pu constater que du bloc central à la droite de Laurent Wauquiez, en passant par le groupe indépendant Liot et le parti radical de gauche, tous voteraient la censure dans l'Hémicycle. Le Rassemblement national ainsi qu'Éric Ciotti exprimeront en toute logique cette même volonté lors de leur rendez-vous avec le locataire de l'Élysée, ce lundi. Le porte-parole du parti de Marine Le Pen, Laurent Jacobelli, l'a d'ailleurs rappelé très clairement sur BFMTV : « Ministre LFI, ou ministre Vert, c'est censure. »

 38 jours : le gouvernement démissionnaire Attal égale le record de longévité de la IVe République « Le président va pouvoir expliquer aux Français lundi soir : “J'ai consulté tout le monde et tout le monde veut censurer un gouvernement NFP.” L'hypothèse Lucie Castets est donc morte aujourd'hui ! » anticipe un proche du chef de l'État, qui s'en réjouit d'avance. « Son critère, c'est la censurabilité. Il veut pouvoir garantir la stabilité institutionnelle », abonde un autre.

À leur sortie du Palais pourtant, l'heure était à l'optimisme pour la gauche. Après une discussion jugée « très riche », Lucie Castets s'est dite « extrêmement satisfaite » de la rencontre entre le NFP et Emmanuel Macron. L'ancienne directrice financière de la Ville de Paris risque donc de rapidement déchanter… « Nous nous satisfaisons que le président de la République a reconnu que les Français ont envoyé un message », a-t-elle applaudi face caméra.

Yourtes et tipis : les Verts en pleine utopie, Lucie Castets se fait désirer Un sentiment partagé par les autres participants de ce rendez-vous. « Il a lui-même reconnu que toutes les forces qui avaient participé au front républicain étaient parfaitement légitimes à gouverner et à incarner ce changement », s'est enthousiasmé de son côté le premier secrétaire du PS, Olivier Faure. La présidente du groupe Écologiste à l'Assemblée nationale évoque même auprès du Point « un échange qui ressemblait à ce que peut être un début de cohabitation ». « On a notamment parlé de la constitution d'un prochain gouvernement et des questions budgétaires. Je pense qu'Emmanuel Macron a été surpris par la solidité de ses réponses ».

Au cours de cet entretien, le chef de l'État a de fait soumis Lucie Castets à un véritable interrogatoire :

« – Souhaitez-vous un ministre issu de La France insoumise ?

– Oui.

– Un ministre société civile ?

– Pourquoi pas ?

– Souhaitez-vous ma destitution ?

– Non.

– Contesteriez-vous la politique étrangère que je mène ?

– Non. »

LR et le bloc central contre LFI

Emmanuel Macron a donc rendu compte ensuite de cet échange devant les autres dirigeants politiques. Le bloc central, soit l'ex-majorité présidentielle (Renaissance, MoDem, Horizons, UDI), était reçu à l'heure du déjeuner, autour d'un plateau-repas. « C'était une bonne réunion », s'est contenté de dire Édouard Philippe en guise de commentaire à sa sortie du Palais. En tant que nouveau chef des députés Renaissance, Gabriel Attal était présent et a partagé auprès du chef de l'État son souhait de voir s'installer à sa place, Rue de Varenne, une personnalité ne faisant pas partie du camp présidentiel.

« Je souhaite que puisse être menée une politique utile, avec des éléments de continuité et des messages de sécurité », a dit l'hôte de l'Élysée, considérant que les Français avaient exprimé une « volonté d'alternance mais pas d'effacement » du camp présidentiel dans les urnes. Tous lui ont dit qu'il n'était pas question d'accepter la présence de La France insoumise dans un futur gouvernement. François Bayrou a plaidé pour sa part pour la nomination d'une personnalité « raisonnable et estimable ».

Macron à l'heure de la clarification L'après-midi, c'était aux Républicains de se rendre dans le salon Vert de l'Élysée. Représenté par Laurent Wauquiez, Bruno Retailleau et Annie Genevard, le parti de droite a tenu à réaffirmer ses conditions, dans un échange « courtois et assez franc ». « Il y a une ligne de partage très claire entre ceux qui proposent des solutions et ceux qui cherchent à prospérer sur les difficultés du pays. Nous sommes bien sûr dans la première catégorie », résume pour Le Point la présidente par intérim et députée du Doubs Annie Genevard.

Durant leur échange avec le chef de l'État, les représentants de LR se sont accrochés à leur « pacte législatif d'urgence ». Fidèles à leur position, les cadres de la droite ont rappelé ne vouloir participer « à aucune coalition gouvernementale », tout en se montrant constructifs. Laurent Wauquiez a réitéré sa volonté de faire barrage à La France insoumise. « Ils sont dangereux pour la République. Plusieurs de leurs élus tiennent ouvertement des propos antisémites et leur approche est extrémiste », a-t-il accusé.

Je trouve cela pitoyable pour ces gens-là d’être dans le réflexe pavlovien de la motion de censureArthur Delaporte, député PS

La « phase de maturation » va donc se poursuivre, selon un conseiller élyséen. Le chef de l'État est à la recherche d'une solution hors LFI, excluant de facto le NFP, qui exige que toutes ses composantes soient représentées dans un gouvernement. « Ils ne sont pas plus forts que nous. Je trouve cela pitoyable pour ces gens-là d'être dans le réflexe pavlovien de la motion de censure », proteste le député PS Arthur Delaporte, pour qui la position du bloc central apparaît comme paradoxale. « Le chef de l'État a dit que tout le monde était légitime à gouverner. Ensuite, les autres partis du bloc central disent vouloir exclure LFI d'un nouveau gouvernement. Est-ce que le chef de l'État est encore suivi de ses troupes ? » fait-il mine de s'interroger.

La piste Bernard Cazeneuve ?

« Le président est conscient que le chemin est une ligne de crête », consent son entourage. Son choix pourrait se porter sur une personnalité de centre gauche qui pourrait contenter la droite, dans le but de s'assurer le soutien d'une partie au moins du NFP. Or, Olivier Faure l'a d'emblée prévenu lors de leur entrevue : « Nous sommes unis. Ne cherchez pas à nommer quelqu'un qui ne serait pas notre candidat. » Au sein du bloc central, l'option Bernard Cazeneuve suscite pourtant plutôt l'adhésion. François Bayrou, par exemple, y est favorable. Mais l'intéressé, rejeté par une partie de la gauche, n'a reçu aucune assurance de la part du Parti socialiste, son ancien parti, d'un éventuel soutien ou du moins d'un pacte de non-agression…

 De l'intérêt de ne pas avoir de gouvernement

À l'issue de cette première phase de dialogue, dont il devrait rendre compte auprès des Français, le chef de l'État s'est dit ouvert à ouvrir un nouveau « round » de discussions avec les différents acteurs. Il poursuivra ses échanges – informels cette fois – de sa résidence du Touquet où il doit séjourner ce week-end. La nomination du successeur de Gabriel Attal ne devrait pas intervenir avant mardi au plus tôt, « voire fin de semaine », pronostique l'un de ses interlocuteurs. « Il veut aller vite mais ne se fixe pas de borne. Ce n'est de toute façon pas dans les conversations des gens… »

 

 

Que les Français cessent de se regarder le nombril en attendant je ne sais quel messie hypothétique inutile qui ne fait rien comme ce Mr MACRON sorti de nulle part qui a profité de la défection de son prédécesseur et a saisi l’opportunité d’enfoncer une porte ouverte à cause de ces Français stupides ne sachant plus voter ou choisir leurs dirigeants et politiciens de tous bords issus de cette politique lamentable et qui ont commis l’ultime erreur de le réélire en 2022 pour pouvoir encore le supporter jusqu’en 2027 !?

C’est une sorte de démence collective des Français lambda et en plus ce président qui a disjoncté en allumant « cette bombe » par cette dissolution inutile à cause semble-t-il d’un orgueil mal placé se prenant comme un monarque et d’une incompétence remarquable puisque inéligible de par notre constitution !?

On aurait pu croire que sa procrastination pathologique était une feinte mais malheureusement elle était réelle et c’est la seule excuse des Français ils ne pouvaient pas le prévoir pour bien « de ces gens de peu simples » comme il a dit dédaigneusement mais comme ils l’ont réélu ils n’ont plus d’excuses !?

Car lui est intelligent et surtout de bonne éducation et instruction qu’il utilise mal ou pas du tout mais qui a le trop de pouvoir qu’on lui a donné comme à ses prédécesseurs car semble-t-il les Français sont nostalgiques des 17 siècles de monarchies jusqu’à notre révolution de 1789 oubliée pas si loin de ces démocratures d’autres grands pays connus mais comme on vote mal car ne sachant plus choisir nos présidents et politiciens car nous sommes libres de râler d’écrire de protester de commenter etc…

Ce qui ne change rien dans notre France que nous aimons comme moi car nos concitoyens ne savent plus penser avalant tout bêtement ça nous fait une belle jambe tant pis pour nous on n’a pas besoin de 1er ministre inféodé au président qui est perdu ne sachant pas quoi faire bavard donc inutile car s’écoutant parler !?

Jdeclef 24/08/2024 11h24

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