jeudi 29 août 2024

Et bien nous ont fait la fête sur un volcan qui ne demande qu’à exploser c’est presque fait pour ses pauvres Français et notre pays LA FRANCE !? Mais moi vieux Français je ne peux accepter de me faire insulter en continuant à se moquer de nous ouvertement par ce président qui gouverne mal !?

 

Castets, Bertrand, Cazeneuve, Pécresse… Qui ira à Matignon ? DE TOUTE FACON ON REVOIT TOUJOURS MEMES C’est plus que décevant !?

Le futur locataire de Matignon, qu'Emmanuel Macron devrait annoncer dans les prochains jours, devra rassembler une majorité large tout en survivant aux motions de censure.

Par Henri Michelet

Publié le 20/08/2024 à 16h40, mis à jour le 21/08/2024 à 09h01

C'est un dossier brûlant qui est source de toutes les crispations. Avant le début des Jeux paralympiques, Emmanuel Macron reçoit vendredi les chefs de parti à l'Élysée afin de consulter les forces politiques pour former un nouveau gouvernement. Tandis que le camp présidentiel exclut le Rassemblement national et La France insoumise pour aboutir à une majorité, le bloc central compte s'appuyer sur les autres partis pour un nouveau Premier ministre. Les mêmes noms se répètent en coulisse durant les réflexions sur le choix d'un successeur à Gabriel Attal. Chacun a ses propres forces et faiblesses.

Haut du formulaire

Bas du formulaire

Lucie Castets, le choix du NFP

Depuis le second tour des législatives, son nom résonne dans tous les esprits du NFP. Ancienne directrice des finances de la mairie de Paris, Lucie Castets est plébiscitée par les partis du Nouveau Front populaire pour accéder au poste de Premier ministre. Selon ses soutiens, son choix s'explique par sa capacité à « rassembler tout le monde ». « Elle n'est pas candidate commune par hasard. Elle est au centre de ce qui lie les forces de gauche aujourd'hui », vante Aurélien Taché, député LFI du Val-d'Oise, pour qui le principal avantage de l'intéressée est dans « son combat pour les services publics ». « Aujourd'hui, toute la gauche veut voir l'hôpital et l'école publique être réparés. Elle a cette capacité technique que lui confère son parcours professionnel. »

 De l'intérêt de ne pas avoir de gouvernementL'un de ses handicaps serait son manque de popularité au sein de l'opinion publique. Selon un sondage Elabe pour Les Échos, qui teste pour la première fois la haute fonctionnaire, Lucie Castets recueille 15 % d'opinions favorables mais aussi 33 % d'avis négatifs. Une première confrontation qui n'effraie pourtant pas les élus de gauche. « Son manque de notoriété au début de l'été reste un de ses points faibles. Les Insoumis n'aident pas à l'améliorer d'ailleurs. Mais elle va gagner en popularité », glisse un élu socialiste. Autre obstacle : se confronter aux autres formations parlementaires. Alors que l'alliance électorale ne souhaite personne d'autre que Lucie Castets pour s'installer rue de Varenne, les autres blocs refusent de voir l'ancienne directrice des finances de Paris à Matignon. L'ex-majorité présidentielle a annoncé déposer une motion de censure dans le cas d'un gouvernement contenant au moins un ministre issu de La France insoumise. « C'est une ligne rouge absolue », prévient Aurore Bergé, ministre démissionnaire des Solidarités. Motion de censure qui serait votée par la droite et le Rassemblement national.

Xavier Bertrand, le survivant

« On n'est jamais mort en politique ! » Xavier Bertrand croit volontiers en cet adage. Depuis plusieurs semaines, le nom du président de la région Hauts-de-France fait sa place dans les esprits des conseillers présidentiels. Alors que ses relations sont mauvaises avec Emmanuel Macron, Xavier Bertrand rencontre les faveurs de poids lourds du gouvernement démissionnaire. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, voit en l'ancien maire de Saint-Quentin, qu'il définit comme son « ami », un homme politique « avec une très grande compétence » et pouvant « servir grandement la France ». Affilié au gaullisme social, l'ancien ministre de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy cherchera à faire des « réformes immédiates » selon le député LR de l'Aisne Julien Dive. « Les Français attendent des mesures chocs sur la crise structurelle. Il saura faire bouger les lignes. » Proche du président des Hauts-de-France, le député perçoit en l'ancien ministre de la Santé une capacité de rassemblement supérieure aux autres prétendants à Matignon. « Xavier Bertrand a plus de chances d'aller chercher des voix à droite, au centre et à gauche que ne le pourraient d'autres profils. »

Son manque de popularité pourrait toutefois lui faire défaut. Arrivé quatrième au congrès LR pour la présidentielle de 2022, Xavier Bertrand ne fait pas l'unanimité au sein des Républicains. Ses relations froides avec Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes ainsi que du groupe de la Droite républicaine à l'Assemblée, compliquent l'hypothèse d'une possible nomination. De l'autre côté, le Nouveau Front populaire refuse de voir une alternative à Lucie Castets pour succéder à Gabriel Attal. « J'ai beaucoup de respect pour Xavier Bertrand et son parcours, mais il n'incarne pas du tout l'équation du scrutin des législatives », argumente le député socialiste de Paris Emmanuel Grégoire.

 « Si Lucie Castets ne trouve pas de compromis, le gouvernement NFP sera renversé »

Bernard Cazeneuve, l'ex-PS devenu un recours pour la droite

Les rumeurs liées à la nomination du prochain Premier ministre tournent également autour d'un ancien locataire de Matignon. Bernard Cazeneuve, Premier ministre entre 2016 et 2017, figure parmi ceux dont le profil pourrait séduire l'Élysée. Alors qu'il n'est plus encarté au Parti socialiste depuis la création de la Nupes en 2022, l'ancien député de la Manche n'exclut pas un retour dans l'hôtel qu'il connut à la fin du quinquennat de François Hollande. « Ma seule préoccupation, c'est que le pays ne bascule pas dans le déclassement, dans l'ingouvernabilité, dans le n'importe quoi », avoue-t-il sur LCI tout en se disant « prêt » à un retour aux affaires. Au-delà de son ancienne famille politique, l'ancien ministre de l'Intérieur parvient à s'afficher comme un homme pouvant plaire à d'autres formations. Incarnant une gauche ferme sur la laïcité et sur les valeurs républicaines, son nom serait un ultime recours pour la droite. « Ce serait un moindre mal », confie un député LR.

Ses plus grands détracteurs se trouvent pourtant dans son ancien camp. « Ceux qui pensent trouver une solution en dehors du NFP se trompent ! » tance un député socialiste. Très critique du Nouveau Front populaire et particulièrement de La France insoumise, Bernard Cazeneuve s'est attiré les foudres des composantes de l'alliance électorale de gauche, qui n'auraient pour lui aucun égard en cas de nomination à Matignon. « Bernard Cazeneuve ne fait même pas consensus dans un parti dont il n'est même plus membre », étrille la secrétaire nationale des Écologistes Marine Tondelier, concluant que l'ancien Premier ministre « ne serait pas une solution possible pour les écologistes ». Son impopularité vient de son positionnement politique qui, selon ses adversaires du NFP, rappelle le « hollandisme ». « Il est trop orienté vers le centre et ne représente pas le barycentre du programme économique et social du NFP », tranche la députée LFI Alma Dufour.

Valérie Pécresse veut surfer sur la vague des JO

Plus rarement que celui de son acolyte de droite Xavier Bertrand, son nom circule également pour la Rue de Varenne. Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, figure elle aussi parmi les personnalités potentielles pour le poste de Premier ministre. Peu critiquée pour son travail à la tête du conseil régional d'Île-de-France, celle qui est souvent décrite comme « Macron compatible » pourrait capitaliser sur le succès des Jeux olympiques. « Les JO iront en sa faveur. Les transports ont été bien gérés. Elle a pu communiquer avec le président de la République dans une logique de dialogue », justifie la députée DR de Haute-Savoie Virginie Duby-Muller.

Matignon, l'art du « Mistigri » selon Emmanuel Macron

L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy laisse pourtant derrière elle de douloureux souvenirs pour la droite. Candidate LR en 2022, elle n'avait recueilli que 4,78 % des voix et réalisé le plus faible score du parti aux élections présidentielles. Sa vision politique reste son principal handicap face aux autres formations. Le Nouveau Front populaire voit dans son profil une ligne politique « ultralibérale ». « Si c'est Valérie Pécresse pour faire entrer Wauquiez au gouvernement, et que le RN aide pour qu'il n'y ait pas de censure, alors ça n'a aucun intérêt », déplore le député PS du Calvados Arthur Delaporte. Une éventuelle nomination à Matignon rencontrerait une motion de censure du NFP.

 

 

Mais pourquoi pas car même le vieux COHN BENDIT s’en mêle avec sa proposition du récidiviste BAYROU le candidat que l’on revoie à chaque fois ce qui ne fait que prouver que l’on passe son temps à retrouver les mêmes de ces politiciens usés ex élus ou non comme cette  vielle Veme république usée jusqu’ à la corde de + de 66 ans dit Gaullienne qui ne l’est plus car ne ressemblant plus à rien depuis longtemps à cause des électeurs Français enfin ceux qui votent et les élisent et réélisent toujours ces politicards si médiocres comme leurs classes politiques désespérantes et partis ringards à noms changeant comme des caméléons avec leurs leaders faits pour celle-ci !?

Il n’y en a qu’un qui s’amuse après sa dissolution inutile c’est notre faux monarque indéboulonnable jusqu’en 2027 à cause de nous Français lambda et avec ses faux alibis des J.O.FESTIFS ET PARAOLYMPIQUE pour distraire les Français « ces gens de peu » selon son expression dédaigneuse dont il se moque toujours notre roitelet président Mr MACRON dans ces jeux du cirque moderne mais qui mette quand même en valeur nos sportifs de tous bords les seuls vrais gains et de toute nationalité ce qui est logique dans cet OLYMPISME ?!

Car ce petit bourgeois il connait bien les Français au caractère superficiel frondeur qui ne pensent qu’à eux et leur « individualisme du chacun pour soi dévastateur » pourtant le prochain réveil de la mi septembre passé sera dur car pour l’instant malgré que nous soyons encore là (mais çà peu changer) dans un pays libre et des plus démocratiques du monde nous avons à la tête de notre pays un pseudo « autocrate » grâce aux pouvoirs que l’on lui a donné sans même s’en apercevoir sans amour propre, comme lui qui n’en n’a plus depuis longtemps !?

Car pas gouverné ni protégé correctement et avec des ministres aux abonnés absents commis d’office il faut bien survivre mais la honte ne nous étouffe pas quand voit les derniers présidents qui se sont succédés élus et réélus sous ses quinquennats !?

Jdeclef 29/08/2024 15h54


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire