vendredi 30 août 2024

Bernard Cazeneuve, la « couleuvre » d’Emmanuel Macron QUEL MANQUE D’IMAGINATION JE CONTINUERAIS A PUBLIER CE TYPE DE COMMENTAIRE TANT QUE JE SERAIS EN VIE SI RIEN NE CHANGE CAR TOUTE VERITE EST BONNE A DIRE ET DOIT ETRE DITE POUR LE BIEN DE TOUS !?) En fait MACRON a dynamité la marche du pays inutilement jusqu’en 2027 et en plus continue à se moquer des Français (qui n’ont pas honte) pauvre France !?

 

Voilà le nom qui court sur toutes les lèvres réputées informées. Bernard Cazeneuve, éphémère et dernier Premier ministre de François Hollande, réunirait toutes les qualités pour rejoindre une seconde fois Matignon. Il semble doté d'une qualité rare par les temps qui courent : pouvoir éviter la censure d'une coalition des oppositions.

À part les LFIstes et leurs vassaux, tout le monde le trouve acceptable. Même Lucie Castets s'efforce de ne pas rugir : « Je n'ai aucun problème personnel avec Bernard Cazeneuve, disait-elle jeudi matin lors de son interview à BFMTV-RMC. C'est quelqu'un que j'estime et que je respecte. » La moitié du PS le pare de toutes les vertus, et l'autre se montre très embarrassée pour l'accabler.

 Coalition, cohabitation, destitution… Quels scénarios possibles pour Macron ? À droite, son antimélenchonisme intraitable séduit. Il est qualifié de « parfait républicain », de « modéré », d'« homme d'expérience ». Même le RN semble résolu à lui laisser sa chance.

Et le principal intéressé semble prêt à relever le défi, au nom de l'intérêt supérieur de la nation. Alors, qu'attend le président de la République, qui a déclaré depuis Belgrade, jeudi soir : « Croyez bien que je fais tous les efforts, et les jours et les nuits, et que je le fais depuis des semaines, même si vous ne l'avez pas forcément vu, pour aboutir à la meilleure solution pour le pays » ? Peut-être cette possible nomination représente-t-elle pour lui une couleuvre difficile à avaler.

Vieilles fâcheries et retour vers l'« ancien monde »

Les deux hommes, pendant longtemps, ont entretenu des relations cordiales, voire chaleureuses. Mais Bernard Cazeneuve n'a pas apprécié, euphémisme, la « trahison » de son cadet. Dans un livre de souvenirs publié en 2017 (Chaque jour compte, publié chez Stock), il s'offusque de la manière dont celui-ci, lors de son débat avec Marine Le Pen, s'est désolidarisé du bilan du gouvernement auquel il appartenait encore moins d'un an auparavant : « Sans doute a-t-il considéré, à ce moment-là de la campagne, écrit-il, que l'élégance n'était pas nécessairement, en politique, la manière la plus efficace de prendre rapidement son bénéfice, oubliant qu'elle n'est pas une obligation de courtoisie mais une noblesse de l'âme. »

Il raille aussi avec une cruelle drôlerie, dans le même ouvrage, le narcissisme de son ancien collègue : « En arrivant en conseil des ministres, j'avais remarqué le comportement qui était le sien face aux photographes. Tel l'héliotrope confronté au soleil, il se tournait naturellement vers eux, avec l'irrépressible fascination de celui qui visualise l'image au moment même où le photographe la prend, avec la conviction qu'elle sera à son avantage. » Plus récemment, à la rentrée 2023, il formulait la même critique dans les colonnes du Point, à propos de « l'initiative politique d'ampleur » annoncée par le chef de l'État : « On attendait une main tendue. On voit surtout un doigt pointé. Un doigt pointé dans la seule direction qui vaille aux yeux d'Emmanuel Macron : la sienne. »

L'été où Emmanuel Macron a mis la France sur un volcanToutefois, les vieilles fâcheries peuvent s'oublier en cas d'absolue nécessité. En revanche, il est assurément plus douloureux, pour le président de la République, de promouvoir à Matignon une personnalité qui incarne tout ce qu'il a voulu abolir, cet « ancien monde » fait de politiciens professionnels passés par tous les mandats électifs, de valeurs partisanes et de clivages indépassables.

Pour atténuer cette contrariété, la cohabitation qui se profile ne sera pas identique aux précédentes. Le futur Premier ministre devra composer avec les représentants du camp présidentiel à l'Assemblée nationale et, pourquoi pas, accueillir des ministres issus de ces rangs dans son gouvernement.

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En France nous sommes un des pays les plus libres et démocratique du monde c’est une qualité mais qui a ses défauts quand cette liberté à tout va n’est plus assez encadrée à cause de certains qui veulent faire leurs lois personnelles les ramenant à leur moi personnel et leurs petits conforts bornés étriqués qui quelque fois peuvent mener presque à l’anarchie du « chacun pour soi » sans gardes fous et quand en plus on a élu et réélu souvent les mêmes dans cette classe politique devenue médiocre voire lamentable pilotée et mal protégé  par un président là c’est Mr MACRON car élu par défaut à sa décharge qui a pris la balle au bon hérité de son et ses prédécesseurs depuis l’après mitterrandisme qui pourtant avait été un échec avec cette gauche que l’on met en avant dans ses médias qui pérorent comme ces politiciens passés et présents de tous bords d’ex gouvernements pour certains de cette V EME REPUBLIQUE usée dite Gaullienne dont son créateur a été rejeté par ces Français lambda ingrats mais qui de toute façon était âgé et avait fait beaucoup historiquement pour la France pendant nos guerres mondiales!?

Le 27 avril 1969, les Français rejettent le référendum sur la régionalisation et la « rénovation » du Sénat. Désavoué peut être après les évènements sociaux de 1968 le général de Gaulle prend une retraite méritée !?

Depuis fin 1970 et une rare période de calme de progrès court et économique et divers mais ensuite en descente constante vers le bas du ruisseau presque a sec et certains diraient ce n’est plus çà car près de l’égout !?

Le président Mitterrand PS de gauche élu en 1981 meurt d'une longue maladie (cancer de la prostate) moins de huit mois après la fin de son mandat, le 8 janvier 1996 !?

 

Une page de notre pays s’est tournée mais le pays depuis végète et régresse çà c’est la réalité malgré les artifices « macroniens » et les indécisions de notre patron élu et réélu et en plus jusqu’en 2027 etc…

 

Car pour les Français lambda on vote encore en FRANCE ils devraient enfin ouvrir les yeux rapidement (ils ont bien su rejeter de GAULLE mais c’était une autre génération et aussi une autre population avec l’immigration galopante héritée de notre ancien empire colonial et notre Europe unie sans frontières !?)

 

Car râler : çà ils savent le faire mais c’est à peu près tout semble-t-il même si le président les dédaigne ou les insulte car çà il l’a fait relisez vos ou nos archives médiatiques mais on a perdu tout bon sens et amour propre !?

 

Jdeclef 30/09/2024 09h44

 

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