vendredi 23 août 2024

Il n’y a rien à attendre de nouveau chez ces politiciens de tous bords qui espèrent une nouvelle place au soleil de sa majesté MACRON d’ci 2027 per le faute Français qui l’on réélu on ne le dira jamais ASSEZ !?

 


Rencontres à l’Élysée : quelles sont les attentes des partis politiques ?

Les formations invitées par Emmanuel Macron, ce vendredi, puis lundi, entendent bien poser leurs conditions en vue de la nomination du futur Premier ministre.

Par Henri Michelet

Publié le 23/08/2024 à 06h00, mis à jour le 23/08/2024 à 07h20

Le président Emmanuel Macron au palais de l'Élysée, à Paris, le 26 juillet 2024. © Eliot Blondet/Abaca

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Ce rendez-vous est attendu avec beaucoup d'impatience par les principaux intéressés. Emmanuel Macron reçoit, ce vendredi, puis lundi, les représentants des différents partis afin de discuter de la prochaine nomination d'un Premier ministre pour succéder à Gabriel Attal. Tandis que le chef de l'État n'a toujours pas désigné un nom pour Matignon, les formations invitées sont décidées à clarifier la situation issue des législatives du 7 juillet dernier.

Face à Emmanuel Macron, ce vendredi, les cadres de la gauche seront déterminés à atteindre leur but.

Alors que se déroulent, au même moment, les universités d'été des Écologistes et de La France insoumise (LFI), le Nouveau Front populaire (NFP) veut profiter de cette entrevue pour pousser son avantage et se hisser à Matignon.

Yourtes et tipis : les Verts en pleine utopie, Lucie Castets se fait désirer

« On la prépare de façon singulière », résume Arthur Delaporte, député PS du Calvados, pour qui le NFP devrait s'attendre « à tous les scénarios ». « On est dans le flou absolu sur la façon dont le pays sera dirigé. Nous travaillons en sous-main car le président ne nous laisse pas vraiment le choix. »

« Pas de plan B »

Bien qu'ayant obtenu une très faible majorité relative aux élections législatives (193 députés), les partis du NFP ont confirmé leur intransigeance avant de se rendre à l'Élysée. « Nous irons dire au président de la République qu'il doit respecter la souveraineté populaire, qu'il doit respecter le résultat des urnes et nommer urgemment Lucie Castets à Matignon », alertait, jeudi sur France Inter, Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale.

Plébiscitée par l'ensemble du NFP pour s'installer à Matignon, Lucie Castets, ancienne directrice des finances de la Mairie de Paris, sera présente à l'Élysée ce vendredi. Les représentants de la gauche comptent sur sa présence pour contraindre le chef de l'État à sa prochaine nomination.

« Pour nous, il n'y a pas de plan B », prévient dans Le Figaro la cheffe de file des députés Écologistes Cyrielle Chatelain, argumentant que la gauche a un « devoir de cohérence et de respect de la parole donnée aux citoyens ».À LIRE AUSSI Raphaël Glucksmann : « Il faut tourner la page Macron et Mélenchon ! »

Pourtant, en interne, la nomination de Lucie Castets ne suscite plus autant l'unanimité. Certains avouent leur pessimisme concernant l'hypothèse de voir la haute fonctionnaire être désignée par Emmanuel Macron. « J'ai peu d'espoir qu'il finisse par nommer Lucie Castets », confie au Point Aurélien Taché, député LFI du Val-d'Oise.

Comme un signe de friction au sein de l'alliance, certains élus du NFP vont jusqu'à remettre en cause la stratégie privilégiée par La France insoumise pour imposer Lucie Castets. Ils pointent en particulier la menace d'une procédure de destitution d'Emmanuel Macron engagée par LFI.

« La décision des Insoumis met sûrement un coup de frein. Cette stratégie n'a aucune chance d'aboutir. Je ne suis pas sûre que Lucie aurait ses chances avec cette initiative », déplore un député socialiste. « Nous gardons notre légitimité issue des législatives, mais il faut rester sur une confrontation démocratique. »

Temporisation à droite

À droite, les interrogations planent sur la nécessité d'une rencontre à l'Élysée. « Le président veut soit conforter sa décision, soit donner l'impression qu'il consulte », formule un député de la Droite républicaine pour qui Emmanuel Macron aurait « sûrement » déjà en tête le nom du prochain Premier ministre.

Le groupe parlementaire présidé par Laurent Wauquiez ne s'attend pas à des avancées concrètes à l'issue de cette rencontre. Dans l'entourage du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, on opte pour une posture attentiste. « Les mises en scène du chef de l'État ne m'intéressent que de très loin », confie au Point Fabien Di Filippo, député de Moselle.

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Il rappelle que la droite a déjà clarifié son positionnement avec son « pacte législatif » : « On a expliqué notre position depuis le premier jour et les sujets que l'on juge urgents, sur le travail, la sécurité, les services publics. On attend de les voir reconnus et de pouvoir les faire avancer concrètement dans l'hémicycle. »

D'autres ne désespèrent pas que le président de la République fasse un pas vers eux. « Notre mouvement est majoritaire au Sénat et, fondamentalement, dans les grandes lignes, les Français veulent une politique de droite. Il est clair que Macron va déplacer son barycentre vers la droite », songe une députée de la Droite républicaine, tandis que le nom de Xavier Bertrand est toujours évoqué pour la rue de Varenne. Les dirigeants de Liot et du Parti radical de gauche seront également consultés ce vendredi.

« Emmanuel Macron feint la courtoisie républicaine »

Les rencontres au Château s'achèveront lundi par la venue de Marine Le Pen et de Jordan Bardella puis d'Éric Ciotti. Au sein du RN, on se laisse difficilement convaincre de la pertinence de l'invitation envoyée par Emmanuel Macron.

« Je pense que Jordan et Marine font bien d'y aller par respect des institutions, mais j'ai l'impression qu'Emmanuel Macron feint la courtoisie républicaine. Il ne consulte pas et n'écoute pas », médite un député du parti à la flamme.

 Le RN, nouvel arbitre des élégances parlementaires ?

Le prochain locataire de Matignon devra survivre aux motions de censure déposées à l'Assemblée nationale. Dans ce contexte, les députés RN s'imaginent jouer un rôle décisif sur l'avenir du futur Premier ministre.

« Pour l'instant, on nous ignore, mais en réalité ce sera nous qui allons décider », veut croire le député des Bouches-du-Rhône Philippe Schreck, pour qui les 146 élus RN « auront du poids ». « Quand vous êtes le premier parti à l'Assemblée en nombre de députés, vous comptez forcément. »

 

 

Mais ils attendent rien ces partis à noms changeant comme des chemises sales aux couleurs différentes pour faire croire à des changements qui ne varient pas depuis que cette Veme république existe composés de minables politiciens de tous bords de cette classe politique déplorable qui attendent le bon vouloir que notre petit roitelet ce décide élu et réélu car handicapé par sa procrastination pathologique incurable et çà oui c’est une nouveauté que l’on avait pas connu avec nos dirigeants passés de tous bords surtout pour les vieux Français lambda qui la subissent depuis +66 ans dont beaucoup maintenant s’en fiche n’allant même plus voter et d’autres qui avalent tout sans amour propre ou ayant perdu leur bon sens (qu’on disait Français ) mais ça aussi c’est du passé !?

Cela bien sur font le bonheur de tous les médias de tous bords car chacun y fait son beurre ils seront jamais au chômage (comme certains de ces pauvres députés qui attendent en espérant en léchant les pieds de ce petit MACRON inutile qui ne peut ressusciter sa « macronie moribonde ») mais il suffit de changer les noms de ces partis c’est encore un spécialité typiquement franchouillarde de cette république usée et des Français car on est encore dans un des pays les plus libres et démocratiques du monde comme les USA avec leur système electoral bizarre depuis 250 ans mais eux ils ont la puissance économique et industrielle avec 248 millions d’électeurs et une administration qui elle gouverne avec des sénateurs qui elle et eux ont du pouvoir presque plus que leurs présidents élus grâce aux voix de trois leurs états dit représentatifs de la population US ce qui n’est pas transposable à notre France de frondeurs patentés incurables !?

En France faut attendre 2027 et peut être après ?!

Pauvre pays qu'est devenu la France dite des lumières qui se sont éteintes à cause des Français eux-mêmes qui ont oubliés leurs racines et cultures ancestrales qui l'on enseigne plus et si mal à nos jeunes quelle honte !?

Jdeclef 23/08/2024 14h50

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