Société
Une école
vandalisée à Nice, une autre incendiée à Marseille
FAITS DIVERS Trois
adolescents âgés de 12 à 14 ans ont été interpellés à Nice...
Des actes de
vandalisme dans deux écoles
de Paca. Des établissements scolaires ont été pris pour cible lors
d'événements distincts durant le week-end à Marseille et Nice, l'un visé par un
incendie volontaire et l'autre vandalisé par des adolescents.A Marseille, une école élémentaire des quartiers nord a été touchée dans la nuit de samedi à dimanche par un incendie d'origine criminelle, selon la police. «Quelqu'un a mis le feu, des traces d'effraction ont été retrouvées», selon une source policière. Le ou les auteurs de l'incendie «ont rassemblé divers objets et y ont mis le feu», à l'intérieur des bâtiments de l'école des Aygalades-Oasis, dans le XVe arrondissement de Marseille. Aucun vol n'a été constaté, selon les premiers éléments de l'enquête.
«Faire payer la facture» aux
parents
«Après la Castellane
en décembre 2014, c'est la 2e école incendiée en moins d'un an dans les
quartiers Nord de Marseille, un acte de vandalisme qui vient à nouveau défier
la République et une violence qui frappe l'innocence de nos enfants», a déclaré
la sénatrice-maire socialiste d'arrondissement socialiste, Samia Ghali,
demandant des caméras de surveillance aux abords des écoles en Zone de sécurité
prioritaire (ZSP).
La ministre de l'Education, Najat Vallaud-Belkacem, a dénoncé «un
acte intolérable qui devra être puni», dans un tweet.
D'autre part, à Nice, trois adolescents
âgés de 12 à 14 ans ont été interpellés après avoir saccagé une école primaire,
a annoncé la municipalité. Les faits se sont produits en début d'après-midi
dans une école primaire située à l'ouest de la ville, dans le quartier résidentiel de Fabron. Six classes ont été
dégradées et des objets jetés à terre, selon la ville.
Le député-maire Les Républicains de Nice
et tête de la liste de droite aux régionales Christian
Estrosi a condamné dans un communiqué ces «actes inqualifiables» commis par
des «voyous» contre «un sanctuaire de la République». L'élu a annoncé son
intention de convoquer les parents devant le conseil des droits et devoirs des
familles, un dispositif «d'aide à la parentalité» prévu par la législation dans
les grandes villes, «afin de leur faire payer la facture de la remise en état
de l'école».
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S'offusquer,
s'indigner, dénoncer de tels actes de la part de nos gouvernants ministres et
autres élus au plus haut rang de l'état ne suffit pas !
Des gamins de 12/14
ans qui dégradent ou brulent leurs écoles, c'est comme toute cette violence
gratuite chez une certaine jeunesse sans garde-fou livrée à elle-même !
Il faut sévir avec
une grande rigueur sur ces jeunes, mais aussi sur leurs parents qui ne s'en
occupent pas et surtout aussi adapter un code pénal plus sévère pour les
mineurs, qui se croient tout permis car à l'abri de toutes sanctions sévères !
Parallèlement à cela,
ces phénomènes récurrents sont le fait d'un laisser aller au fil des décennies
en terme de manque de moralité, non-respect de l'ordre en général, manque
d'éducation et responsabilité parentale défaillante et le sentiment que l'on
donne à ces jeunes l'impunité parce qu'ils sont mineurs et qu'ils ne risquent
rien !
Et bien sûr, il faut
une justice plus efficace que celle appliquée (quand elle l'est,) ce qui est loin d’être le cas avec une ministre
garde des sceaux médiocre, qui croit que "tout
le monde est beau et gentil et que l'on vit dans un monde de bisousnours
"...
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