dimanche 17 janvier 2016

On n'est pas couché est une émission de débat « pseudo politique » ou autres diffusée sur Fr 2, chaque samedi soir présentée par Laurent Ruquier qui est en réalité le bénéficiaire de ce mélange médiatique de clowns ou politiciens qui se prêtent à ce jeu de dupe pour amuser la galerie du bon peuple lambda gogo!

Manuel Valls dans l'émission «On n'est pas couché», le 16 janvier 2016
Télévision

VIDEO. Valls à «On n’est pas couché»: Le coup de gueule de Jérémy Ferrari, Taubira et la «droitisation»


POLITIQUE Le Premier ministre était l'invité de Laurent Ruquier samedi soir...
Sa prestation était pour le moins attendue. Abondamment commenté et critiqué avant même l'enregistrement de l'émission, le passage de Manuel Valls dans On n'est pas couché, sur France 2 a été diffusé samedi soir. Pendant près d'une heure et demie, le Premier ministre y a notamment justifié son choix de participer à l'émission, avant d'être interpellé sur sa «droitisation», le maintien de Christiane Taubira au gouvernement ou la politique africaine de la France. Extraits.
  • « En France, on aime enfermer les gens dans une case »
« En France, on aime enfermer les gens dans une case », attaque le Premier ministre pour justifier son choix de participer à On n'est pas couché. « "Quoi, le Premier ministre venant dans une émission ?" Si je me mettais debout sur la chaise, que je commençais à chanter, à raconter n’importe quoi, je ne serais pas dans mon rôle. Là, nous avons parlé de choses sérieuses et nous touchons les téléspectateurs qui ne regardent pas d’autres émissions politiques. »
  • « Je ne pense pas qu'être de droite soit une insulte »
Au sujet de la déchéance de nationalité française pour les binationaux condamnés pour des crimes terroristes, l'écrivain Jean d’Ormesson lance à Manuel Valls : « Vous avez un grand talent, et je vous assure, je me sens très proche de vous. Mais je me demande s’il n’y a pas une ombre d’enfumage. Je me demande si vous ne voulez pas changer de majorité. Vous voulez garder Madame Taubira parce que vous ne voulez pas vous couper de la gauche, mais vous aimeriez bien vous rapprocher de la droite. Toute la France s’est droitisée. Le Parti socialiste s’est droitisé, Hollande s’est droitisé, et vous, je ne veux pas vous insulter mais vous vous êtes droitisé. »
« Je ne pense pas que la France se soit droitisée, réplique le Premier ministre. Il y a une demande d’autorité, je considère que c’est une valeur, que la sécurité est une valeur, l’une des premières des libertés. Je suis de gauche, je suis républicain, et par ailleurs, je ne pense pas qu’être de droite c’est une insulte. Je suis contre toutes les formes de sectarisme. » Avant de conclure: «Qu’il y ait une demande d’autorité et de réponse ferme face à ce terrorisme, ce n’est pas un problème de droitisation.»
  • Le coup de gueule de Jérémy Ferrari
Le «clash», ou son absence, avait été annoncé dès jeudi soir. L'humoriste Jérémy Ferrari, également invité de l'émission, a pris à parti le Premier ministre sur la politique française en Afrique, et notamment sur la présence du président gabonais Ali Bongo à la marche républicaine du 11 janvier 2015 à Paris, qui rendait hommage aux victimes des attentats survenus quelques jours plus tot.
« J’ai l’impression de voir Daniel Balavoine face à François Mitterrand », lance, hilare, Laurent Ruquier après la charge passionnée de l'humoriste, qui interpelle aussi Manuel Valls sur les actions militaires menées par la France: « Vous avez dit qu’on était en guerre, dit Jérémy Ferrari. Non, non, non, vous, votre gouvernement est en guerre, nous on n’est pas en guerre. Nous, on se fait tirer dessus quand on va voir des concerts. »
« Dans cette manifestation [du 11 janvier], il y avait des chefs d’Etat et de gouvernement, lui répond Manuel Valls. Vous retenez Ali Bongo, moi je retiens le président de l’Autorité palestinienne, le Premier ministre israélien, et surtout un autre président élu lui, Ibrahim Boubakar Keita, le président du Mali. Des soldats français se sont fait trouer pour aller soutenir un pays où il n’y a pas un seul intérêt économique. Pas un seul. Vous connaissez le Mali ? Pour libérer ce pays qui allait être sous l’emprise des terroristes. »
  • « Pourquoi elle vous fait si peur Christiane Taubira ? »
Egalement attendue, la question sur la voix dissonnante de Christiane Taubira au sujet de la déchéance de nationalité et sur son maintien au gouvernement a été posée par Léa Salamé : « Pourquoi elle vous fait si peur, Christiane Taubira ? », lance la journaliste.
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Ce n’est pas  la place d’un 1er ministre de la France de venir faire le show médiatique dans ce type d’émission pour ce faire voir et paraitre, c’est très à la mode, mais montre bien sûr qu’il est un carriériste comme bien de politiciens avant lui !

Donc,il ne déroge pas à la règle, « il roule pour lui », mais dans l’avenir pour l’après 2017, car il veut représenter cette classe de politiciens élus et surtout plus jeunes dynamiques rénovateurs et pugnaces, mais en fait de par les institutions de cette V eme république obsolète et vieillissante, il a peu de pouvoir, car c’est le président qui dirige, et qui peut sans problème s’en séparer !

Quant au cas TAUBIRA, lui M.VALLS n’a pas peur d’elle, il a déjà essayé de s’en séparer, mais il est obligé de la subir, mais ne peut la renvoyer, car simplement F.HOLLANDE si oppose et veut la garder par considération purement politicienne étant radicale de gauche et même si elle est une frondeuse, préfère la voir au sein du gouvernement qu’en dehors, en opposition !

Cela montre le système politique français actuel de basse politique politicienne ou droite/gauche ne veut plus dire grand chose pseudo monarchique qui érode sans cesse notre démocratie républicaine qui fait la part belle aux politiciens professionnels au détriment des français dont on ne s’occupe plus depuis des décennies !


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