Attaque à «Charlie Hebdo»: Les deux suspects de l'attentat localisés dans l'Aisne... Le journal satirique sortira la semaine prochaine...
Laurent Wauquiez: «La France est en guerre»
Surveillance renforcée à toutes les portes de Paris, confirment des sources préfectorales
Appel général à la vigilance des forces de l'ordre en Ile-de-France
Une minute de silence dans toute la France en hommage aux victimes
Vidéo: Des images de Chérif Kouachi, l'un des suspects, tournées en 2004
Charlie Hebdo va «sortir la semaine prochaine», déclare Patrick Pelloux, chroniqueur du journal
Les deux suspects seraient armés de kalachnikov et de lance-roquettes
Les imams de toutes les mosquées de France appelés à condamner la violence lors de la prière du vendredi
Les deux suspects de l'attentat de Charlie Hebdo ont braqué une station essence dans l'Aisne, selon des témoins
La
manifestation de rassemblement aura lieu dimanche à 15h
La policière
municipale est décédée
L'AFP vient de confirmer que la policière municipale visée par des tirs de kalachnikov, ce jeudi matin, à Montrouge est décédée.
L'AFP vient de confirmer que la policière municipale visée par des tirs de kalachnikov, ce jeudi matin, à Montrouge est décédée.
: Aucun
lien entre Châtillon et Charlie
L'attaque perpétrée ce jeudi matin à Châtillon n'aurait aucun lien avec l'attaque à Charlie-Hebdo, selon la police qui a annoncé cette information
L'attaque perpétrée ce jeudi matin à Châtillon n'aurait aucun lien avec l'attaque à Charlie-Hebdo, selon la police qui a annoncé cette information
Le jeune de 18
ans qui s'est rendu à la police a été mis «hors de cause»
Contacté par 20 Minutes, le ministère de l'Intérieur assure que le jeune de 18 ans qui s'est rendu à la police au commissariat de Charleville-Mézières, mercredi soir, a été mis «hors de cause». De nombreux de ses camarades avaient assuré qu'il ne pouvait pas avoir participé à la fusillade à Charlie car il était en cours avec eux à ce moment-là.
Contacté par 20 Minutes, le ministère de l'Intérieur assure que le jeune de 18 ans qui s'est rendu à la police au commissariat de Charleville-Mézières, mercredi soir, a été mis «hors de cause». De nombreux de ses camarades avaient assuré qu'il ne pouvait pas avoir participé à la fusillade à Charlie car il était en cours avec eux à ce moment-là.
Le tireur de
Chatillon est en fuite
Nicolas Sarkozy
arrive à l'Elysée
«Ils n'auront
pas le dernier mot», selon Taubira:
(Elle ne manque
pas d'air quand on voit ce que donnent ces lois pénales non adaptées en matières
de terrorisme entre autres)
Invitée de France Info, ce jeudi matin, Christiane Taubira, la ministre de la Justice a tenu à insister : «Je voudrais dire et il faut qu'ils le sachent. Ils n'auront pas le dernier mot. Ils n'auront pas le dernier mot.»
Invitée de France Info, ce jeudi matin, Christiane Taubira, la ministre de la Justice a tenu à insister : «Je voudrais dire et il faut qu'ils le sachent. Ils n'auront pas le dernier mot. Ils n'auront pas le dernier mot.»
Marine Le Pen
veut un référendum sur la peine de mort
Les tueurs ne sont pas arrêtés
«Il faut être prudent, rappelle le Premier ministre. Laissons la police faire son travail. Toute information divulguée aujourd'hui peut nuire au travail de l'enquête.» Manuel Valls reconnaît qu'on ne sait pas si les deux hommes ont séjourné et se sont entraînés en Syrie.
«Il faut être prudent, rappelle le Premier ministre. Laissons la police faire son travail. Toute information divulguée aujourd'hui peut nuire au travail de l'enquête.» Manuel Valls reconnaît qu'on ne sait pas si les deux hommes ont séjourné et se sont entraînés en Syrie.
Manuel Valls passe sur France Inter
«La France est touchée en son cœur comme nous l'avons dit, attaque le Premier ministre. En même temps, je suis touché par la formidable réaction des Français. Il faut que cela dure. Nous avons besoin de nous rassembler, de dire ''non''».
«La France est touchée en son cœur comme nous l'avons dit, attaque le Premier ministre. En même temps, je suis touché par la formidable réaction des Français. Il faut que cela dure. Nous avons besoin de nous rassembler, de dire ''non''».
«Des hommes sont recherchés, deux sans doute», déclare Valls
«Je vois qu'il y a beaucoup d'informations sur les médias, sur internet, il ne faut pas que cela nuise au travail des enquêteurs», a relevé le chef de gouvernement et ex-ministre de l'Intérieur. «J'en appelle à la responsabilité. C'est aux enquêteurs, à la police, à la gendarmerie, la justice, de mener» l'enquête «pour appréhender ceux qui ont commis cet attentat abominable».
«Je vois qu'il y a beaucoup d'informations sur les médias, sur internet, il ne faut pas que cela nuise au travail des enquêteurs», a relevé le chef de gouvernement et ex-ministre de l'Intérieur. «J'en appelle à la responsabilité. C'est aux enquêteurs, à la police, à la gendarmerie, la justice, de mener» l'enquête «pour appréhender ceux qui ont commis cet attentat abominable».
Les auteurs de l'attentat «étaient sans doute suivis», déclare Manuel
Valls
«Les service de police et de justice ont démantelé de nombreux groupes, contrariés des projets d'attentat. C'est bien la preuve que nous agissons. Ce sont des centaines d'individus qui sont suivis, des dizaines de personnes qui ont été interpellées, des dizaines de personnes qui ont été incarcérées. Cela montre la difficulté devant laquelle sont placés nos services: le nombre d'individus qui représentent un danger. Ces individus étaient sans doute suivis mais il n'y a pas de risque zéro. C'est terrible à dire parce qu'il y a des victimes, un attentat terrible et nous sommes tous touchés, bouleversés», a déclaré le Premier ministre sur RTL.
«Les service de police et de justice ont démantelé de nombreux groupes, contrariés des projets d'attentat. C'est bien la preuve que nous agissons. Ce sont des centaines d'individus qui sont suivis, des dizaines de personnes qui ont été interpellées, des dizaines de personnes qui ont été incarcérées. Cela montre la difficulté devant laquelle sont placés nos services: le nombre d'individus qui représentent un danger. Ces individus étaient sans doute suivis mais il n'y a pas de risque zéro. C'est terrible à dire parce qu'il y a des victimes, un attentat terrible et nous sommes tous touchés, bouleversés», a déclaré le Premier ministre sur RTL.
Valls: «Non la France ça n'est pas la soumission, la France ce n'est
pas Michel Houellebecq»
Les
présentateurs de talk-shows américains rendent hommage aux victimes
Un millier de
personnes rassemblées à Papeete
La Polynésie a rendu hommage aux victimes de l'attentat
La Polynésie a rendu hommage aux victimes de l'attentat
Jour de deuil
national en France
Le point au réveilAlors que la presse française et internationale est sous le choc après l'attentat contre Charlie Hebdo, qui a fait 12 morts, l'enquête a avancé pendant la nuit. La police a lancé un avis de recherche contre deux frères, Saïd et Chérif Kouachi, 32 et 34 ans, soupçonnés d'avoir participé à l'attaque terroriste de mercredi. L’aîné est bien connu des autorités: en 2008, il avait été condamné à à trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis, pour sa participation à la filière irakienne du 19e arrondissement, une cellule de recrutement et d'envoi de djihadistes en Irak. Une intervention du RAID, à Reims, n'a pas permis d'arrêter les suspects, qui sont toujours en fuite. Soupçonné d'avoir aidé les frères Kouachi, Hamyd Mourad, 18 ans, s'est rendu à Charleville-Mézières dans la nuit. Ses camarades affirment qu'il était en classe mercredi matin.
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