POUR QUE F.CASTRO EST CONFIANCE DANS LES AMÉRICAINS IL EN FAUDRAIT BIEN PLUS!

L'ancien président cubain Fidel Castro (g), assis au côté de son frère Raoul, le 24 février 2013 à Cuba

Monde

DIPLOMATIE L'ex-président cubain s'exprime sur la détente des relations avec Washington...

 Fidel Castro ne «fait pas confiance» aux États-Unis

L'ex-président cubain Fidel Castro, qui n'est pas apparu en public depuis plus d'un an, a écrit lundi dans une lettre qu'il ne faisait pas confiance aux Etats-Unis mais qu'il ne rejetait pas pour autant le rapprochement avec Washington.
«Je n'ai pas confiance dans la politique des Etats-Unis, et je n'ai échangé aucun mot avec eux, mais cela ne signifie à aucun moment un rejet d'une solution pacifique aux conflits», a déclaré l'ex-chef d'Etat de 88 ans, retiré du pouvoir depuis 2006, dans un courrier adressé à une fédération étudiante lu sur l'antenne de la télévision d'Etat.
L'ex-président cubain Fidel Castro, qui n'est pas apparu en public depuis plus d'un an, a écrit lundi dans une lettre qu'il ne faisait pas confiance aux Etats-Unis mais qu'il ne rejetait pas pour autant le rapprochement avec Washington.
«Je n'ai pas confiance dans la politique des Etats-Unis, et je n'ai échangé aucun mot avec eux, mais cela ne signifie à aucun moment un rejet d'une solution pacifique aux conflits», a déclaré l'ex-chef d'Etat de 88 ans, retiré du pouvoir depuis 2006, dans un courrier adressé à une fédération étudiante lu sur l'antenne de la télévision d'Etat.

L'embargo pas encore levé

Le 17 décembre dernier, les Etats-Unis et Cuba ont annoncé le rétablissement de leurs relations diplomatiques, après plus d'un demi-siècle de tensions glaciales nées pendant la Guerre Froide. Le Pape, artisan majeur des négociations, et la communauté internationale avaient salué un rapprochement «historique».

Dans son discours sur l'état de l'Union, Barack Obama a appelé le Congrès américain à voter une levée de l'embargo. Mais avec un contrôle des républicains sur le Sénat et la Chambre, le combat s'annonce féroce.
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Le contraire de la part de Fidel Castro aurait été étonnant, bien qu'il ne rejette pas en bloc les améliorations des relations proposées par les USA...

Ceci étant le dernier vieux leader communiste se méfie et on peut le comprendre, la parole U.S. est souvent à double face et puis il sait bien que c'est B.OBAMA qui a tendu la main et qu'il y aura un nouveau président après lui qui n'aura pas forcement les mêmes opinions...

La seule chose qui peut être pourrait changer le sort des cubains et de Cuba, c'est si le pouvoir après Castro était vraiment différent, pour l'instant il est encore là, avec son frère!

DECLEF | 27.01.2015