lundi 17 février 2025

Affaire Bétharram : l’instrumentalisation de LFI, les faux pas de Bayrou non pas un faux mais une vraie gamelle…. LFI comme son patron Mélenchon est un parti ramassis de politiciens infréquentables mal élevés déjantés c’est la lie des partis politiques Français çà c’est un fait établi mais comme on accumule toujours les mêmes erreurs chez les Français lambda

 

Sophie Coignard
Chroniqueuse politique

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Tout semble bon, chez LFI, pour faire tomber un Premier ministre qui, il est vrai, se défend bien maladroitement.

La France insoumise pourrait publier un manuel d'instrumentalisation pour les nuls, tant sont grosses les ficelles employées par quelques-uns de ses représentants. Les disciples de Jean-Luc Mélenchon n'ont pas pu faire sortir François Bayrou de Matignon par la porte, celle de la motion de censure. Ils tentent donc de le faire tomber par la fenêtre, celle de la sinistre affaire de Bétharram, cet établissement privé situé près de Pau où les sévices physiques et sexuels ont été monnaie courante pendant des années, voire des décennies.

Le maire de Pau, longtemps président du conseil général, qui avait scolarisé certains de ses enfants à Bétharram, et où son épouse a enseigné un temps le catéchisme, pouvait-il ignorer les horreurs qui se déroulaient dans les dortoirs, dans les salles d'étude ou dans le bureau du directeur ?

Affaire Notre-Dame de Bétharram : « La nuit, il venait, soutane ouverte, dans les dortoirs » Il est évident que si celui-ci n'était pas Premier ministre, cette question – légitime – préoccuperait moins les Insoumis. Il y a donc quelque chose de déplaisant dans leur acharnement prétendument thérapeutique (il s'agit officiellement de défendre les victimes, de faire surgir la vérité et de guérir le pays d'une forme d'omerta). Mais il faut reconnaître que le patient Bayrou n'a pas mis toutes les chances de son côté pour résister à ce rouleau compresseur.

Les contradictions de Bayrou

Dire que sa communication est maladroite relève de l'euphémisme. Mardi 11 février, lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, il répond ainsi au député LFI Paul Vannier : « J'affirme que je n'ai évidemment jamais, au grand jamais, été informé de quoi que ce soit en matière de violences, a fortiori de violences sexuelles ».

Samedi 15 février, à l'issue d'une rencontre avec les victimes, dans son fief de Pau, il dit pourtant : « Quand j'ai appris en 1996 alors que j'étais ministre de l'Éducation nationale la première plainte pour une claque, j'ai fait organiser une inspection générale de l'établissement ».

Affaire Bétharram : François Bayrou s'engage à « aller au bout du travail » Même avec la plus grande bienveillance, il est difficile de ne pas observer une contradiction entre ces deux déclarations.

L'obstination que met LFI à transformer cette controverse en affaire d'État se heurte toutefois à deux obstacles. D'une part, parmi les multiples témoignages recueillis auprès de l'ancien juge d'instruction comme du gendarme chargé de l'enquête, rien n'indique que François Bayrou ait couvert les turpitudes de Bétharram. D'autre part, le porte-parole des victimes, Alain Esquerre, qui a qualifié de « jour historique » celui de sa rencontre avec le chef du gouvernement, samedi dernier, s'est refusé à toute mise en cause personnelle du Premier ministre.

La promesse déroutante de François Bayrou

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Mais c'est sur un autre terrain que ce dernier a fait une promesse déroutante : « Le collectif (des victimes) a dit “on a besoin de moyens supplémentaires pour que les plaintes soient examinées”. Je vais demander au ministère de la Justice de détacher des magistrats pour qu'on puisse aller au bout. »

 « Tout le monde dit que c'est l'enfer, pas pour moi » : François Bayrou à l'épreuve de MatignonQuelle étrange démarche ! Il serait donc nécessaire qu'un début de scandale éclate pour que la justice soit correctement administrée à l'échelon local. Il suffirait qu'un maire soit en même temps à la tête du gouvernement pour améliorer la situation. On aimerait également savoir d'où vont être détachés ces magistrats. Pour tenter l'apaisement dans un dossier qui le fragilise politiquement, François Bayrou prend un risque. Celui de donner l'impression qu'il entend disposer à sa convenance des moyens de l'État.

 

LFI comme son patron Mélenchon est un parti ramassis de politiciens infréquentables mal élevés déjantés c’est la lie des partis politiques Français çà c’est un fait établi mais comme on accumule toujours les mêmes erreurs chez les Français lambda

On n’est plus à ça près et depuis que la Vème république existe depuis + de 60 ans on change les noms des partis politiques pour faire soi-disant du neuf mais les Français lambda ignares en fait reprennent les mêmes chez nos dirigeants et élus !?

Pour cette Affaire Notre-Dame dite de Bétharram Mr le 1er ministre est indirectement impliqué tout au moins moralement dans la vie de cet établissement privé situé près de Pau où les sévices physiques et sexuels ont été monnaie courante pendant des années, voire des décennies.

Car son épouse y enseignait et il y a mis ses enfants en éducation scolaire de cet établissement ce qui est son droit mais quand Mr BAYROU devenu 1er ministre  (avec semble-t-il sa bigoterie évidente de ce Mr « prêchi prêcha » connu) donneur de leçon orienté bienpensant et religieux qu’il m’excuse surtout quand il dit ne pas avoir connaissances de ses actes délictueux repréhensibles et pas les premiers alors que ce famille fréquente et utilise depuis des années cet établissement à PAU  catholique orienté de style école libre !?

Je le répète car c’est son droit mais il se défend mal quand on connait son bagout habituel de discoureur politique c’est illogique car ne rien dire peut dissimuler des faits connus pour taire la simple vérité ça parait gros !?

Tout le monde a le droit de croire ou pratiquer les religions qu’il veut en France mais quand on est 1er ministre donneur de leçons aux Français on ne cache rien surtout quand il y a des incidents connus de cet ordre car quand on ment pour cela ou dissimule des fait connus on peut mentir pour tout pour moi ce n’est plus un 1er ministre pas fiable de toute façon la gouvernance de notre pays et sa « macronnie » et un échec lamentable confirmé !?

Car quand ce n’est pas MACRON c’est BAYROU le deux font la paire dans notre pauvre France bravo pour les Français qui les élisent et réélisent !?

Jdeclef 17/02/2025 12h28

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