vendredi 14 février 2025

Là on voit ce que peut être un écolo ce maire « illuminé » qui ne protège absolument pas sa ville devenue une zone de délinquances hors normes devenues hyper dangereuses ville qui avait organisé les J.O. d’hiver de 1968 oublié hélas !? Violences à Grenoble : les errements effrayants d’Éric Piolle c’est peu dire !?

 

Sophie Coignard
Chroniqueuse politique

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Le maire écologiste tenait des propos désinvoltes sur la sécurité au moment même où survenait une attaque à la grenade dans sa ville. BRAVO !?

Publié le 14/02/2025 à 06h46

Quel mauvais concours de circonstances pour Éric Piolle, le maire écologiste de Grenoble qui s'était rendu célèbre, en 2022, avec sa promotion du burkini dans les piscines municipales ! Alors qu'une attaque au fusil d'assaut et à la grenade dans un bar de sa ville faisait douze blessés, dont six très graves, mercredi soir, étaient imprimées dans Libération une série de déclarations désinvoltes dans lesquelles il minimise la violence et l'insécurité qui ne cessent de gangrener sa ville.

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La droite l'accuse depuis longtemps de laxisme ? « À vrai dire, je m'en fous un peu, rétorque-t-il. Quand il ne reste que des attaques sur la sécurité et la propreté, ça veut dire qu'on a gagné quelques batailles par ailleurs car on peut toujours dire qu'une ville n'est pas assez propre ou pas assez sûre. » Pas assez sûre, Grenoble ? Ce sont ses propres administrés qui le déplorent en permanence. Toutefois, Éric Piolle semble priser les vérités alternatives.

Explosion d'une grenade à Grenoble : le point sur l'enquêteEn septembre dernier, un agent d'entretien municipal, Lilian Dejean, succombe aux blessures par balles d'un chauffard dont il tentait d'empêcher la fuite après un accident. Plutôt que de prendre acte de la triste réalité, celle d'une ville victime d'une « guerre des gangs », selon les propos du procureur de la République, il accuse la « fachosphère » de mener campagne contre lui.

Et, dans Libération, mercredi, il assure que Grenoble est une ville parmi d'autres et que les commentateurs exagèrent : « On gigote pour donner l'impression qu'on ne lâche pas l'affaire, mais il faut résister au tourbillon médiatique. Il y a des fusillades partout. » Une étonnante tentative de banalisation que l'on peut traduire ainsi : s'il y a des agressions meurtrières ailleurs aussi, ce n'est pas la peine d'en faire tout un plat…

Un laborieux changement de discours

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Mais la réalité le rattrape violemment. Jeudi, quand il se rend à l'hôpital où sont soignés les blessés, dont six se trouvent en urgence absolue, il change de cap par rapport à ses propos insensés de la veille : il condamne un « acte criminel d'une violence inouïe » et juge « préoccupante » la « montée de la violence de gens plus jeunes, plus armés, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit ».

Pour autant, contrairement à d'autres maires écologistes, tel Pierre Hurmic à Bordeaux, le réel semble n'avoir aucune prise sur lui, qui brocarde les caméras de surveillance – « Nous ne pensons pas que mettre une caméra sur chaque citoyen fera avancer les choses », a-t-il déclaré par le passé – et se refuse à armer la police municipale au prétexte qu'il ne veut pas prendre un tel risque. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, se rend aujourd'hui à Grenoble.
Narcotrafic : Darmanin invite les maires à vider leur sac Éric Piolle y voit « l'occasion d'avoir une discussion franche et constructive sur la lutte contre le narcotrafic ». Avec toujours la même revendication : une augmentation des effectifs de police. Donc la violence, pour ce maire, n'est pas un problème. C'est son théorème de base. Et, quand l'évidence l'oblige à réviser son jugement, il entonne l'éternel refrain du « manque de moyens ». Ainsi, c'est toujours la faute des autres.

Non à ce niveau-là il n’y a pas de concourt de circonstance mais il doit y avoir un clientélisme car c’est bien les habitants qui ont élu et réélu ce maire illuminé à croire que c’est la population qui a atteint ce niveau de délinquances violentes ?!

Car cette grande ville semble gangrenée par ses violences et Trafics divers dont le maire semble se désintéresser et comme c’est les habitants qui l’on mis en place il faut qu’ils le démissionnent « ILICO PRESTO » et fasse un grand ménage pour éradiquer cette violence ou chacun de ses voyous hyper dangereux veulent faire leurs lois pires que dans MARSEILLE pourtant avec ces quartiers chauds de certains de ses arrondissements !?

Donc il est impératif que l’état central encore « macronien » inutile hélas reprenne la main puisqu’au pouvoir avec un 1er ministre qui soit moins mou qu’il n’est et nommer un préfet dédié pour cette ville avec des pouvoirs de sanctions et de justice élargis puisque les habitants eux-mêmes n’arrivent pas à se prendre en charge en matière de sécurité et d’ordre drastique de la gestion de leur ville ?!

Car GRENOBLE est devenue l’exemple de notre pays qui se dégrade quotidiennement chaque jour dans notre France et dans nos métropoles même en province car ce n’est pas qu’en IDF et les départements de la couronne de PARIS !?

Car il faut le dire qu’on n’est plus en sécurité dans notre pays alors merci à ceux qui nous gouvernent et nous protègent si mal comme notre président si donneur de leçons bienpensant que personne n’écoute !?

Jdeclef 14/02/2025 14h41

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