mercredi 19 février 2025

En FRANCE on fait partie des pires citoyens libres des pays démocratiques avec le président MACRON grand bavard bienpensant donneur de leçons hypocrites mais inutile et à sa décharge car ses prédécesseurs (car je l’ai est tous connus car ceux de ma génération) n’ont rien fait de mieux alors j’ai honte pour l’avenir de la France et même de l’EUROPE OCCIDENTALE inexistante pourtant puissante ou chacun tire la couverture à soi très grosse erreur ?!

 

Macron va tenir une nouvelle réunion, élargie, sur l’Ukraine ce mercredi de bavard avec notre président inutile qui croit que l’on l’écoute qu’il redescende sur terre SVP !?

Le président américain, Donald Trump, et son homologue russe, Vladimir Poutine, ont évoqué une possible rencontre avant la fin du mois de février.

Par T.G. avec Reuters

Publié le 19/02/2025 à 06h41

Des représentants européens avaient fait entendre leur mécontentement quant à la réunion de lundi. © Ludovic Marin/Reuters

L'Europe veut imposer sa présence dans la partie. La France organise, ce mercredi 19 février, une deuxième réunion sur l'Ukraine, à laquelle participeront des pays européens qui n'étaient pas présents à la réunion d'urgence, tenue lundi 17 février à Paris, ainsi que le Canada, allié de l'Otan, a appris Reuters, mardi 18 février, de sources diplomatiques.

Des représentants européens avaient fait savoir que plusieurs pays étaient mécontents que la réunion organisée lundi rassemble seulement un groupe restreint de dirigeants et ne soit pas un sommet de l'Union européenne. Norvège, République tchèque, Grèce, Finlande, Roumanie, Suède, Belgique, pays Baltes et Canada feront partie des invités à la réunion de mercredi, ont déclaré deux sources. L'Élysée a confirmé que la réunion aurait lieu à l'occasion de la visite du président roumain par intérim Ilie Bolojan.

 L'Union européenne va mourir de son snobismeCette réunion se déroulera en format hybride, avec certains participants via visioconférence, ont précisé trois diplomates. Les dirigeants réunis lundi – parmi lesquels le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer – ont appelé à augmenter les dépenses de défense de l'Europe, sans toutefois réussir à s'accorder sur l'hypothèse d'un envoi de troupes de maintien de la paix en Ukraine.

Aucune discussion ne peut « préempter les choix de l'Ukraine », pour Macron

Moscou avait affiché mardi sa fermeté quant à son exigence que l'Otan revienne sur sa promesse d'intégrer l'Ukraine. Kiev considère qu'adhérer à l'Alliance est la seule manière de garantir sa souveraineté. Les Européens s'inquiètent que Washington et Moscou scellent un accord aux dépens de Kiev et du continent, d'autant plus après ce qui est perçu comme des concessions considérables faites d'entrée de jeu par l'administration américaine. Celle-ci s'est montrée sceptique sur l'objectif de l'Ukraine de rejoindre l'Otan et sur l'hypothèse que les territoires conquis par la Russie soient rendus à Kiev.

 Faut-il utiliser les 200 milliards d'euros gelés de Poutine ? « Il est important qu'aucune discussion ne puisse préempter les choix de l'Ukraine, pleinement souveraine, qu'il s'agisse de l'Union européenne ou de l'Otan, et que, également, les garanties de sécurité à apporter devraient impliquer l'Alliance transatlantique », a déclaré Emmanuel Macron à la presse quotidienne régionale. Le président français a par ailleurs dit être prêt à répondre à Vladimir Poutine si ce dernier le contactait et si cela était opportun pour les négociations. « Évidemment, je lui reparlerai si c'est utile à la situation », a-t-il déclaré en référence à son homologue russe.

Emmanuel Macron s'était rendu à Moscou en février 2022 pour demander des « clarifications » à Vladimir Poutine alors que la Russie avait massé des troupes près de la frontière avec l'Ukraine. Le président russe a ordonné quelques jours plus tard le lancement de ce que le Kremlin a présenté comme une « opération militaire spéciale » en Ukraine, dénoncée comme une invasion par Kiev et ses alliés.

Une rencontre Trump-Poutine avant la fin février ?

De l'autre côté de l'Atlantique, Donald Trump a déclaré, mardi 18 février, qu'il rencontrerait probablement son homologue russe Vladimir Poutine avant la fin du mois de février, alors que ce dernier se dit « prêt » à négocier avec Zelensky et que les deux dirigeants ont convenu, la semaine dernière, d'ouvrir des négociations destinées à mettre fin au conflit. Le Kremlin, ce mercredi 19 février, a confirmé que Trump et Poutine « pourraient se rencontrer » avant la fin du mois de février.

Le président américain s'est exprimé depuis sa résidence floridienne de Mar-a-Lago, après la tenue plus tôt dans la journée d'une réunion en Arabie saoudite entre des représentants de haut rang américains et russes. Trump s'est également dit « totalement favorable » à l'envoi de soldats européens afin d'apporter des garanties sécuritaires en cas d'accord de paix. Dmitri Peskov, le porte-parole russe, a déclaré que les négociations constituaient une « étape importante » vers un règlement de la guerre en Ukraine. Il a toutefois ajouté que les deux superpuissances mondiales devraient d'abord réanimer leurs relations avant de pouvoir les rétablir.

« Afin de mettre en œuvre, au sens figuré, des mesures de réanimation, les diplomates vont désormais commencer à travailler à la lumière de l'accord conclu hier [par le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov] avec [le secrétaire d'État américain Marco Rubio] », a déclaré Peskov, cité par les médias d'État. « Mais c'est la première étape… Naturellement, il est impossible de tout régler en un jour ou une semaine. Il y a encore un long chemin à parcourir », a-t-il ajouté.

En Ukraine, la guerre se poursuit

En parallèle de toutes ces discussions et négociations, le conflit se poursuit sur le sol ukrainien. L'armée ukrainienne a annoncé mercredi que la Russie avait lancé 167 drones et deux missiles lors d'attaques nocturnes. L'armée de l'air a abattu 106 drones et 56 autres n'ont pas atteint leurs cibles, probablement en raison de contre-mesures électroniques, a-t-elle indiqué sans préciser ce qu'il est advenu des cinq drones restants.

Une attaque de drone russe contre la région d'Odessa, dans le sud de l'Ukraine, a blessé quatre personnes, dont un enfant, et provoqué des coupures de courant généralisées, ont annoncé mercredi les autorités locales. L'attaque « massive » a endommagé des infrastructures civiles, notamment un jardin d'enfants, une clinique pour enfants et des fenêtres d'immeubles de grande hauteur, a déclaré le gouverneur Oleh Kiper.

La Russie, une « menace existentielle » pour Macron

En marge de la réunion de lundi, Emmanuel Macron a eu des entretiens téléphoniques distincts avec son homologue américain Donald Trump et l'Ukrainien Volodymyr Zelensky. Le président français a déclaré que la Russie devait « cesser son agression » et que cela devait « s'accompagner de garanties de sécurité fortes et crédibles pour les Ukrainiens ».

Soulignant que la Russie représentait une « menace existentielle pour les Européens » compte tenu d'un ensemble d'actions malveillantes, Emmanuel Macron a déclaré, mardi à la presse quotidienne régionale, n'avoir « absolument jamais annoncé l'envoi [en Ukraine] de troupes au sol du côté français ».

 « Nous sommes entrés ou revenus dans l'ère de l'intimidation » « J'avais dit qu'il fallait remettre de l'ambiguïté stratégique, c'était une nécessité », a-t-il ajouté, selon des propos rapportés par La Dépêche du Midi. « Cette ambiguïté stratégique, c'est au fond ce qu'apporte l'élection de Donald Trump. Il recrée de l'incertitude stratégique pour le président Poutine là où son prédécesseur [Joe Biden] avait dit : “Jamais je n'enverrai de troupes sur le terrain.” Cette incertitude, elle nous sert en ce qu'elle peut aider à faire pression. »

Les États-Unis veulent une « paix durable », selon Barrot

Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, présent à Riyad, s'est entretenu de son côté avec le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. La réunion de lundi à Paris a été évoquée lors de cet échange auquel ont participé les ministres des Affaires étrangères allemand, italien et britannique ainsi que la cheffe de la diplomatie européenne, a fait savoir le Quai d'Orsay.

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Marco Rubio a réaffirmé à ses homologues européens qu'il voulait une « paix durable » et non une simple pause des combats en Ukraine, a déclaré Jean-Noël Barrot. « Il m'a redit que ce qui était leur objectif, ce n'était pas un cessez-le-feu fragile, ça n'est pas une pause transitoire qui permettrait à la Russie de reconstituer ses forces, c'est bien une paix durable », a déclaré mercredi Jean-Noël Barrot sur RTL.

« D'une manière ou d'une autre et par la force des choses, les Européens et les Ukrainiens seront à la table des négociations », a également redit le ministre français, alors que les Européens s'inquiètent que Washington et Moscou scellent un accord aux dépens de Kiev et du continent.

 

Parce NOUS les Français lambdas naïfs ou ignares on ne sait comment nous appeler car tellement individualistes partisans de leur « chacun pour soi dévastateur » si personnel se regardant le nombril et se fichant du reste croyant à un miracle (plutôt n’y croyant pas pour ceux qui réfléchissent encore à leur avenir mais pas assez nombreux) et se croyant les meilleurs comme notre petit président fat bon chic bon genre s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile qui a montré son incapacité à gouverner correctement notre pays avec sa dissolution inutile et lamentable cerise sur gâteau déjà empoisonné alors que pour l’instant il n’a pas été capable de régler nos problèmes intérieurs et nos finances avec notre pays en virtuelle faillite évidente !?

Alors maintenant que TRUMP « l’excité revanchard » ne roule plus que pour les USA ni même pour l’OTAN qui va être en filigrane s’il est conservé par les pays qui en font partie et pas pour L’Europe qui s’est laisser vivre sans bouger !?

Car il se met à discuter avec ce criminel de guerre de POUTINE parce ce que s’en est un et qu’on pouvait l’arrêter et l’éliminer depuis le début de cette agression militaire en fait Russo Ukrainienne et que cette EUROPE OCCIDENTALE dite UNIE (mais sur le papier rien d’autre) car incapable de réagir compte sur les USA se référant aux 80 ans de la dernière guerre mondiale et des cérémonies du débarquement allié sauf que les alliés se sont dispersés malgré des pays libres et démocratiques alors là on ne fait que rejouer 1939/40 c’est lamentable presque criminel pour les peuples lambda indirectement concernés !?

Jdeclef 019/02/2025 13h02

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