Macron va tenir une nouvelle réunion, élargie,
sur l’Ukraine ce mercredi de bavard avec notre président inutile qui croit que
l’on l’écoute qu’il redescende sur terre SVP !?
Le président américain, Donald Trump, et son
homologue russe, Vladimir Poutine, ont évoqué une possible rencontre avant la
fin du mois de février.
Par T.G. avec Reuters
Publié le 19/02/2025 à 06h41
L'Europe veut imposer sa présence dans la
partie. La France organise, ce mercredi 19 février, une deuxième réunion
sur l'Ukraine, à laquelle participeront des pays européens qui n'étaient pas
présents à la réunion d'urgence, tenue
lundi 17 février à Paris, ainsi que le Canada, allié de l'Otan, a
appris Reuters, mardi 18 février, de sources diplomatiques.
Des représentants européens avaient fait savoir
que plusieurs pays étaient mécontents que la réunion organisée lundi rassemble
seulement un groupe restreint de dirigeants et ne soit pas un sommet de l'Union
européenne. Norvège, République tchèque, Grèce, Finlande, Roumanie, Suède,
Belgique, pays Baltes et Canada feront partie des invités à la réunion de
mercredi, ont déclaré deux sources. L'Élysée a confirmé que la
réunion aurait lieu à l'occasion de la visite du président roumain par intérim
Ilie Bolojan.
L'Union européenne va
mourir de son snobismeCette réunion se déroulera en format hybride, avec
certains participants via visioconférence, ont précisé trois
diplomates. Les dirigeants réunis lundi – parmi lesquels le chancelier
allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer – ont
appelé à augmenter les dépenses de défense de l'Europe, sans toutefois réussir
à s'accorder sur l'hypothèse d'un envoi de troupes de maintien de la paix
en Ukraine.
Aucune discussion ne peut « préempter les
choix de l'Ukraine », pour Macron
Moscou avait affiché mardi sa fermeté quant à
son exigence que l'Otan revienne sur sa promesse d'intégrer
l'Ukraine. Kiev considère qu'adhérer à l'Alliance est la seule manière de
garantir sa souveraineté. Les Européens s'inquiètent que Washington et
Moscou scellent un accord aux dépens de Kiev et du continent, d'autant plus
après ce qui est perçu comme des concessions considérables faites d'entrée de
jeu par l'administration américaine. Celle-ci s'est montrée sceptique sur
l'objectif de l'Ukraine de rejoindre l'Otan et sur l'hypothèse que les
territoires conquis par la Russie soient rendus à Kiev.
Faut-il
utiliser les 200 milliards d'euros gelés de Poutine ?
« Il est important qu'aucune discussion ne puisse préempter les choix de
l'Ukraine, pleinement souveraine, qu'il s'agisse de l'Union européenne ou de
l'Otan, et que, également, les garanties de sécurité à apporter devraient
impliquer l'Alliance transatlantique », a déclaré Emmanuel Macron à
la presse quotidienne régionale. Le président français a par ailleurs dit
être prêt à répondre à Vladimir Poutine si ce dernier le contactait et si cela
était opportun pour les négociations. « Évidemment, je lui reparlerai si
c'est utile à la situation », a-t-il déclaré en référence à son homologue
russe.
Emmanuel Macron s'était rendu à Moscou en
février 2022 pour demander des « clarifications » à Vladimir
Poutine alors que la Russie avait massé des troupes près de la frontière avec
l'Ukraine. Le président russe a ordonné quelques jours plus tard le lancement
de ce que le Kremlin a présenté comme une « opération militaire
spéciale » en Ukraine, dénoncée comme une invasion par Kiev et ses alliés.
Une rencontre Trump-Poutine avant la fin
février ?
De l'autre côté de l'Atlantique, Donald Trump a
déclaré, mardi 18 février, qu'il rencontrerait probablement son homologue
russe Vladimir Poutine avant la fin du mois de février, alors que ce dernier se
dit « prêt »
à négocier avec Zelensky et que les deux dirigeants ont convenu, la
semaine dernière, d'ouvrir des négociations
destinées à mettre fin au conflit. Le Kremlin, ce mercredi
19 février, a confirmé que Trump et Poutine « pourraient se
rencontrer » avant la fin du mois de février.
Le président américain s'est exprimé depuis sa
résidence floridienne de Mar-a-Lago, après la tenue plus tôt dans la journée
d'une réunion en Arabie saoudite entre des représentants de haut rang
américains et russes. Trump s'est également dit « totalement
favorable » à l'envoi de soldats européens afin d'apporter des
garanties sécuritaires en cas d'accord de paix. Dmitri Peskov, le
porte-parole russe, a déclaré que les négociations constituaient une
« étape importante » vers un règlement de la guerre en Ukraine. Il a
toutefois ajouté que les deux superpuissances mondiales devraient d'abord
réanimer leurs relations avant de pouvoir les rétablir.
« Afin de mettre en œuvre, au sens figuré,
des mesures de réanimation, les diplomates vont désormais commencer à
travailler à la lumière de l'accord conclu hier [par le
ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov] avec [le secrétaire
d'État américain Marco Rubio] », a déclaré Peskov, cité par les
médias d'État. « Mais c'est la première étape… Naturellement, il est
impossible de tout régler en un jour ou une semaine. Il y a encore un long
chemin à parcourir », a-t-il ajouté.
En Ukraine, la guerre se poursuit
En parallèle de toutes ces discussions et
négociations, le conflit se poursuit sur le sol ukrainien. L'armée ukrainienne
a annoncé mercredi que la Russie avait lancé 167 drones et deux
missiles lors d'attaques nocturnes. L'armée de l'air a
abattu 106 drones et 56 autres n'ont pas atteint leurs
cibles, probablement en raison de contre-mesures électroniques, a-t-elle
indiqué sans préciser ce qu'il est advenu des cinq drones restants.
Une attaque de drone russe contre la région
d'Odessa, dans le sud de l'Ukraine, a blessé quatre personnes, dont un
enfant, et provoqué des coupures de courant généralisées, ont annoncé mercredi
les autorités locales. L'attaque « massive » a endommagé des
infrastructures civiles, notamment un jardin d'enfants, une clinique pour
enfants et des fenêtres d'immeubles de grande hauteur, a déclaré le gouverneur
Oleh Kiper.
La Russie, une « menace
existentielle » pour Macron
En marge de la réunion de lundi, Emmanuel
Macron a eu des entretiens téléphoniques distincts avec son homologue américain
Donald Trump et l'Ukrainien Volodymyr Zelensky. Le président français a déclaré
que la Russie devait « cesser son agression » et que cela devait
« s'accompagner de garanties
de sécurité fortes et crédibles pour les Ukrainiens ».
Soulignant que la Russie représentait une
« menace existentielle pour les Européens » compte tenu d'un ensemble
d'actions malveillantes, Emmanuel Macron a déclaré, mardi à la presse
quotidienne régionale, n'avoir « absolument jamais annoncé l'envoi [en
Ukraine] de troupes au sol du côté français ».
« Nous
sommes entrés ou revenus dans l'ère de l'intimidation » « J'avais
dit qu'il fallait remettre de l'ambiguïté stratégique, c'était une
nécessité », a-t-il ajouté, selon des propos rapportés par La Dépêche du Midi. « Cette ambiguïté stratégique,
c'est au fond ce qu'apporte l'élection de Donald Trump. Il recrée de
l'incertitude stratégique pour le président Poutine là où son prédécesseur [Joe
Biden] avait dit : “Jamais je n'enverrai de troupes sur le terrain.”
Cette incertitude, elle nous sert en ce qu'elle peut aider à faire
pression. »
Les États-Unis veulent une « paix
durable », selon Barrot
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio,
présent à Riyad, s'est entretenu de son côté avec le ministre français des
Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. La réunion de lundi à Paris a été
évoquée lors de cet échange auquel ont participé les ministres des Affaires
étrangères allemand, italien et britannique ainsi que la cheffe de la
diplomatie européenne, a fait savoir le Quai d'Orsay.
À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Marco Rubio a
réaffirmé à ses homologues européens qu'il voulait une « paix
durable » et non une simple pause des combats en Ukraine, a déclaré
Jean-Noël Barrot. « Il m'a redit que ce qui était leur objectif, ce
n'était pas un cessez-le-feu fragile, ça n'est pas une pause transitoire qui
permettrait à la Russie de reconstituer ses forces, c'est bien une paix
durable », a déclaré mercredi Jean-Noël Barrot sur RTL.
« D'une manière ou d'une
autre et par la force des choses, les Européens et les Ukrainiens seront à la
table des négociations », a également redit le ministre français, alors
que les Européens s'inquiètent que Washington et Moscou scellent un accord aux
dépens de Kiev et du continent.
Parce NOUS les Français lambdas naïfs ou
ignares on ne sait comment nous appeler car tellement individualistes partisans
de leur « chacun pour soi dévastateur » si personnel se regardant le
nombril et se fichant du reste croyant à un miracle (plutôt n’y croyant pas
pour ceux qui réfléchissent encore à leur avenir mais pas assez nombreux) et se
croyant les meilleurs comme notre petit président fat bon chic bon genre s’écoutant
parler pour ne rien dire d’utile qui a montré son incapacité à gouverner correctement
notre pays avec sa dissolution inutile et lamentable cerise sur gâteau déjà
empoisonné alors que pour l’instant il n’a pas été capable de régler nos problèmes
intérieurs et nos finances avec notre pays en virtuelle faillite évidente !?
Alors maintenant que TRUMP « l’excité revanchard »
ne roule plus que pour les USA ni même pour l’OTAN qui va être en filigrane s’il
est conservé par les pays qui en font partie et pas pour L’Europe qui s’est
laisser vivre sans bouger !?
Car il se met à discuter avec ce criminel de guerre
de POUTINE parce ce que s’en est un et qu’on pouvait l’arrêter et l’éliminer
depuis le début de cette agression militaire en fait Russo Ukrainienne et que
cette EUROPE OCCIDENTALE dite UNIE (mais sur le papier rien d’autre) car
incapable de réagir compte sur les USA se référant aux 80 ans de la dernière
guerre mondiale et des cérémonies du débarquement allié sauf que les alliés se
sont dispersés malgré des pays libres et démocratiques alors là on ne fait que
rejouer 1939/40 c’est lamentable presque criminel pour les peuples lambda
indirectement concernés !?
Jdeclef 019/02/2025 13h02
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