Il n’y a qu’en France que l’on voit cela à cause du peuple qui se laisse manœuvrer au gré des politiciens élus et réélus par eux de tous bords donc :

La technique de l’enfumage ou la méthode Bayrou est bien présente et rodée jusqu’à qu’il verra avec le glaive de la censure au-dessus de sa tête s’abattre et de la France qui continuera à dégringoler toujours plus bas !? <

CHRONIQUE. Annonces chocs, ministres en liberté, coupes surprises, le Premier ministre avance dans une confusion apparente. Une stratégie en réalité discrètement organisée. Publié le 23/01/2025 à 06h30 « Je serai là toutes les semaines », assure le maire de Pau au micro de la radio Ici Béarn Bigorre (cela ne s'invente pas) à l'occasion de ses vœux au personnel de la ville. « Il faut bien que je rentre chez moi », explique ce chef de gouvernement pas comme les autres. À Matignon, il reste lui-même, privilégiant ses racines. Et sa méthode. Celle-ci peut paraître brouillonne. Mais elle est voulue. Pour l'instant, cela marche. Cela semble partir dans tous les sens. La proposition à sensation d'Astrid Panosyan-Bouvet visant à mettre les retraités les plus aisés à contribution est typique du mode de gestion du Béarnais. On laisse les ministres s'exprimer à titre personnel, quitte à prendre ses distances avec leurs propos. En l'occurrence, l'idée de viser les pensions provoque des débats sans fin, mais installe une piste jusqu'ici taboue. Nouvelle fonction peu banale du gouvernement Le forum se déplace du Parlement vers le gouvernement, devenu une instance délibérative. Peu banal sous la Ve République, où l'on est davantage habitué à une austère discipline résumée par la formule de Jean-Pierre Chevènement : « Un ministre, ça ferme sa gueule ou ça s'en va. » Aujourd'hui, ils sont au contraire priés de s'exprimer, permettant à toutes les nuances politiques d'exister, en attendant un arbitrage qui arrive, ou non, c'est selon… Si la porte-parole du gouvernement Sophie Primas a appelé « à ne pas se perdre en délire » au sujet des suggestions de ses collègues, elle a vanté la polyphonie de l'équipe. Elle a écarté « à ce stade » – et donc laissé entrouverte – la piste des sept heures de travail impayées évoquées par Catherine Vautrin, après n'avoir recadré que légèrement Bruno Retailleau, qui s'en prenait à l'aide médicale d'État. Les ministres s'éclatent : il fallait voir l'air réjoui de Sébastien Lecornu remettre à sa place notre commissaire à Bruxelles, Stéphane Séjourné, qui parlait de « deal » avec Trump… Le plan choc de Bruxelles pour sauver l'industrie automobile européenne L'objectif est évidemment d'arriver à bon port pour boucler les deux lois de finances, générale et sociale. Toutes les voies – et les voix – sont autorisées pour imaginer des économies, d'autant plus inévitables qu'il a fallu lâcher quelques milliards aux socialistes. Des « cadeaux » dignes du sapeur Camember : les mesures que le PS se vante d'avoir « arrachées » pour les Français, il va falloir en priver ces mêmes Français pour un montant identique dans d'autres budgets… Si François Bayrou est partisan d'un certain enfumage avant de trancher, il n'hésite pas à tancer les membres du socle commun récalcitrants à voter les coupes de crédits. Ainsi a-t-il réagi, et tenu à le faire savoir, à une remarque de Laurent Wauquiez lors du petit déjeuner hebdomadaire à Matignon. Au patron du groupe de la Droite républicaine qui s'inquiétait des concessions budgétaires faites au PS – « Il ne faudrait pas que cela mène à la banqueroute » –, le Premier ministre a répliqué : « Ce serait bien que ceux qui demandent des économies les votent quand elles leur sont proposées ! » Les coupes éclair dans le budget Depuis quelques jours, la méthode Bayrou se heurte en effet à des moments de vérité : les votes. Au Sénat, les coupes éclair tombent sur tous les budgets, conséquence incontournable des 30 milliards d'économie à réaliser. Même la droite, dont c'est pourtant la doxa, a du mal à assumer les restrictions de crédits. On imagine les protestations de la gauche quand elles seront soumises en CMP puis pour adoption au Palais-Bourbon… À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Avec le PS, François Bayrou continuera d'employer sa tactique enjôleuse. Avant son discours de politique générale, alors qu'Olivier Faure et Boris Vallaud réclamaient des trophées, le Béarnais les a reçus le soir au coin du feu à Matignon. Écartant une discussion de marchand de tapis, il leur a proposé un dialogue entre grands responsables : « Laissons de côté les questions techniques. Posons-nous la seule question importante : voulez-vous m'obliger à me tourner vers le Rassemblement national ? » Ainsi cabote François Bayrou. Aux questions orales à l'Assemblée nationale, il n'a pas répliqué à un député qui demandait si la méthode du gouvernement « consistait à additionner des soustractions ». Il s'est en revanche levé pour répondre à l'intervention de la toute nouvelle élue macroniste, Camille Galliard-Minier, qui vient d'écraser son adversaire LFI dans l'Isère. Le Premier ministre a salué sa victoire : « Le message est d'une clarté aveuglante : les électeurs choisissent le rassemblement et la stabilité. » Le plaidoyer pro domo fait aussi partie de la méthode Bayrou… 

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Mr BAYROU est un vieil enfumeur patenté qui a réussi à se faire nommer 1er ministre par notre président MACRON qui ne savait pas qui choisir d’ailleurs il a dû parlementer avec lui pour cela car lui aussi est devenu inutile depuis son 1er quinquennat en 2022 raté et attendant 2027 (sereinement lol ?!)

 

En fait c’est comme les Français lambda qui ne savent plus voter ou choisir leurs dirigeants et politiciens toujours les mêmes dans cette classe politique bien Française de tous bords avec ses partis ringards d’une médiocrité lamentable et le tout avec ces personnages députés connus élus et réélus et çà dure depuis + de 66 ans sous cette Veme république qu’on n’est pas capable de rénover ou d’en changer d’ailleurs par les Français lambda eux-mêmes qui n’y connaissent rien où s’en désintéressent ?! 

Car semble-t-il assez satisfaits car peut être encore trop gâtés malgré des sondages très défavorables envers notre président et sa « macronie fantôme » mais çà c’est du bla-bla médiatique concours de bavardages habituels !? 

Bravo merci à tous citoyens de notre pays si stupides et incurables qui abandonne la FRANCE et leurs destins !?

jdeclef 23/01/2024 16h07