dimanche 12 janvier 2025

SI ON CONTINUE A MARCHER A COUP DE CENSURES DEBILES LE PAYS SOMBRERA VRAIMENT CAR INGOUVERNABLE CE N’EST QUE LE BON SENS DE LE CONSTATER IL SUFFIT AUX FRANÇAIS DE REAGIR EN OUBLIANT LEUR « CHACUN POUR SOI DEVASTATEUR » ?!

 

On a perdu J.M. LE PEN avec son parti FN car sa fille M.LE PEN est usée à 58 ans ( 61 dans 3 ans ) avec son parti RN extrémiste qui  a changé de nom une spécialité  des partis politiques ringards Français surtout de droite pour essayer d’acquérir une honorabilité comparable aux partis politiques dit classiques mais qui traine une casserole judiciaire politique :

Jérôme Guedj : « Les socialistes jouent sincèrement le jeu du compromis »

ENTRETIEN. À trois jours de la déclaration de politique générale de Bayrou, le député socialiste livre au « Point  » sa vision de l’état d’avancement des négociations en vue d’un accord de non-censure avec le gouvernement.

Propos recueillis par Hadrien Brachet

Publié le 11/01/2025 à 20h44

La gauche et le gouvernement entrent dans la dernière ligne droite avant la déclaration de politique générale de François Bayrou le 14 janvier. Ici, Jérôme Guedj en photo. © Eric Dessons/JDD/SIPA

Le dénouement approche. Après une semaine de négociations, officielles comme officieuses, la gauche et le gouvernement entrent dans la dernière ligne droite avant la déclaration de politique générale de François Bayrou le 14 janvier. Les prochaines heures s'annoncent décisives pour la conclusion éventuelle d'un accord de non-censure.

Auprès du Point, le député Jérôme Guedj, l'un des négociateurs du Parti socialiste (PS), partage son sentiment sur l'avancée des discussions et rappelle les revendications de son camp à François Bayrou. Le parlementaire réitère la demande de « gel » de la réforme des retraites et le lancement d'une conférence sociale. Après avoir estimé vendredi sur Sud Radio que le système par points « faisait partie des questions à mettre sur la table », suscitant des protestations au sein de la gauche, il précise que le moment n'est pas venu de rouvrir cette discussion, « au risque de cliver ».

Le Point : Après une semaine de négociations, êtes-vous optimiste sur la possibilité de parvenir à un accord de non-censure ?

Jérôme Guedj : J'ai l'optimisme de la volonté qui se heurte parfois au pessimisme de la raison. Je préfère pour autant retenir le positif : nous avons des négociations sérieuses, rigoureuses et méthodiques avec des ministres qui ne mettent pas de veto à telle ou telle proposition. Le ministre de l'Économie a lui-même indiqué qu'il recherchait un accord de non-censure, reprenant la formulation de mon ami Philippe Brun, devenue la position du PS. Le gouvernement de Michel Barnier n'avait jamais ouvert de négociations, se contentant de vagues concertations. Sur le budget de la Sécurité sociale – sur lequel il chutera finalement – en tant que chef de file socialiste, aucun ministre n'avait pris attache avec moi pour négocier. C'est bien différent en ce moment. Mais vigilance sur le résultat final.

Censure : le PS va-t-il se racheter ?

Résumons : quelles concessions les socialistes réclament-ils au gouvernement pour renoncer à la censure ?

Elles doivent être remarquables, c'est-à-dire concerner concrètement le quotidien des Français. Nos regards sont évidemment tournés vers deux échéances : la déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre ce 14 janvier et, immédiatement après, la reprise du débat budgétaire. Dans sa DPG, nous attendons de François Bayrou qu'il revienne d'une manière ou d'une autre sur la réforme des retraites de 2023, qu'il avait lui-même critiquée. C'est la clé de voûte d'un accord de non-censure, un préalable, mais qui n'évacue pas la nécessité de doter la France d'un budget.

Nous ne demandons pas un contrat de coalition, nous sommes bien dans l’opposition.

Nos demandes portent sur la nécessaire justice fiscale au service du financement suffisant des services publics. Le dérapage budgétaire, les Français, singulièrement les plus modestes, n'en sont pas responsables, ils n'ont pas à le combler en se serrant la ceinture, à coup par exemple de déremboursement des médicaments et des consultations médicales ou de gel des pensions de retraite. Nous défendons au contraire pour la santé des moyens supplémentaires pour l'hôpital et les Ehpad, et pour l'école la nécessité de revenir sur les 4 000 suppressions de postes prévues. Pour financer ces priorités, les économies envisagées comme les prélèvements à créer doivent être justes, en préservant les classes moyennes et populaires.

Sur les retraites, entre gel, suspension et conférence sociale, il est difficile de saisir précisément ce que demandent les socialistes…

Notre position est constante. Les socialistes ont milité au cours des élections législatives pour l'abrogation de la réforme des retraites qu'ils avaient combattue au Parlement et dans la rue comme une écrasante majorité de Français et l'ensemble des syndicats. À l'issue du 7 juillet, il n'y a pas eu de majorité ni pour la gauche et les écologistes pour l'abroger ni pour le bloc central pour prétendre au statu quo. C'est pourquoi dès l'été dernier, j'avais indiqué, au début un peu seul, que le chemin du nécessaire compromis passait par un gel de la réforme, préalable à une conférence sociale.

 « Ce qu'il gagne à gauche, il le perd ailleurs » : François Bayrou, seul au monde ? Patrick Kanner, patron des sénateurs socialistes, comme vous-même, n'a pas totalement fermé la porte à de nouvelles discussions sur la retraite à points. Pour être clair, est-ce une perspective que les socialistes seraient désormais prêts à soutenir ?

Il y a pu avoir une incompréhension que je lève volontiers. Au cours des négociations avec le gouvernement, nous n'avons à aucun moment demandé la mise en place d'une réforme des retraites par points. La conférence sociale aura déjà suffisamment à faire en se concentrant sur l'urgence de l'âge légal, des financements à dégager pour équilibrer la branche vieillesse, de la pénibilité et de la situation des femmes. Certains voudront peut-être remettre en débat le système à points lors de prochains rendez-vous démocratiques mais cela ne peut pas se faire maintenant, au risque de cliver là où nous recherchons du compromis.

Mais la suspension de la réforme des retraites est-elle une condition vraiment indispensable à la non-censure ? Ou d'autres concessions du gouvernement, sur la fiscalité ou les services publics, pourraient vous suffire ?

Si le gouvernement veut sincèrement construire un compromis, il doit considérer qu'il y a une globalité entre la réforme des retraites et les mesures de justice fiscale pour adopter les budgets. En responsabilité, nous n'avons pas demandé à François Bayrou de renoncer à toutes les économies envisagées, nous voulons sanctuariser les services publics essentiels. Les socialistes jouent sincèrement le jeu du compromis. Ce n'est pas un gros mot, en dépit des reproches qui nous sont faits.

Toute la semaine, Jean-Luc Mélenchon n'a pas cessé de fustiger avec des mots très durs vos discussions avec le gouvernement. Comment l'interprétez-vous ?

C'est la conséquence de son enfermement et une forme de fébrilité. Quand Jean-Luc Mélenchon donne la priorité à une accumulation de chaos institutionnels préparatoires à son rêve de démission d'Emmanuel Macron pour provoquer une élection présidentielle, nous pensons que c'est illusoire. Et dangereux au risque de donner la victoire au RN. Nous assumons cette divergence stratégique. Il faut profiter du moment pour ramener des victoires à la maison, au service des Français. Une suspension de la réforme des retraites, ce sont des centaines de milliers de Français qui pourront partir plus tôt. Des moyens humains supplémentaires dans les hôpitaux, ce sont des lits qui pourront rouvrir. Dans la période, pour reprendre la formule d'Olivier Faure, nous ne pouvons pas être la gauche du tout ou rien, qui au final n'obtient rien à force de vouloir tout. En revanche, nous ne demandons pas un contrat de coalition, nous sommes bien dans l'opposition.

« Ridicules » : Mélenchon étrille ses alliés à gauche qui discutent avec le gouvernementQuant aux Écologistes et aux communistes, s'ils participent aux discussions, sont-ils vraiment alignés sur vos revendications ? Ne sont-ils pas plus exigeants ?

Dans tous les cas, ce que nous avons vérifié dans la discussion commune à Bercy mercredi soir, c'est que nos demandes sont vraiment convergentes. Les verts ont naturellement davantage insisté sur des points relatifs au financement de la transition écologique, mais j'ai eu le sentiment que sur l'idée globale d'obtenir des avancées concrètes pour ne pas censurer, nous étions alignés. C'est ensuite en fonction de la clarté de l'expression de François Bayrou mardi que les uns et les autres se prononceront. Y compris les socialistes.

Si les négociations n'aboutissent pas, les socialistes peuvent-ils vraiment se permettre une deuxième censure d'affilée ? Le coût politique ne serait-il pas trop élevé ?

Dans la période, tout ce qui ressemble à une lecture boutiquière ou politicarde de défense de son précarré n'est pas à la hauteur. Et je peux retourner la question : est-ce que le bloc central peut se permettre une deuxième censure ?

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M.LE PEN l’issu de son procès à venir qui lui fermerait la porte de l’élection présidentielle de 2027 mais avec une roue de secours le beau BARDELA bon chic bon genre à qui elle passé la présidence de son parti  si elle était condamnée et inéligible  comme notre vielle Vème république de 66 ans (âge de la retraite « lol ») dans cette catégorie d’aboyeurs de foire trublions mal élevés vindicatifs mais il nous reste encore MELENCHON 73 ans vieux politicien aussi usé comme d’autres et son extrême gauche bien plus dangereux avec cette LFI ramassis de trublions vindicatifs et mal élevés qui ne savent que semer le désordre même pour le plaisir ?!

Le bilan de tout ça avec un président devenu inutile E.MACRON grand donneur de leçons bavard mais hypocrite d’ailleurs qui ne parle plus beaucoup on a vu avec ses pauvres vœux si courts pour la nouvelle année car il n’a rien à dire de nouveau !?

Là en France on voit la limite de la démocratie des pays libres comme le notre car quand on donne trop de pouvoir à un seul homme notre chef d’état que nous élisons et les réélisons comme des naïfs bornés ou ignares on se demande pourquoi on a fait notre révolution de 1789 suivie de l’empire Napoléonien et ensuite de nos républiques dont la IV eme inutile pour enfin arriver à la Veme ou on a enfin permis au peuple de choisir et voter pour élire leurs dirigeants et politiciens de tous bords !?

Ca c’est la réalité car nous sommes restés coincés dans des systèmes politiques dignes de l’ancien régime monarchique avec nos rois que l’on a remplacé par nos présidents « sans couronne » mais il n’y a que çà qui leur manque ils ont gardés leurs palais car il est difficile d’oublier les fastes de la royauté et nos croisades par exemple du moyen-âge et on est incapable de les effacer nous Français lambda mais aussi en Europe dans les pays démocratiques libres sans oublier d’ajouter nos anciennes colonies d’outre atlantique le USA en 1793 arrivés plus tard au moment de révolution coïncidence d’ailleurs on a pas fini d’en parler avec le nouveau président le 20 JANVIER 2025 qui sent pousser des ailes !?

IL SUFFIT DE RELATER LES FAITS ET D’OUVRIR LES YEUX ET LES OREILLES POUR LES CITOYENS FRANÇAIS ET AUTRES !?

Jdeclef 12/01/2025 12h23


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